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Libertins libérés

Chapitre 1

Erotique
« - De toute façon, je sais tout et je m’en fous !!! »
Mes mots avaient claqués dans l’air et clôturaient notre dispute. Je tournais les talons, laissant Maxime seul, digérant mes dernières paroles, n’arrivant pas à croire ce qu’il venait d’entendre.
Je savais que ce serait la fin de tout ce que nous avions connu jusqu’à présent, mais le début d’une tout autre histoire. Je gardais tout ça en moi depuis bien trop longtemps et il avait fallu d’une énième dispute pour que je crache le morceau.J’avais découvert par hasard, oui par hasard car je ne suis pas de nature suspicieuse, dans les dossiers de notre ordinateur, des photos de femmes s’exhibant, mais également des photos d’hommes en sous vêtements féminins dans des poses plus que suggestives. J’ai compris aussi que la plupart de ces photos provenaient d’échanges sur un tchat coquin, et peu de temps après j’ai trouvé des capotes et du lubrifiant au fond d’un des sacs de Maxime. Je ne savais plus quoi penser, et ne sachant quoi dire j’avais préféré me taire en espérant qu’en lui tendant une perche de temps en temps il allait m’en parler de lui même.
Douze ans de vie commune, deux enfants, et ma libido pas très folichonne avait eu raison de nous.Notre vie sexuelle était plutôt plate, nous nous engueulions souvent a ce sujet, enfin, il m’engueulait souvent. Effectivement je n’étais pas très active et refusais ses avances souvent. Je ne saurais expliquer pourquoi car j’ai toujours aimé le cul, je me suis toujours masturbée régulièrement. Je pense que j’étais trop rigide et aussi que je ne voulais pas que mon homme pense que je suis une salope. Aussi les seules extravagances que je m’autorisais était qu’il m’arrivais de lui introduire un doigt dans son petit cul pendant que je le suçais et il adorait ça. Notre couple n’était pas en grande forme, et nous devions faire de gros efforts pour qu’il ne batte pas de l’aile. Une chose est sure, c’est qu’au delà des non-dits, du manque de communication, des reproches, et du manque d’affection, nous nous aimions. Nous nous aimions même très fort. Nous avons longuement discuté, j’ai appris qu’il m’a trompé, plusieurs fois, avec des femmes, avec des hommes, mais je m’en foutais, et ça il avait du mal à y croire.
Je pris alors une décision, du moins plusieurs décisions, les plus importantes de notre vie de couple.
Pour commencer, j’abandonnais mes pyjamas, et je ne me refuserai plus à lui. J’avais remarqué que chez moi l’appétit vient en mangeant et que je peux être très gourmande par la suite.Ensuite, nous ne devions plus nous coucher fâchés, c’était important pour moi, pour notre communication.Et enfin, je lui avouais être prête à expérimenter de nouvelles choses, que quand je l’imaginais avec un autre homme ou une autre femme cela m’excitait terriblement.
Je l’aime, il m’aime,  nous étions prêts à faire  de nouveaux jeux, de nouvelles rencontres.
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Je me présente, Amandine, j’ai 38 ans, brune, mes cheveux ondulés tombent au milieu de mon dos, un physique assez sportif, même si je ne suis pas sportive, des hanches larges, de petits seins, on me dit pétillante.Maxime a 42 ans, grand, mince, châtain clair, et des yeux pouvant aller du bleu au vert en passant par le gris, le jaune, hypnotisant et plein d’humour.
Nous nous sommes inscrit sur un site de rencontres libertines, et un couple a de suite attiré notre attention. Jean-Pierre et Chantal, à peine plus âgés que nous, plus dans la recherche d’une amitié coquine que d’un plan cul, artistes, aimant partager les plaisirs, recevoir et offrir.
