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Le libertinage

Chapitre 5

Avec une copine de fac

Hétéro
En fin de première année de licence j’ai fait un stage dans un cabinet d’expertise comptable avec Mélina.

Elle est grecque avec un adorable petit accent. Sans être un canon de beauté, c’est une jolie fille, brune aux cheveux courts, au visage gracieux et aux yeux noirs. Sans être grande, elle est élancée et a de très jolies formes. Elle aime les filles et se donne volontairement une allure de garçonne.

Tout d’abord bons copains de fac nous sommes devenus intimes lorsque incidemment elle a découvert mon goût pour le travestissement. Elle s’en est amusée et est devenue mon homme comme elle dit.

Depuis nous sommes amants, sans être vraiment en couple nous partageons tout. Sur l’oreiller nous aimons nous raconter nos aventures et nos frasques. Elle sait tout de moi depuis mon initiation par mon cousin jusqu’à notre rencontre.

Je sais qu’elle n’a rien à m’envier question sexualité. Son histoire a commencé très jeune. Enfant elle a vite découvert le plaisir qu’il y avait au bout de ses doigts.
…......................

Ce soir, nous sommes dans ma chambre. Après avoir travaillé à la préparation d’un TD, nous avons baisé comme des fous. Elle est couchée sur le ventre, la moitié de son corps repose sur le mien, sa tête au creux de mon épaule, elle me fait des bisous. On reprend notre respiration. Après un moment alors qu’elle minaude dans mon cou, curieux de son passé je la sors de sa somnolence :

— Dis-moi, tu as joui la première fois ?... C’était quand ?
— Oh, la première fois, j’étais jeune et dire que j’ai joui, ça serait mentir. Dire que j’ai aimé serait la vérité et même j’ai beaucoup aimé.
— C’était avec qui ?

— C’est un couple d’amis qui me dépucela.
— … Un couple !

Mélina n’en dit pas plus, je lui caresse le dos, lui murmure :

— Un couple... Pas banal, tu me racontes ?
— … Voilà. C’était durant les vacances de Pâques, j’étais dans une ferme en Normandie chez des amis de mes parents. Marie et Georges vivaient librement. La nuit je les entendais dans la chambre voisine, le jour je voyais régulièrement Georges nu à la sortie de la douche, le matin Marie me préparait mon petit déjeuner en chemise de nuit ras-du-cul. Ils m’avaient expliqué qu’à la campagne on ne faisait pas de chichi.

    Un après-midi alors qu’on se promenait dans les champs, elle attira mon attention sur la saillie d’une jument. C’était la première fois que je le voyais et je dois dire que ça m’a troublé.
    Ce jour-là, il faisait très beau et chaud, c’est arrivé dans une clairière qu’elle me proposa de nous reposer. Peu après le plus naturellement du monde elle se déshabilla, me disant que si je voulais il n’y avait aucun risque ; habituée au naturisme, sans difficulté je fis de même. Alors que nous parlions de la saillie que nous venions de voir, elle se caressait tranquillement les seins, elle m’expliquait qu’elle était très voyeuse et aimait la sexualité de groupe. En fait je la trouvais plus exhibitionniste que voyeuse, la voyant se branler devant moi.

    J’étais bouche bée, les yeux rivés à ses doigts. C’était aussi la première fois que je voyais une femme se faire jouir, subjuguée j’ai commencé à me toucher. Tout en parlant je lui ai appris que j’étais vierge, ce qui l’a surprise, constatant la dextérité de mon indexe. A son tour elle s’excusa de sa liberté avec Georges en espérant que ça ne me gênait pas... Sur ce point je la rassurais sans lui dire qu’au contraire j’aimais. Nous sommes restées longtemps allongées à parler, une grande complicité naissait entre nous au point qu’au moment de partir elle m’embrassa la tirelire comme elle disait.

