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Le libertinage

Chapitre 4

Avec mon coach de gym - 2

Orgie / Partouze
Après la douche, avec Sophie nous récupérons nos sacs dans les vestiaires et retournons nues sur la pelouse où les tapis de gymnastique ont été remplacés par des bains de soleil très confortables.

— Jane, allonge-toi, me dit ma copine, je vais te faire un massage.

Tout en me poussant vers un matelas elle m’embrasse dans le cou.

— Non, non, mets-toi sur le ventre, le côté pile d’abord !

Ainsi installée je la sens s’asseoir à cheval au dessus du creux de mes genoux et faire couler tout le long de la colonne un filet d’huile. Les deux pouces joints, les mains étalées sur les côtés en partant du creux des reins elle remonte jusqu’à la nuque. Incontestablement elle sait faire, elle masse avec légèreté d’abord les épaules puis avec force, les trapèzes, les dorsaux.

Je ressens un bien-être profond, une décontraction totale. J’oublie totalement la situation, ferme les yeux. Elle masse les flancs, souligne ma taille elle rajoute de l’huile, puis s’allonge sur moi. Elle pèse de tout son poids, ses mains à mes épaules, sa tête au creux de mon cou, son ventre contre mes fesses, c’est tout son corps qui me masse. Je sens la pointe de ses seins se déplacer sur mon dos de haut en bas, en rond de droite à gauche.

Je ronronne, elle me mordille l’oreille, je me laisse aller, je ressens un bonheur intense jusqu’au moment où elle se lève pour m’enjamber en sens inverse. Assise sur mes lombaires elle s’occupe de mes fesses :

— C’est vrai Jane que tu as un beau p’tit cul, bien rond, bien ferme... décontracte-toi, laisse-moi faire !

Alors qu’elle m’écarte les cuisses de telle sorte que mes genoux sortent du matelas et mes pieds tombent au sol, elle laisse couler l’huile du haut de mes fesses jusqu’à mon petit trou, ses deux mains de masseuse se transforment en mains de gourgandine. Les doigts caressent l’œillet qui se contracte avant de se détendre, ils me pénètrent en douceur, probablement un de chaque main, puis écartent les chairs :


— Tu es belle et souple ma chérie !

Ce sont maintenant quatre doigts qui m’étirent et surprise deux autres mains sont sur mes cuisses. Je sens une respiration sur mes fesses, je me retourne pour voir qui est avec nous, le dos de Sophie m’empêche de voir. A ce moment Lyne arrive et s’agenouille près de moi :

— Je vois que tu es en bonnes mains.

— Celles de Gaby ?

— ... !

Sophie se relève tout en me caressant, deux mains puissantes me prennent aux hanches et me mettent sur pied. Un pénis pointe mon petit trou, je n’ai pas le temps de réagir, mon anus étiré, huilé est envahi d’un coup et le membre suit sans difficulté.

Gaby arrive devant moi, au moment où Sophie me quitte. L’homme qui me laboure, est un inconnu :

— Qui est-ce ?

— Peu importe, me répond Gaby tout en pointant son sexe sur ma bouche, SUCE !

— C’est José, mon compagnon, répond Lyne.

Si ! Me llamo José y me gustàn mucho las muchachas come tù !

Je n’ai pas le temps de réagir que Gaby m’a pris la tête à deux mains, je m’accroche à ses hanches et il me baise la bouche en s’accordant sur l’espagnol. Chaque fois que je suis prise ainsi je repense à la première fois sur la plage en Bretagne quand mon cousin m’a partagée avec un inconnu..

Les deux femmes s’asseyent à côté sur un matelas et nous observent, alors que Gaby propose :

— Dis-moi José, tu me la laisses un peu, viens voir comme elle suce bien !

J’ai juste le temps de me redresser que les deux hommes intervertissent leur place. Déjà Gaby se positionne alors que José me regarde. Il est sombre de peau et poilu. Je m’appuie sur ses pectoraux le poil est noir et tout doux. Il me sourit :

Que bonita ! Quasi todo igual a una mujer ! alors qu’il me tripote un téton et s’en prend à mon sexe en cage.

La depilacion facilita la comparacion.

