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Liberté (une nouvelle journée de la jupe)

Chapitre 4

Travesti / Trans
Je comprends de suite en arrivant face à la brasserie, Stéphane et Raphaël nous y attendent. Ils sont tout souriants. Je donne une poignée de main à Stéphane avant que Stéphanie se jette dans ses bras. J’avais à peine fini que Raphaël m’attrape avec une main dans le dos pour me coller à lui et me faire un bisou, avec l’effet de surprise, je n’ai pas eu le réflexe de me défendre, ça fait sourire nos 2 compères.
On rentre, le serveur nous place dans un endroit plutôt discret du resto. Les amoureux avancent main dans la main, de mon côté, j’avance avec la main de Raphaël posée sur mon épaule. Je ne suis pas à l’aise, étant sûre de ma sexualité hétérosexuelle, mais je n’arrive pas pour autant à le repousser, je suis comme aimanté.
Stéphane est venu avec un sac à dos, je lui demande s’il emmène partout sa tente de camping.
— Ah bien oui, tu fais bien de me charrier là dessus, on a quelque chose pour vous les filles
— La fille !
— Non les filles !
Stéphane sort 2 paquets de son sac et en donne un à Raphaël. Je sens au regard anxieux et joyeux de Stéphanie qu’elle n’est pas surprise. Stéphane tend son paquet à Stéphanie et Raphaël me tend le deuxième.
Machinalement, je dis merci, Raphaël me fait signe en tendant ses lèvres qu’il attend mieux qu’un merci verbal, pour la première fois, c’est moi qui avance ma bouche vers la sienne et lui fais un bisou.Stéphanie a ouvert son paquet, c’est une jolie robe noire, sobre, mais jolie. Je commence à deviner en ouvrant mon paquet quand Stéphanie regarde l’étiquette.
— Vous avez inversé les paquets
J’étais juste en train de découvrir que j’avais le droit aussi à un vêtement noir quand Stéphanie me tend la robe en me disant de me passer la tienne en se faisant bien préciser qu’à part la taille, ce sont bien les deux même. Les trois me regardent et j’avoue que je ne sais pas comment réagir. Il y a un blanc.
La conversation reprend, Stéphane demande à sa chérie si elle la mettra le lendemain à la manif, Stéphanie confirme. Raphaël me pose aussi la question, je lui réponds que peut-être. J’ai la main de Raphaël sur mon épaule, mes mains touchent la robe, elle est douce, je sens que Raphaël frotte des doigts sur ma bretelle de guêpier.
— T’as mis de la lingerie ?
— Touche aussi ses cuisses et tu vas deviner ! Ajoute Stéphanie.
Il s’exécute et en profite pour écarter ma chemise entre 2 boutons et vérifier ce qu’il a deviné.
— Stéphanie aussi est en lingerie ! A mon tour, je balance l’info.
Le serveur passe prendre la commande et précise qu’il y aura un peu d’attente. Stéphane chuchote à l’oreille de sa conquête. A voix haute, Stéphanie répond.
— OK je vais aller me changer, mais Raphaël, veux-tu qu’Olivier essaye sa robe ?
— Ce serait un plaisir, Olivier s’il te plaît !
— Je ne suis pas certain que ce serait bien vu ici
— Tu sais, c’est le lieu d’assemblée générale de l’association LGBT du coin une fois par trimestre, j’y suis venu une fois pour voir. Ajoute Raphaël.
Stéphanie du regard me demande de jouer le jeu.
— On est dans un coin tranquille Olivier, on essaye et on verra si ça nous va si on revient manger en robe ou non, de toute façon, il faut que je refasse une petite retouche maquillage, ça a un peu coulé au bord.
Nos "hommes" sourient. Nous prenons nos robes et partons aux toilettes qui sont proches. Stéphanie s’est changée en deux secondes, moi étant obligé de retirer et remettre mes chaussures, cela passe plus de temps. Je comprends une fois la robe sur moi au combien je me sens bien dedans, je suis de plus en plus perturbé, je suis entièrement habillé en femme et un peu maquillé et je sens comme enfin une évidence, une libération, je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu. Je sors des toilettes, tout souriant, Stéphanie est déjà remaquillée, je la félicite, elle est magnifique dans sa petite robe.
