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Libération sexuelle d'une jeune coincée

Chapitre 2

Hétéro
Eloise eut du mal à se remettre du samedi soir qu’elle avait passée. Elle était partagée par tellement d’émotions, la honte, la culpabilité, mais aussi une certaine satisfaction. Pour la première fois de sa vie, elle avait baisé avec quelqu’un. Au fil des jours, elle comprit qu’elle n’arriverait plus à se contenter de sa sexualité ennuyante avec Thomas, elle savait qu’elle risquait de craquer et de le tromper à nouveau.
Dès le lundi, David se mit à lui envoyer des messages. Il avait envie de la revoir. Eloise s’ouvra à lui sur son manque d’expérience. David lui affirmait qu’il s’en fichait et qu’il lui apprendrait à devenir une vraie salope. Il parlait de manière très crue et vulgaire et Eloise se surprenait toujours à être excitée par ce genre de phrase. Mais elle voulait l’impressionner, elle ne voulait pas se retrouver gourde comme la dernière fois. Un soir, elle se décida pour la première fois à regarder un film porno, elle voulait apprendre, comment faire une fellation. Elle n’avait jamais osé regarder ce genre de film, car Thomas répétait toujours que c’était pour les obsédés sexuels. Elle sentait l’excitation monter en elle, elle se mit à califourchon sur un oreiller et se mit à se frotter.
Elle commençait à sentir un picotement agréable dans le bas du ventre, sa respiration devenait de plus en plus forte à mesure qu’elle accentuait le frottement contre son oreiller, elle se retenait de geindre bruyamment par peur de réveiller ses parents qui se trouvaient dans la pièce à côté. Elle pensa à David, à sa bite, ses doigts, leur baise si excitante. Puis elle sentit une vague de plaisir inonder son corps si intensément qu’elle ne put pas retenir un cri.
Le lendemain, elle reçut un message de David qui lui proposait de venir un jeudi soir vers 23H après son entraînement. Eloise hésita. Ce n’est pas vraiment la soirée à laquelle elle pensait. Un rendez-vous à 23h, elle avait une petite idée que ce ne serait pas très romantique. Puis elle se raisonna. David n’était pas là pour de la romance. Il voulait du sexe, et si elle voulait plus, elle ferait mieux de ne pas s’engager sur ce terrain. Eloise finit par se convaincre que c’était la solution, David pour le sexe qui ne dirait jamais rien et Thomas pour le romantique.
Le jeudi soir, elle se rendit chez David qui vivait dans un petit studio en ville. Il l’accueillit avec quelques blagues et lui proposa à boire. Eloise but rapidement. Au final, elle était mal à l’aise. Elle ne s’était jamais rendue chez un mec pour se faire baiser, elle ne savait pas comment faire.
— Tu aurais pu t’habiller un peu plus sexy pour venir me voir, dit-il en riant. — Tu me connais, je n’ai pas l’habitude de ce genre de tenue. — Il va falloir changer ça. La prochaine fois, je veux que tu viennes habillée comme la pute que tu es au fond. T’es vraiment bandante quand tu veux... et même très salope... j’étais assez surpris l’autre soir. — Tu sais je n’avais jamais fait ça... — De quoi ? Tromper ton mec ? — Oui, mais pas que, je n’avais couché de cette manière. — Ah oui... Thomas, il est plutôt toujours baise vanille ? — Euh oui, avoua Eloise qui était gênée d’évoquer ce genre de problème avec David.
Après un léger silence, Eloise lui demanda :
— Ça te ne gêne pas de faire ça à Thomas ?
David prit un instant pour répondre :
— Non, enfin tant que tu me donnes de quoi ne pas regretter.
Il commença à l’embrasser avec force et à lui toucher l’entrejambe. Eloise sentit l’excitation monter en elle. Aidée par l’alcool, elle eut un élan et se décrocha de David pour se mettre à genoux et commencer à le sucer. Elle reproduisait ce qu’elle avait vu dans les vidéos. Elle utilisait ses mains, essayait d’avoir le plus de bave possible. Elle plongea son regard dans celui de David. Il avait l’air d’aimer ça. Elle aimait avoir le contrôle sur le plaisir de David.
— Waouh, je vois qu’on a pris quelque cours. Une vraie suceuse.
Elle accéléra la cadence.
— Mais quelle salope putain ! Tu kiffes ça sucer en faite.
Eloise continuait de le sucer. Soudainement, il prit le visage d’Eloise et lui cracha un gros molard sur le visage :
— Tiens sale pute, dit-il en replaçant en utilisant sa bite pour gifler le visage d’Eloise avant de replacer sa bite dans sa bouche.
Il se mit à imposer un rythme plus rapide, plus profond. Eloise commençait à suffoquer et pleurer, elle se sentait misérable et se rendait compte que ce traitement l’excitait bien plus qu’elle ne l’aurait pensé. Tout d’un coup, il se leva, la prit avec force et la jeta sur le canapé. Il commença à la prendre en levrette, Eloise commença à respirer de plus en plus fort, puis elle se mit à crier.
