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Le libertinage

Chapitre 6

Avec une copine de fac - 2

Avec plusieurs hommes
La dernière déclaration de Mélina « John tu es l’homme, tu es la femme dont j’ai besoin... je t’aime, je te garde » résonne encore dans ma tête. C’est une déclaration d’amour si je ne me trompe pas, en tous cas la première de ce genre. Mélina m’a toujours impressionné par son ascendance, ses compétences, sa bonne humeur. Elle est intelligente, charmante et séduisante. C’est vrai que depuis quelques temps je pense souvent à elle, je me préoccupe de ses réactions, je suis heureux avec elle. Serais-je amoureux ? On dit que l’amour ça se vit à deux, l’un avec l’autre, l’un pour l’autre. Alors je ne sais pas, je ne peux m’empêcher de regarder les autres, je ne suis pas exclusif. Je ne suis pas jaloux non plus, j’aime la voir faire l’amour, avec un autre, une autre, elle aime comme moi les deux sexes même si elle a un faible pour Lucie, la belle suédoise.
Revenons aux préoccupations du moment. Depuis quelques semaines j’étais à la recherche d’un stage de fin d’année et un matin Mélina accourut vers moi toute joyeuse :
— John ! Nous avons un stage.
J’étais à la fois interloqué, elle parlait publiquement de « nous »m’associant à son projet et content pour le stage trouvé. Devant les copains c’était la première fois qu’elle déclarait en quelque sorte notre relation.
— John, un cabinet d’avocat a accepté ma candidature.— La tienne !— Non mais... j’ai parlé pour toi aussi, l’année dernière ça avait si bien marché tous les deux. Tu ne veux pas qu’on recommence ensemble ?— SI ! SI ! Bien sûr.
Et pour ceux qui n’avaient pas entendu elle confirma son attachement en me prenant par le bras et m’embrassant dans le cou. Il y eut quelques observations désobligeantes, en particulier de mecs qui probablement s’étaient faits jeter « T’as vu la gouine... Je croyais que c’était un pédé... Qui se ressemble s’assemble ». mais aussi plus intelligentes « Bravo, on ne change pas une équipe qui gagne... Dommage j’aurais bien voulu le faire avec elle »
Le trimestre se termina bien pour nous deux avec de bons résultats aux examens.

Début mai nous rencontrons Maître Frarot patron d’un petit cabinet d’affaires familiales avec lui travaillent une secrétaire et un jeune licencié en droit préparant sa thèse. Les deux semblent bien s’entendre. L’ambiance du bureau, installé dans un appartement, est cool, on se tutoie, il n’y a pas de Maître qui compte mais de Jean un homme d’une quarantaine d’années et de Martine et Paul tous deux de 30 ans environ.Au début on nous occupait à faire des photocopies et du classement comme trop souvent dans ce genre de stage jusqu’au jour où Jean nous appela dans son bureau :
— Je voudrais que vous rencontriez une jeune étudiante qui est convoquée au commissariat de police de Nanterre pour une affaire d’exhibitionnisme. Elle a été photographiée blouse ouverte et jupe relevée. L’affaire risque d’aller en correctionnel, elle m’a donné une photo où on la voit seins à l’air et ventre nu en public et en plus il y a enfants. C’est une nana qui me semble paumée et qui ne s’exprime pas trop, peut-être que entre étudiants vous apprendrez quelque chose pour la défendre.
Dès le lendemain nous avions rendez-vous avec Annie. Elle ne paraissait pas particulièrement délurée et même plutôt godiche. Elle était très inquiète et effrayée par sa prochaine convocation. Notre relation est devenue immédiatement franche et amicale. Une relation entre copains tout simplement.