— Toi aussi tu es belle Olivier, la robe te va à merveille.
Machinalement, je fais un tour sur moi même pour lui montrer tout en gardant mon sourire.
— En plus visiblement, tu te sens bien dedans, je te remaquille peut-être le crayon un peu plus fort que ce matin pour assortir à ta robe ?
— Comme tu veux !
— Eh bien ça avance, je te dis tu es belle, tu ne me reprends pas, un maquillage plus soutenu, tu ne refuses pas, je crois que cela commence à bien te plaire de te travestir.
— Honnêtement oui, je me sens bien en lingerie et là en robe, ça me fait peur, car j’ai l’impression d’avoir attendu ce moment depuis longtemps, d’être "plus moi", ce n’est pas français, mais c’est cela, ça me fait peur, j’en ai des frissons.
— T’inquiète, si tu es épanouie, tout le monde acceptera ton changement comme naturel. Tu es peut-être une femme au fond ?
— Je ne crois pas, non enfin, j’en sais rien, tu me mets le doute, je ne me sens pas homo, ça j’en suis certain.
— Mais si au fond de toi, tu es une femme, tu peux aimer un homme en te considérant hétéro, bon, ça y est, tu te sens prête, on y va ?
— OK, dis donc, le maquillage est franchement voyant là.
Nous rentrons dans la salle, les garçons ont disparu de leurs places, le serveur nous regarde avec étonnement et sourire, il nous précise qu’il a été obligé de changer de place et il nous faut donc traverser toute la salle pour rejoindre nos hommes qui sont dans l’autre coin discret, en nous montrant la direction, il ajoute :
— Permettez-moi de vous dire que vous êtes ravissantes toutes les deux.
Nous lui sourions en remerciement. Les regards de la salle se pointent sur nous, enfin surtout sur moi, je ne sais pas pourquoi je m’en fous, je souris, je me sens bien.
— Ça y est, t’as lâché prise, tu ne luttes plus quand on te parle au féminin.
— Il faut que j’assume quand je suis dans une tenue comme celle-là.
Les garçons applaudissent quand ils nous voient arriver, si on voulait être discret, c’est foutu. Nous tombons dans les bras de nos "hommes". Les amoureux s’embrassent à pleine bouche, avec Raphaël, nous les imitons, c’est la première fois que la langue d’un homme vient dans ma bouche, il embrasse bien. Nous sommes dans notre bulle, je devine que nos partenaires de table nous observent, mais je continue à en vouloir. Nous nous asseyons enfin, Raphaël passe sa main sous ma robe et vient me caresser la cuisse, il attrape ma main et la place sur sa cuisse puis la décale sur son entrejambe, la zone est gonflée, il m’incite à continuer de la caresser. Je reviens par fulgurance à des moments de lucidité, oui je suis dans une brasserie en travesti en train de masturber un homme à travers son pantalon.
Nous terminons le repas, les hommes repartent en cours de l’autre côté de la ville. Avec Stéphanie, nous partons au cinéma, je suis dans mon monde, je suppose que mon apparence choque, mais je ne vois plus rien.
Posées au fond des sièges, nous avons le temps de discuter avant le début du film, Stéphanie me regarde.
— On est bien dans nos robes non ?
— oui elle est super confort.
— Tu fais très épanouie dedans, j’ai été surprise que tu ne veuilles pas te rechanger pour venir au ciné.
— Ça ne m’a même pas traversé l’esprit, mais j’aurai peut-être dû, car mon look doit perturber du monde, je me changerai pour retourner en cours tout à l’heure.
— Et alors avec Raphaël, tu vas faire quoi ?
— Je crois que je vais accepter "d’être sa femme" pour essayer
— Ça ne coûte rien d’essayer, au pire, si tu n’aimes pas, tu arrêtes, j’ai deviné que tu l’avais déjà un peu soulagé à travers son pantalon.
— Ah ça se voyait ?
— Et il est bien monté ?
— Oui je crois.
— Bon alors pour ta première fois, il faudra qu’il y aille doucement, la sodomie c’est sympa si c’est démarré avec douceur.
— Je ne te connaissais pas experte dans ce domaine
— Les mecs adorent nous enculer et moi je fais partie des rares femmes qui aiment bien, mais c’est comme pour le reste, il faut que ce soit bien fait.
