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Libertinage à la ferme

Chapitre 6

Rencontre familiale - 3

Avec plusieurs hommes
Je suis dans la chambre avec Mélina, ma fiancée et  Georges le fermier. Il y a quelques années, Georges a usé de son droit de cuissage sur Mélina et elle lui demande ce soir d’être le premier à la prendre en double.

Elle me demande de m’asseoir comme spectateur alors qu’elle, à genoux devant le fermier, défait la ceinture et abaisse d’un coup pantalon et boxer.
Sous la toison blonde de l’homme, la verge repose courbée sur les testicules, semblable au sexe des statues académiques. Les mains arrimées aux hanches de l’homme et avec seulement sa bouche, elle gobe la pointe, la découvre du prépuce, puis ses lèvres coulissent sur le membre qui grossit, se redresse, s’allonge progressivement au fur et à mesure des va-et-vient, les veines se gonflent sous la peau, mêmes les bourses semblent se remplir. Les gémissements de l’un les « Mmmm ! Mmmm ! » de l’autre confirment la satisfaction et le plaisir d’obtenir une queue beaucoup moins académique mais beaucoup plus désirable.

J’assiste à ce jeu tout en me caressant. D’un doigt elle m’appelle à son côté et prend en main les deux queues. En alternance elle suce l’une et l’autre, je ne l’ai jamais vue aussi gourmande. Les lèvres, les dents, la langue font monter les tensions. Les deux mains s’activent sur les troncs et les fruits. Georges me sourit, me prend par la taille et se colle à ma hanche. Sa main d’agriculteur me pétrit la fesse en l’écartant avant que son indexe me titille l’anus. Il me regarde en souriant :

— P’tite cochonne ! T’as le cul plein de sperme, c’est Yanis qui t’a fourrée comme ça ?
— …

Sur ces paroles Mélina nous lâchent et se jette au milieu du lit en me tendant les bras. Je me trouve en 69, à quatre pattes sur elle, ma tête entre ses genoux ouverts en V. Georges est à l’arrière je le sens contre mon cul et entends Mélina le sucer. L’homme me tripote les fesses, les caresse, puis me donne deux violentes claques et les masse à nouveau. Il continue en alternance caresses, claques jusqu’à ce que ça me brûle ou que ce soit suffisamment rouge à son goût. Alors deux doigts taquinent mon petit trou avant de me pénétrer d’un coup sur toute leur longueur :

— Regarde la salope comme elle aime se faire doigter.
— Mmmm ! Mmmm ! Ouais, répond-t-elle tout en le suçant. 

Sous le coup je balance mon bassin et frappe le nez de Mél avec ma queue qu’elle embouche jusqu’à la glotte d’un grand "Grrrr" suivi d’un débordement de salive. L’homme se prépare à me sodomiser je sens son nœud contre moi, ses mains  sur mes hanches, j’ai à peine le temps de pousser pour mieux m’ouvrir qu’il est en moi et s’enfonce jusqu’à ce que ses poils soient contre mes fesses et ses burnes contre les miennes. Il apprécie un moment sa victoire avant de me besogner sans précaution. Je sens Mélina passer probablement de mon gland aux couilles de Jo et revenir sur moi, excitée elle lève ses jambes pour que je les passe sous mes aisselles et mieux lui bouffer l’abricot.

La baise à trois elle aime sacrément ça ! Elle jute comme rarement elle m’a régalé. L’exercice dure trois, quatre minutes avant qu’elle nous demande de changer de posture et c’est Georges qui démêle l’enchevêtrement.

Dans la chambre d’à côté ça bouge aussi, à les entendre les deux femmes s’occupent sérieusement du grec :

— Qu’est-ce qu’il me met... Ajuste bien la ceinture...
— Écoutez ! Nous dit Georges... Marie se fait mettre par Yanis et aide Nadine à s’équiper du gode ceinture pour qu’elle enfile son mari.

Mélina ne prête pas attention aux explications, elle reste allongée sur le dos et me demande de venir entre ses cuisses. Ainsi à genoux, ses jambes sur mes épaules, je lui plante le mont chauve alors que Georges reprend sa place dans mon cul, ses deux battoirs sur mes épaules et nous voilà tous les trois en rythme. En réalité c’est Georges qui conduit le tout, ses coups de reins se répercutent au fond du vagin alors que ses retours arrière me font sortir du ventre. On copule un moment ainsi. Il me maintient à genoux fermement plaqué contre son torse par ses bras croisés sur ma poitrine, je ne suis que le prolongement de son sexe dans le ventre de Mélina :

— Dis-moi Jo, je t’ai dit que je veux que tu sois le premier à me prendre en double ! Alors plutôt que de me labourer par la queue de John faisons le correctement.

