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Libertinage à la ferme

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Je m’appelle John, je viens d’avoir 21 ans et je suis en dernière année de Sciences Eco. Depuis presque un an je vis en couple avec Mélina, une fille libérée qui aime tout dans le sexe. Nous habitons dans une chambre sous les toits au dessus de notre logeuse qui nous offre le logement en contre-partie de quelques services et privautés.Après notre stage de fin d’année dans un cabinet d’avocat nous avons pris chacun de notre côté deux semaines de vacances avec nos parents.Ça fait une semaine que nous sommes de retour et que nous travaillons à écrire notre rapport de stage.
Mél est travailleuse et déterminée à présenter notre rapport mais l’exiguïté de la chambre fait qu’on avance difficilement.Un coup de téléphone va nous donner de l’espace. C’est Marie, l’amie des parents de Mélina :
— Bonsoir Marie... Oui j’étais avec mes parents en Grèce... Après mon stage j’ai beaucoup de travail... Il faut rendre le rapport dans trois semaines... C’est difficile, je manque de place pour travailler... Non, j’habite chez un copain, dans une petite chambre... Euh, oui en couple... John... Mes parents... au courant, oui bien sûr... T’inquiète Marie, qui se ressemble, s’assemble... Bien sûr... Attends, que dis-tu ?... Chez toi, ça serait super, je lui demande...— Marie, tu sais la fermière en Normandie, nous propose de nous recevoir jusqu’à la rentrée universitaire pour travailler, t’es d’accord ? je réponds d’un sourire et d’un signe de tête.— Écoute, nous sommes d’accord, tu es adorable... Demain ! Super, on prévient mes parents et notre logeuse et le temps de préparer nos affaires et on se retrouve demain soir... Oui bien sûr en train... A la gare de Lisieux à 16.50 heures... Tu es adorable... A demain... Tu es une coquine, moi aussi je t’embrasse.
On a juste le temps de se préparer et d’informer nos parents et Germaine attristée de nous voir partir trois semaines et nous disant que l’appartement sera disponible à notre retour.
........Le lendemain en arrivant à la gare de Lisieux.
C’est Georges qui nous attend à la gare, un grand gaillard blond au crane dégarni en salopette bleue et chemise à carreaux. Après quelques mots de bienvenue et de présentation, nous voilà partis en 2 CV sur les petites routes normandes. Georges n’est pas très bavard, nous pas plus, peut-être un peu fatigués. Je regarde la campagne, en ce début septembre le bocage est magnifique, les animaux sont dans les près, je retrouve avec plaisir les maisons blanches à colombages rouges et bleus.Avec Mélina je suis à l’arrière, balloté par une suspension trop souple. Elle est tout contre moi, séparée par la barre de fer du milieu de la banquette, je sens son souffle dans mon cou « C’est beau... hein ? » je réponds oui de la tête.Il klaxonne :
— Ça y est les jeunes on arrive !
On arrive à la sortie du village dans une cour de ferme en sol battu. Une maison d’habitation de plain-pied, un hangar pour le matériel agricole et un grand bâtiment, avec la grange, l’étable et l’écurie.Un magnifique labrador noir accourt vers la voiture. A peine descendu de la voiture, le chien approche de Mél, lui donne deux, trois coups de langues sur les jambes nues qui la font rire. Elle lui caresse le crane, se sentant accepté, le chien la sent de partout en fourrant sa truffe sous sa mini-jupe ce qui la fait bien rire .A ce moment Marie sort de l’habitation en rigolant :

— Oh le chien tu te permets des choses » nous éclatons tous les quatre de rire et tout en venant vers nous « Il t’a déjà acceptée, Rex est tout fou mais c’est un coquin aussi »
Elle prend Mél dans ses bras et lui colle un bisou sur la bouche :
— Que je suis contente de te revoir » elle l’embrasse à nouveau un peu plus longuement, puis venant vers moi « Alors c’est ton chéri... John c’est ça ?— Oui » à peine audible.— Tu es timide ?... Moi c’est Marie.
En me tenant par le bras elle m’embrasse deux fois sur la joue puis deux fois à la commissure des lèvres.
— Venez que je vous installe, tu sais John, tu es à la campagne, c’est tout simple ici mais vous aurez de la place, vous serez au calme pour travailler comme me disait Mél mais pas que j’espère... Ici vous êtes libres et loin de tout, vous pouvez chanter, crier sans gêner personne.
Georges a pris nos deux sacs et nous suit. Nous entrons directement dans la cuisine en faisant un bon de 50 ans en arrière. Mis à part un grand frigo tout est du siècle dernier : la grande table de bois brut pour au moins 10 couverts, le placard peint, l’évier en pierre, la grosse cuisinière en  fonte avec une grande marmite d’où sort une délicieuse odeur de ragoût, le sol est carrelé de tomettes hexagonales.
