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Libération sexuelle d'une jeune coincée

Chapitre 1

La découverte

Trash
C’était la fin de la journée, Eloise qui était en première année d’économie sortait de l’université, elle avait prévu de rejoindre son petit-ami Thomas. Cette idée l’ennuyait déjà, voilà plusieurs années qu’ils sortaient ensemble et Eloise s’ennuyait terriblement dans cette relation, les mêmes séries, les mêmes sorties, les mêmes disputes, les mêmes baises. Elle rêvait de le quitter, mais il était ensemble depuis 5 ans, ils s’étaient connus si jeunes, ils étaient vus comme le couple parfait, elle faisait jalouser toutes ses copines, qui lui répétaient la chance qu’elle avait d’avoir un mec gentil, stable. Mais Eloise ne voulait plus de cette gentillesse et de cette stabilité, elle rêvait de vivre une histoire passionnée, sauvage, et surtout elle n’en pouvait plus de coucher avec lui. Eloise était une femme de 18 ans, aux cheveux longs et bruns et des yeux bleus. Elle avait une généreuse poitrine d’un 90C et un fessier qu’elle mettait toujours en valeur.
Eloise arriva chez Thomas qui l’accueillait avec son grand sourire, et lui posa un léger baiser sur les lèvres, ce qui énerva intérieurement Eloise, tout était trop calme et léger avec lui. Ils discutèrent de banalité de leur journée. Durant le film, Eloise était pensive. En réalité, le problème était surtout sexuel. Il avait expérimenté toutes leurs premières fois ensemble. Au départ, ils étaient l’un et l’autre coincés sur le sujet, mais Eloise pensait qu’ils allaient se libérer sexuellement ensemble. Mais Thomas appréciait ce sexe soft routinier. C’était toujours la même musique, le seul endroit où il pouvait le faire, c’était un lit. Il ne faisait jamais de préliminaires. Ils ne faisaient que le missionnaire, parfois, cela lui permettait d’avoir un orgasme, mais c’était rare. Le peu de fois où elle avait voulu prendre les choses en main en essayant une nouvelle position, Thomas disait qu’il n’aimait pas et qu’il ne voulait pas le faire.
Eloise se demandait comment il pouvait ne pas aimer alors qu’il n’avait jamais essayé. Au début, elle pensait que c’était normal de s’ennuyer en faisant l’amour. Puis ses copines ont eu des copains et en parlant de sexe avec elles, Eloise comprit que ce n’était pas normal de s’ennuyer et de ne presque jamais jouir. Cela faisait déjà un an qu’elle avait pris conscience de cela. Et petit à petit, c’était en train de gâcher toute la relation. L’une de ses amies de fac, Laura, était une fille très ouverte qui avait toujours plein d’histoires à raconter. Elle s’était confiée à elle, car ses autres copines connaissaient son couple depuis tellement longtemps qu’elle ne pouvait pas comprendre. Laura avait conseillé à Eloise de surprendre son mec, de prendre les choses en main.
Elle savait qu’elle avait trop à perdre à le quitter, mais elle se disait qu’elle pouvait essayer de relancer, enfin lancer, leur sexualité, et que cela ne pouvait pas attendre. Eloise se rapprocha de son petit-ami qui était assis sur le canapé. Elle se mit à genoux face à lui, lui fit un regard lubrique et commença à lui descendre la braguette.
— Mais qu’est-ce que tu fais Eloise ? — Ça se voit bien non ? dit-elle avec sa voix la plus suave.— Mais qu’est-ce qui te prends, tu sais bien que j’aime pas quand tu fais ça, ce n’est pas pour les femmes comme toi. — Mais tout le monde le fait, arrête, dit-elle en gardant un air sexy. — Arrête, je te respecte trop, je n’aime pas que tu me suces, dit-il en se la repoussant délicatement. Même sa façon de dire non était trop douce. Eloise bondit :— Mais arrête avec ton respect, on dirait un vieux. J’ai envie que tu me baises, tu comprends, hurla-t-elle.
Thomas était surpris et visiblement choqué par la façon dont Eloise venait de parler. Quand elle vit son regard, Eloise se sentit profondément humiliée. Elle était en colère. Il avait des idées tellement arriérées et arrêtées sur le sexe.
