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Le libertinage

Chapitre 1

Avec mon père

Inceste
Le libertinage est la suite de la saga de John que vous pouvez découvrir ou relire depuis son Initiation par son cousin jusqu’à sa dernière orgie sur le thème d’Histoire d’O.
Ainsi je vous rappelle que je m’appelle John et que je viens d’avoir 20 ans. Étudiant en seconde année de Sciences économiques j’ai une sexualité bouillonnante et libérée. J’aime tout dans le sexe jusqu’à me travestir.
J’habite à Paris dans une chambre sous les toits au-dessus de l’appartement de ma propriétaire, madame Germaine, une charmante femme d’une cinquantaine d’années, moderne et libérée, qui au final m’offre le gîte en contre-partie de quelques privautés. Gigi a l’habitude d’organiser des fêtes libertines en me demandant d’y participer pour assurer le service. Sa dernière fête m’a mis incidemment en présence de mon père, Lui trompant ma mère et soumis à une femme, moi travesti et m’abandonnant à tous.

Pendant les trois mois qui ont suivi la fête libertine où j’ai rencontré mon père je me suis senti très mal. Je me suis renfermé en me consacrant à mes études. Je n’ai plus répondu aux invitations de mes parents prétextant un surcroît de travail et la préparation de mes partiels. Ma mère s’inquiétait, demandait régulièrement de mes nouvelles et me suppliait de revenir à la maison. Il m’a fallu tout ce temps pour que je retrouve un équilibre de vie et ma famille.

Aujourd’hui pour la première fois depuis cette fête j’ai rencontré mes parents pour le déjeuner. L’accueil de ma mère a été débordant de joie et créé immédiatement une ambiance chaleureuse et heureuse. Son bonheur et sa décontraction se sont communiqués instantanément à mon père et nous ont permis de retrouver les joies saines familiales. J’ai oublié Olivier et retrouvé mon père, l’homme aimant, attentionné et protecteur.
La journée a été pur bonheur. Maman avait préparé un délicieux déjeuner. Nous avons parlé beaucoup du passé, de mes études. Papa m’a félicité de mes résultats universitaires, tous deux se sont réjouis de ma relation amoureuse avec Mélina, une étudiante avec laquelle j’ai reçu les félicitations du jury pour notre rapport de stage. Finies les observations et critiques quant à mes cheveux longs, mes habits moulants soulignant mon côté androgyne, ce ne sont que félicitations et réjouissances.
En milieu d’après-midi, suivant mes habitudes, je décide de rentrer chez moi. Maman encourage Papa à me raccompagner :

— Olivier raccompagne John, il fait beau, prenez votre temps ça vous permettra de continuer à discuter un peu et pendant ce temps je vais remettre la maison en ordre.

C’est une proposition qui me contrarie un peu, qui provoque un face à face que je redoute, être seul avec mon père, avec l’homme que j’ai connu au cours de cette orgie.

On se retrouve tous les deux assis dans ce train de banlieue qui nous ramène à Paris, on se regarde dans les yeux, il me sourit mais une gêne existe entre nous, nous restons silencieux. Arrivés à Saint Lazare alors que je nous dirige vers le métro, mon père m’arrête :


— John es-tu pressé ? On pourrait marcher un peu.
— Oui si tu veux rentrons à pieds, je n’ai pas tant de travail que ça.

Sur le boulevard nous avançons rapidement côte-côte en échangeant des banalités pour occuper le temps, nous parlons du monde aux terrasses des cafés, du retour des beaux jours. Dans une rue plus calme, notre allure se ralentit, il se rapproche de moi, nos pas s’accordent, nos épaules se touchent, je ne m’éloigne pas au contraire je ne sais pourquoi je résiste et même intensifie la pression. On ne se parle plus et on se retrouve. Je ne regarde pas l’homme mais nos épaules, nos bras, le dos de nos mains se touchent, je laisse faire.

— Tu permets.
— …

Sa main remonte à l’intérieur de mon avant bras, arrivée au creux du coude instinctivement, naturellement je relève le bras. Il me presse contre lui, je le presse contre moi. Il me regarde, ralentit encore le pas.

— John, je suis content de te retrouver.
— …

Il m’embrasse sur la joue. On marche un moment encore, lui comme moi ne relâchons pas la pression de nos bras. Nous sommes en communion, il entame la conversation

— Tu sais, j’étais horriblement gêné... longtemps ton image m’a obsédé.
— Moi j’étais mortifié !
— …
— Et je savais qui tu étais depuis l’essayage chez Lise mais j’ai été prise au piège (le féminin m’échappa, après avoir dégluti je continuais) je ne pouvais reculer face à Germaine. Elle m’assura que tu ne pourrais me reconnaître, sauf que le geste malencontreux de Dany a révélé la vérité.

