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Liberté (une nouvelle journée de la jupe)

Chapitre 5

Travesti / Trans
Le réveil sonne, c’est le jour de la grande manifestation. Avec Stéphanie, nous décidons de nous mettre directement en tenue, ce sera donc la robe pour moi, mais pas question de reprendre la guêpière et les bas, Stéphanie me prête un caraco et je reprends la culotte et le collant de l’autre jour. Je prends la décision de me maquiller et de le faire moi même. Stéphanie me félicite quand elle me voit sortir de la salle de bain.
— T’es une grande fille maintenant, t’es autonome !
— Merci, j’ai une bonne maîtresse !
Elle aussi est en robe et bien maquillée, encore plus que ces derniers jours, elle fait encore féminine et ça lui va bien. Nous rejoignons nos hommes, je ne passe pas inaperçu même si cette manifestation se veut un hymne à la tolérance. Après le défilé de l’après-midi, resto tous les 4 puis nous décidons de passer le reste de la soirée en couple donc naturellement j’accompagne Raphaël chez lui. Stéphanie avait tout prévu, dans un petit sac qu’elle me remet, j’ai donc le nécessaire pour passer la nuit (démaquillant, maquillage, rasoir, préservatif, serviette hygiénique).
A peine entré dans l’appartement de Raphaël que je comprends tout de suite ce qu’il veut, car sa grande main vient masser mes fesses. Assis dans le canapé, nous discutons un peu de tout et de rien puis tout à coup, il prend ma main et vient la poser sur sa braguette.
— Fais le nécessaire ma belle !
— Que veux-tu dire jeune mâle ?
— Tu as fait de la flûte au collège donc tu as les bases, non ?
Je lui souris, j’ai compris, de toute façon, j’ai envie d’essayer avec un garçon donc sans me faire désirer, je détache sa ceinture, j’ouvre sa braguette, il lève ses fesses, ce qui me permet de baisser d’un seul coup son pantalon et son boxer. Son pénis me parait énorme, il est déjà dressé, je me penche doucement, ma main attrape ce manche et commence à faire des aller-retour. Ma bouche rejoint ma main, ma langue s’active, je m’applique.
— Tu es douée ma salope !
Je fais semblant de ne pas entendre, je déteste les gens vulgaires.
— Me vide pas, je veux t’enculer, te défoncer le cul.
Vraiment, il me choque, je me redresse et lui demande de se déshabiller, de mon côté, j’enlève mes collants et ma culotte. Nous allons dans sa chambre, je le pousse sur le lit. Son mât est toujours aussi raide, sur les conseils de Stéphanie, c’est moi qui vais venir me placer sur lui afin de maîtriser la pénétration. Raphaël est surpris, mais me laisse faire. Après avoir noyé son pénis de ma bave, je viens poser ma rondelle sur son gland, petit à petit, mon anus se détend, quelques minutes plus tard, je suis complètement posé sur son bassin, son engin est donc complètement en moi. Je me calme avant de démarrer des mouvements de bassin alternatifs.
Passé l’instant de pénétration, je ne sens pas grand-chose, je lui demande comment ça va, lui non plus ne sent pas grand-chose, nous décidons donc de changer de position.Je m’allonge sur le ventre, lui vient se poser sur mon dos, d’un seul coup, il me prend et se lance dans des envois de coups de boutoirs, j’entends ses couilles claquer sur mes fesses, visiblement ça lui plaît, moi ça ne change pas grand, j’en arrive même à penser à autre chose, notamment sur le fait de ne pas avoir mis de préservatif, c’est sans doute une connerie. Tout à coup, il se bloque au fond de moi, je sens sa respiration se tendre et quelque chose de chaud envahir mon intérieur, 2, 3 doses de chaud plus tard, il se retire comme un voleur. Il part aux toilettes, je me retourne. Je ne le vois pas revenir, je me lève et l’aperçois devant la télé, regardant les résultats de foot.
— J’étais surpris de ne pas te voir.
— Je voulais voir les scores, mais à toi, je te mets 15 sur 20, tu es vachement bonne pour une novice, un gros potentiel de salope surtout quand tu es venue t’enfiler sur moi, tu m’as scotché.
— T’es toujours vulgaire avec tes mecs ?
— Non, car en général ce ne sont pas des travelos, c’est une première.
Après un verre d’eau et que Raphaël soit rassuré sur le résultat de son équipe, nous partons nous coucher. Ça me fait drôle de me voir nu avec un homme dans un lit, je cogite pas mal avant de réussir de m’endormir.
