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Le libertinage

Chapitre 2

Avec mon père - 2

Avec plusieurs hommes
Après m’être déshabillé, alors que Olivier restait admiratif du mélange de ma féminité et de ma masculinité, Germaine se lèva :

— Venez dans la chambre, je vous veux tous les deux.

En partant elle ouvre les quatre derniers boutons de sa robe qu’elle laisse choir au sol. Elle a juste son body de soie qui couvre en transparence son corps aux formes généreuses. Elle avance fesses nues, en me prenant par la main et Olivier nous suit.

A peine entrée dans la pièce éclairée par deux lampes de chevet, elle se jette sur le dos, sur le dessus de lit en taffetas rose, les jambes hors du lit. Ainsi offerte habillée de soie noire elle est d’un érotisme fou. Les cuisses pivotent sur les côtés et invitent à découvrir les secrets cachés par le string. Le tissu mouillé fait ressortir les lèvres et le ticket de métro seul survivant de la toison pubienne.

A genoux entre ses jambes je retrouve le fruit mature et le petit toupet aux senteurs sauvages. Mes narines vibrent sous leur émanation, ma langue goûte sur la soie la puissance de la cyprine. Gigi libère son sexe en écartant le tissu. Je déguste le fruit, masse les globes laiteux et tiraille les tétons semblables à de grosses mûres. Elle se laisse aller, ses gémissements sont étouffés alors qu’elle suce Olivier. L’homme est à genoux, penché sur elle la suppliant d’arrêter...
Elle se retire, elle en veut plus et ouvre le lit en rejetant dessus de lit et couverture. Sur son signe je m’allonge et elle vient sur moi, ses fesses me plongent dans le noir. Je m’abreuve à sa source d’amour et sens quatre mains s’activer sur mes cuisses, mon ventre, mon sexe. Elle suce avec force, elle aspire le gland, griffe l’urètre de ses dents. Elle ?... Non c’est lui, puisqu’elle commente :

— Elle est bonne, n’est-ce pas ? elle est longue regarde comme je l’allonge’’. Elle tire sur la peau au point de me déchirer le frein.

— Hum... Grrr... Glurp.

— Dis donc John, tu l’as particulièrement dure ce soir... Viens me prendre en levrette.

Olivier docile me libère et elle est déjà en position les fesses bien hautes et la poitrine sur le lit. A genoux derrière elle, je pointe son vagin mais elle me prend la queue pour la positionner sur l’anus :

— Viens, défonce-moi... déchire-moi !

De ses deux mains elle écarte ses mappemondes, je la tiens par les hanches et pousse mon membre dans ses chairs qui se fissurent, se déchirent et abandonnent le passage. Le gland est passé, l’anneau se contracte sur la base et laisse le tronc glisser dans le fourreau. Je suis en elle tout au fond. Je la sens se décontracter, respirer lentement et même commencer à bouger.

Olivier contemple l’opération, une main sur le dos de la femme et l’autre sur mes fesses. Son doigt trouve mon fondement, s’y attarde, me titille, m’excite. Je ne dis rien, appuyé sur le dos de Germaine, je la couvre de bisous en m’accrochant à ses mamelles et offrant mes fesses au visiteur. Il est maintenant sur mon postérieur, toute gêne entre nous a disparu. Sa main me tripote les couilles et sa langue me lèche du haut de la raie au milieu des fesses. Je laisse faire, je l’encourage, sa bouche est sur mon œillet préparant la place pour son sexe. Je l’attends, ne bouge plus, ses doigts se crispent au plus près de l’anus, écartent mes globes. Je pousse pour mieux m’ouvrir et d’un coup il est en moi. Je sens ses poils sur mes fesses glabres. D’un profond soupir je l’accueille tout entier.

Les jeux à trois permettent la multiplication des plaisirs. Ainsi tantôt Olivier se bloque au fond de mes entrailles et me fait aller et venir dans le ventre féminin ou au contraire il s’immobilise en arrière et me permet d’enculer librement la femme tout en le massant dans mon fourreau.

L’homme me veut plus féminine, il me prend par la poitrine et me redresse contre son torse velu. Il me plaque contre lui, me violente les tétons tout en m’enculant. Je sens son souffle dans mon cou, sa langue remonte jusqu’à mon oreille, lèche le pli derrière mon pavillon. Mes épaules collées aux siennes, son ventre frappe violemment mes fesses. Sa verge me laboure profondément, mon sphincter se contracte au rythme des ses va-et-vient. Il me murmure :

— Jane !... Tu es souple et tu me masses comme une vraie femelle.

Il s’abandonne. Un coup de ventre plus puissant me pousse dans les fesses de Germaine alors que sa verge se contracte deux, trois fois dans mon fourreau et libère de chaudes giclées de sperme qui m’inondent. Il grogne longtemps, un long et bruyant « Grrrrr » entrecoupé de profondes inspirations.

Il m’abandonne, je retombe sur le dos de Gigi, Lui se dissout en moi et me quitte. Sa main se plaque à mon anus pour récolter sa jouissance qui s’échappe. Trois doigts me pénètrent profondément et s’agitent. Le bruit de la mouille battue dans mon fourreau se mêle à mes « Han !Han ! » et aux « Oui ! Ui ! » de Germaine.

Je la veux autrement, je me retire de ses fesses, me dégage de la main. Je retourne la femme sur le dos, m’empare de ses jambes que je place sur mes épaules et lui pourfend le vagin d’un coup. Elle miaule de bonheur. Je suis excité, je suis heureux d’avoir dépassé la gêne connue depuis 3 mois, de libérer mes désirs même devant mon père, même pour Olivier.