Le jour suivant, elle ne décolérait pas et elle en parla à Laura :
— Il est bizarre ton mec. Tu ne vas pas rester toute ta vie en missionnaire. Quitte-le. — Je peux pas le quitter. On a plein de projets, on va habiter ensemble à la rentrée, et je l’aime. C’est juste le sexe le problème. — La seule solution c’est de se mettre en relation libre alors. — T’es malade, il n’acceptera jamais, il est trop coincé pour ça. — Bin trompe-le alors.
Eloise ne répondit pas. Laura lui avait dit ça comme si c’était anodin. Mais Eloise avait toujours eu une vision traditionnelle du couple. Elle n’avait jamais pensé à tromper Thomas. Elle finit par se dire que ce serait peut-être la solution finalement. Si elle choisissait des hommes loin de leur cercle et que si ce n’était que des coups d’un soir, il n’en serait rien. Puis elle se raisonna, elle ne pouvait pas tromper, elle ne pouvait faire ça à Thomas.
Le samedi soir qui suivait, Thomas et Eloise devaient aller chez des amis pour une grosse soirée chez l’un d’eux. Pour la soirée, elle oublia ses robes sages qu’elle mettait habituellement et avait mis un décolleté plongeant qu’elle réservait habituellement pour ses tête-à-tête avec Thomas, un short et des cuissardes. Elle était incroyablement sexy et bandante. Ça n’allait pas plaire à Thomas, mais elle s’en fichait, elle voulait plaire et être sexy. Quand elle arriva à la soirée, Thomas était déjà là, elle alla l’embrasser pour lui dire bonjour.
— Qu’est-ce que c’est cette tenue ? On dirait une... — Une quoi ? Ne commence pas à faire des remarques, je ne suis pas d’humeur.
Thomas était tellement gentil qu’il se taisait chaque fois qu’elle commençait à hausser le ton.
Eloise but plusieurs cocktails, elle commençait à être vraiment bourrée. Pendant la soirée, elle resta un long moment avec David, le meilleur ami de Thomas. Ils se connaissaient depuis 2 ans et se voyaient régulièrement en soirée, ou chez Thomas, mais Eloise et lui n’avaient jamais vraiment parlé. C’était un show man très dragueur. Éloise avait toujours été impressionnée par son personnage tellement confiant. Au fil de la discussion, Eloise se dit qu’il était sympa finalement. Elle remarqua qu’il regardait beaucoup sa poitrine. Elle faisait exprès de la mettre encore plus en avant, elle se mit à parler d’une voie plus sexy, à rire à tout ce qu’il disait en lui touchant le bras. Elle crut même apercevoir une bosse sous son jean. Plus elle buvait et plus la tension montait. Ce jeu de séduction l’excitait tellement, l’idée que Thomas pouvait remarquer ça l’excitait encore plus. Pierre, l’hôte de la soirée les interrompit :
— David, tu ne veux pas aller nous chercher de l’alcool, j’ai beaucoup trop bu pour conduire moi.
David accepta. Il jeta un regard charmeur à Eloise. En le voyant partir, Eloise fut frustrée :
— Attends, je viens avec toi, j’ai besoin de clope.
En partant, elle vit le regard étonné de Thomas, elle ne put s’empêcher d’être contente. Dans la voiture, l’ambiance était différente, au début, personne ne parlait, puis David cassa ce silence :
— Je n’avais pas remarqué à quel point tu étais bonne, j’comprends Thomas.
Eloise était choquée par ses paroles, personne ne lui avait parlé comme ça, puis elle sentit une sensation dans le bas du ventre, ça l’excitait.
— Mouai, il n’en profite même pas.
Elle regretta immédiatement ses paroles. Elle ne pouvait pas balancer ça à David.
— Ah ouais ? J’en connais plus d’un qui voudrait bien en profiter.— Ah bon ?
David laissa un petit silence.
— Ne joue pas la timide, tu sais très bien que tu nous fais tous bander.
Eloise remarqua qu’ils avaient quitté la ville et qu’il n’était pas du tout sur le chemin de la supérette.
— Non, je ne savais pas que je t’excitais à ce point.
