Le lendemain, Martha embrassa tendrement son mari avant que celui-ci ne partit à son travail. Ce dernier lui promit de prendre sa semaine de congés pour la passer avec elle. Catherine qui avait entendu la conversation s’en réjouit et monta en faire part à son frère aîné. Frank lui, en sortant, se sentait un peu mal et avait l’impression d’avoir délaissé sa femme et ses enfants, ayant bien l’intention de se rattraper auprès d’eux. Plus tard dans la journée, Martha revint de sa journée de travail et croisa Paul. Les images de la veille lui revinrent en tête et la suivirent. Elle finit par l’interpeller. L’intéressé se tourna vers elle : — Oui maman ?— Tu peux venir une minute ? Je dois te parler de quelque chose.— Oui bien sûr. Ils entrèrent dans la chambre des parents et s’assirent sur le lit : — Je vous ai vus hier soir, dans la chambre de Catherine. Son fils resta interdit un moment et dégluti : — Tu nous as vus ?— Oui, en plein rapport sexuel.— C... c’est-à-dire...— Tu n’as pas besoin de te justifier. Elle alla fermer la porte de la chambre, elle prit une grande inspiration puis ôta son haut devant son fils qui écarquilla les yeux, stupéfait de ce qu’il découvrait. Elle s’approcha du lit et ajouta : — J’ai bien senti que l’on était plus aussi proches qu’avant, mais j’ai envie de garder un lien renforcé dans cette famille. Paul déglutit timidement, mais finit par poser une main sur un des seins de Martha. Il le malaxa un peu pendant que cette dernière lui caressait l’entrejambe. Elle se plaça ensuite à genoux devant lui et lui ôta son pantalon et son boxer. Puis elle saisit son pénis en érection et commença à le masturber et à le sucer. Paul poussa des soupirs et commença à enlever le reste de ses habits.
Pendant ce temps, au rez-de-chaussée, Frank rentrait de sa journée, content d’annoncer la nouvelle à sa femme et ses enfants qu’il avait obtenu la semaine de congés qu’il espérait et se demanda ce qu’ils pourraient faire ensemble pendant tout ce temps. Bien que pour commencer, il voudrait se reposer un peu après une journée aussi fatigante. Il monta donc à l’étage et se dirigea vers la salle de bain. En entendant de l’eau couler, il entra tout de même, pensant qu’il s’agit de sa bien-aimée qui prenait sa douche. "Hé bien quelle étourdie celle-là“, pensa-t-il, “elle doit avoir eu une journée épuisante elle aussi pour ne pas avoir fermé la porte de la salle de bain malgré la présence de nos enfants dans la maison“. Il songea aussi “mais peut-être qu’elle pensait qu’ils étaient pas à la maison". Il commença à se déshabiller entièrement puis avec un sourire envieux à l’idée de rejoindre Martha sous la douche, il s’approcha et ouvrit la porte de la douche. Découvrant Catherine à la place, ils poussèrent tous les deux un cri de surprise et il détourna le regard, gêné : — Heu... pardon, je pensais que c’était ta mère.— Pas de problème.— Je vais me rhabiller et sortir, la prochaine fois, mets le verrou. Mais alors qu’il s’apprêtait à ramasser ses habits, sa fille lui attrapa le bras pour le retenir et lui dit : — Attends papa, est-ce que tu as obtenu ton congé ? Je t’ai entendu en parler avec maman.— On peut parler de ça plus tard.— Non je veux savoir maintenant !— Hé bien... oui, j’ai une semaine de congés et j’avais prévu d’en profiter pour passer du bon temps avec ma famille, mais je ne sais juste pas encore dans quelles activités pour le moment... Catherine gloussa un peu et lui dit : — Moi je pense savoir dans quoi pour commencer.— Ha oui ?— Oui, en me rappelant de l’époque où tu nous emmenais à la piscine, tu avais un super corps, et aujourd’hui, tu es toujours aussi bien bâti... en plus d’être bien monté.— Heu... merci ? Frank se sentit gêné par cette situation, mais sans savoir pourquoi, il se sentit flatté et se mit à penser qu’il trouvait le corps de sa fille très sexy. Puis revint la gêne en sentant son membre se durcir. Elle rit un peu puis s’agenouilla devant lui et prit doucement son phallus entre ses seins. Frank resta là sans rien faire, d’un côté il voulut la faire arrêter, mais de l’autre, il trouva ça agréable. Elle le branla de cette manière n petit moment puis se pencha pour le prendre en bouche. Frank pensait rêver et se laissa aller.Il finit par la relever et la plaqua contre le mur, jambes écartées, et lui lapa le vagin tout en lui malaxant les seins. Au même moment dans la chambre parentale, Martha se retrouvait au-dessus de Paul, son pénis en elle et effectuant des mouvements de bassin en poussant des gémissements. Son fils lui attrapa les hanches et lui donna des coups de reins qui lui firent plus d’effet. Pendant ce temps, Frank plaquait Catherine contre le mur, une main lui tenant une jambe, l’autre lui agrippant un sein et son pénis en elle. Il donnait des coups de reins qui s’intensifiaient au fur et à mesure avec l’excitation.Puis il l’embrassa avec fougue, entamant avec sa fille une joute entre leurs langues. Presque synchronisés sans le vouloir, Paul et sa mère changèrent de position : Martha se retrouva à quatre pattes tandis qu’il venait derrière elle la pénétrer en levrette tout en lui malaxant les seins. Dans les deux pièces, il s’écoula de longues et intenses minutes d’ébats, tous prenant du plaisir et semblant en redemander. Cela continua jusqu’à ce qu’ils se mettent tous à jouir une dernière fois. Frank mit ensuite Catherine à genoux et se masturba à nouveau pour s’offrir une faciale, tandis que Paul s’écroulait sur le lit, Martha sur le côté, lui souriant et lui caressant la joue. Frank entra sous la douche avec sa fille pour se nettoyer mutuellement : — Ta mère aussi aimait beaucoup ça, que je lui caresse et malaxe ses seins, et quand je les goûte aussi.— Et toi ? Tu aimes qu’on te malaxe les pectoraux et qu’on goûte tes tétons ?— Je ne dis pas non à ça. Ils s’enlacèrent tendrement et sortirent de la douche, Catherine profita du fait d’être la dernière des deux à en sortir pour lui claquer les fesses.