Notre trio se réorganise à nouveau alors que dans la chambre d’à côté ça ne cesse de geindre sous des claques répétées. Là encore c’est Georges qui donne la clé de l’énigme :

— Marie est une maîtresse femme qui manie le paddle avec beaucoup de savoir... C’est vraisemblablement Nadine qui y goûte, écoutez bien.

Tout en parlant il s’allonge et Mélina s’emmanche couchée sur lui en relevant les fesses vers moi. Je sais que la voie est étroite et en plus c’est une première en double. Je lèche longuement la raie avant de me fixer sur l’œillet. J’agace le petit trou, il se contracte, j’écarte les chairs et plonge l’indexe au cœur. La surprise passée, j’y mets l’indexe de l’autre main et avec précaution des deux doigts j’écarte l’anneau, le fais sourire. Pour rafraîchir la brûlure des chairs étirées à blanc, je laisse couler un filet de salive avant de pointer la langue et de les lécher. Mélina passe de l’état statique, craintif à l’état actif, participatif en accompagnant la danse de Georges d’avant en arrière. L’image offerte par les lèvres intimes qui lèchent le tronc et laissent des traînées blanchâtres, est digne du meilleur porno.

Je me positionne sabre au clerc. Mélina s’immobilise, se concentre, creuse les reins, accompagne ma poussée. L’anus s’étire, devient blanc, s’ouvre. La pointe est en place, la base, plus large force et d’un coup le gland est absorbé entraînant un grand cri de douleur « ARRÊTE ! ARRÊTE ! » tout se fige, suivi d’un long silence.

De la chambre d’à côté, on entend une question de Nadine « Ça va ma chérie ? ». L’absence de réponse semble tranquilliser la mère qui suit en direct le deuxième dépucelage de sa fille, s’en suivent quelques murmures et rires.

Je caresse doucement les deux globes avant de les masser et de jouer en les écartant et rapprochant pour décontracter l’anus. Avec succès, Mél bouge le bassin légèrement d’avant en arrière en murmurant « Viens, doucement... oui comme ça » Je m’enfonce dans les chairs étroites, je glisse contre la verge de Georges, j’ai l’impression de sentir son urètre me guider, mon gland se fraie un chemin jusqu’au fond, jusqu’à ce que mon ventre touche les fesses, mes testicules glabres se frottent aux bourses velues de Georges.

Je m’allonge et embrasse le dos de ma fiancée, tous les trois restons immobiles ainsi soudés pour s’habituer l’un à l’autre. Seul mon bassin se met en mouvement, la course de ma verge dans le fourreau se limite à cinq, six centimètres. Je caresse ses flancs jusqu’à atteindre ses deux petits cônes et les tétons qui s’écrasent sur les pectoraux de l’homme. On entend le souffle puissant de Georges écrasé par nos deux corps et les miaulements de Mél.
A côté c’est le silence à moins qu’ils nous observent, notre lampe de chevet allumée éclaire faiblement la chambre. On en saura rien mais c’est une idée qui me plaît. Je m’exhibe...

Mélina en décollant sa poitrine  accélère la course. Assis sur mes talons, je la prends par les seins et commence à la rudoyer, je sens la verge voisine se déplacer. La fille se redresse, se met à la vertical, appuyée sur les genoux et les mains sur les pectoraux musclés et poilus, elle saute sur le ventre. Je l’accompagne par de grands coups de reins de haut en bas. Elle est dépucelée maintenant des deux côtés à la fois. Ma bite va et vient dans son sphincter alors que son vagin est labouré par l’autre. Ma main plonge vers son sexe et bute sur le pubis poilu couvert de mouille. Tout en la sodomisant je titille le clito et enfonce un doigt dans le vagin contre la bite qui la ramone.

Je perds le contrôle, je m’abandonne, mon sperme bouillonne, remonte très vite et explose, il arrose les entrailles. Je sens de l’autre côté du fourreau, des contractions, des coups puissants, il jouit à son tour, deux, trois, quatre fois... quatre giclées dans le ventre. On s’affale tous les deux avant que Georges nous dégage ensemble sur le côté... C’est à ce moment que la lumière de la salle de d’eau s’allume et qu’on entend la douche couler et couvrir les voix. La concomitance de la fin de notre accouplement et de la douche me conforte dans l’idée qu’on nous observait.

Georges se lève et va rejoindre nos voisins sous la douche, alors que je reste à câliner ma chérie.

— John, je n’ai pas envie de prendre une douche, reste contre moi !.

Allongés sur le flanc on se met tête-bêche. Son entrejambe est une plaine inondée de foutre et de cyprine, je suce d’abord le plus gros, puis mes lèvres collées à la tirelire j’aspire au moins deux gorgées d’élixir d’amour. La lumière s’éteint, Georges ne revient pas dans la chambre, on se met sous les couvertures et on s’abandonne aux bras de Morphée.
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