Elle s’efforçait à être le plus sexy possible. Ils se lançaient des regards qui voulaient tout dire. Eloise ne pensait plus à rien, ni même à Thomas. Elle avait envie de David. Il prit un chemin de campagne et finit par se retrouver dans un endroit désert. Il arrêta la voiture, éteignit le moteur, sortit de la voiture. Eloise ne savait pas quoi faire, elle commença à se détacher, mais elle se sentait perdue. David ouvrit la portière d’Éloise, lui prit le bras pour la faire sortir, et une fois dehors, il la plaqua sur la voiture et l’embrasse fougueusement. Eloise était folle d’excitation, elle allait se faire « baiser » pour la première fois de sa vie. David commença à lui caresser la chatte.
— Putain, mais t’es déjà toute mouillée salope.
Eloise commençait à haleter de plus en plus fort. Il savait y faire, Thomas n’avait su comment la toucher, elle n’avait joui de cette manière.
— Putain, t’es vraiment une belle salope, j’en étais sûr.
Eloise se surprit à être hyper-excitée par ses insultes. David avait une main sur son cou qu’il serrait fort et une autre dans sa chatte. Eloise ne pouvait plus se retenir, elle commençait à hurler de plaisir. David ne s’arrêta pas.
— T’aimes ça petite pute hein ? — Oui oui, t’arrête pas, le supplia-t-elle.
Eloise finit par jouir. David lui mit les doigts qui étaient dans la chatte dans sa bouche.
— Lèche ça p’tite pute.
Eloise pensa que c’était dégueulasse, mais elle s’exécuta. Elle n’était pas encore revenue à elle que David la mit à genoux et lui mit son sexe dans la bouche. Eloise se sentit un peu dépassée, elle ne savait pas vraiment comment faire. Elle faisait des va-et-vient, mais ne savait s’il fallait qu’elle accélère, qu’elle joue avec sa langue, elle ne savait pas quoi faire de ses mains.
— Ah oui, en effet, t’es pas encore une experte sur ça. T’inquiète, je vais prendre les choses en main.
Eloise n’eut pas le temps de se sentir humiliée, David prit sa tête et géra lui-même les va-et-vient. Il appuyait sur sa tête pour faire rentrer sa bite en entier, c’était difficile. Eloise voulait respirer, mais il maintenait la pression, elle bavait et ses yeux pleuraient. David finit par relâcher la pression, il la releva, l’amena sur le capot, lui baissa le buste et commençait à la prendre par derrière. Eloise se surprit à de nouveau crier de plaisir, elle ne savait pas que c’était possible d’avoir deux orgasmes si vite. Elle haletait et finit par jouir pour la deuxième fois. David la retourna, la remit à genoux, et avant qu’Éloise n’ait compris ce qu’il se passait, elle sentit un liquide chaud s’étaler sur son visage.

Ils restèrent quelques secondes sans bouger. David cassa une nouvelle fois le silence.
— Waouh, et bin, on n’est pas dans la merde.
Eloise revient à elle, elle réalisa la trahison qu’elle venait de commettre, elle se sentait sale. Elle ne bougeait pas. David revint avec des lingettes pour qu’elle puisse se nettoyer le visage.
— Dépêche-toi de te rhabiller, ça fait 45 minutes qu’on est parti, c’est suspect un peu.
Dans la voiture, Eloise ne savait pas quoi ressentir. Elle avait eu ce qu’elle voulait, une baise sauvage, mais elle réalisait qu’elle avait ça avec David. Il y a quelques heures, elle ne lui avait jamais parlé seule et là il venait de la baiser. Sur le trajet du retour, il ne parlait pas, ils allèrent acheter l’alcool. Quand ils arrivèrent dans l’immeuble, Eloise s’arrêta devant le grand miroir pour vérifier qu’elle était encore présentable, quand elle se retourna, David la regardait avec insistance. Il s’approcha d’elle, prit sa tête, et lui posa un baiser langoureux. Quand ils arrivèrent, David fit tout un show pour expliquer une péripétie avec la voiture qui avait crevé et qu’il avait eu du mal à changer la roue.Thomas s’approcha d’Eloise :
— Vous avez été long, tu m’as manqué.
Il l’embrassa sur la bouche. Après ce qu’elle venait de faire, Eloise fut un peu gênée d’embrasser Thomas.
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