Ce soir là, je prends le train de banlieue pour retrouver mes parents qui m’ont invité à dîner. Je retrouve dans la gare St Lazare l’ambiance de mon enfance, le monde qui s’agite comme dans une fourmilière, la bousculade, la précipitaion vers les trains, le signal du départ du train, les derniers voyageurs qui tentent de monter, l’augmentation de la pression des voisins, les portes qui se ferment.
Je me rappelle des attouchements qui semblaient accidentels, puis se maintenaient, l’absence de réaction en signe d’approbation. La main se posait, la caresse se précisait, la main inconnue se plaquait sur l’entrejambe. Elle faisait bander. La main agile ouvrait alors la braguette, touchait le coton du slip, s’emparait du paquet, tripotait les bourses, flattait le membre qui durcait...
Puis les habitudes se prenaient, on retrouvait l’inconnu de la veille, les précautions s’estompaient, la braguette était déjà ouverte. La main plongeait directement dans le slip couvrait le sexe, malaxait les couilles, branlait le manche.
Ce soir, la même ambiance, je me précipite dans le train, le signal de départ retentit, un dernier passager monte et se presse contre moi. Il me dépasse d’au moins 10 centimètres et paraît très costaud, il se retourne me demande pardon. On se connaît...
C’est Gaby, mon coach de gym de l’an dernier... c’était mon amant aussi ! On s’est connu il y a longtemps dans ce train quand j’habitais chez mes parents, il m’a touché, caressé, rapidement il m’a conduit dans un cinéma porno et nous sommes devenus intimes.
— Jane ! Bonsoir, quel plaisir, depuis le temps.
Immédiatement sa main est sur moi et se place sans équivoque là où elle a l’habitude, là où je l’attends. Il me murmure :
— Toujours aussi bandante.
Déjà il a ouvert ma braguette et s’est emparé de mon sexe juste protégé par un string en soie, tout en continuant la conversation comme si de rien n’était.
— Ça fait longtemps que je ne t’ai vue, tu étais fâchée ? — Non mais très occupée, j’avais beaucoup de travail et un très gros souci familial. — J’avais… c’est passé ? J’espère. — Oui ça va beaucoup mieux.
Puis en murmurant alors qu’il a écarté mon string et pris ma verge en main :
— Oui c’est beaucoup mieux ainsi, bien épilée et toujours aussi affriolante, je ne me rappelais que tu étais aussi bien pourvue, il est vrai que je connais beaucoup mieux ta face féminine.
Le coquin profite de la situation pour glisser son majeur jusqu’à mon petit trou. Je ne sais résister, j’écarte imperceptiblement les cuisses et le laisse me toucher.
— Toujours aussi souple !
Et à nouveau il reprend la conversation
— Je suis content que tes problèmes se soient réglés.... Il faut revenir à la salle de sport. Tout le monde t’attend avec les beaux jours les séances en extérieur ont repris, viens en maillot. ’’ Tout le monde t’attend ’’, je me rappelle en particulier les moments passés avec Lyne la quo-gérante, une femme dominante, et Sophie une mignonne petite rousse au tempérament de feu... en parlant de feu le coquin ne cesse de m’exciter l’œillet alors que j’arrive à destination, j’ai juste le temps de me rajuster.
— D’accord Gaby, promis je passe vous voir la semaine prochaine. — OK, à 18 heures comme d’habitude.
On se quitte en se serrant la main. En 5 minutes je parcours le chemin de la gare à la maison de mes parents. En 5 minutes je me repasse le film de mes rencontres avec Gaby, le gang-bang qu’il m’a fait subir dans un cinéma puis comme il m’a forcé à le sucer dans la rue ou sous l’escalier dans mon immeuble et comme il vérifiait mes progrès à la fin des séances de gym.
J’arrive à la maison tout excité par ces souvenirs. Ma mère est ravi de mon enthousiasme, Olivier imagine autre chose et me demande en aparté si j’ai fait une rencontre particulière tout en restant dans son rôle de père. J’ai des difficultés à être présent, à participer à la conversation, je repense à la verge de Gaby, à la cravache de Lyne ou à la saveur de Sophie. J’ai envie de revivre ces moments à quatre, c’est décidé vendredi j’irai au club de gym.
…....... Et vendredi est arrivé ! Je suis prêt pour retourner au Club « Helios » C’est un club naturiste privé qui offre une piscine, une salle de gymnastique et une grande terrasse ensoleillée à l’abri de tous les regards.
L’année passée j’y allais régulièrement pour affiner ma silhouette avec les séances fessiers-abdominaux fréquentées exclusivement par des femmes. Lyne en est le coach, pour m’éviter des érections intempestives elle m’avait conseillé d’enfermer mon rat sans patte dans une cage . C’est depuis une habitude.
