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Liaisons Interdites

Chapitre 3

Jours 3 et 4

Inceste
Le lendemain au travail, Tristan se sent moins tracassé que le jour précédent, mais il ne peut pas s’empêcher de songer à ce qu’il a vu et entendu à propos de sa fille. Il aimerait se convaincre qu’il interprète mal son comportement, mais l’épisode de la salle de bain lui force à penser le contraire. Il en vient même à repenser qu’hier, avec le pommeau de douche, elle pensait à lui.
Son ressenti aussi l’interpelle. L’envie d’en voir plus, d’avoir été dans l’incapacité de ne pas se soulager, de se faire violence à ne pas regarder ses seins, à devoir mettre un boxer pour éviter tout accident... Pour la première fois, il est excité par quelque chose d’anormal.
Plus tard, Eric, en déplacement durant la matinée, l’appelle pour lui proposer de manger avec lui le midi. Tristan accepte et les deux compères s’enfilent un plat du jour dans le restau du coin.
A table, en attendant leur commande, Eric demande si ça s’est arrangé avec Mélissa. Là aussi Tristan n’ entrera pas dans les détails discutables :
— Oui, enfin... On s’est à nouveau pris la tête hier soir pour le même motif. Ma réaction l’a fâchée puis elle est partie dans sa chambre.
Eric l’écoute en remplissant leurs verres du demi-rosé apporté par le serveur. Tristan le remercie et poursuit :
— Ensuite j’ai repensé à ce que tu m’as dit. Je suis donc allé la voir pour m’excuser et lui demander ce qu’elle pense de moi.— Et alors ? demande-t-il en buvant une gorgée de vin.— Selon elle, je ne l’étouffe pas. Elle reconnaît que je suis parfois rigide avec elle, mais elle m’a dit qu’elle n’en souffrait pas. Au contraire, elle se sent protégée, écoutée et elle a même dit... ne parvient pas à contenir la joie que cet aveu lui fait... qu’elle était fière d’être ma fille.— Waoh, alors ça ! C’est pas mes enfants qui diraient ça pourtant, pourris gâtés qu’ils sont, ils pourraient au moins l’insinuer ! Une grande gorgée de vin pour ponctuer.
Tristan rit et ajoute :
— Attends, j’ai pas terminé, elle a même dit qu’elle m’admirait... Précisément avec ses mots à elle : Que j’étais le seul homme sur cette Terre qu’elle admirait.
Eric en siffle d’étonnement :
— Et bé ! On n’entend pas ça tous les jours, t’as dû être content de l’entendre ! En même temps tu le mérites, tu l’as élevée seul sans qu’elle ne manque de quoi que ce soit, sans jamais te plaindre. Ça vaut son pesant de cacahuètes.
Les plats arrivent, les deux compères interrompent leur discussion le temps que le serveur pose les assiettes. Une fois partis, ils s’apprêtent à manger et Tristan reprend :
— Par contre, comme tu t’en doutes, tout n’était pas rose. Elle m’a dit que je n’avais plus d’humour, que je m’emportais facilement et que je prenais trop les choses à cœur.— Là, désolé mon pote, mais elle n’a pas tord.— Je commence à m’en rendre compte, mais c’est si prononcé que ça ?
Eric prend le temps d’entamer sa viande avant de répondre :
— Disons que, si on t’avait toujours connu comme ça, on s’y serait fait. Mais comme en temps normal t’es le premier à plaisanter de tout et à relativiser, il était clair que tôt ou tard quelqu’un allait te le faire remarquer. J’ai essayé de te le dire hier, mais ta fille te l’a dit plus explicitement.
Tristan mange à son tour et répond :
— Le pire c’est que je ne me suis pas rendu compte de ce changement. Je sais même pas pourquoi c’est arrivé.
Les mimiques d’Eric en attaquant ses frites font comprendre à Tristan qu’il a peut-être la réponse à ses questions :
— Je pense à une chose ou peut-être deux.— Ah bon lesquelles ?— La première : ça fait combien de temps que tu n’as pas pris de vacances ?