— Dis-le que t’es une grosse chienne.— Oh oui, j’suis une grosse chienne.
Eloise s’étonna des paroles qu’elle venait de prononcer, mais eut envie de recommencer.
— Baise-moi, j’suis qu’une grosse pute.— J’suis sûr que tu l’as jamais pris dans le cul ?
Avant qu’elle n’ait eu le temps de répondre, David s’était retiré. Il lui mit un gel à l’entrée de son cul. Eloise comprit qu’il allait l’enculer. Elle n’avait jamais réfléchi à ça, elle ne pensait que ça arriverait aussi vite. Une douleur prenant tout le corps sortit Eloise de ses pensées. David tentait de pénétrer son cul, mais c’était beaucoup trop serré. Au bout d’un moment, David réussit à lui pénétrer le cul. Chaque coup de reins était un mélange de douleur et de plaisir intense. Cette sensation était nouvelle. Elle ne savait pas si elle adorait ou détestait. Pendant qu’il l’enculait, David lui touchait la chatte. Eloise était transcendée par les sensations, elle finit par avoir un orgasme en hurlant son plaisir. À ce moment-là, David se retira, se leva et enfonça sa bite dans la bouche d’Eloise qui sentit un liquide chaud couler au fond de la gorge.
— Comme ça, t’en auras pas partout cette fois.
Eloise tremblait, elle avait du mal à revenir à elle-même. Elle commença à se diriger vers la salle de bain pour se nettoyer.
— Tu vas rentrer comment ? En uber ? Il est tard pour les transports quand même.
Eloise réalisa qu’il n’avait pas l’attention de dormir avec elle. Elle était surprise, pour elle, un rendez-vous à 23h signifia qu’ils dormiraient ensemble.
— Oui je vais prendre un uber, t’inquiète pas.
Elle s’efforçait de paraître naturelle. En réalité, elle avait un problème, elle vivait chez ses parents qui habitaient en périphérie de la ville, il n’y avait plus de transport à cette heure-ci, et elle n’avait pas assez d’argent pour se payer le uber. La seule solution qui lui venait en tête était de dormir chez Thomas qui ne vivait pas très loin. C’était quand même culotté d’aller dormir chez lui après la soirée qu’elle venait de passer. Une fois sortie, réfléchit au mensonge le plus crédible, puis se décida à l’appeler.
— Allo ? Ça va mon cœur ? Pourquoi tu m’appelles si tard ? — Oui ça va, enfin pas trop, tu sais j’étais chez Laura ce soir et je pensais dormir chez elle, mais son ex l’a rappelée, enfin tu connais ce genre d’histoire, du coup j’voulais la laisser avec lui... ça te dérange si je te rejoins et dors chez toi. — Bien sûr mon cœur, je t’attends.
En moins de 15 minutes, elle arriva chez Thomas le cœur palpitant de culpabilité. Il lui ouvrit la porte et elle l’embrassa.
— T’as été super vite, elle n’habite pas de l’autre côté de la ville Laura ?
Merde, Eloise avait oublié ce détail dans son mensonge. Elle n’était pas bonne pour mentir, elle ne savait pas comment se sortir de cette histoire.
— Euh non, c’est rapide pour venir.
Elle savait que sa réponse n’était pas convaincante. Pour éviter plus de questions, elle s’approcha de lui et commença à l’embrasser. Thomas fut réceptif et ils se posèrent sur son lit et firent l’amour dans la seule position qu’il connaissait, le missionnaire. Eloise avait un peu honte de faire l’amour à l’homme qu’elle aimait alors qu’elle était encore imprégnée de la sueur de David, mais l’ennui qu’elle éprouvait en faisant l’amour avec Thomas lui rappela pourquoi elle l’avait fait. Elle se surprit même à penser qu’elle n’allait pas s’arrêter là. Qu’elle allait continuer d’expérimenter de nouvelles choses.
Elle reçut un message deux jours plus tard de David « Alors tu dors chez ton mec juste après avoir avalé mon sperme ! T’es vraiment la pire des crasseuses... Et ça m’excite beaucoup, on en a pas fini tous les deux p’tite pute ».
David et elle se mirent à parler fréquemment, à s’envoyer des sextos. Puis David demanda des photos d’elle nue. Elle s’exécuta, mais David ne la trouvait pas assez bandante. Il demandait des photos plus sexy. Puis il lui demanda une vidéo d’elle en train de se toucher, mais Eloise refusa, ça allait beaucoup trop pour elle là. David décida de ne plus lui parler pendant plusieurs jours. Puis il revint vers elle quelques jours avant une grosse soirée qu’il organisait dans la maison de ses parents. — Je veux que tu viennes habillée comme une pute, littéralement. Et je vais te baiser plusieurs fois pendant la soirée. Et j’te préviens, ce n’est pas la peine de discuter sinon j’irais balancer à Thomas que sa merveilleuse copine est une grosse traînée.
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