    Par la suite les deux devinrent beaucoup plus tactiles avec moi. Marie m’embrassait à tous moments, Georges me caressait de plus en plus librement.
    Un soir au moment de se coucher elle me proposa de venir les regarder discrètement dans la chambre. Peu après elle me vit dans l’entrebâillement de la porte alors qu’elle suçait son mari face à moi. D’un doigt elle me fit signe de rentrer, j’avais juste ma veste de pyjama qui dévoilait mon bas ventre. J’entrai et restai au pied du lit, elle leva la tête et orienta la verge couverte de salive vers moi tout en tirant la langue. Pour la première fois je léchai une queue, je le faisais comme pour un esquimau. Entre Marie et moi c’était un échange permanent, elle reprenant le gland en bouche avant de me l’offrir. Je progressais rapidement avec ses sourires et ses encouragements. Ma main remplaça la sienne en prenant le membre. Il était gros, je n’en faisais pas le tour. J’étais surprise, ce n’était pas lisse comme je le pensais mais dur et couvert d’un réseau de veines proéminentes, seul l’urètre fléchissait sous mon pouce qui la pressait

Marie accompagnait mon poignet, je suçais le gland sans le prendre totalement en bouche et masturbais le tronc alors que Marie massait les couilles.
    Georges miaulait et d’un coup sans avoir le temps de dire « Attention ! » un jet de sperme gicla de ma bouche à mon front, suivi d’un deuxième, surprise je lâchai tout et reculai. Marie le reprit en bouche, le suça et après avoir léché les deux traînées blanchâtres sur mon visage, me dit « Te voilà baptisée ma chérie ».

    Au moment où je me levai pour rejoindre mon lit elle me retint « Reste avec nous » et ce fut ma première nuit avec eux. Comme pour me protéger  elle m’a prise à son côté, séparée de son mari. Il murmura seulement « Bonne nuit Mèl ! »

Je ne cesse de la frôler, de la caresser du bout des doigts de la nuque aux fesses, elle frissonne, m’embrasse dans le cou. Après un moment je lui demande :

— Et tu as bien dormi ?
— Oui... très bien même. Je me suis réveillée très tard et Marie était nue contre moi. Elle m’embrassait tendrement comme une mère. On a pris le petit déjeuner comme si rien ne s’était passé. Au moment d’aller me doucher elle m’a demandé si elle pouvait venir avec moi, je l’ai prise par la main et nous nous sommes lavées, caressées, embrassées.

    L’après-midi à nouveau on s’est fait bronzée en forêt. On a beaucoup parlé de sexe, tout en se caressant chacune de son côté au début pour terminer en se gougnottant.
    Toute pudeur avait disparu entre nous, je devins leur jouet et nous avons beaucoup joué à trois, Georges était très attentif et Marie très coquine.
A nouveau après un long silence :

— Et pourquoi ta préférence pour les filles alors ?
— Oh... les mecs m’ont déçue et une femme m’a séduite.

’’ En retrant des vacances à la ferme j’ai cédé à un lycéen, qui me faisait du rentre-dedans depuis le début d’année, un caïd soit disant, un p’tit con en vérité. Il m’a baisé au sens propre comme au figuré. Dès la première fois ce fut une catastrophe, sans préparation il m’est monté dessus comme on dit, il a fait sa p’tite affaire. Puis après il m’a traitée comme une pute. Par ma faute, disons par faiblesse, il m’a fait chanter et je suis devenue un trou à bites, le réceptacle à sperme de ses copains.

— Quel salaud !
— Un grand con... Heureusement en parallèle je vivais une autre aventure. Depuis le début de l’année, face à mes difficultés je suivais des cours de math avec un prof d’un autre lycée. Ses cours m’ont beaucoup aidé la preuve j’ai réussi mon bac avec mention bien. Hélène, mon prof, vivait seule dans un studio où je me rendais deux fois par semaine. Elle était très douce, c’était des bisous en arrivant et partant, des caresses pour m’encourager ou des petites tapes pour me corriger.

’’ A mon retour des vacances notre relation évolua. Étant plus réceptive à ses attentions, nos baisers se sont faits plus appuyés. Un jour elle m’embrassa à la commissure des lèvres comme par accident, nous nous sommes regardé, je lui ai souri et nous nous sommes embrassé sur la bouche.
    Dés le résultat du bac connu je suis allée la voir. On s’est embrassée amoureusement, elle m’a déshabillée et on a fait l’amour comme avec Marie... mieux qu’avec Marie. Hélène était une femme du sud de l’Italie, aux cheveux frisés et sombres, à la peau basanée et glabre. Elle était élancée, de jolies fesses et … pas plus de seins que toi, dit-elle en me regardant et riant.

