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Amélie

Chapitre 1

Inceste
La nuit tombe ; j’aime cet instant. Je peux faire ce que je veux de moi, surtout en été. Et si, en plus, la lune est pleine, c’est le nirvana. Je ne suis pas un loup-garou, quoique... Je cherche bonne fortune : une jolie fille bien sensuelle me plairait bien. J’erre dans la ville à la recherche de mon idéal. Je crois l’avoir trouvé chez moi, simplement chez moi. Ce n’était pas la peine de chercher bien loin. Ma jeune sœur de 25 ans habite encore à la maison, comme moi. Nos parents nous ont un peu oubliés en partant vers je ne sais quel horizon. Nous nous débrouillons aussi bien sans eux. Les tâches ménagères sont assurées par la bonne de la maison ; nous avons assez d’argent pour la payer et pour nous distraire. Nous en avons même trop. La bonne est une fille très particulière qui s’excite d’un rien. Je l’ai surprise je ne sais combien de fois avec sa jupe remontée et une main dans sa chatte. À chaque fois je lui ai fait l’amour à ma façon : elle était penchée en avant, les cuisses assez écartées pour que j’entre facilement dans son puits. L’avantage est qu’elle jouit vite, trop vite pour moi, qui ne jouis qu’un bon moment après elle. Quand je sors de son abricot, elle trouve le moyen d’essuyer ma bite avec sa langue. Il nous arrive souvent de baiser normalement dans la journée quand nous sommes seuls. Là, elle me demande ce qu’elle appelle des choses interdites : elle veut ma queue dans son cul. J’aime bien l’enculer : son cul est très agréable à limer. Nous sommes sur son lit, elle en levrette, le cul bien mouillé par sa cyprine. Elle a pris l’habitude de guider ma queue vers son petit trou : elle prend ma bite à pleines mains, la passe dans la raie de ses fesses avant de la positionner juste à l’entrée de son anus. Alors commence la ronde des mots orduriers :– Salop, mets-la-moi profond ; encule-moi bien… Je suis ta truie, ta traînée : j’adore me faire mettre dans le cul. Lime-moi profond, encore plus profond. Remplis-moi le cul de ton jus. Fous-moi la profond comme j’aime. Je suis une vraie pute qui aime ça. Enferme-moi dans un bordel, que je jouisse sans cesse.Ce régime allié au vocabulaire me fait immanquablement jouir. Elle trouve le moyen d’essuyer ma queue avec sa langue, ajoutant encore du plaisir au plaisir. La brave bonne a des bontés pour ma sœur. Elle la caresse souvent. La première fois que j’ai vu ma sœur Amélie avec la bonne, elles étaient dans le salon, sur le divan. Ma sœur avait les jambes écartées et la tête de la bonne était entre les cuisses. La tête rejetée en arrière, elle était en train de jouir. En guise de remerciement, ma sœur l’a faite venir près d’elle pour échanger un long baiser sur la bouche.J’ai gardé le silence sur ce que j’avais vu jusqu’au jour où j’ai vu ma sœur se masturber, toujours au salon, cette fois sur un fauteuil, les jambes bien écartées. Je voyais sa main sur sa chatte qui caressait largement la moule baveuse. Sans faire de bruit, je me suis approché d’elle. J’avais la bite dehors ; je me masturbais lentement. Je ne faisais que regarder sa chatte. Elle me voyait bien, mais ce n’est pas ça qui pouvait l’arrêter. Ce n’est que quand j’ai joui qu’elle a joui aussi. Je me retrouvai comme un immonde imbécile devant ma sœur qui en riait. – N’aies pas peur ; je ne vais pas te bouffer la queue, même si elle vient dans ma bouche. – Je n’aurais pas dû faire ça.– Quoi, te branler ? Tu as eu raison : je le faisais bien. J’attendais depuis longtemps que te me voies pour que nous baisions ensemble.– Tu veux qu’on baise tous les deux ?– Même à trois, si tu veux : la bonne aime bien quand tu la baises. Elle n’est pas la seule femme dans la maison ; j’ai droit, moi aussi, à ta queue bien dure, même dans le cul. Je sais que tu aimes enculer la bonne : tu aimeras me le faire aussi.Je tombe des nues... Ma sœur me propose de coucher avec elle. N’empêche que ce que je vois du corps de mon Amélie me donne envie. Pour sceller notre accord, je l’embrasse sur la bouche. Ses bras entourent mon cou avant de venir sur mes hanches et ma bite. Elle est rapide, quand même... Sans dire un mot, nous allons dans sa chambre après qu’elle ait prévenu la bonne de son déménagement. Ainsi, même la bonne sera au courant. D’ici que nous fassions l’amour en trio, il n’y a qu’un pas.Elle n’attend même pas d’être dans la chambre : elle perd ses vêtements en route. Quand nous sommes enfin dans ses lieux, elle ne porte plus qu’un string et le soutien-gorge. Je suis plus soigneux qu’elle : j’ai ramassé toutes ses pertes. J’arrive chez elle en ayant la jupe, le chemisier et le léger pull. Je porte le tout contre mon entrejambe. Je bande assez fort ; je ne veux pas qu’elle me voie dans cet état, alors qu’elle m’a vu me masturber devant elle.Amélie se couche, me tend les bras :– Viens me baiser.