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Libertinage à la ferme

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Comme la veille c’est l’activité de la ferme qui nous réveille. Après un petit câlin nous passons par la douche pour retrouver Marie dans la cuisine. Rex surveille les allers et venues avec la cour. Je débarrasse la table couverte des restes du petit déjeuner des employés de la ferme, bols, assiettes, morceaux de pain, restes de beurre, pâté, fromage pendant que Mél se met à la vaisselle.
— Merci mes chéris pour votre aide... dur dur les vacances mais la ferme démarre à sept heures et à huit tout le monde est parti. On va s’occuper de nous trois à présent » Rex signale sa présence « Oui mon chien toi aussi … Bon ce matin je vous laisse travailler, moi j’irai à Deauville faire les courses pour le week-end. Cette après-midi nous irons chercher des champignons, je les ferai à la crème pour tes parents demain soir.
Marie s’active, on petit-déjeune sans vraiment parler de nos ébats d’hier soir. Rex est couché au sol content après sa gamelle de riz. Pour nous ni charcuterie, ni fromage, on se régale de grosses tranches de pain et du beurre de la ferme, même le café au lait n’a rien à voir avec celui de la ville.Tout le monde est parti travailler, Marie file à la salle de bains tout en se déshabillant. Après la douche et les rangements nécessaires elle nous laisse. Mél prend les directives :
— Dépêche-toi John, il faut avancer sur notre rapport avant le week-end.
Un peu à reculons je me mets à bosser tout en reconnaissant qu’elle a raison. C’est une fille vraiment bien avec beaucoup de qualités, intelligente, travailleuse, rigolarde et... libertine. Bien plus tard la 2 CV revient et Marie nous demande de l’aide pour amener dans la cuisine l’approvisionnement acheté au marché et en boutiques.
— Merci mes chéris, j’espère que vous avez bien avancé dans votre boulot, si vous êtes d’accord on va vite déjeuner et partir aussitôt que possible aux champignons, ils ont prévu de l’orage cette après-midi.
Il fait effectivement très lourd, je mets juste un short et une chemisette alors que les deux filles sont en petites robes d’été. Je sais que Mél est à son habitude nue en dessous et visiblement Marie ne porte pas grand chose comme je vois sa poitrine se balancer.
Après l’omelette salade, on file en voiture dans la campagne. Rapidement on stoppe au bord d’une grande prairie, Marie nous tend des paniers :
— On va chercher des rosés des prés.— Des quoi ?— Ooooh, ces gens de la ville... Regardez, ils sont blancs et les lamelles toute roses ! Il y a aussi plein de pissenlits, on va en cueillir et on les fera ce soir avec des lardons, dépêchons-nous avant qu’il ne pleuve.
Ainsi équipés nous partons à travers champs bien que le ciel s’assombrisse et le vent se lève, on entend au loin le tonnerre. Après une demi-heure de cueillette on arrive en liseré d’une haie et les premières gouttes tombent, fini la cueillette. A peine fait-on demi-tour qu’un éclair barre le ciel, suivi d’une pluie violente, Mél et Marie partent en courant en se tenant la main. Sous le ciel noir la pluie redouble d’intensité, ma chemisette est trempée, les robes collent à la peau et ne cachent plus les corps nus. On arrive à la voiture essoufflés, à peine à l’abri c’est une crise de rire, les deux filles s’étreignent et me regardent en souriant. En peu de temps la cueillette a été bonne et à présent sous la pluie battante on roule prudemment. A peine arrivés à la ferme :
— Entrez, entrez mes chéris et vite à la douche, ne prenez pas froid !

Les paniers abandonnés dans la cuisine, tout en parlant, elle défait sa robe mouillée qui tombe sur le carrelage dans un bruit sourd. Elle courre jusqu’à la douche suivie par Mél. J’ai toujours un temps de retard par rapport à elles d’autant plus que je n’arrive pas à me défaire du short trempé à tordre.Lorsqu’enfin j’entre dans la salle d’eau je les vois toutes deux enlacées face à face, Marie frottant énergiquement le dos de Mél :
— Tu es gelée ma chérie » puis me voyant « Dépêche-toi John vient nous réchauffer !
Entre les formes pleines et matures de l’une et la silhouette jeune et gracile de l’autre, je me plaque au dos de Marie et m’empare de son ventre rebondi et d’un sein écrasé contre la jeune poitrine. La pluie chaude de la douche est un vrai bonheur et me ravigote immédiatement. Les deux femmes se prêtent à mes caresses, me laissent évoluer entre leurs corps, rouler le téton épais de l’une tout en excitant du dos de la main la pointe de l’autre, me perdre dans la toison de l’une tout en caressant le ventre glabre de l’autre.