Depuis plus d’une demi-heure nous n’avions pas bougé, je la caressais tendrement. Elle se redresse, me sourit, m’embrasse, allongée sur le ventre, appuyée sur ma poitrine, un de ses genoux passe entre mes cuisses, sa tête retombe au creux de mon épaule, elle continue à parler tout bas :

— Notre histoire a duré un été. Rien n’étant prévu pour mes vacances, je suis partie avec elle dans son village, dans le talon de la botte, à Polignano. Elle avait une toute petite maison avec une terrasse qui donnait sur la mer. Nous étions seules au monde. On faisait l’amour sans arrêt, on vivait nues ou juste habillées d’une robe ample pour aller dans le village ou descendre à la mer.

    En rentrant des vacances, je ne pouvais plus supporter les hommes, leur supériorité, leur incorrection, leur égoïsme. Je suis restée en couple avec Hélène jusqu’à la rentrée universitaire. En fac je me suis rapprochée naturellement des filles et j’ai rencontré Lucie,

— AH oui !... La suédoise, la jolie blonde.
— Ne sois pas macho ! Oui la jolie blonde, une vraie lesbienne aussi. La reprise des cours, ma rencontre de Lucie, mon éloignement du lycée, la jalousie ont fait qu’avec Hélène on s’est séparées. Pendant la première année de fac j’étais souvent avec des filles, j’ai butiné pas mal de minou jusqu’à ce que je te rencontre.

Toujours allongée, elle relève la tête, me sourit et m’embrasse du bout des lèvres, elle attend. Mon lit est étroit (90 cm, ce n’est pas large) et ne permet pas trop d’excentricités. Je veux l’aimer comme Hélène l’aimait et lui faire désirer l’homme qui est en moi. Je la laisse sur le ventre, glisse au pied du lit tout en la couvrant de baisers ; telle une fille ma longue chevelure caresse ses épaules, son dos, ma langue décrit des arabesques, je prends mon temps, m’attarde au creux des reins. Avec douceur ma main parcourt ses fesses, fait naître le désir. Mélina ronronne de plaisir, écarte les cuisses, creuse les reins, s’offre à moi. Mes doigts suivent la raie des fesses sans forcer le passage. Ma main et mes cheveux caressent la cuisse, j’atteins le mollet. Les jambes s’écartent un maximum, les pieds à chaque bord du lit, je suis au sol, je vois son sexe luisant de mouille, sans précipitation j’embrasse un à un les pieds, suce les orteils. Elle plie les genoux, relève les pieds comme pour me demander de venir.

Je remonte sur le lit, pose mes lèvres sur ses fesses, j’écarte les globes, découvre l’œillet sombre et strié, elle sent ma respiration, creuse les reins et gémit. Ma langue lèche le fruit mûr,
C’est elle qui décide, qui se met sur le dos, qui me donne sa chatte, qui accélère l’action, se branle le clito et plaque ma bouche à son sexe. Je sais faire, c’est encore la femme qui la suce, ses cheveux qui lui couvrent le ventre, ses doigts qui écartent délicatement ses lèvres, sa langue qui la pénètre qui la fait jouir. Elle crie, ses doigts s’agitent sur le bouton, ses genoux pliés battent comme des ailes de papillon.

Je la laisse reprendre sa respiration et anticipe sa demande. C’est enfin l’homme qui la couvre de tout son corps, ses cuisses sont prises par les jambes de la femme  comme par des lianes, sa verge la pénètre d’un coup puissant, elle l’accueille d’un long soupir de bonheur. Nous faisons ainsi l’amour longtemps.

Je veux la voir jouir, voir son visage se crisper, sa peau devenir chair-de-poule, je veux l’entendre couiner, je veux la sentir vibrer. Sans la quitter, je me relève, passe ses jambes sur mes épaules, prends ses seins et je la besogne avec force. Je regarde nos sexes accouplés, ma bite sortir du vagin rouge sang, couvert d’écume qui reste ouvert. J’y replonge, je la baise. Elle hurle, le voisinage l’entend, c’est sûr et j’aime cet exhibitionnisme. La force et la violence ont remplacé la douceur et la tendresse. Je lui triture les tétons ils sont durs et tout sombres.

Je la baise encore et m’écroule sur elle, l’écrase, je l’arrose, je lui donne tout je me vide en elle. Elle me prend dans ses bras m’embrasse les lèvres, les joues, le nez.
— Oh John tu es l’homme qu’il me faut, je t’aime, je te veux, je te garde, tu es tout, tu es la femme, tu es l’homme dont j’ai besoin.
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