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M.A.K. My life.... Ou presque

Chapitre 2

Fatalisme: Acceptation

Avec plusieurs hommes
FATALISME ET ACCEPTATION.Trois mois... Trois mois que je sais que je suis cocu. Trois mois de discussions sans fin avec Margot. Je lui demandais sans relâche des explications. Elle me renvoyait qu’elle avait craqué. Que j’étais jamais là. Qu’elle ne savait pas pourquoi elle avait cédé.Je la mettais en garde contre ce genre de mecs. Mais Kemb est riche. En train de terminer ses études de médecine dans l’hôpital de la ville.Je lui demandais cent fois pourquoi. Elle ne le savait pas elle-même... “C’est venu comme ça Didou...” Je lui demandais de le quitter. Elle ne me répondait pas.A chacun de mes retours de déplacement, je sentais un changement dans la maison. Ils ne se gênaient plus pour se voir chez nous. Des draps froissés. Des odeurs inconnues. Une brosse à dents cachée au milieu de son linge. Un sac de linge propre et repassé caché dans la cave.
A chaque fois, j’encaissais en silence.Et pour être tout à fait honnête dans ce récit, je suis obligé d’avouer que je ne pouvais pas m’empêcher de penser à eux dans mes chambres d’hôtel. Et invariablement, cela finissait par une masturbation.
Je me complaisais dans cette situation du cocu en rejetant la faute sur elle. Au lit, elle ne se refusait jamais à mes pulsions. C’est moi qui avais honte en pensant que je n’étais pas à la hauteur. Pourtant il me semblait qu’elle jouissait comme d’habitude. Sa docilité à répondre à mes caprices sexuels m’excitait, me surprenait et m’énervait.
Je savais qu’elle n’aimait pas trop prendre mon sperme dans la bouche. Maintenant, elle le faisait sans problème en avalant jusqu’à la dernière goutte. Et après m’avoir sucé et léché le temps que je voulais. Cela me rendait fou de jalousie parce que je me doutais bien que c’est lui qui l’avait convaincue.
Un soir, je me suis collé contre son dos pendant qu’elle lisait couchée sur le côté gauche. J’avais la bite dure et j’étais très énervé, car je venais de découvrir une minijupe que je ne connaissais pas dans sa garde-robe. J’ai remonté sa chemise de nuit au-dessus de ses fesses. Elle a posé son livre sur sa table de chevet et éteint la lumière sans rien dire. Elle est restée dans cette position cul dégagé et fesses offertes sans bouger.
J’ai salivé mes doigts pour lui mouiller la raie. Margot n’aime pas la sodomie. C’est une pratique entre nous qui est restée exceptionnelle. Au début, j’avais essayé bien sûr, mais devant son manque d’excitation et sa douleur, j’ai vite abandonné cette pratique. Cela ne me manquait pas.
Mais cette nuit, je voulais l’enculer. Comme pour lui faire mal ou la punir. J’ai mouillé sa raie à fond, m’attendant à une rebuffade ou à un “pas ça Didou s’il te plaît’’ Mais elle n’a rien dit. Même quand mon gland à buter contre son anus. Je l’ai ceinturée par la taille. J’ai bien calé mon sexe avant de pousser d’un coup de reins. C’est entré sans trop de problèmes. Elle a un peu sursauté. Pas le moindre gémissement. Pas la moindre crispation de douleur. Ses fesses ont avalé ma queue dans sa totalité. J’étais content de moi. Content d’enculer ma femme. Content qu’elle soit enfin réceptive.
Et j’ai brusquement compris.
— C’est pas vrai, Margot ! Il t’encule comme une pute.
Je l’ai pilonnée de toutes mes forces. Je voulais lui faire mal. Elle était inerte.
— Tu vas voir. Moi aussi je sais t’enculer. Avec moi tu ne voulais pas.