Marie creuse les reins, me tend ses fesses, ma main fouille son ventre avec trois doigts alors que ma verge se redresse et trouve sa place entre ses cuisses qui s’écartent légèrement. Mélina disparaît de ma vue, je la sens me lécher la main, je lui cède le terrain pour pétrir les seins à deux mains. La coquine à genoux me pelote les couilles tout en s’occupant du ventre de la fermière. On n’entend que le bruit de l’eau et les respirations haletantes. D’un coup l’eau s’arrête et l’ordre claque :
— Venez sur le lit !
La femme se dégage de nous deux, prend un peignoir et nous tend des serviettes. Elle se frictionne énergiquement le corps avant de relever le bas du peignoir pour sécher ses cheveux. Dans sa chambre ouverte sur le jardin elle s’allonge au milieu du lit, les bras en croix, le peignoir largement ouvert. Mél et moi tout en nous essuyant, la regardons offerte, semblable à une déesse de la fécondité.
Elle est naturelle, sans maquillage, les cheveux châtains s’étalent sur l’oreiller jusqu’à ses épaules. Les seins s’affaissent légèrement sur les côtés, les aréoles sont larges, les tétons endormis, le rebond naturel du ventre disparaît mettant encore plus en valeur le buisson pubien qui couvre totalement le sexe, les hanches sont larges comme les cuisses. Une femme de 40 ans assoiffée de sexe nous attend. C’est Mél qui la rejoint en s’allongeant sur elle, les cuisses s’ouvrent pour l’accueillir, les bras se referment pour la retenir, les deux femmes s’embrassent.
Je suis hors jeu, assis au bord du lit. Je caresse simultanément la jambe de l’une du bout des doigts et de l’autre de la paume, remonte au creux du genou et continue jusqu’à atteindre l’entrejambe. Je me mets à  genoux à la hauteur des hanches pour dominer le postérieur de Mél,je le caresse d’une main alors que l’autre se place profondément entre les cuisses des deux femmes passant d’une fente à l’autre . Celle du dessous, au fond d’une broussaille est comme une moule débordante d’humidité, l’autre est semblable à un gros abricot profondément taillé, il faut le pénétrer pour y trouver le nectar bouillonnant.
J’ai deux doigts dans chaque fente et mon pouce titille l’anus de celle du dessus. De ma main libre j’écarte la fesse, me penche pour laisser tomber un filet de salive sur l’œillet tout sombre et contracté. Je me penche encore jusqu’à mettre ma langue sur le petit trou. Les cuisses de Mél placées entre celles de Marie s’ouvrent brutalement et dégagent complètement les sexes. Je ne sais ce qu’elles font entre elles mais elles sont très réceptives à mes caresses. Avec trois doigts je visite l’un après l’autre les orifices. Je taquine, j’excite. Les filles gigotent, murmurent, rient, tentent d’échapper à mes caresses.
Mélina se relève, me regarde, les lèvres légèrement enflammées et couvertes de salive. Elle se place à califourchon sur le visage de Marie et m’embrasse avant de mettre les jambes de la femme sous ses aisselles.
A nouveau je suis mis hors jeu. Je m’allonge contre Marie dont un sein s’écarte sur le côté, une main sur la mamelle, l’autre soutenant ma tête, j’observe Marie gougnottant Mél. Je lui souris, ses yeux me répondent, je m’approche de son visage pour mieux la voir bouffer la chatte de ma copine. Tout en suçant, léchant je l’entends gémir, murmurer « Putain qu’est-ce qu’elle est bonne, qu’est-ce qu’elle suce bien » Et je pense : quelle baiseuse !
Je bande comme un âne et j’entre dans le jeu en léchant le cul de Mél et avec deux doigts la préparant. A genoux à la tête de lit au dessus des yeux de Marie c’est elle qui me positionne et me tient face à l’anneau. Prise par les hanches, Mél creuse les reins, s’offre mieux, je la pénètre sans grande difficulté jusqu’aux couilles. Le fourreau étroit se modèle, lentement je commence à le pistonner alors que Marie et moi à quatre mains écartons au maximum le sillon au point de faire disparaître le vallonnement des fesses.A quatre pattes, elle relève la tête en râlant « Ouais, déchirez-moi, éclatez-moi le cul ! » tout son corps se met à balancer pour accentuer mes mouvements. Marie s’en prend à ses seins alors que je la fesse au rythme de ma sodomie. Mél sanglote « Ouais...plus fort ! ». Au plaisir du coït s’ajoute celui de la vue, de ma verge luisante de mouille, de l’anneau bordée de mousse jaunâtre, des fesses marquées de mes coups.’’Aïïe !’’ Surprise quand Marie me mord une couille et m’entraîne en arrière au moment où Mél part en avant et se sépare de moi. Notre accouplement se désintègre, elle et moi tombons de chaque côté aux pieds de la femme.