Pour les lecteurs qui ne connaissent pas l’histoire je leur recommande de lire « Histoire d’O revisitée » chap 3

On marche encore un moment.

— John, nous sommes adultes, chacun de nous a découvert un secret explosif qui ébranlerait notre famille s’il était révélé. Nous savons l’importance que la famille représente, le bonheur qu’elle nous apporte. Nous sommes responsables et nous voulons la protéger, n’est-ce pas ?
— Oui bien sûr Papa... plus que tout au monde.

La pression de sa main sur mon bras s’intensifie, il m’embrasse l’oreille.

— John... nous sommes adultes et consentants pour ces jeux que nous partageons.
— …
— Toute personne peut avoir deux visages, qui peut imaginer la sexualité de l’autre ? Qui imagine la sexualité de Germaine ?

Il se rapproche de moi et me murmure à l’oreille

— Qui peut imaginer ce que nous sommes en privé ? Qui imagine mon goût pour la soumission ? Ton goût pour le travestissement ?
— …
— Pour moi tu peux être John et Jane, être mon fils et un libertin... Puis-je être pour toi Olivier et Papa ?

Dans un souffle, en murmurant je réponds « Oui » tout en tournant mon visage vers lui les lèvres entrouvertes. A cet instant ses lèvres déposent un doux baiser sur les miennes et je découvre ses yeux verts que je n’avais jamais vraiment vus.

— Je suis content... Jane, si tu permets.
— Oui Olivier.

Et comme pour seller notre accord nos lèvres se joignent à nouveau.

— Je suis content de découvrir ta face cachée! Un long silence s’installe, seule la pression de nos bras s’intensifie, avant qu’il ne continue... Veux-tu me dire comment tu es devenue Jane ?

Tout en marchant je lui explique alors comment Dom mon cousin me dépucela sous leurs yeux en Bretagne, comment il me fit découvrir le naturisme et me partagea avec un inconnu sur une plage. Puis mes vacances avec ma tante et mon oncle, comment ma tante m’initia à l’amour et comment avec mon oncle elle m’entraîna dans des soirées d’orgie. Je parlai également de ma rencontre avec Eve, ma soeur de coeur transexuelle et de mon orientation vers le travestissement.

Chemin faisant nous arrivons au bas de mon immeuble et malgré l’heure, il est 18heures je lui propose de monter.

— Oui si tu veux mais juste le temps de prendre un verre.
— … D’accord.

Je lui montre le chemin en passant devant. Dans l’escalier je sens sa main remonter sur ma jambe et l’entends dire, « Ton pantalon te moule à merveille ». Le hasard fait qu’en arrivant au 4ème étage, Germaine sort de son appartement et nous rencontre.

— Oh John bonsoir... Olivier tu es là ! Quel plaisir de vous voir ensemble. Depuis trois mois nous n’avions plus de nouvelles et même toi John j’avais l’impression que tu m’évitais. Par contre je vois que vous deux, vous vous êtes retrouvés.
— J’avais beaucoup de travail !
— Tss, tss... pas à moi ! On va fêter nos retrouvailles. Entrez !
— Non, non Germaine ! intervient mon père, mon épouse m’attend.
— Monique, pas de souci on va la prévenir, défaites-vous.
— Noooon !

Mais déjà Germaine est au téléphone :

— Allo, Monique ? C’est Germaine... Dis-moi Olivier et John sont à la maison, on va dîner ensemble, veux-tu nous rejoindre ?.... Ah ! tu es fatiguée... et demain tu as une réunion... Je comprends... D’accord, alors bonne nuit. Ne t’inquiète pas Olivier rentrera en taxi... C’est ça je t’embrasse.

Entretemps nous avons quitté nos vestes.

— Ben voilà mes chéris, Olivier tu as la permission de minuit.
— Ce n’est pas raisonnable.
— OLIVIER !!! En haussant le ton  et d’un air autoritaire : tu veux que je me fâche ! Puis se tournant vers moi avec douceur : John, viens m’embrasser.

Elle se laisse tomber sur le canapé et m’attire vers elle en me prenant par les mains. En déséquilibre je m’affale sur elle. D’une main elle me retient par la taille alors que je m’agrippe à ses épaules et de l’autre main sur ma tête, plaque nos bouches l’une à l’autre.