Tristan cherche en continuant de manger :
— Ça doit faire... Je crois que ça remonte à l’été dernier. Même pour Noël, j’avais posé quelques jours, mais je n’avais pas ressenti ça comme des vacances.

Eric boit une gorgée de vin pour mieux faire passer la bouchée gargantuesque qu’il a pris :
— Tu vois... Ensuite... Comment dire... Bon je vais y aller francs jeux, tu me connais... Depuis combien de temps tu n’as pas niqué ?
Tristan rit, car il ne s’attendait pas à cette question, mais en y réfléchissant il se rend compte que ça aussi, il y a un petit moment que ça n’est pas arrivé. Il y a bien les sites pornos ou ses fantasmes, mais l’absence de relations avec une femme, que ce soit sexuel ou pas, finit toujours par le rendre aigri. Il répond à Eric :
— Te fous pas de moi, ça remonte au début de l’année et encore... Ce n’était pas le meilleur coup.— Ah oui celle de ton site de rencontre !— Oui voilà...— Mon pauvre vieux, t’as couché avec cet engin ??
Tristan le regarde avec dépit. Eric rit en buvant la dernière gorgée de vin :
— Tu ne m’as jamais dit que t’avais fini dans son pieu ! Tu devais sacrément avoir la dalle !
Tristan se met à en rire :
— Et le pire c’est qu’en partant de chez elle, ma faim n’était pas rassasiée. J’ai vécu ça comme si j’avais envie de me faire un bon restau, mais que seul le McDo était ouvert.
Eric éclate de rire et ajoute :
— Je comprends pourquoi t’as perdu toute joie de vivre ! Mais depuis, tu n’as pas cherché à en avoir une un peu mieux ?— Après Margarethe... Eric pouffe en répétant son prénom... J’étais tellement frustré de tomber sur des moches ou des rendez-vous sans suite que je me suis désabonné du site.— Tu m’étonnes. J’ai jamais aimé ce genre de site. Pour moi, c’est impossible de trouver la femme qui te correspond. Tout se passe dans la surprise, la rencontre, pas en tournant des pages comme si on feuilletait un catalogue. Si tu veux mon conseil, sors ou inscris-toi à une activité qui te fera rencontrer des gens et peut-être des nanas avec qui le courant passera en un clin d’œil. Peut-être que ça n’aboutira à rien de sérieux, mais au moins ça te fera oublier cette mésaventure et tu verras les choses autrement.
Tristan, qui d’habitude conteste son avis sur les sites de rencontre, écoute son conseil. Il lui semble de bon augure.
— Oui, tu n’as pas tort... Je vais réfléchir à une activité...— Et j’espère sincèrement que tu trouveras une femme tôt ou tard, j’ai envie de retrouver mon pote, celui avec qui je me marre pour un rien ! Et aussi, pense à ta fille !
Cela le ramène à la réalité avec sa fille. Spontanément :
— Comment ça ?— Et bien, pense aussi que ta fille préférerait être avec un père plus agréable à vivre.— Oui c’est sûr.— Excuse-moi de te dire ça, mais... Là aussi je vais y aller franco... Si tu bloques sur son décolleté, c’est qu’au fond il te fait envie et...
Tristan l’arrête immédiatement :
— Quoi ! Non, mais ça va pas !— Non attends, écoute-moi ! Il te donne envie parce que t’es en manque, ta fille est jolie, elle est devenue une femme et elle expose sous tes yeux exactement ce que ton corps réclame.— Peut-être que je suis en manque, mais ne vas pas croire que j’ai envie de me taper ma propre fille.— Ce n’est pas ce que j’essaie de te dire. Essaie de comprendre. Le jour où tu auras fini sous la couette avec une femme à ton goût, je suis prêt à parier que l’exposition de son décolleté ne te posera plus aucun problème.