A côté, c’est la pièce à vivre, elle est plus du double de la cuisine, en entrant à droite il y a un coin repas avec un vaisselier, une grande table en chêne ciré et au moins 10 chaises. A l’opposé se trouve le salon, devant la cheminée monumentale sont disposés en U deux grands canapés et deux fauteuils recouverts de tissus, un énorme coffre et deux bougeoirs sur pieds complètent l’ameublement. Comme la cuisine, la pièce s’ouvre sur la cour mais la porte est condamnée. Elle s’ouvre aussi à l’arrière sur le jardin.
On entre ensuite dans deux chambres identiques s’ouvrant seulement sur le jardin et séparée par une grande salle d’eau rustique, les murs blanchis à la chaux, sauf un coin carrelé avec un pommeau de douche, dans un autre coin il y a une toilette puis sur un mur côte-côte un lavabo et un bidet.
Ainsi organisée la maison a deux aspects, la cuisine tournée vers la ferme et le travail et le reste de l’habitation tournée vers le jardin et le repos. En arrivant dans la chambre du fond Marie nous invite à nous installer et à se retrouver dans une demi-heure pour l’apéritif. Il y a un immense lit, une armoire ancienne en chêne et deux fauteuils.
Le chien nous a suivi partout et reste dans la chambre à sentir nos affaires. Mélina assise sur le lit lui prend la tête à deux mains et le regarde dans les yeux :
— T’es beau mon chien » Rex a sa gueule sur ses cuisses à moitié découvertes, il renifle fort et d’un coup de collier sa truffe est sur l’entrejambe à donner de grand coups de langue « Mais t’es un coquin »— D’autant plus coquin qu’il bande, regarde son bout tout rouge sorti du fourreau de poil... Dis-donc, tu m’avais caché tes goûts pour la zoophilie !— Arrête ! T’es con ?— Non mais il semble avoir des habitudes.— Ouais... peut-être, mais moi non ! Par contre qu’il me sente le cul ou la chatte je m’en fous.
Notre porte avec la salle de douche est restée ouverte. On entend l’eau couler, je dis tout bas « Au diable l’intimité »
— T’inquiète, elle te l’a bien dit : ici vous êtes libres, loin de tout, vous pouvez chanter, crier sans gêner personne et crois-moi, ils ne se gênent pas » Elle devient toute câline, s’accroche à mon cou « D’ailleurs fais voir à Rex de qui je suis la chienne »
Elle part en arrière et tombe sur le lit, jupe relevée découvrant son shorty de soie blanc. Après l’avoir baissé, tel un chien je grogne, je renifle avant de lui lécher la chatte. Le chien assis à mon côté aboie, Georges toujours dans la salle d’eau l’appelle, « Rex ! ici » il ne bouge pas, il insiste et j’entends plus distinctement sa voix « Rex ! Ici ou tu veux que je vienne te chercher ». Alors que je lui bouffe la chatte et lui broie les seins dénudés, je suis sûr que Georges nous regarde, j’entends un claquement de doigt et une voix étouffée « Ici » Le chien se lève et s’en va. Mél miaule et me demande de la rejoindre sur le lit.
Depuis dix minutes nous forniquons, lorsque de loin Marie nous dit que l’apéro est servi dans le jardin.Mél me conseille de mettre un short et reste nue sous sa jupette et son tee-shirt. Nous passons directement de notre chambre au jardin et surprise lorsque je vois une piscine et nos hôtes en bikini ou boxer. Exposé ouest, le jardin est ensoleillé, dans un coin fume un barbecue. Martine nous voit arriver :
— Alors mes chéris bien installés... Rex est insupportable à certains moments. Il vous a embêté mais il va s’habituer à vous... Il fait encore chaud, ça vous dit de prendre un petit bain avant l’apéro ?— Euh… oui, je vais mettre un maillot.— Mais non, Mélina m’a dit que tu étais habitué aux plages naturistes, ici je te répète on vit libre.
En se levant, elle fait sauter son deux pièces et dans la foulée Mélina se débarrasse de ses vêtements et saute à pieds joints avec Georges dans le bassin. Il me faut beaucoup plus de temps pour me déshabiller, je reste debout au bord de l’eau à regarder les trois amis s’ébattre et rigoler comme des gamins.
Marie saute sur la pointe des pieds en me tendant les bras, ses seins flottent comme deux ballons « Viens, elle est super bonne ». L’instant d’après je suis dans ses bras et ses jambes autour de ma taille. Mon état d’excitation autant que la loi d’Archimède font que nos sexes sont en contact par intermittence. Ce sont des éclats de rire, des éclaboussures de partout.
Lui est collé au dos de Mél qui rigole comme une petite fille qu’on chatouille. Elle, arrimée à mon cou et mes hanches, ne cesse de faire des petits sauts, je bande tout dur prêt à la pénétrer. Elle chuchote « Hummm... plus tard ...» et m’embrasse en passant la pointe de sa langue sur mes lèvres « Viens prendre l’apéro » et moi de répondre « Ce n’est pas ce que nous faisons ? » Elle sort du bain sans me regarder en criant « Coquin ! ». Je ne vois alors que ses fesses rondes et ses cuisses musclées.