Je lui cassais le cul de toutes mes forces, sourd à ses sanglots étouffés.Je me suis vidé dans ses reins. Elle a quitté le lit en larmes.
— T’es un salaud.
Elle avait raison. Un salaud et un con...Je n’étais plus maître de mon comportement.Je l’ai retrouvée dans la salle de bain en train de faire une toilette intime. Je me suis excusé, lui ai murmuré des mots tendres. Elle m’a fusillé du regard:
— Oui André, il m’encule. Et avec lui j’aime ça et je jouis. Je lui demande même... Et je ne compte pas le quitter.
Je suis resté assommé... Douleur. Colère. Honte. Nous ne nous sommes plus parlé de la semaine. Juste le strict minimum devant les enfants.Le vendredi de la semaine suivante, je rentrais de déplacement. Nous étions couchés. J’ai voulu la lécher. Elle n’a pas voulu. Pourtant elle adore ça. J’ai insisté pensant qu’elle était encore fâchée. Elle a enfin écarté ses jambes. Je me suis précipité pour enfouir mon visage dans sa moiteur.Mal m’en a pris. Elle mouillait beaucoup. Trop...J’ai vite compris que ce n’était pas seulement sa cyprine que je buvais. Cela m’a dégoutté et excité, mais j’ai été jusqu’au bout. C’était pour moi une manière de me faire pardonner. Une rédemption. Elle m’a laissé faire. Elle a crié sa jouissance en se cabrant. Puis une fois calmée, elle a pris ma tête entre ses seins pour me murmurer tout bas:
— Pourquoi tu as fait ça Didou ?— Je t’aime très fort...— Il était ici tout à l’heure.— Je sais. Et il a joui dans ton ventre.
Elle avait compris que j’avais compris.
— Pourtant t’as été jusqu’au bout. C’est dingue, j’ai joui comme une folle en pensant à ce que tu faisais.
Silence pesant...
— Et lui ?... Tu l’aimes ?...
Silence interminable. Son cœur bat fort contre ma joue.
— Non. Mais il me rend folle.— Où on va là Margot ? Tu te rends compte de ce qui se passe ? — Je ne sais plus Didou.— Il ne met pas de capote ? Tu acceptes comme avec moi ?— Il est médecin Didou... Et j’adore bien le sentir. Je sais plus Didou.
Moi non plus je ne savais plus. Je me suis endormi. Je venais de boire les restes de sperme de son amant. J’étais cocu et je sentais bien que rien ne pourrait faire changer d’avis ma femme.oooOOOoooAlors le lendemain sans le dire à Margot, j’ai été au domicile de Kemb. Je savais qu’il louait une chambre dans le local de l’association. J’ai demandé le chemin à un jeune qui traînait dans le couloir.
— C’est au fond à gauche Monsieur... Mais il doit dormir, il a fait trois jours de garde.
La porte n’était pas fermée. J’ai poussé doucement. Il était là, endormi et nu, dos à moi. Quand je l’ai vu. J’ai compris pourquoi Margot était folle de lui. J’étais troublé. Il se dégageait de ce corps une puissance et une sérénité incroyable. Je suis reparti sans le réveiller.Ma décision était prise. Il fallait crever l’abcès. Le plus vite possible. Et je me sentais le courage de les affronter les deux. Je suis retourné à la maison. Margot était en train de passer l’aspirateur.
— Fais-toi belle. J’emmène les enfants chez mes parents. Et invite-le.
Je me suis sauvé sans lui laisser le temps de répondre.A mon retour, Margot sortait de la douche. Elle a enfilé un slip.
— Tu l’a invité?— Oui. Il dormait. Mais pourquoi ?— Chut...
Je l’ai gentiment poussée sur le lit. Elle s’est couchée sur le dos. Elle était sublime. Magnifique. Envie de lui faire l’amour immédiatement...Envie de lui parler de mes projets pour ce repas.Mais non... Patiente... Je regardais ce corps avec envie.Je savais que je ferais ce qu’elle voulait et que j’irais au bout de l’expérience. J’avais le secret espoir de gagner le combat que j’allais livrer contre l’amant de ma femme.