Nous les avons rencontré autour d’un café dans un petit bistrot à mi-chemin entre chez eux et chez nous, le courant est passé de suite, nous avons bien rit et j’avoue que Jean-Pierre ne m’a pas laissé pas indifférente. Il avait dans les yeux cette petite flamme coquine quand il me regardait, cette petite flamme qui disait « je te ferait prendre un pied d’enfer ». Je me sentais revigorée, pleine d’une nouvelle énergie, prête à faire des folies. C’est tout naturellement que nous avons projeté de nous revoir chez eux la semaine suivante.
Nous sommes arrivés en début d’après-midi, j’avais acheté un petit bouquet de roses pour Chantal, pour la remercier de son accueil, et aussi, et surtout, de me prêter son mari.
Mon homme, n’était pas trop dans son assiette, et n’avait pas particulièrement envie de faire l’amour à Chantal, il la trouvait très attirante, mais je pense que cette première expérience en couple le freinait un peu. Moi par contre j’étais excitée comme une puce, et avec le recul, je pense que c’était le but de mon mari, que je prenne mon pied !!
Nous nous sommes installés autour d’un petit vin blanc, et Jean Pierre a voulu me faire visiter sa maison. Au bout du couloir, il s’est collé à moi et m’a embrassé à pleine bouche. Il a glissé sa main dans mon jean, j’ai creusé le ventre pour lui faciliter l’accès, ses doigts on commencés à investir ma fente déjà humide. Avec son autre main, il a attrapé la mienne et est venu la poser sur son sexe déjà bien dur par dessus son pantalon. L’excitation nous faisait perdre nos sens, et sans que je m’en rende vraiment compte il a ouvert une porte donnant sur leur chambre, et m’a fait m’asseoir sur leur lit, j’étais offerte, ouverte, à lui pour une après midi.
Il m’a enlevé mon pull, j’étais nue en dessous, il a pris mes petits seins à pleine mains, il a pincé doucement mes tétons, hummm que j’aime cette caresse, pendant que je commençais à lui défaire le pantalon. Il a enlevé ses mains de mes seins pour enlever son pantalon et son slip, et s’est ensuite attaqué à défaire les boutons de mon jean, dévoilant un tanga blanc à dentelle, une flamme supplémentaire s’est allumée dans ses yeux. Son regard était empli de lubricité, il était mon animal sauvage, j’étais sa proie, conquise, prête à tout lui donner.
Il a viré mon sous vêtement et sans plus attendre m’a embrassé en me faisant basculer sur le lit.Il est descendu, il a goulûment gobé mes tétons tous durcis par l’excitation. Il a caressé mon ventre et y a déposé quelques baisers, pour enfin venir embrasser mon sexe. Il régnait dans la chambre une ambiance fiévreuse, une chaleur, une intensité. Lorsque sa langue durcie est venue fouiller mes lèvres, je commençais déjà à gémir, j’avais envie de jouir, j’avais envie qu’il me fasse jouir avec sa langue, avec ses doigts, avec son sexe. Sa langue est descendue le long de ma fente, s’insinuant doucement entre mes lèvres, sans me pénétrer, juste de somptueuses caresses, puis elle est remontée en suivant le même chemin jusqu’à mon clitoris tendu qui n’attendait que ça. Un râle de plaisir s’est échappé de ma gorge. Il léchait doucement, enroulait sa langue de part et d’autre de mon petit bouton tout palpitant, suçait, aspirait, et redescendait le long de mes lèvres ouvertes en investissant plus profondément sa caresse. Hummmm mais quel plaisir !!
Mais Jean-Pierre n’en pouvait plus d’attendre, et moi aussi, je le voulais en moi, maintenant. Il attrapa vite fait un préservatif sur la table de nuit, le mit rapidement, et colla son corps suant sur le mien, il m’embrassa encore, nos langue se cherchaient, se caressaient, s’agaçaient. La sienne avait un goût de chatte, de ma chatte, exquis. Et d’un geste lent du bassin, sans avoir besoin de guider sa queue bien dure, il s’enfonça en moi dans un soupir de bien-être, un râle de satisfaction.
Ses va-et-viens se firent plus intenses, plus profonds.