Au milieu du mois de mai, sous mes habits d’été, je n’ai que ma cage et mon maillot de bain. Dans la petite rue près des Halles, j’arrive devant la discrète plaque de laiton gravée : « Helios Club privé de gymnastique » j’ouvre la porte cochère, au fond de la cour une façade en verre dépoli décorée d’un soleil stylisé au dessus d’une silhouette féminine jouant au ballon. Je pousse la porte de verre et retrouve derrière le comptoir de la réception Lyne, une espagnole aux cheveux noirs coiffés en chignon. Elle est toute souriante vient vers moi dès qu’elle me voie :
— Jane ma chérie! Enfin te voilà, Gaby m’avait prévenue, je suis si heureuse de te revoir. — Bonsoir Lyne, moi aussi je suis contente de revenir, j’ai eu des soucis de famille mais c’est arrangé maintenant...
Elle m’embrasse à la commissure des lèvres. Elle est rayonnante, sa blouse blanche largement échancrée laisse voir la naissance des seins.
— Lyne, tu es toute bronzée ! — Oui bien sûr, depuis un mois nous avons nos activités en extérieur et cette année nous avons de la chance avec le temps.
Tout en parlant elle ouvre les 4 boutons de sa blouse et se présente en bikini blanc. Juste trois timbres postes qui couvrent pubis et tétons.
— Bien Jane, dépêche-toi, il est l’heure mets-toi en tenue et retrouve-moi sur la terrasse.
Je passe par le vestiaire où règne une forte odeur corporelle, je me déshabille et en slip brésilien, mon sexe mis en cage, je retrouve sur la pelouse prolongeant la salle de gym, Lyne et trois filles en maillot deux pièces. Je m’installe face à la coach sur un tapis de sol à côté de Sophie une fille d’une trentaine d’années à la peau blanche comme la neige et aux cheveux auburn. Je l’ai rencontrée quelques fois au club, je sais que roux est sa couleur naturelle, en harmonie avec son tempérament de feu. Elle m’accueille avec un grand sourire et m’envoie un baiser. Nous enchaînons les flexions, les sauts, les extensions. Puis quelques abdos pour lesquels Lyne nous demande de nous mettre par deux. Tout naturellement Sophie vient me tenir les pieds pour faire les exercices. En même temps que Lyne elle retire le haut :
— Oh les filles vous faites comme vous voulez mais moi j’ai chaud !
Et hop la ficelle qui cachait ses tétons saute, Sophie abandonne son soutif, alors que les deux autres filles se mettent nues et l’une se met à califourchon sur les chevilles de l’autre en s’appuyant sur ses genoux. Inutile de préciser la vue qu’offre la chatte écartée. Elles sont très amies vu les caresses échangées. Sophie est beaucoup plus classique, penchée vers mes genoux, elle tient mes chevilles à deux mains. Ses jeunes seins sont de marbre de carrare et pointus comme des obus. De mon côté, mon string cache tout juste la balle de tennis que forme mon sexe dans sa cage et découvre la majeure partie de mon pubis glabre. Je me redresse quatre, cinq fois les mains croisées derrière ma tête, elle me sourit jusqu’au moment où ses lèvres rejoignent ma bouche, en murmurant
— Pour t’encourager !
Encourager mes efforts ? … à aller plus loin ? Je reste songeur C’est à ce moment que Lyne demande d’intervertir les rôles. En se relevant Sophie quitte d’un geste le bas et m’offre son ventre au naturel avec une jolie toison couleur de feu, bien entretenue. Elle s’allonge déjà, les jambes tendues et les pieds joints, son triangle pubien, ses deux petits seins blanc comme neige aux pointes rosées sont pures merveilles. Sans plus réfléchir je quitte mon maillot et adopte la position de nos voisines sur les chevilles de Sophie, mon sexe se cale dans le bas de ses mollets. Je la taquine en suivant ses mouvements, mes indexes titillent ses tétons et mes lèvres maintiennent une faible distance avec sa bouche avant d’y déposer un baiser Le temps passe ça fait près d’une heure qu’on s’active, Lyne intervient :
— C’est bon les filles pour ce soir vous avez bien travaillées, filez à la douche.
Nous partons en couple sous la douche. Alors qu’avec Sophie on se caresse plus qu’on se savonne, Lyne se colle à mon dos, sa tête au creux de mon épaule et me dit tout bas :
— Vous restez toutes les deux après ? — Hum, hum, répond Sophie tout en approuvant de la tête. — Gaby nous rejoindra sur la terrasse après son cours et moi j’ai très envie de toi Jane.
Elle nous quitte en me mordillant l’oreille. Sophie s’empare de ma cage :
— J’espère que tu n’as pas oublié la clé ! Moi aussi j’ai très envie de toi.
Pour toute réponse je l’embrasse à pleine bouche et me plaque contre son ventre.
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