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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Amélie

Chapitre 1

Divers
J’ai rencontré Amélie il y a trois ans, alors que j’étais encore à l’université. Nous étions l’un et l’autre étudiants et avions le même âge, 21 ans. C’était une fille superbe qui ne pouvait laisser indifférent la gente masculine; 1,78 m, des cheveux blonds vénitiens, des yeux bleus et surtout un corps élancé et d’une grâce qui me coupait le souffle. Ses origines de petite bourgeoise se remarquaient, dès le premier coup d’oeil, à son attitude et à sa tenue vestimentaire. Mais, loin de me déplaire, je trouvais que cela ajoutait à son charme.

Très vite nous avions sympathisé et devenions peu à peu des intimes. Toutefois, Amélie n’était pas, contrairement à moi, célibataire. En effet, depuis plusieurs mois, elle fréquentait quelqu’un et ils parlaient déjà de fiançailles même si cette perspective l’inquiétait.
Par une belle journée d’été, alors que son ami était parti plusieurs jours à Paris et sachant que l’idée de rester toute seule l’ennuyait au plus haut point, j’avais décidé de l’inviter à déjeuner chez moi (j’avais la chance d’avoir un petit studio). Charmée, Amélie accepta.
C’est ainsi qu’elle arriva peu avant midi. J’étais subjugué par sa tenue. En haut, un maillot blanc, très échancré et moulant qui épousait à merveille la courbe de ses petits seins. En bas, une courte jupe noire mettait en évidence la beauté de ses longues jambes. Dès le premier instant, j’ai eu très envie d’elle. Au cours du repas, je ne cessais d’admirer discrètement ses cuisses. Par instants, elle déchaussait et rechaussait l’un de ses pieds de son escarpin. Ce petit geste inconscient m’excita encore plus. Je sentais ma virilité durcir de plus en plus, jusqu’à me faire mal. Je ne savais comment m’y prendre pour lui avouer mon désir. C’est le destin qui m’aidera.
En effet, arrivé au dessert, Amélie, maladroite de naissance, renversa une partie de sa tarte aux fraises sur sa jupe et son genoux droit. Après un court instant d’hésitation, je m’emparai d’une serviette humidifiée et plutôt que de lui donner, je décidai de faire le travail moi-même. Ainsi, je commençai à essuyer et frotter doucement sa jupe. Saisie de surprise, Amélie tenta de me prendre le mouchoir. Je refusai et, bien au contraire, décidai d’essuyer son genoux et sa cuisse droite souillés. La fureur de mon désir m’invita à délaisser la serviette pour laisser ma langue lécher lentement sa jambe. Elle eut un frisson puis repoussa violemment ma tête en m’ordonnant d’arrêter. Brusquement je me redressai et lui intima de faire de même. Debout, face à face, délicatement l’un contre l’autre, ses poignets le long de ses hanches, prisonniers de mes mains, elle ne put que ressentir contre son entrejambe la fougue de mon désir. Stupéfaite, elle tenta en vain de se dégager de mon étreinte. Cette réaction ne fit qu’accroître mon envie. Emporté par la rage de l’excitation, je la poussai doucement sur le petit lit qui se trouvait près de sa chaise. Allongée sur le dos je la recouvris de mon corps. Ma langue glissa dans son cou et je sentis son être tout entier défaillir sous les assauts vigoureux de mes caresses buccales. Peu à peu ma langue descendit sur son corps. Je relevai son maillot et découvris un charmant soutien-gorge à fleurs roses. Le soutien-gorge dégraffé, je mis à nu ses petits seins délicats et m’attaquai, du bout de la langue, aux tétons déjà durcis. La fraîcheur et le parfum de son corps ajoutaient un peu plus à mon excitation.
Progressivement je sentais qu’elle lachait prise. Enfin, je relevai sa jupe pour découvrir une adorable culotte rose, dernier rempart de son intimité sur lequel je posai ma main. Je sentis sous mes doigts la chaleur de son entrejambe. Son désir était là, palpitant et humide. Ma bouche toute entière recouvrit le tissu de sa culotte. Brutalement, elle glissa ses mains dans mes cheveux et miaula de plaisir m’exigeant de l’assouvir. Sa reddition était totale. Très lentement, je retirai sa culotte pour découvrir le petit duvet blond de son sexe aux lèvres entrouvertes. Ma bouche plongea au creux de ses reins et ma langue avide pénétra profondément l’intimité voluptueuse de son sexe offert. Les cris déliés de sa jouissance renforcèrent mon ardeur. Impuissant à contenir plus longuement mon désir, je décidai de libérer mon sexe turgescent en ouvrant violemment ma braguette. Après avoir baissé d’une main fébrile mon slip, mon intimité se dressa fièrement devant le regard haletant d’Amélie. La saisissant au niveau des chevilles, j’écartai vigoureusement ses jambes. Puis, dans un soupir de délice, je la pénétrai. Mon sexe, lubrifié par la moiteur de son désir, glissait à merveille. Peu à peu ma cadence s’accéléra et mes coups de boutoirs devinrent plus violents. Au paroxysme du plaisir, elle eut juste le temps de me confier, entre deux gémissements, que je devais faire très attention car elle ne prenait pas la pilule. Prisonnier de cet orifice insatiable, j’ai bien cru finir, bravant toute interdiction, par assouvir totalement mon désir et me répandre tout entier en elle. Mais, dans un sursaut de lucidité, je retirai vivement mon sexe qui se libéra par de longues saccades inondant de ma semence le ventre et les seins d’Amélie. Quelques gouttes tachèrent malencontreusement sa jupe déjà souillée par le dessert renversé. Etourdis par tant de fureur, nous restâmes l’un contre l’autre pendant de longues minutes.
Sans un mot elle partit. Sans nouvelles pendant semaines, ce n’est qu’au bout de trois mois que j’apprenais par un ami ses fiançailles. Respectueux de son silence, je n’ai jamais essayé de renouer un contact, suivant sa vie de loin. Aujourd’hui, je regrette d’avoir brisé en quelques instants notre amitié par la fureur de mon désir.
A bientôt.
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