Je besogne Gigi un long moment avant de replonger dans son fondement puis de passer d’un trou à l’autre. Je ne m’intéresse qu’à mon plaisir, je sais le doser, je sais le retarder.

— John, doucement, regarde Olivier.

Il se masturbe doucement et me présente une verge mollassonne, je la prends entre mes lèvres. Avec précaution j’essaie de la sucer, elle durcit doucement puis il m’accompagne de ses mains sur ma tête :

— Jane, tu es aussi bonne suceuse que baiseuse.

— Bon ça suffit les mecs, occupez-vous de moi, il y a de la place pour deux !

Elle me renverse et se retrouve au dessus de moi comme Andromaque sur son destrier. Olivier connaît la suite du programme, il est déjà entre nos cuisses et elle relève son bassin, elle s’impatiente :

— Oui c’est bon, VIENS !

Je sais qu’elle est bien ouverte et il la pénètre jusqu’à la garde. Je sens les testicules poilus taper contre mes fruits glabres et le tronc aller et venir dans le fourreau d’à côté.

— Oh putain que c’est bon, que c’est excitant d’être prise par vous deux à la fois.

Comme par respect elle ne parle pas du père et du fils et pourtant c’est bien de cela dont il s’agit. Nous nous appliquons à lui faire plaisir, à nous faire plaisir, à retenir notre jouissance. La double pénétration ne dure pas longtemps je ne peux plus me retenir, mon éjaculation est puissante, au moins quatre giclées avant que mes couilles ne se vident tranquillement....

Nos trois jouissances se mêlent, nos gémissements forment un chœur de trémolos, nos respirations se calment. Gigi s’affale sur moi alors qu’Olivier tourne sur le côté et se retrouve sur le dos sur le lit. Elle reste à me câliner, sa tête au creux de mon épaule, sa bouche sur mon cou, elle ronronne comme une chatte.

— John, tu m’as manqué, je suis contente de t’avoir retrouvé, de vous avoir tous les deux.

Un moment après c’est Olivier qui a sa tête contre la mienne et nous dit qu’il doit rentrer.

— Prends une douche, je vais préparer un plateau repas avec John et après dîner tu rentreras.

Il disparaît dans la salle de bains, visiblement il a ses habitudes. Germaine et moi en peignoir allons à la cuisine, une salade, trois tranches de pâté en croûte, un camembert, je mets la table. Le dîner est rapidement avalé et Olivier nous quitte.

Je me retrouve seul avec Germaine dans le salon.

— Je vais rentrer Gigi.

— Tu as un peu de temps, ne veux-tu pas dormir ici.

— Non, non j’ai du travail.

— D’accord mais parlons un peu, viens près de moi.

Toujours en peignoir je viens près d’elle. Elle me prend par les épaules, son peignoir baille largement sur son sein et s’entrouvre sur le bas dégageant la plus grande partie de ses cuisses. Elle a sa tête contre moi, son menton dans mes cheveux :

— Oui comme ça, mon chéri, on est bien.

— Tu me parles d’Olivier !

— Que veux-tu savoir ?

— Comment vous en êtes arrivés là.

— Comment ? Le plus simplement du monde… par ta mère ! Le diable se cache là où on ne le pense pas. Tu sais qu’elle travaille avec moi et que nous sommes amies. Nous partageons de temps en temps un repas entre filles, c’est ainsi qu’un jour à l’improviste j’ai rencontré Olivier.

    Nous nous sommes revus plusieurs fois tous les deux. Sans pudeur il m’a expliqué combien il était frustré. Pour vérifier ses envies et ne pas prendre de risque vis à vis de ta mère, je l’ai présenté à Élisabeth, la corsetière. Je connais ses goûts de Dominante et lui ai demandé de vérifier les dire voire d’éduquer Olivier.

    Il s’est montré très soumis. Depuis un an, il a tout accepté, il a été cravaché, fouetté, exhibé, a participé à des gang-bangs. La soirée où tu l’as rencontré n’était pas sa première, tu t’en doutes.

    Voilà, tu sais tout.

Ses explications ont fait monter l’excitation. Mes doigts atteignent son sexe couvert de sperme, ma verge sort du peignoir droite comme un I. Sa bouche est sur mes lèvres, sa langue s’enroule sur la mienne, sa main écarte les pans de mon peignoir et s’empare de mon bâton. Elle ne manque pas de saisir l’occasion :

— Prenons notre dessert et après tu monteras dans ta chambre.

En un mouvement elle pivote sur le canapé, ouvre la ceinture de son peignoir et lance une jambe sur le dossier du canapé. Elle s’offre nue, ses seins lourds se tiennent bien et s’étalent à peine sur les côtés, son ventre est plat juste couvert d’un petit petit rectangle de poil bien taillé. Ses lèvres sont humides et couvertes de traces blanchâtres de notre dernier accouplement. Son parfum est sauvage. Je suis en 69 sur elle, appuyé sur ma jambe au sol et l’autre sur le dossier du canapé. Elle me titille l’œillet d’une main et me branle de l’autre avant de m’avaler la queue sur toute la longueur, d’un coup de reins je tape sa glotte et lui tire un« Gluuurp ». Elle me repousse à deux mains avant de me reprendre en bouche.

Mon cunni est gourmand et bruyant comme sa fellation, malgré ma retenue je lui donne tout. On termine par des bisous avant de se quitter.
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