Ce sont les mains de Raphaël qui me réveillent, elles essayent d’écarter mes cuisses, je suis sur le ventre, il vient se poser sur moi, m’écrasant un peu, ses deux genoux se placent entre les miens et essayent de m’écarter mes jambes, je ne résiste pas. Ses mains se placent sous mes épaules pour les tenir ou plutôt les bloquer si je comprends bien. Je suis complètement coincé, son dard vient en butée sur ma rondelle, il pousse, repousse, repousse encore et arrive à entrer en force et se bloque, je suis littéralement verrouillée entre ses deux mains et sa bite.
Raphaël est lourd, je suis enfoncé dans le matelas et ma tête complètement dans l’oreiller, j’arrive juste à entrevoir l’heure rouge éclatante du radio réveil. La pénétration m’a fait un peu mal, il ne me fait pas l’amour, il m’encule, me défonce le cul comme il dirait. Je n’y prends aucun plaisir, je reprends ma respiration, car presque en apnée, Raphaël le sent et pense que c’est une réaction à sa performance donc réaccélère et tape encore plus fort à chaque fois. Putain, c’est long, il est résistant, je vois les minutes rouges défiler, ça me rappelle la séance avec Stéphanie, mais en moins bien, ces minutes paraissent des heures, ça fait plus de 20 minutes qu’il me bourre, je ne vois que ce mot pour décrire l’action, enfin je sens son jus tiède me remplir, bonne nouvelle, il va sans doute me relâcher. Il sort comme il est rentré, comme un sauvage, se lève et part dans la cuisine, pas un mot, pas un bisou.
Je reste allongé sur le lit, enfin sur le dos, à cogiter. Je voulais essayer avec un homme, mais désormais, je sais que je n’aime pas sentimentalement les hommes et je sais désormais aussi que je n’aime pas non plus le sexe avec un homme. Alors oui j’ai aimé la sodomie, mais avec Stéphanie, alors moi qui pensais peut-être être bi, je ne suis sans doute qu’un hétéro curieux.
Je passe à la salle de bain, toujours pas un mot de mon amant d’un soir, il petit-déjeune sans même m’attendre. Je n’ai pas le choix pour m’habiller aussi je renfile culotte, caraco, collant, robe et me maquille un peu, je n’ai pas envie d’être en tenue féminine, je ne me sens pas bien. Je rejoins Raphaël, je petit-déjeune en lui annonçant que je souhaite rentrer chez moi dès ce matin. Il me répond qu’il y a le bus qui rejoint le métro au bout de la rue, je lui demande s’il m’accompagne, car dans cette tenue, je ne suis pas très confiant, il me dit qu’il n’a pas le temps et qu’hier, je ne me posais pas tant de questions.
Le climat est assez froid, je prends manteaux et sac pour quitter mon hôte, il me fait juste un bisou et me dit que si j’ai envie de me faire prendre, je peux venir sans soucis, car je suis un bon coup, je ne réponds rien.
Le dimanche matin dans les transports en commun, pas grand monde, quelques regards me sourient, supposant que je sortais d’une soirée et d’une nuit "décalée", cela me rassure. Sorti des transports, il me reste une dizaine de minutes de marche, une petite brise me rappelle que, quand même, on est bien en robe. Avant de rentrer, je passe chez notre petit épicier habituel pour prendre du pain, il me dit que Stéphanie vient juste d’en prendre. J’arrive à l’appartement, Stéphanie est allongée sur le lit avec une mauvaise tête, elle voit que je dois être dans le même état d’esprit, en résumé, l’une et l’autre sommes tombées sur deux goujats et ils nous les ont fait payer cher nos robes.
On se fait un café, on se regarde, cela nous fait sourire de nous voir ainsi un peu "démontées" et habillées pareil, on se décide pour faire un bain ensemble, ce sera une première.La baignoire n’est pas très grande, mais nous arrivons à nous y placer face à face, l’eau est chaude, on discute un peu puis nous nous assoupissons par courts instants. Ce n’est pas très confortable pour ranger nos jambes, aussi je m’allonge carrément et Stéphanie vient s’allonger son dos sur mon torse, nos têtes sont côte à côte, mes bras l’entrelacent, mes mains se mettent à caresser ses seins, j’aime bien caresser ses seins et visiblement, elle se laisse faire donc doit apprécier, je vais pour m’arrêter, elle me demande de continuer.
L’eau se refroidit, je propose de sortir, Stéphanie me freine.
— Bouge pas, je voudrais faire une expérience— Quoi ?— Laisse-toi faire, tu ne ne seras pas déçu.— OK.
Stéphanie se retourne, plonge sa tête sous l’eau, je sens une de ses mains me malaxer les boules, ce qui a pour effet immédiat de mettre mon pénis au garde-à-vous. Je le sens se faire avaler et bousculé de tous les côtés par une langue, des vagues apparaissent, je ne vois que le haut du crâne de Stéphanie apparaître en cadence. Sa main prend le relais de sa bouche pendant qu’elle reprend son souffle hors de l’eau puis replonge, je suis complément à sa merci, mon sperme envahit sa gorge.Elle vient se replacer face à moi, nos jambes sont entremêlées, son clitoris vient se frotter sur mes bourses, je vais pour bouger, elle me fait signe de rester statique, elle se masturbe sur moi, je la laisse faire même si ce n’est pas très plaisant, après ce qu’elle m’a fait, je ne peux pas lui refuser cela.