Au cours d’une longue discussion entrecoupée de sanglots et de pleurs nous apprenons qu’elle a été piégée par des gars de sa citée. Au départ pour séduire son copain, elle avait accepté de lui faire une petite exhib dans un square. Ils s’étaient mis tous les deux dans un coin tranquille, il y avait du monde dans le square mais derrière eux. Au début il était juste question de lui faire voir ses seins. Sa blouse ouverte, il lui a demandé de retirer sa culotte. Se sentant protégée des regards et face à l’exigence du mec elle a relevé sa jupe. Pendant ce temps un autre gars de la bande, caché dans un bosquet, faisait des photos.
Plus tard dans la cité, son copain l’a traitée de pute et a voulu la baiser avec d’autres mecs. Refusant, c’est à ce moment qu’il lui a fait voir la photo la blouse ouverte et la jupe relevée en disant qu’il allait porter plainte à la police pour attentat à la pudeur.
La situation paraissait compliquée et vraiment mal engagée. La pauvre ne cessait de pleurer, Mélina la tenait dans ses bras en essayant de la consoler :
— Sais-tu si la photo a été remise à la police ?— Non ! dit-elle tout en reniflant. Je ne crois pas, il me l’a encore montrée hier.— Bon... Alors on va aller dans ta cité et tu vas me faire voir discrètement ton copain et sa bande, je vais m’en occuper.
La citée est tout à côté du parc et de suite elle nous a fait voir Amel et trois copains. On les observe bien, de sales petits cons d’une vingtaine d’années jouant aux caïds. Au moment de la quitter Mélina l’embrasse sur les joues, essuie ses larmes :
— Ne t’inquiète pas Annie, on va s’en arranger...
En revenant à Paris je lui demande des explications
— Qu’est-ce que tu as idée de faire ? T’as vu leur allure, des sales types !— Ce que j’ai idée de faire... Piéger son pote ! Je vais draguer le mec, l’amener dans un coin pour qu’il me saute. On va demander l’aide de ma copine Lucie et vous deux ferez alors des photos. Nous lui dirons alors que s’il ne retire pas sa plainte, nous l’accuserons de viol.
Nous sommes retournés sur place pour repérer les lieux et préparer le coup.
En ce jour mai il faisait chaud. Mélina était très légèrement vêtue. Elle repaira Amel en compagnie d’un pote, contente qu’ils ne soient que deux. Assez facilement elle se fit remarquer et ils commencèrent à la draguer. Elle les amena là où elle voulait et assise sur un banc entre les deux gars ils commencèrent à parler. La conversation ne s’éternisa pas. Les mains se firent entreprenantes, Mélina réagissait mollement, ils la caressaient au dessus de la robe sur les cuisses, la poitrine, les têtes penchées sur ses épaules, Mélina se laissait conter fleurette et éclatait de rire sous les chatouilles. J’étais avec Lucie, pas très loin caché dans les buissons près d’une cabane. Nous entendions des bribes de conversation « Mignonne...Chaudasse... Non... Allez laisse-toi faire... Non, non »
Après quelques minutes, le temps de faire des photos Mélina se leva et vint vers nous. Le plan fonctionnait à merveille, les deux types se laissaient conduire. Tout en discutant, Mélina se plaça là où elle voulait par rapport à nous. Tout d’abord très provocante, elle changea d’attitude lorsque les deux mecs prirent le dessus. Ils commencèrent à la tripoter avec force, à relever la robe et à baisser son slip. Autant sa robe était légère que ses dessous de coton étaient ceux d’une sage jeune fille. Les deux connards étaient excités comme des bêtes et ne se contrôlaient plus.
Mélina jouait parfaitement la comédie, les photos étaient superbes, elle se défendait très bien alors que les deux gars sortaient leur sexe. Avant qu’il ne soit trop tard, elle hurla « Au secours » on sortit de notre cachette au moment où un gars alerté par les cris accourut « Que se passe-t-il ? » Mélina sanglotait en disant
— Ils ont voulu me violer !— Oh ! Écoutez-la, cette allumeuse, cette sale pute !— OH les gars, STOP ! Crie le dernier gars arrivé prenant Amel par le cou.
Nous apparaissons et ajoutons :
— Nous sommes témoins, les deux ont voulu la violer, on va amener mademoiselle au commissariat pour qu’elle dépose plainte.— OK, vous avez raison, ajoute le dernier témoin, allez-y, je n’ai pas le temps de vous accompagner mais je suis témoin également, voici ma carte de visite.— Bon mademoiselle, remettez vos habits en ordre on va y aller, j’ai pris une photo de vos agresseurs.— Attendez, attendez ! Les deux gars nous retiennent avec Lucie.— Ça suffit les mecs », je dis, « On a assez perdu de temps, venez mademoiselle.— NON ! NON ! On ne peut pas s’arranger ?— Euh… s’arranger... Peut-être !.— Ah oui !Comment ?— Vous nous accompagnez au commissariat.— Ah NOOON !... Pourquoi faire ?— Pour retirer une plainte.— ….— …. d’exhib ! Vous voyez ce dont nous voulons parler ?— D’accord... c’est cette salope qui vous a demandé de l’aide.— Je pense que c’est toi le salaud, allons on y va et attention pas d’embrouilles sinon pour toi... ce sont les Assises !
Au poste de police tout se termina bien, Annie reçut une attestation annulant la plainte d’exhibitionnisme et nous lui donnâmes nos photos avec les deux types bousculant Mélina avec nos coordonnées à toutes fins utiles. Amel et son pote se prirent un sérieux avertissement de la police pour fausse déclaration.
De retour au Cabinet avec Mélina nous avons reçu les félicitations de l’avocat pour notre travail.
— Mélina c’est très bien de donner de ta personne mais tu as pris de gros risques. Ça aurait pu très mal se passer.— Tu sais Jean une fois de plus, « La meilleure défense c’est l’attaque »— Mouais... tout de même ! En tous cas bravo pour ton initiative...
La fin du stage n’a pas été occupée que par les photocopies et le classement. On a travaillé de plus en plus sur les dossiers en devenant de véritables assistants. Nos relations évoluaient aussi et devenaient très amicales. Rapidement avec Martine du simple ’’Salut!’’ matinal nous sommes arrivés au bisou.Mélina me racontait combien Martine était douce et caressante et même qu’une fois alors qu’elle se remaquillait dans la salle de bains, elle lui a demandé la permission d’aller aux toilettes en refermant la porte. Sans gêne ’’entre femmes’’ comme elle disait, elle se déculotta et à la fin de la miction, elle l’embrassa sur les lèvres en disant « J’en avais tellement envie » et en la quittant « C’était tellement bon ». Le double sens était évident, d’autant plus que le baiser se renouvelait régulièrement.Elles sont devenues très intimes, se confiant l’une à l’autre. Elles savaient toutes deux que l’amour se conjuguait au pluriel.
Pour notre dernier jour Maître Frarot organisa un dîner d’au revoir. La soirée était à la fois amicale et émouvante. Nous étions sur le point de nous séparer quand Martine me murmura à l’oreille :
— Venez tout à l’heure à la maison, Mél connaît le chemin !
Un peu plus tard nous arrivâmes chez elle pas loin de la gare Saint Lazare.
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