No no ! Non solo, Tus curvas son claramente femininas

Il me prend par les épaules et m’amène à son sexe. Le pubis est tout poilu comme ses couilles grosses comme deux abricots mais c’est surtout sa verge qui m’impressionne, très sombre, grosse, les veines ressortent bien et l’urètre est comme mon auriculaire. Je la vois une fraction de seconde avant que le « freson » (grosse fraise produite sous serre) n’envahisse ma bouche. A nouveau je me fais bousculer, labourer des deux côtés.

— Je te l’avais bien dit José qu’elle était bonne et elle mouille du cul c’est incroyable, je trouve que sa taille s’est encore affinée et de ce fait ses hanches sont plus rondes.

Lyne se lève est vient vers nous

— Bon les mecs, il y a d’autres nanas qui vous attendent, et interpelant José : Dis donc mon salaud, t’as fini de baiser les garçons.

Tout en continuant de se faire sucer, il embrasse et pelote sa femme jusqu’à ce qu’elle le tire à lui et debout, relevant une jambe à la taille de José elle s’emmanche sur sa queue couverte de salive.

Sophie délaissée rejoint Gaby derrière moi et l’embrasse à pleine bouche alors qu’il continue à me sodomiser :

— A....ttends, (il parle en saccade au rythme de la fornication), Attends... elle est bonne... Putain... Je jouiiiiiiiis !!!

Effectivement je le sens accélérer puis d’un coup s’immobiliser au fond de moi et déverser toute sa semence. Il reste un moment avant de me quitter et de nous servir un jus de fruit.
Peu après Sophie me prend à part et me demande la clé de ma cage. Avec bonheur elle libère ma verge marquée de l’empreinte des fers.

— Mon pauvre chéri, regarde comme tu es, attends que je te redonne vie.

Allongé sur le matelas la jeune femme à genoux à mon côté me caresse le membre et les couilles qui se développent comme un papillon sortant de sa chrysalide. Elle suce le bourgeon, masse les fruits et branle le manche. Rapidement mon sexe retrouve sa virilité, sans attendre à califourchon elle s’emmanche dessus, à genoux, ses jambes contre mes hanches. Comme nos bouches nos poitrines se rejoignent.

Notre première relation est pleine de tendresse, mes mains courent sur son dos, vont de la nuque au bas des fesses, dessinent des arabesques ou au contraire mes ongles suivent la colonne vertébrale jusqu’à s’enfoncer dans les fesses pour écarter les deux globes et titiller la rosette, son ventre se contracte :

— Tu n’aimes pas ?

Son ’’ Siiii ’’ se perd dans une inspiration. Mais à présent nous ne sommes plus seuls avec Gaby à ma tête et José à mes pieds. L’un saisit Sophie par les cheveux, l’autre s’installe entre nos cuisses. La rousse se prête aux deux, en ouvrant la bouche et creusant  les reins. Je vois Gaby s’enfoncer, je sens José se glisser dans les chairs, se faire sa place, se presser contre moi avant de se mouvoir. La douce Blanche neige devient la brûlante Sophie assoiffée de sperme. La tendresse initiale de notre accouplement fait place à la férocité de la partie à quatre.

J’entends Gaby gémir en même temps que la fille déglutir, puis c’est José qui est pris de convulsions dans les entrailles, mon excitation est à son comble et je ne peux me retenir, j’arrose abondamment le vagin.

Longtemps après, la masse humaine se disloque, je reste seul anéanti sur le matelas.

…..........

La nuit est tombée. Lyne en survêtement arrive les bras chargés de sacs

— Venez, les coquins à l’intérieur, il fait frais maintenant, j’ai acheté de quoi nous restaurer.

— Ah ! quelle bonne idée ma chérie, répond José... C’est vrai j’ai un peu froid. Il revient avec des peignoirs et nous en offre un à chacun.

— Suivez-moi !

Lyne nous conduit dans une salle de musculation que je ne connais pas avec des tables de massages, des appareils de tous genres et de grands miroirs. Elle recouvre une table de papier et installe pains, charcuterie et fromage alors que José apporte assiettes, verres et bouteilles. En deux minutes le casse-croûte est mis en place. Lyne me prend par la main.

— Toi, viens manger avec moi, on ne s’est pas beaucoup vu ce soir.