Eric le regarde cogiter et ajoute :
— Rappelle-toi, sans même aller très loin, quand tu avais rencontré Marilyn. Cette femme te plaisait, malheureusement ça a fini par se terminer. Mais est-ce que tu faisais autant d’histoire à ta fille pour une tenue vestimentaire ?— Non...— Voilà, alors suis mes conseils, essaie de rencontrer une femme. Je sais que ça ne se fait pas en claquant des doigts, mais franchement, t’as un physique avantageux et je ne doute pas une seconde que tu mettras peu de temps à en rencontrer une. Il te suffit d’être agréable, amical. Elles le ressentent. Et ta fille, elle qui t’admire, t’en remerciera, tu verras.
Tristan n’a rien à ajouter. Il accepte ses conseils, mais ne peut pas s’empêcher de penser à la réalité des choses avec sa fille. Si encore ce n’était que son décolleté...
Eric regarde l’heure :
— Nom d’un bifteck, il est 14h passé, on est à la bourre.
Les deux amis quittent le restaurant et retournent bosser au pas de course.
Le soir, père et fille se retrouvent. Ils se racontent leur journée comme d’habitude. Tristan lui parle brièvement de la discussion qu’il a échangée avec Eric et de sa volonté de redevenir comme avant. Mélissa est contente de l’entendre dire ça. Elle lui demande ce qu’il compte faire pour y parvenir :
— Je vais essayer de trouver une activité en dehors du boulot, mais je ne sais pas encore quoi.
Mélissa réfléchit avec lui. Une idée lui vient :
— Pourquoi tu ne referais pas un groupe ?— Oui c’est pas une mauvaise idée.— En plus, tu pourrais proposer à Eric, je suis sûre que ça lui plairait de ressortir ses baguettes.
Tristan approuve son idée, mais il lui dit que c’est avant tout pour rencontrer de nouvelles personnes :
— Bah justement, avec ou sans Eric dans le groupe tu rencontreras de nouvelles personnes et si le courant passe bien, des fois vous irez boire des coups.— Mais oui c’est vrai ! Dans les deux cas, ça me plairait beaucoup de refaire un groupe et encore plus si Eric en fait partie. Mais ça fait des années que je n’en ai pas fait et si...— Et si, et si, ne commence pas à te trouver des excuses pour ne pas le faire. Tu as tout ce qu’il faut pour y arriver et puis tu sais ce que c’est ! même si tu loupes quelques notes où est le problème ? Le but est de vous amuser, non ?— Une fois de plus, tu me cloues le bec... Tristan inspire en se levant galvanisé de bonnes énergies. C’est une excellente idée Mélissa, dès ce soir je regarde les recherches de groupes et j’en parlerai à Eric.
Le téléphone de Mélissa sonne. Avant de répondre, elle lui fait signe qu’elle l’encourage dans sa démarche :
— Désolée papa, je dois faire une visio avec des gens de ma classe pour un projet. Ça risque de durer un moment !
Sans même avoir terminé sa phrase qu’elle est déjà presque dans sa chambre.

Le lendemain au boulot, comme ils sont débordés par le travail ils ont à peine le temps de discuter. Tristan arrive tout de même à proposer à Eric d’aller faire un bowling ce week-end. Eric accepte, mais propose d’y aller vendredi, car ce week-end, il part avec sa petite famille.
Le soir, Tristan informe Mélissa du bowling prévu. Il lui propose de venir, mais elle a déjà prévu de sortir avec Sabrina ou à une soirée d’intégration avec les gens de sa classe. En contrepartie elle lui propose d’aller au cinéma samedi après-midi, car la suite d’un film qu’ils avaient adoré est sortie. Tristan accepte.
Plus tard, ils se mettent dans le canapé pour continuer à regarder leur série.
Mélissa, vêtue de la même façon que mardi soir et très en forme, est d’humeur très taquine ce soir. Une fois dans ses bras, Tristan a de nouveau du mal à ne pas regarder son décolleté, mais il se force à détourner le regard en repensant à ce que lui a dit Eric. Un moment Mélissa demande :
— T’aimes bien ?