L’ayant rejoint au bord du bassin, je découvre le côté face, les seins lourds, le ventre rebondi, le pubis au naturel, son corps est façonné par les travaux manuels. A son tour Georges sort au milieu d’une gerbe d’eau puis tire Mélina sur le bord, lui aussi est charpenté par les travaux de la ferme et poilu tout blond sans être un ours.
Le soleil s’est caché derrière la haie qui nous entoure, nous enfilons tee-shirts, chemises ou pulls en restant jambes nues.On prend l’apéro sur la terrasse presque sagement, on parle beaucoup de notre travail,  des familles, en une demi-heure on se connaît déjà très bien.Il est temps de préparer le dîner, Georges s’active au barbecue et Marie en cuisine avec Mél. J’apporte les viandes pour les cuire et reste avec le maître queue, oui, oui on peut le prendre dans les deux sens, la sienne dépasse largement son pull.
— Alors John bien installé ?— Parfait, c’est chouette et vous êtes hyper tranquilles.— Sûr, les voisins ne nous dérangent pas, on peut faire la fête toute la nuit. Le côté cour c’est la ferme et le boulot, le côté jardin c’est le repos et la fête et crois-moi on bosse autant qu’on fait la bringue, et ici la bringue c’est sans tabou.
On parle encore un moment. Rex assis à nos pieds dans l’espoir d’obtenir un quelque chose.
— Tu sais, j’aime beaucoup ton genre.— Euh... Oui, c’est à dire... Efféminé ?— NON ! Je dirais androgyne, ce mélange de courbes et de virilité, du féminin et du masculin. Ton corps est à l’image de mes goûts.
Marie et Mélina arrivent chargées de paniers et de plats, nous appellent et abrègent notre conversation
— Allez les garçons à table, Georges les viandes sont cuites ?— Ouais, ouais le temps de mettre la table et ça sera parfait.
Le repas terminé, il fait frais et on rentre dans le séjour. Deux lampes sur pied éclairent faiblement la pièce, Georges met un disque de jazz, l’ambiance est très intime. Les filles s’asseyent sur un canapé et immédiatement se câlinent, la main de Mél file sous la chemise de Marie. On la voit s’activer, probablement violenter le téton, un gémissement de douleur le confirme. Les jambes se décroisent, s’ouvrent, Marie plonge la main sur le ventre glabre de Mél alors que Rex sans détour pousse sa truffe dans l’entre-jambe de sa maîtresse et à grand coup de langue lape la toison épaisse.
Je suis sidéré, j’en avais entendu parler sans l’imaginer, visiblement les bringues de la maison sont sans limite. Georges à mon côté le confirme avec sa main sur mon sexe, tout sourire en me regardant pour confirmer mon accord. Le tableau offert est excitant, je bande sans vraiment m’en rendre compte et c’est l’homme en se penchant sur moi qui éveille mon attention, je m’offre à lui sans détour. Il garde une main dans mon dos, prend ma queue de l’autre et me suce avidement, ses « Hum, hum » accompagnent ses va-et-vient. J’aime comme il me suce avec force, comme il me branle en tirant au maximum sur le frein, comme il me broie les burnes. Je me laisse faire et... je m’abandonne, lui donne tout en jets puissants. Il aspire longtemps encore après, maintient ma virilité en massant doucement le membre et les bourses.
Les filles sont tête-bêche sur le canapé, le chien assis les observe langue pendante. Georges bande comme un taureau et va les rejoindre. Mél a le dessus et c’est à son cul qu’il s’intéresse, il se place debout au dessus des yeux de sa femme, un pied par terre, l’autre au fond du canapé. Elle lui suce le bourgeon avant de le positionner sur la chatte de la copine pleine de mouille et de salive. Lui d’un coup de reins la pénètre jusqu’aux couilles. Accroché à ses hanches il la prend avec force à grands coups. J’imagine que sa femme le lèche pendant qu’il baise Mél qui ne cesse de gémir au rythme des coups de boutoir :
— Ah ! Oui ! Uiui... Oh Jo ! Que c’est bon, prends-moi le cul !
Vos désirs sont des ordres madame. Le voilà à l’ouvrage avec attention il la pénètre en douceur puis les chairs assouplies il l’encule brutalement. Les « Han ! Han ! » et « Oui !Oui ! » se mélangent avant de s’unir en une explosion de jouissance... « AHHHHH ! » Le chien debout à côté des filles aboie en remuant la queue.Georges se relève, aide les filles à se mettre debout et respire profondément en disant :
— Putain que c’était bon, allons à la douche, demain il faut que je bosse.
Tous les quatre dans la salle d’eau, l’une sur le bidet, les autres à la douche, lavabo ou toilettes, tout se fait dans la rigolade et la bonne humeur.
Depuis un moment je suis dans le lit avec Mélina qui s’endort quand on entend dans la chambre d’à côté des murmures étouffés. « Non !Couché »
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