Je suis dans un état d’excitation extrême, après ce qui s’était passé avec le père de mon copain, j’avais du mal encore à croire que j’avais fais çà. C’était impensable et pourtant je l’ai fait. Je n’arrête pas d’y penser encore et encore, du plaisir que j’ai ressenti, de la frustration que j’ai ressenti et que je ressens encore. Cela fait deux jours maintenant, et mes fantasmes me reprennent encore plus fort. Heureusement que c’est le week end, sinon je ne sais pas comment j’arriverais à me concentrer sur mes cours. Je suis seule à la maison, ma soeur est partie pour le week avec des amies, au moins je peux rêvasser comme je le désire. Je suis nue sur mon lit, le téléphone près de moi, j’attends qu’il sonne, j’attends qu’une voix me parle. Je glisse lentement mes doigts entres mes jambes, je ferme les yeux et me laisse aller, tellement envie de me caresser. Ma chatte est trempée, mon excitation est à son comble, je me caresse, me pénètre, quand j’entends une sonnerie lointaine qui me ramène au monde réel. Je décroche "oui" et j’entends "salut ma petite salope qu’est ce que tu fais", mon corps se rappelle cette voix; il me fait mal tellement l’envie est forte "je me caresse, tellement envie de me faire prendre, tu m’as laissé sur ma faim ". "Ecoute, si tu peux descend, je t’attend à la boutique, je suis seul ce soir et je pourrais m’occuper de toi si le coeur t’en dit" il me dit cela en soupirant, la voix entrecoupé. "Humm, oui, j’arrive, je suis seule aussi, trop envie que tu me baises, j’en peux plus, je descends". Je me lève, prends une petite douche vite fait, je mets une petite robe sans rien dessous et me voilà partie. Arrivée à la boutique, je vois la porte sur le coté ouverte, je l’ouvre doucement et j’y rentre en la refermant derrière moi. Quand des mains m’attrapent les seins par derrière, les malaxent, les pincent, les caresses et me colle à la porte, un corps qui se frotte à contre moi, une bosse que je sens sur mes fesses insistantes. ; "bon sang, ce que j’ai envie de te baiser, tu m’excites, j’ai pas arrêter de penser à tes gros seins", tout en me disant ca, il soulève ma robe et glisse une main dans ma chatte trempée "pas de culotte, mouillée, tu es chaude ce soir". Je gémis, et lui réponds "oh oui, c’est bon, et oui je suis chaude, envie que tu me prennes, je pense qu’à ca". Il passe ma robe au dessus de ma tête et me l’enlève, je suis nue. Il m’attrape par les hanches et je sens sa bite chaude et bien dur qu’il passe sur mes fesses. Il m’écarte les cuisses et me la met direct dans la chatte, sans préliminaire, d’un coup, c’est comme une délivrance, je me mets à gémir. Il se met à me pilonner tout en soupirant et me disant "tu la voulais salope, ca te plait que je te baise, tu aimes ca ma bite dans ta chatte, tiens prends ca, hummm ouiii t’en veux encore, dis le que tu en veux encore ma chaudasse". Je n’arrive plus à parler correctement, le plaisir me prend, je sens ces coups de plus en plus fort "vas y défonce moi salaud, baise moi, encore plus profond, j’aime ca, ohhhhh, encore, ce soir je suis ta salope".Il me la mets toujours plus profonde, des coups secs, long, chaud, mon corps en redemande. Il me ramones et je crie de plaisir. J’aime comment il me baise, " c’est ca que tu veux salope, ma bite dans ta chatte en chaleur, ca te plait, tu as vu comme je te ramone la moule ma cochonne, vas y prends mes coups de bite petite pute. Je ne sais plus ou j’en suis, le plaisir me tue, je vais jouir, je me fais baiser comme une chienne dans une boutique. Je crie ma jouissance, quand je le sens prêt à jouir,il se tord de désir contre moi en me pressant contre lui et je sens des jets chauds tapisser le fond de ma chatte "humm, oui, tes bonne". Il sort sa bite et me prend par les cheveux pour me glisser vers elle, je la prends dans ma bouche et la nettoie de ma langue et mes lèvres. Hummm, j’aime ce gout, c’est tellement bon, un délice. Je me lève et il me prend dans ses bras et me dit à l’oreille, "si tu veux tu restes avec moi ce soir, j’en ai pas encore fini avec toi. Je me frotte à lui pour lui répondre que je suis d’accord. Je prends ma robe et on monte l’escalier, lui, derrière moi, qui passe ses mains sur mes fesses, mes jambes. Arrivée, il me tourne dos vers lui, il glisse un doigt entres mes fesses, me pénètre doucement, le fait tourner dans mon anus, un deuxième doigt suit le même chemin, j’aime ca, c’est tellement bon, je sais ce qu’il veut et je suis prête à le faire, j’aime la sodomie, c’est tellement excitant. Tout en m’attrapant doucement par les cheveux, il passe sa langue près de mon oreille qu’il excite du bout de la langue, les doigts toujours en activité dans entres mes fesses. "J’ai envie de t’enculer, je suis sur que tu aimes ca, tu en as envie, dis moi, ca te plairais" ; "oui, encule moi, j’aime ça". Il m’a attrapé par les hanches et me la mise d’un coup sans demander son reste, j’ai hurlé, ça faisait mal. Il a fait quelques allées retours, sans se préoccuper de mes cris, puis la douleur a laissé place à du plaisir petit à petit, je me suis mise à gémir , trop bon çà coulissait trop bien. Il me disait à l’oreille "alors ma petite pute, ma bite dans ton cul ca te plait, tu aimes, ça, tu veux que je te la mettes plus profonde, tu veux que je te déchires le cul, salope" et moi j’arrêtais pas de dire oui à ce qu’il me disait, je perdais la tête tellement c’était bon, ces coups de butoirs étaient plus durs, il allait plus profond, j’avais l’impression que j’allais explosé, quand il se mit à jouir violemment entres mes fesses, tout en me malaxant les seins "salope, tu me fais jouir, j’ai adoré te baiser et t’enculer, ce soir tu es tout à moi, tu vas en avoir de la bite". Il pousse de longs soupirs et se lâche sur moi. Je suis repue, mon envie s’est calmée, mais elle va à nouveau se réveiller. je suis tellement bien et je sens que la nuit va être très chaude
