Je me réveillai le lendemain matin alors que le soleil commençait à percer à travers le feuillage des arbres. Krystal m’étreignait toujours, j’étais collé à elle, le visage dans sa poitrine, elle me retenait entre ses jambes en les croisant derrière moi. Je commençai donc à lui faire de douces caresses sur les hanches afin de la réveiller en douceur. Elle frissonna, puis je sentis son étreinte se resserrer, me plaquant d’autant plus contre elle. Mais elle n’ouvrit pas les yeux pour autant, ne sachant pas trop comment me libérer d’elle, je pris mon courage à deux mains et risquant de la mettre en colère, j’armai mon bras et lui mis une claque bien dosée sur la fesse. Elle laissa échapper un gémissement et ouvrit les yeux. Elle relâcha un peu son emprise sur moi et me regarda dans les yeux. -Bonjour, mon beau chevalier, ça t’a plu au point de vouloir recommencer ? — Oui, mais il est temps de reprendre la route.— Oh, tu es sûr que nous n’avons pas le temps pour un petit quelque chose ? Je sentais que son entrejambe devenait de plus en plus chaud et humide, et qu’elle se collait à moi d’autant plus. — Ma foi, je pense qu’on peut se permettre un petit truc rapide avant de partir. Je la fis rouler sur le dos, et commençais à descendre entre ses jambes jusqu’à me retrouver face à ses lèvres qui bavaient déjà d’anticipation, et me mis à la lécher. Je sentis alors sa main me caresser les cheveux, et autre chose remonter contre ma cuisse. C’était le bout de sa queue, qui serpentait contre ma jambe. Elle finit par atteindre mon membre viril et l’entourai comme un serpent autour de sa proie, et se mit à me masturber alors que je continuais à la butiner délicatement. Puis après quelques minutes, elle se mit à jouir, alors que je me délectais de son délicieux nectar.Enfin, je pus me relever et elle me dit : — Maintenant que tu as eu ton petit-déjeuner, je veux le mien. Et sans se relever, elle m’attrapa par la taille et m’assit sur ses seins, avant de faire disparaître mon sexe dans sa bouche. Elle se mit à me sucer avidement, comme si elle cherchait à aspirer mon âme à travers ce pont qui nous reliait. Elle posa alors une main sur mon ventre juste au-dessus de son museau, et je sentis une chaleur douce m’envahir ainsi qu’une étrange sensation. Suite à cela, sa langue se mit à masser mon gland dans sa bouche. Je ne pouvais plus tenir, je tentai de la prévenir, mais trop tard, alors que j’ouvrais la bouche le mal était déjà fait. Je lui remplis la bouche de ma semence, et ce fut un flot ininterrompu de liquide qu’elle avalait goulûment. Ce n’est qu’au bout d’une minute environ que ce jet continu et abondant s’arrêta. Elle me relâcha alors en me regardant dans les yeux et en se léchant les lèvres. — Qu’est-ce que tu m’as fait ?— Tu n’as pas aimé ? C’était juste un petit booster magique.— Je ne savais pas que c’était possible.— Bien des choses sont possibles avec un peu de magie. Au fait, ton sperme est très bon.— Merci, ton jus n’est pas mal non plus. Bon, je pense qu’il est temps de nous remettre en route cette fois. Après avoir revêtu mon armure et plié bagage, nous avons repris la route, et chaque fois que je tournais mon regard vers elle, je la trouvais à me regarder avec insistance et le sourire aux lèvres. Nous avons fait une courte halte aux alentours de midi pour grignoter quelque chose puis sommes repartis. En début d’après-midi nous étions au pied de la montagne, et en fin de journée, nous étions enfin à l’entrée des ruines de la cité. — Nous y sommes enfin.— Alors ? Quel effet ça fait de rentrer chez soi après tant de temps ?— Ça n’a pas tellement changé, je suppose que plus personne ne se souvient que cet endroit existe. Mais ça fait un bien fou. J’imagine que tu souhaites repartir rapidement ? — J’aimerais autant ne pas faire attendre mon seigneur plus que de raison, mais je ne repartirais pas avant demain, je préfère éviter de voyager de nuit.— Alors soit le bienvenu chez moi. Je vais t’installer avec moi pour la nuit, et demain nous aviserons pour ta récompense. En attendant, que dirais-tu de prendre un bon bain chaud ? Ce voyage m’a usé les pattes.— C’est vrai que ça me ferait du bien.— Parfait, va installer ta jument dans la cour intérieure, elle devrait y être à son aise, ensuite viens me rejoindre, le grand bain est là-bas. Elle me désignait un bâtiment du doigt. J’emmenai donc Honnorra dans la cour intérieure qui ressemblait à un vaste pré de pâturage. Je la délestai de sa scelle, ainsi que de son mors et la laissait ici. Elle avait accès à de l’herbe et de l’eau, elle ne devrait manquer de rien. Une fois ceci fait, je me dirigeai vers le bâtiment où je devais retrouver la dragonne. Il était perché à flanc de caverne, en hauteur, mais facilement accessible par un escalier taillé à même la roche. Je les gravis donc et arrivai dans une salle qui effectivement contenait un grand bassin profond d’eau chauffé, semble-t-il, par un feu de bois allumé en dessous. En m’avançant, je vis Krystal déjà dans l’eau et qui semblait entraîner ses ailes à de nouveau accomplir leur tâche en faisant des longueurs avec l’eau comme appui au lieu de l’air normalement. Je commençai à me dévêtir et à déposer mon armure sur un chevalet. Puis je rentrai moi aussi dans le bassin. L’eau était chaude et je pus m’y détendre facilement. [Voilà les amis, c’est la fin de ce chapitre qui fait un peu office de transition vers une nouvelle partie du récit. J’espère qu’il vous a plu, n’hésitez pas à laisser un commentaire, je me ferais un plaisir d’y répondre, je suis également joignable en message privé, je vous retrouve bientôt pour la suite de "Libère la Dragonne" d’ici là, soyez heureux et n’arrêtez jamais de fantasmer vos vies. Bisous]