Tristan surpris :
— De quoi, la série ?— Bah oui quoi d’autre ?— Oui... Hum... Oui c’est vraiment pas mal.
Sa réponse peu convaincante met en éveil le sixième sens de Mélissa :
— Ouais je vois...— Quoi ?— Non rien...— Non, mais dis !— ... C’est pas tellement l’écran que tu regardes... Avoue, dit-elle d’un air suspicieux.
Le temps de réponse de Tristan lui confirme ce qu’elle pense. Elle commence alors à le narguer, à jouer de ses atouts en gonflant sa poitrine en faisant mine de s’étirer. Tristan lui demande d’arrêter en plaisantant. Mélissa continue. Tristan sent qu’elle ne va pas lâcher l’affaire. Excédé, il décide d’être plus malin qu’elle en tirant le bord de son décolleté pour la surprendre.
— Mélissa pousse un « hey ! » en retenant son haut.
Ça a marché. Elle lui donne une tape sur la main. Tristan rigole. Elle se redresse un peu puis, maintenant, c’est elle qui tire sur son haut. Tristan parvient à voir davantage ses magnifiques courbes. Dans la séparation de ses seins, il parvient même à voir la continuité inférieure de leur rondeur. Puis, compressés l’un contre l’autre à l’aide de ses bras, un subtil chemin bleuté d’une veine se dessine. Un peu plus et elle lui dévoile ses aréoles. Tristan sent que son œil en est très ravi, mais il est dans son devoir de stopper cela.
Il saisit sa main. Mélissa essaie de se débattre, mais il la taquine en gardant sa main solidement prisonnière dans la sienne. Mélissa, joueuse, essaie de le mordre, en vain. N’arrivant pas à se libérer, elle frappe encore plus fort. Elle plaque sa main contre ses seins. Tristan est surpris. Sous sa main soudainement prise en sandwich, il sent très clairement de généreux seins moelleux et fermes à la fois ainsi que le creux fin qui les sépare.
Pendant quelques secondes, il a tout de même du mal à réaliser où est située sa main. Cela lui paraît une éternité. Pour la première fois de sa vie, il va être tiraillé entre l’envie de profiter pleinement de ce qu’on lui offre et l’envie de se retirer immédiatement.
D’un mouvement vif, mais sans violence, il parvient à retirer sa main :
— Mais ça va pas !— Oh ça va, tu n’ vas pas me dire que c’est la première que tu touches !— Non, mais t’es quand même ma fille au cas où tu l’aurais oublié ! Ma main n’a rien à faire là !
Mélissa marmonne quelque chose. Tristan lui demande de répéter :
— Non rien de bien important.— Et bien, dis-le-moi dans ce cas.— Je disais que ce soit les miens ou ceux d’une autre ça revient au même, dit-elle d’un ton agaçant.
Sa réponse le surprend un peu. Il répond alors :
— Désolé de te contredire, mais, oui, il y a tout de même une légère différence...
Un événement marquant et inattendu dans le cours de l’histoire de la série les fait taire. Leur attention revient au petit écran.
Au bout de quelques minutes, l’attention de Tristan se dissipe déjà. Il repasse en boucle ce qu’il vient de se passer. Il a du mal à passer outre le fait que son comportement, la vision et l’endroit où sa main était prisonnière ne le laissent pas indifférent.
De plus, il a vraiment la sensation que Mélissa essaie d’obtenir quelque chose de lui. D’un côté, il se méfie, car sa fille a toujours eu un grain de folie qui la caractérise. Même si elle est reconnue pour être sociable et altruiste, elle est parfois à part. Elle ne se rend pas toujours compte de la façon dont elle se comporte. Cela a toujours été présent en elle. Elle est peut-être encore un peu immature, mais loin d’être stupide. Il y a donc des chances que ses jeux de charme soient uniquement un jeu que Tristan interprète mal.