« Qu’est ce que tu es belle quand tu fais l’amour, j’avais tellement envie de toi. Tu aimes ça hein, dis moi que tu aimes— oui oui, dis-je en soupirant, oh oui j’aime ça, c’est tellement bon. »
Il me retourna à quatre pattes et s’enfonça de tout son long dans ma chatte si demandeuse. Rhâââ ce que c’était bon !! il se mit à me pistonner de plus en plus fort, de plus en plus vite, me donnant une claque sur la fesse de temps en temps, je ne pouvais plus contenir mes cris, j’étais dans un autre monde, un monde de luxure, de plaisirs, de liberté.
Je tournais légèrement la tête et aperçu Maxime d’ans l’entrebâillement de la porte, Jean-Pierre lui dit d’entrer et Maxime s ’assit au bord du lit.
« elle a un cul d’enfer, et une chute de reins tellement érotique, hum tu peux être fier !! dit-il en continuant de me secouer.Il glissa alors un doigt sur ma petite rondelle, il commença à la masser doucement avant de s’y introduire. C’était fabuleux, il me doigtais ma petite fleur en suivant le rythme de ses coups de reins. Hummm j’étais aux anges !!
Il sorti de ma chatte, et vint poser sa queue sur ma fleur après l’avoir lubrifié de sa salive. Il s’enfonça doucement, petit à petit fit pénétrer son gland, s’arrêta quelques secondes et continua sa progression jusqu’à la base de son sexe. Il est ressorti un peu et s’est enfoncé à nouveau, et encore et encor,e de plus en plus vite. C’est alors, animé par je ne sais quel démon de la baise, qu’il m’a retourné une fois de plus, et à de nouveau investi mon cul bien ouvert à présent, et s’est mit à me branler le clito. Puis le rythme a repris différemment, deux coups bien cadencés dans le cul, puis deux coups bien cadencé dans la chatte, et sans arrêter ses doigts sur mon bouton de plaisir. Quel merveilleux supplice !! j’ai crié, j’ai jouis intensément, mes sens étaient tout affolés, un voile devant mes yeux, un bourdonnement dans mes oreilles, il n’y avait plus rien, plus rien n’existait sauf nous deux, le plaisir, la jouissance, le sexe…
Il s’est alors calmé un peu, il s’est retiré et a enlevé le préservatif. Instinctivement, je me suis mise à quatre pattes la tête entre ses jambes, j’ai enroulé ma langue sur son gland avant d’y déposer les lèvres. Il a tendu son bras part dessus mon dos pour chercher ma fente par derrière, et a commencé a me doigter sévèrement, comme la petite cochonne que j’étais à ce moment là. Ma langue tournait autour de son gland et mes lèvres le suçait doucement, et lentement je suis descendue le long de sa hampe, la caressant de ma langue, en aspirant doucement, de plus en plus profondément, je remontais, lui léchais le gland, introduisait le bout de ma langue dans le méat, entourant la base de son gland, et je replongeais toujours plus profondément, jusqu’à gober entièrement cette queue offerte dégoulinante de ma salive, quelques allers-retours plus rapides, plus appuyés eurent raison de mon amant. C’est dans un râle d’une intense jouissance qu’il s’est déversé dans ma gorge et  que j’avalais sa semence.
« Mais quelle gourmande !! dit-il en regardant Maxime, Quel plaisir !! elle est exquise !! »Maxime acquiesçait, et savait que je venais de prendre un pied du tonnerre !!
Nous sommes restés un petit moment sur le lit, Chantal nous a rejoint. Nous avons repris doucement nos esprits, surtout moi, et nous sommes allés nous resservir un verre de vin, accompagné d’une part de gâteau, parce que les émotions ça creuse !!
Sur le chemin du retour j’étais encore sur un nuage, j’avais un amant, et ce n’étais pas un secret pour mon mari, quelle joie !!
C’est alors que Maxime s’est tourné vers moi et m’a dit« Pendant que tu le suçais, hummmm, j’aurais tellement aimé être à ta place !! » …
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D’autres aventures suivront….
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