Plaisir terminé, elle sort de la baignoire, la salle de bain est petite, aussi je reste dans l’eau en attendant qu’elle se sèche.Je trouve ça beau de regarder le mouvement de sa tête, de ses cheveux avec la serviette, puis toutes ses caresses sur son corps avec ce tissu. Grâce au reflet du miroir, elle voit que j’apprécie le spectacle.
— Bon t’as fini de mater, je sors chercher mes fringues, je te ramène les tiennes ?
— Si tu veux, mais au fait félicitations, quel souffle ! quelle apnée !
— 10 ans de compét. de piscine, ça laisse des traces.
Elle revient habillée avec mes fringues sous le bras qu’elle pose sur le banc. Je végète toujours dans l’eau. Elle se passe un coup de sèche-cheveux puis se maquille et ça lui va bien.
— C’est bien que tu prennes goût à te maquiller, c’est top, tu es belle comme cela.
— Je te le laisse sorti (en me montrant le mascara)
Elle quitte la pièce, je sors et m’essuie, Stéphanie me parle, je n’entends pas, l’eau partant dans le siphon, cela fait un bruit infernal.Bon, je devine ce qu’elle m’a dit, enfin, j’ai compris en attrapant les fringues : culotte, jupe, caraco, collant, pull, je m’exécute puis j’applique le crayon et le mascara après m’avoir mis un léger fond de teint. J’aime bien me maquiller, plus le moment que le résultat.J’ouvre la porte pour faire évacuer la buée, je vois que mes derbies m’attendent, c’est donc rehaussé de 5 centimètres que je rejoins Stéphanie qui m’accueille en me tendant un café et un bisou sur la joue.
— Ça te va vraiment bien cette tenue et en plus on te sent à l’aise !
— Je suis obligé de reconnaître que oui.
— Bon il fait faim, déjà presque 2 heures de l’après-midi et si on se faisait un kebab, le camion de Kader doit être ouvert sur le parking près de la gare.
— Pourquoi je te le paye, tiens je te donne de l’argent.
— Non, viens avec moi !
— J’aurais pas dû mettre cette tenue alors.
— Mais si et même si les gens te voient, ce sera fait et comme cela tu ne te poseras plus de question quand tu auras envie de mettre des jupes ou robes.
Nous partons et marchons rapidement, nos estomacs crient famine. La vitesse et un petit air font flotter nos jupes, c’est plutôt agréable. Ca fait plusieurs fois que je me fais la remarque sur le plaisir des courants d’air sous les jupes ou les robes, j’en parle à ma binôme qui n’y trouve rien d’extraordinaire bien au contraire, elle trouve cela plutôt pénible. Nous croisons du monde, c’est la fin du marché sur une place non loin, je suis repéré à de nombreuses reprises, je provoque pas mal de sourires et quelques yeux qui se soulèvent.
Arrivés au camion, trois potes de Kader me chambrent un peu, Kader leur dit de se calmer leur signifiant qu’ils ne sont pas différents quand ils sont en djellaba. Une cliente qui attend ses frites me félicite et raconte que son frère est souvent en jupe, enfin en utility kilt précise-t-elle. Je ne connais pas, elle m’explique que c’est un kilt moderne uni avec des poches sur les côtés, ça fait moins jupe d’après elle.
La météo étant clémente, on fait le choix de manger sur place, une table s’étant libérée. Kebab, frites, mayo + bière, le repas n’est pas light. Kader et ses potes viennent s’asseoir avec nous, nous étions les derniers clients du midi. On parle de tout et de rien, tout le monde a oublié "ma différence", seul rappel de temps à autre quand des promeneurs frôlent notre table et repèrent mon maquillage.
Déjà 4 heures, Stéphanie propose de rentrer en me rappelant que nous avons des leçons à faire. Deux des potes de Kader nous raccompagnent, habitant pas très loin de chez nous. Ils sont un peu les grands frères du quartier donc aucune personne croisée n’ose faire des remarques sur mon look.
Les leçons sont faites, un souper vite avalé, après le film du dimanche soir, nous partons préparer nos vêtements pour le lendemain. Stéphanie me regarde avec un sourire.
— Alors demain, en fille ou garçon ? Boxer ou lingerie ? Maquillage ou pas ?— Demain et tous les autres jours de cours : garçon !— Oh ton coté féminin étant développé, tu peux, comme nous les femmes, rechanger le matin les fringues préparées la veille.— Pas mon style de pratique.
Tout est prêt, nous nous couchons.
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