Quoi qu’il en soit, même s’il ne peut pas nier que sa curiosité aimerait en voir plus, Tristan est bien décidé à garder le cap et à ne pas tomber dans le piège d’un mal entendu qui pourrait lui coûter cher.
Leur séance cinématographique quotidienne se termine, ils vont se coucher. En essayant de s’endormir, Tristan ressent un brin d’excitation en lui. Toutes ses pensées finissent par se diriger vers des envies sexuelles, vers des instants vécus, vers des prouesses que certaines lui ont faites ou vers d’autres fantasmées. Mais la plupart d’entre elles finissent aussi par se mélanger avec sa fille. Il a beau se raisonner, à dire que c’est sale, que tout cela n’a aucun sens, mais il ressent en lui que Mélissa a fait naître un désir qu’il n’aurait jamais imaginé et qu’il a de plus en plus de mal à le repousser.
Comment fait-elle ? Il y a quatre jours, elle lui était totalement indifférente. Tristan se souvient avoir déjà regardé son cul ou ses seins, qu’elle soit en tenue légère ou pas, mais toujours sans arrière-pensée. Elle le nargue oui, mais ça ne devrait pas l’atteindre. Si en si peu de jour elle a réussi à le rendre dans cet état, qu’est-ce que ce sera dans une semaine ou deux, ou dans un mois...
Ses seins à moitié nus sous son nez, son attitude joueuse et sexy à la fois, cette ambiguïté effrayante et excitante à la fois, cette surprise d’entrer en contact forcé avec sa poitrine... Tristan abandonne les bonnes manières et laisse sa main filer sous la couette à la recherche du membre qui grandit entre ses jambes. La mise en route des premiers mouvements verticaux lui fait déjà du bien.
S’ajoutent à cela ses phrases au sens discutable, ses maladresses faites exprès ou pas, Tristan essaie d’imaginer ce qu’il se serait passé s’il n’avait pas arrêté son tirage de décolleté ou s’il n’avait pas enlevé sa main de ses seins.
Qu’aurait-il vu ? Qu’aurait-elle fait ? Jusqu’où ce jeu serait-il allé ?
Tristan l’imagine prendre sa main et l’encourager à toucher ses seins. Ses mains les auraient saisis à travers le tissu de son haut puis en plongeant dans l’ouverture. Il l’imagine toujours aussi joueuse, mais exaltée par l’audace de son père. Il l’imagine même en train de l’encourager puis elle sentirait l’effet qu’elle lui fait. Un gène dans son dos qu’elle serait tentée de découvrir puis de prendre en main.
Lui aussi descendrait un peu plus bas à la recherche de son petit minou devenu tout mouillé. Tous les deux se masturberaient dans l’unique but de procurer un maximum de plaisir à l’autre. Le désir serait tellement fort et bien mené par l’habileté manuelle de sa fille que sa queue ne mettrait que quelques minutes à supporter tant de talent.
Réellement proche de l’orgasme, Tristan s’imagine en train d’être prêt à jouir de cette façon, branlé par Mélissa, sa magnifique fille gémissante de plaisir. Tristan abandonnerait son minou pour ses gros seins jeunes et parfaits. Le moment est venu, oui, Mélissa accélère, enferme sa queue entre ses doigts, Tristan ne tient plus :
D’épais jets de sperme monteraient jusqu’à ses seins à plusieurs reprises, viendraient assombrir les zones de tissu touchées, quelques gouttes atterriraient sur sa peau, décoreraient la séduisante fente de ses seins puis le reste coulerait sur ses doigts.
Rien de tout cela en réalité. Lui, seul, son sperme coulant sur lui. Les pensées délirantes laissent place à l’impossibilité qu’une chose pareille arrive ainsi qu’à la culpabilité. Oui, la culpabilité qu’éprouve Tristan de s’être branlé une seconde fois en fantasmant sur sa fille.
Sans s’en rendre compte, Tristan commence à avoir les paupières lourdes. Ses yeux se ferment, ses pensées s’estompent : dans cet état d’esprit inacceptable, il s’endort.
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