Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 81 J'aime
  • 5 Commentaires

Liberté (une nouvelle journée de la jupe)

Chapitre 3

Travesti / Trans
Arrivés à l’appartement, je suis heureux de quitter, mes petites chaussures et cette jupe camisole. Je suis en culotte, que je compte garder pour dormir, et me dirige vers le lit quand, de la salle de bain, Stéphanie me rappelle à l’ordre :
— Eh, la belle blonde, t’as oublié de te démaquiller !— Et du respect quand même.
Je la rejoins, elle est aussi en culotte en cours de démaquillage, c’est la première fois que je la vois torse nu.
— C’est d’être amoureuse qui te rend moins pudique ? Ils sont jolis tes seins.— Bin maintenant que nous sommes entre filles, cela ne me gène moins.— Entre filles, je ne crois pas non.— Regarde le miroir, on a la même culotte et toutes les deux, nous sommes avec notre petit coton à nous nettoyer les yeux.— Oui, mais c’est exceptionnel dans mon cas et par contre, j’espère que maintenant que tu vas vouloir plaire à ton Stéphane, et tu seras donc plus souvent maquillée et "habillé" en femme.— Et toi aussi tu vas faire des efforts pour définitivement faire succomber Raphaël.— Ce n’est pas du tout mon projet, je préfère les filles.— Enfin, il t’a quand même "plotté" les fesses tout le temps des slows sans que tu lui remontes les mains et je l’ai vu t’embrasser 2 fois. Tout cela habillée et maquillée comme une femme où tout le monde a vu que tu paraissais plus épanoui qu’à la normale quand tu es en garçon. Tu verras samedi si cela se confirme.— Ça c’est pas gagné, j’ai pas encore décidé si j’oserai la jupe ou pas.— En robe, celle que t’a passée Monique.
On se couche, la nuit est courte et agitée. Entre les restes d’alcool et les interrogations par rapport à Raphaël, car il faut bien que je me l’avoue, je n’ai pas l’idée ou l’envie de devenir travesti et homo mais j’étais quand bien dans ses bras et dans cette tenue. Le réveil sonne, Stéphanie a déjà quitté le lit, je me lève, toujours habillé de ma culotte de femme, je passe aux toilettes, quand je reviens, je la vois entièrement nue à rechercher des fringues dans le placard.
— Et bien tu te lâches, hier en topless aujourd’hui à poil.— A poil pas vraiment, excepté les cheveux, je n’arrivai pas à dormir, aussi je me suis fait le maillot ou plutôt tout enlevé le maillot.— Ça fait bizarre sans poil, je trouve, et alors tu cherches une culotte en velours pour ne pas attraper froid ?
J’avoue que de la voir comme cela me donne une érection, ma petite culotte féminine ne peut la cacher, Stéphanie l’a vue.
— Viens là !— Quoi ?— Viens là !
J’arrive près d’elle, elle regarde mon sexe gonflé puis me sourit. Elle attrape mon sexe et commence à me branler.
— On avait dit pas de sexe entre nous, mais tant pis ne t’arrête pas.— Ce n’est pas du sexe, c’est de l’entraide, de la solidarité, je ne peux pas te laisser comme cela, t’iras te branler dans les chiottes en pensant à moi alors autant que je fasse le boulot.— Merci.— Eh bien, en effet tu n’es peut-être pas 100 % Gay.— Mais je ne suis pas Gay.— Je suis certaine que tu es au moins BI, tu verras ce week-end.
Ce fut rapide, je viens d’éjaculer dans sa main, j’en suis presque gêné. Elle se lèche les doigts, je suis surpris.
— T’as plutôt bon goût.
Je ne sais plus quoi dire et faire, me trouvant avec ma culotte à mi-cuisse et mon sexe pendant.
— Je vais me laver les mains et te laisse la salle de bain. Tu veux que je te passe des fringues aujourd’hui.— Non, je vais revenir à la normale.
Je prépare mes affaires sur le lit pendant son aller-retour. Je vois dans tout ce qu’elle a sorti de son armoire, elle a une belle guêpière.
— Eh bien t’as des belles choses alors pourquoi te promènes-tu tout le temps avec des sous-vêtements tristes ?— Tu parles de la guêpière, c’est ma sœur qui me l’a refilée, elle était trop petite pour elle, j’ai voulu l’essayer une fois, j’avais même acheté les bas pour aller avec, mais elle est trop grande pour moi.
Je pars à la douche, Stéphanie me redemande si je veux qu’elle me passe des vêtements ou sous-vêtements aujourd’hui. Je réponds que non, il n’y a rien de particulier, aussi j’ai ce qu’il me faut. Je me sèche quand elle arrive tout en lingerie dentelle (tanga, soutif, bas up) pour venir chercher la brosse à cheveux.
— Waouh, tu es magnifique et tu mets quoi par dessus ?— Merci, une combinaison. Je t’ai posé des sous-vêtements.— J’ai dit, pas la peine, je vais pas mettre de la lingerie tous les jours.— Allez pour me faire plaisir, ça restera entre nous.