Sans préambule elle m’embrasse à pleine bouche, j’ai plaisir à retrouver la douceur de sa langue, le goût de sa salive. Tel que nous sommes, elle assise au fond du canapé, moi debout appuyé sur elle, seul nos genoux, nos poitrines et nos épaules sont en contact. Elle passe ses mains sous mon pull et mon maillot à même la peau du dos. La fraîcheur de ses paumes et la griffure de ses ongles me donnent la chair de poule. Elle connaît cette réaction, immédiatement ses deux mains quittent mon dos et se portent sur ma poitrine pour s’en prendre à mes tétons qui de juste bandent et s’enflamment sous ses doigts.

Ça ne fait pas trois minutes qu’Olivier nous observe, qu’il nous rejoint. Je le vois du coin de l’œil.
Pour l’associer, Germaine me quitte, le prend par le cou et l’embrasse à pleine bouche mélangeant ma salive à la sienne. Au moment de me lever son bras s’abat sur ma poitrine et me fait asseoir à son côté. Immédiatement en deux secondes les deux boutons du haut de sa robe sont ouverts et laissent voir un body de soie noire et dentelle couvrant juste ses formes. Sa main abaisse le fin tissu et dégage son sein lourd. L’attractivité est irrésistible, ma bouche plonge sur le téton sombre dénudé et ma main s’empare du sein recouvert de soie. Je le masse, le presse, le malaxe avant de prendre le téton dur et le violenter.

J’oublie que l’homme à côté de moi  est mon père et quelle n’est pas ma surprise quand je vois la main de la femme dans son pantalon. L’homme défait sa ceinture et descend pantalon et boxer sur les chevilles dénudant le ventre et les jambes velus et une belle colonne de chair au gland rouge cramoisi. La main féminine la branle vigoureusement. Gigi se rend compte que mon attention est détournée.

— John, encore habillé, tu as du retard, tu nous fais un p’tit strip ?

D’un geste elle me pousse en avant et me met debout.
Sans musique je m’en invente une dans la tête. J’ai un peu d’expérience de danse lascive mais c’est la première fois que garçon je me déshabille en voulant faire naître le désir et en plus devant mon père.
Mon bassin ondule et mes épaules se mettent en opposition, de gauche à droite, puis d’avant en arrière pour simuler la marche du chameau.Tout en continuant sur ce rythme mes deux bras croisés retirent le pull par la tête. Je sais que mes tétons bandent et percent mon maillot en lycra. Il faut savoir que par une maltraitance journalière, entre pompages, tiraillement des pinces et tripotages ils sont devenus tout gros, semblables à ceux d’une jeune fille.
Au travers du fin maillot de corps, je me caresse les pectoraux comme des seins, roule les tétons entre les pouces et indexes, les étire. C’est Germaine qui réagit :

— Il a de vrais tétons de fille et elle est hyper sensible. Tu nous en fais voir plus ma chérie ?.

Je note le mélange entre le masculin et le féminin. Je me suis débarrassé de mon sous-vêtement et déjà en ralentissant et accentuant mes ondulations je défais face à mon public la ceinture, en abaissant centimètre par centimètre alternativement les côtés de mon pantalon slim. Je sais qu’il ne tombera pas de lui même tellement il me colle à la peau, je fais donc un demi-tour pour m’exposer de dos. Jambes tendues, torse baissé, je descends le pantalon jusqu’aux chevilles et présente mes fesses habillées du shorty de soie gris perle que m’a offert ma tante. Là c’est Olivier qui réagit :

— Oh le beau cul !
— C’est vrai un superbe mélange de finesse et de fermeté.

Je me retourne vers les deux spectateurs, leur fais un grand sourire suivi d’une moue. La soie ne cache rien de mon érection. De mes deux mains je me caresse, masse et relève mes pectoraux et mes doigts triturent les tétons. J’avance ainsi jusqu’au couple qui d’un geste commun abaisse le dernier vêtement, ma verge se dresse en formant un joli 45° par rapport à mon ventre. J’ai l’impression que Olivier me découvre et admire ma nudité :

— J’aime comme tu es totalement épilé, j’aime ce mélange entre ta féminité et ton côté masculin. J’aime la puissance de ton sexe et la beauté de ton cul.

Alors que Olivier est admiratif, Germaine se lève :

— Venez dans la chambre, je vous veux tous les deux.
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