— Eh bien moi qui croyais bien te connaître
— Eh oui tu n’as pas ouvert tous mes tiroirs encore, si tu veux, je peux te préparer avant de passer sous les coups de boutoirs de Raphaël.
— Je ne comprends pas ?
— J’ai une ceinture gode, on peut t’entraîner, ça ne me gêne pas, bien au contraire.
— Eh bien que de surprises, c’était un cadeau d’anniversaire ?
— Non, je voulais essayer avec une copine, elle n’a servi qu’une fois.
— T’as baisé avec une fille ???
— J’ai essayé une fois pour voir.
— Alors là, je suis sur le cul !
— Ça tombe bien, je vais m’en occuper de ton petit cul, mais pour l’instant, tais-toi, le film commence, on en reparle ce soir.
Le film était BOF, nous rentrons à l’appartement, nous avons décidé de zapper le dernier cours prévu de la journée. Sans me poser de questions, je suis rentré en robe, nous sommes passés à notre épicier habituel, il me regarde, me sourit et se permet un commentaire.
— eh bien, ça vous va mieux qu’à certaines femmes d’être habillé comme cela.
— merci.
Je lis un magazine, debout accoudé sur la table de la cuisine pendant que Stéphanie s’active dans la salle de bain. Elle me rejoint dans la cuisine et vient poser sa main sur le bas de mon dos.
— quelle belle croupe, ne bouge pas !
Elle soulève ma robe, baisse ma culotte, un de ses doigts vient passer entre mes fesses en y déposant un gel froid. J’essaye de me retourner, elle m’en empêche.Un autre doigt vient se positionner face à mon anus, sans forcer, il entre, il visite les contours et progresse de plus en plus profond. Un deuxième doigt le rejoint, puis un troisième, je ne bouge plus, je suis en érection, j’apprécie, Stéphanie le sent et s’active de plus en plus puis tout d’un coup ressort ses outils de plaisir et je devine quelque chose de plus dur commencer à rentrer, c’est un peu gros, mais elle y va doucement, visiblement ce gode a un gland assez important, ça y est, il est passé, cela me fait pousser un petit cri, Stéphanie continue d’avancer, son membre en plastique doit être assez, j’ai l’impression d’être rempli avant que ses cuisses viennent en contact avec mes fesses.Elle continue de s’activer tout en douceur, j’apprécie, mon sexe éjacule sur le sol de la cuisine, je ne peux me freiner, mes petits cris se succèdent, je viens de découvrir une nouvelle jouissance.Stéphanie me demande si ça va, je lui réponds positivement, je lui retourne la question, sachant que son gode est double aussi une partie est en elle. Elle me répond que c’est trop lent pour apprécier, je lui dis donc d’aller à sa convenance maintenant que j’étais "pris" à fond. Elle accélère puis accélère encore, ses cuisses tapent mes fesses violemment, je l’entends souffler et commencer à jouir, étant passif, je trouve le temps un peu long. Je vois l’heure sur le four de la cuisine, cela fait plus de 10 minutes qu’elle me défonce littéralement le cul. Enfin, un grand cri de Stéphanie donne le signal de fin, enfin !
Elle se retire, me met une claque sur les fesses en me chuchotant que "j’étais douée avec mon cul et que Raphaël sera content". Elle me remonte ma culotte et rabaisse ma robe. Elle retourne à la salle de bain pour se déséquiper, je vais nous servir des verres d’eau, il me faut que peu de pas pour m’apercevoir que mon anus est un peu douloureux. Je passe aux toilettes, en ressortant, je croise Stéphanie qui me fait un bisou et s’exclame en me faisant un clin d’œil :
— Eh bien ma belle, tu roules bien du cul ma belle, ça va ? T’as aimé ?
— Oui et oui, mais sans doute parce que c’était toi, pas certain que j’apprécierai avec un mec.
— Si c’est un mec qui s’est déjà fait prendre, il fera comme moi, avec attention.
— Bon, je vais à la douche.
La semaine est terminée, le week-end arrive, je vais me changer pour ne pas salir ma robe, si je veux la mettre à la manif de ce samedi. Nous nous couchons.
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