On s’installe tous les deux sur un banc, face à Gaby et Sophie alors que José vient près de moi.

Tous attablés, après un « Bon appétit » général, un silence religieux accompagne les premières bouchées, les verres se remplissent et se vident. Après les premiers sandwiches, les conversations reprennent et elles n’ont rien de religieuses. On parle, on rit, on chante... et ça tourne toujours autour de la gaudriole. Les ventres se remplissent, l’atmosphère se réchauffe, les peignoirs s’ouvrent, les mains sont à nouveau caressantes. En face de moi ce ne sont que bisous et chuchotements alors que les mains de mes voisins tirent chacune de leur côte mes genoux. Lyne m’embrasse à pleine bouche tandis que José me mord le téton et m’astique doucement la queue. Les deux me foutent le feu au corps.

— Viens, je vais te faire découvrir certains appareils, me dit José.

— Tu sais je ne suis pas très muscu !

— T’inquiète... je t’aiderai et tu sais il y a pas mal de filles qui viennent ici aussi pour affiner leur ligne et arrondir leur fessier.

Il me prend par les épaules et m’entraîne vers un engin sur lequel je m’assois les jambes de chaque côté de deux coussinets qui relâchés m’ouvrent les cuisses à 120°, au dessus de ma tête se trouve une barre reliée à une poulie.

— Bien... tu prends la barre en la descendant sur ton cou et en même temps tu refermes tes cuisses 10 fois de suite.

Progressivement la pression augmente. Le coach est derrière moi, il me caresse la poitrine, des épaules à l’aine en rythme à mes exercices. La résistance de l’appareil ralentit mes mouvements, il s’en amuse et s’attarde sur mes pectoraux et mon pubis jusqu’au moment où je suis bloqué cuisses ouvertes et bras tirés vers le haut. Lyne est devant moi et me sourit en me caressant l’intérieur des cuisses.

— C’est bien Jane. José a raison, tu devrais venir de temps en temps ici, pour l’instant vient faire quelques abdominaux.

Je constate que Sophie et Gaby ont disparu et nous restons tous les trois. Comme José et Lyne, j’abandonne mon vêtement et m’allonge sur une planchette étroite, tête en arrière, cuisses ouvertes et chevilles tenues au sol. Je sais ce qui me reste à faire. Lyne est à genoux entre les miens et José debout à ma tête. Je commence mes abdos en m’aidant de mes bras, les laçant en avant :

— Non, non Jane, sans les bras, les mains croisées derrière la tête.

Effectivement beaucoup plus difficile, à chaque fois que je me relève Lyne me sourit et me caresse. Pendant mes exercices José se branle lentement de sorte qu’à chaque passage mon front touche son gland avant qu’il m’immobilise en allongeant mes bras entre ses cuisses, mes mains sur ses fesses.

Finis les abdos, elle me pompe le dard et lui accroupi, se masturbe juste au dessus de mes yeux. Je lèche le membre du bout de la langue :

— Tu en as envie ? Tu la veux ? Tu aimes la bite ?

A chaque fois j’approuve de la tête. Il s’approche, me met sa queue en bouche et garde son équilibre en s’appuyant sur ma poitrine. En même temps Lyne s’emmanche sur ma trique en se tenant à mes hanches. Voilà les deux à l’action avec flexions-extensions, pour les deux je ne suis qu’un objet sexuel.

Je suis le premier à exploser ce qui n’empêche Lyne de continuer sa danse en resserrant ses muscles pour me garder en elle et peut-être me réveiller. Ma virilité baisse sans disparaître, elle s’assied sur mon ventre, seul son vagin s’anime sur mon membre pris dans son ventre.

— José imagine, elle s’est vidée en moi et malgré tout elle bande encore.

— Oh... je n’en peux plus, tiens Salope avale tout !

Il m’inonde la bouche et le trop plein déborde des commissures des lèvres. C’en est trop je perds toutes forces et ma queue se transforme en un vermisseau. Rien ne va plus. Elle et Lui se relève et laisse mon ventre et ma bouche souillée de sperme. Je suis incapable de me relever et c’est Lyne qui m’aide

— Tu dois revenir, fortifier tes abdos, pour l’instant à la douche et retour à la maison.
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