– Je voudrais avant t’embrasser encore.– Crétin ! Tu le feras mieux en étant couché sur moi.Elle est nue maintenant. Ce n’est qu’à cet instant que je remarque qu’elle a une jolie fourrure sur le pubis. Je suis juste contre elle ; sa main agile s’empare de ma bite bien dure. Je me penche sur sa bouche : nos langues commencent la danse de l’amour. Je descends ma main sur sa chatte. Ce n’est pas la première que je touche, mais c’est la plus douce ; plus douce que celle de la bonne. Je n’ai pas besoin qu’elle m’aide pour la branler. J’y réussis chaque fois avec les filles, qui ne s’en plaignent pas. Ce qui m’étonne, c’est sa façon de faire : son bas-ventre suit mes va-et-vient. Je sais qu’elle va jouir quand elle me mordille la langue. – Merci, tu me caresses bien. Je ne pensais pas que tu sois si habile.– Moi non plus, je ne savais pas que tu aimais te faire branler.– Tais-toi ; mets-la-moi.Demandé ainsi, je ne peux refuser. Je suis sur elle, prêt à entrer dans son vase. C’est elle qui me conduit : c’est normal, nous baisons pour la première fois ensemble. Elle fait passer le gland tout le long de sa fente. Je touche ainsi son clitoris, son entrée privée, surtout son cul. Enfin, je suis dans son ventre. Quelle chaleur elle dégage ! Quel cœur elle met à l’ouvrage ! J’entre tout au fond de son vagin. Quel sentiment de plénitude je ressens… Je reste immobile un instant : elle en profite pour se tourner et pour passer sur moi, afin de devenir le maître du jeu. Avant de commencer les allers et retours, elle me demande de lui branler le cul. Je pose un doigt sur l’anus. Je caresse ce petit trou avec la pulpe de mon doigt qui, en appuyant un peu, entre tout seul. Elle gémit avant de commencer la baise.Elle est serrée, plus que bonne à baiser. Mon doigt ne quitte pas son anus. Amélie est prise par le plaisir encore plus que moi. – Tu sais ce que j’aimerais ?– Non…– Qu’un de tes potes soit là pour me la mettre par derrière.– Tu veux deux hommes en même temps ?– C’est le paradis, pour une fille. Je l’ai fait une fois : j’ai joui comme jamais. – Je verrai comment faire.– Si on demandait à la bonne de se joindre à nous ? Tu la connais : elle baise bien.– Fais-moi jouir, en attendant.Elle reprend ses mouvements en accéléré. Elle s’est assise sur ma queue, qu’elle change de trou en cours de route. Elle est aussi baisable devant que derrière. Pour elle, la sodomie est meilleure : elle se branle en même temps. Je l’ai sentie jouir une fois grâce à son con et l’autre fois grâce à son cul. J’aime la sentir jouir : elle me comprime la bite chaque fois. Enfin, elle se relève pour se tourner complètement. J’aime sa façon de faire les 69. Sa bouche est agile, habitable, logement parfait pour une bite, surtout quand sa langue est de la partie. Je croyais sa langue douce, alors qu’elle est pleine de machins durs qui me donnent des frissons. Je gicle sans rien dire sur sa glotte. Sans rien dire, elle avale ma semence avec plaisir.C’est une sacrée garce, une vraie salope. Je comprends qu’elle veuille que nous soyons deux hommes pour la satisfaire. Je ne l’attendais plus ; la bonne entre sans frapper pour se joindre à nous. Dès qu’il s’agit de baise, elle est toujours présente.Elle s’occupe d’abord de moi en m’embrassant ; sa langue remplace celle d’Amélie. Elle prend ma bite dans une main pendant qu’elle commence à se déshabiller. Amélie l’aide à sa façon en passant sa main sur les seins et entre les cuisses découvertes. Bien sûr, elle la branle aussi. Les voici corps à corps. Elles agissent de concert pour se donner du plaisir. Elles s’en donnent pas mal, à entendre les gémissements. Elles arrivent à me faire bander. Je prends la bonne dans mes bras ; je la retourne pour qu’elle soit sur le dos, je passe sur elle, entre ses jambes. Là, je n’ai pas besoin de son aide pour la baiser. Je connais bien le chemin qui mène à son antre. Elle n’est pas mouillée : elle est trempée. Ce n’est plus un sexe ; c’est un beurrier ! J’entre facilement. Ses mains sur mes fesses me guident seulement pour rythmer les va-et-vient. Les mains d’Amélie sont sur les seins de la bonne, qui bénéficie des caresses d’une autre femme. Tout en baisant, elle me demande aussi la venue d’un autre amant pour qu’elle aussi puisse se faire mettre à la fois devant et derrière. Elle parle de derrière ; je vais l’enculer pour finir. J’entre encore facilement dans son ventre côté pile. Elle gémit de plaisir, comme une chatte en chaleur que le minou vient combler. Je suis bien dans ce cul, aussi bien que dans celui d’Amélie. Je suis comblé avec ces deux femelles.
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