Je me rends compte du soin qu’apporte Marie à son corps jusqu’à ses pieds et son buisson pubien, nue seul l’absence de maquillage la distingue d’une bourgeoise ou d’une gourgandine assoiffée de sexe, je la regarde d’un autre œil.
Ma main va de sa jambe à sa cuisse pour atteindre le buisson humide comme à la sortie du bain. La broussaille écartée sur les bords ne protège plus le sexe. C’est la première fois que je vois cette longue crête de chair flasque au milieu des poils noirs. Mes lèvres déposent des pieds à la fourche des cuisses des baisers comme des petits cailloux puis je vire, passe par dessus la jambe et m’installe entre elles. Mes mains s’agrippent aux fesses, ma bouche se plaque sur le sexe, mon nez plonge dans la broussaille odorante. Je ferme les yeux, laisse la langue découvrir, exciter, la bouche sucer, goûter, le nez fouiller, humer.
Le sexe s’ouvre, la tige se dresse. L’excitation juvénile dépassée je m’applique à déguster et faire jouir. Les cuisses se relèvent,  s’ouvrent à 180°, le mont de Vénus vient à moi puis les pieds pour resserrer l’étreinte s’appuient sur mon dos.
Mélina se rappelle à mon bon souvenir en me caressant les fesses :
— Pousse-toi et occupe-toi de nous deux !
Déjà elle est sur Marie, ses jambes à l’intérieur des autres écartent encore plus les cuisses. Les deux ventres se touchent les entrejambes s’alignent, d’une main je touche les deux cuisses superposées. Le bout des doigts ou la paume de la main les frôlent, les font tressaillir. Une main est sur leurs sexes, mon pouce pénètre l’abricot fendu mes autres doigts fouillent la broussaille et retrouvent le chemin du vagin, l’autre main effleure le dos de Mél en suivant la colonne vertébrale.Ses gémissements sont plus bruyants mais c’est Marie qui en veut plus :
— Viens ! Baise-nous les deux ensemble.
Tel que, je n’arriverai à rien. Je prends l’oreiller inoccupé et tente de le passer sous les fesses de Marie :
— Lève ton cul !
Arc-boutée sur ses pieds elle se relève du lit de plus de 30 centimètres. L’oreiller sous les reins la maintient ainsi le sexe tourné vers le haut et Mél à genoux m’offre le sien tout proche le l’autre.Placé derrière elles je balade mon gland sur les deux chattes béantes. D’un coup je pénètre la moule, la façonne en trois, quatre coups de burin avant de pourfendre le jeune fruit.
Les jambes se positionnent mieux, les sexes s’accordent à ce jeu à trois, bien en place, je m’appuie au dos de Mél, en croisant les bras je lui triture les seins que je trouve particulièrement petits et fermes en comparaison à ceux de Marie. Ma verge glisse régulièrement d’une chatte à l’autre, je m’en amuse, prends du recul et vois... un petit trou. Je me détache, d’une main appuie sur l’échine de la fille qui relève les fesses, de l’autre je pointe l’anus déjà préparé et d’un coup sec je m’y enfonce. Je le lime bien avant de revenir aux chattes. Le jeu à trois bandes est plus délicat, je laisse alors les deux filles minauder et debout, accroupi j’encule seulement la plus jeune. Je me déverse longuement en elle avant de m’allonger entre leurs cuisses pour les caresser et les branler jusqu’à ce qu’elles demandent pitié.
Mél vire sur le côté le long de Marie entre les jambes de laquelle je m’assoupis. Un« BANG » violent me réveille, la pluie redouble à l’extérieur, l’orage est juste au-dessus de nous. Nous sortons tous trois de notre monde de luxure— Vous savez mes chéris je n’ai jamais baisé à trois comme avec vous, passons à la douche, Georges ne va pas tarder je suppose et préparons le dîner nous avons les pissenlits à nettoyer et cuire les lardons !
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