Je repars dans la chambre, elle me suit pour voir ma réaction. De mon côté du lit, je vois qu’elle a enlevé mes boxers et chaussettes et tee-shirt, reste juste mon jean et ma chemise.
— Tu veux que je me promène sans sous-vêtement ?— Non, prends ce qu’il y a sur l’autre côté du lit.
Je regarde, c’est la guêpière noire avec une culotte les bas dentelle assortis, mes yeux sont écarquillés.
— Euh non peut-être, tu as dit qu’elle n’avait pas la bonne taille (pirouette facile pour tenter de m’échapper)— Pour moi oui, mais pour toi, ça doit le faire, allez essaye pour voir, je t’aide (elle me fait un bisou).
Je la rejoins vers son côté, elle me demande de me laisser faire. Je lève les bras, je sens ce carcan venir me serrer tout autour du torse, Stéphanie s’applique à attacher toutes les agrafes. A sa demande, j’échange de culotte et passe les jarretières dans la culotte pour les faire ressortir. Elle m’enfile les bas et attache en réglant les jarretières. Elle me demande de me retourner et elle vient régler les brides dans le dos qui retiennent les bonnets.
— Tu manques un peu de sein sinon elle te va à merveille.— Bon je ne vais pas aller en cours comme cela.— Allez, pour me faire plaisir, personne ne verra rien.
Je retourne à la salle de bain pour me raser et laver les dents. Cela fait sourire Stéphanie de me voir ainsi face au miroir.
— un petit coup de crayon sur les yeux ?— Là je crois que j’ai déjà beaucoup.— Un mini tout fin ? Allez ?
Elle finit de se maquiller et s’approche avec son crayon de mon visage, je ne sais pas quel envoûtement elle a sur moi, mais je me laisse faire.
— Tu vois, t’as les yeux assortis à la guêpière, c’est mieux non ? Et discret !
C’est vrai qu’elle a fait "léger", ça se devine sans plus. Je repars dans la chambre, enfiler mon jean et ma chemise, cela fait une drôle d’impression. Je me regarde dans le grand miroir de la chambre et interroge Stéphanie.
— Non, mais là, ça se voit trop !— Ton maquillage non, ça se voit, mais sans plus.— Non mes sous-vêtements, regarde, j’ai des petites bosses au niveau de la poitrine, on entraperçoit entre les boutons de ma chemise de la dentelle et on voit les bretelles sur mes épaules.— Mais non, c’est parce que tu le sais que tu fais attention.— Pas certain.
J’enfile ma veste et vais pour mettre les chaussures derbies de la voisine avant de me reprendre.
— Non t’as raison, prends les derbies, ça ira mieux avec tes bas.— Ça plus ça plus ça, ça commence à faire beaucoup, en plus ces chaussures elles sont bruyantes.— Ça va choquer personne, tu les avais hier.
Stéphanie est très élégante dans sa combinaison, sa tenue est très légèrement transparente, et l’on devine qu’elle a mis de la lingerie en dentelle.
Nous arrivons en cours. Chacun y va des commentaires sur les événements de la veille, gentiment un de mes 3 potes qui a l’œil fait la remarque que certains ont gardé des "restes", il détaille à tout le monde ce qu’il a observé sur moi, sans doute de la lingerie, du maquillage, des chaussures à talon. Stéphanie me regarde en soutien, j’assume. En retirant ma veste, tout le monde constate en effet que transparaissent des bretelles sur mes épaules.
Stéphanie me dit à l’oreille qu’elle souhaite que l’on mange ensemble ce midi, je préviens mes potes que je les lâche. Le plus hardi lance :
— Vous mangez entre filles ?— Très drôle.
Nous partons avec Stéphanie vers le centre-ville.
— Pourquoi veux-tu que l’on mange ensemble spécifiquement ce midi, on se voit sans arrêt ?— Surprise, tu vas voir.— J’aime pas les surprises.— Bien on a du temps, on a juste un cours de 17 à 18 heures cet après-midi, on peut se faire un ciné avant, non ?— Ah pourquoi pas, bonne idée, mais le film doit être bon, car avec notre nuit très courte, on risque que de payer le ciné juste pour faire la sieste.
Stéphanie marche d’un pas décidé et nous mène jusqu’à une brasserie que nous n’avons jamais testée.
— Pourquoi là ?— Surprise, attends, quelle impatiente tu fais !— Impatient pas impatiente.— Au fait t’es bien dans ta guêpière ?— On s’habitue, la guêpière, ça va, c’est plus les jarretières qui frottent sous le jean qui sont embêtantes.
Son portable sonne, elle répond;
— Oui on arrive là, oui lingerie, maquillage, la totale, oui le 38 ira très bien.— A qui fais-tu l’inventaire de ton raffinement ?— Non du tien ! — Quoi ?!
Diffuse en direct !
Regarder son live