— Alors il vient ?— Oui. Mais il est surpris... Moi aussi.— Nous verrons bien où cela nous mènera.— Tu es sûr de ce que tu veux Chéri ???— Oui. Je suis sûr. Pourquoi tu mets une culotte ?
Complètement décontenancée, elle a sursauté.
— Enlève-la. Il faut aller jusqu’au bout maintenant.— C’est bien lui qui souhaite que tu ne portes pas de culotte en sa présence non ?— Mais ce n’est pas pareil !— Ah bon qu’est-ce qui a changé ?
Elle m’a regardé, troublée, et a lentement enlevé son slip.
— Comme ça ? ?— Oui. C’est parfait. Enfile une robe. Je descends préparer l’apéro.
J’ai quitté la chambre.Je bandais. Je me sentais soulagé. Soulagé, triste et inquiet.J’ai mis la table. Elle m’a rejoint. Sa jupe flottait autour de ses jambes. Et un chemisier blanc moulait son buste. Je la sentais nerveuse. Très nerveuse. Comme moi. Nous nous sommes embrassés. Un baiser intense profond. Elle a touché ma braguette.
— Mais tu bandes mon cochon.
J’ai passé une main sous sa robe, directement au contact de sa grotte.
— Il me semble que toi aussi tu es excitée. Tu n’as pas mis de soutien-gorge ?— J’ai pensé que c’était mieux.— Tu as raison ! Que ta robe.
Nous finissions les préparatifs quand le carillon de la porte a retenti.
— Va lui ouvrir.
J’avais la gorge sèche. Mes mains tremblaient.Il était là. Dans l’encadrement de la porte. Grand sourire carnassier.
— Salut mec.— Bonsoir.— Il parait que t’es passé me voir. Fallait me réveiller.— C’est vrai Didou ?— Pas grave. Assieds-toi. Tu bois quoi ?— Jus de fruit... Margot sait que je ne bois pas d’alcool.
Il a éclaté de rire. Je n’ai pas compris pourquoi. Margot lui a tendu son jus de fruit. Il l’a prise par la taille. Elle a voulu se dérober. Il l’a maintenue contre lui.
— Ne sois pas farouche ma gazelle. Pas de faux-semblants. Il est cocu et il le sait. Et je suis sûr que si je suis ici, c’est parce qu’il croit qu’il va réussir à nous séparer.
Il a plaqué le dos de ma femme contre son torse. Elle me semblait minuscule devant lui. Il me défiait sans retenue.
— Tu as une femme magnifique.
Il lui caressait lentement les seins. Grosses mains noires sur chemisier blanc. Margot ne bougeait pas.
— Et tu ne te rends même pas compte que tu es en train de la perdre.
Il a passé sa main droite sous le chemisier. Elle a laissé faire soumise et consentante.
— Je crois que je l’ai déjà perdue.
Je n’ai pas reconnu ma voix. Les voir ainsi les deux dans notre propre salon me pétrifiait. La situation m’échappait. Mais ce que je venais de dire à mon corps défendant les a déstabilisés.
— Pourquoi tu dis ça Didou ? Ne dis pas cela ! C’est pas vrai !— Regarde-toi ma puce. Tu es avec ton amant devant moi, en train de te faire peloter les seins et tu ne veux pas le quitter.
Kemb a pris la parole.
— Margot m’a dit que tu es du signe du bélier, moi je dirais plutôt que t’es un mouton.
Il a ouvert les boutons du chemisier. Ma femme ne bougeait pas. Les grosses mains noires ont empaumé les deux seins. Complètement figé, je regardais le spectacle.Je me suis aperçu que je bandais en les regardant. Comme dans le parc. Il lui a mordu le lobe de l’oreille avant de lui chuchoter un truc que je n’ai pas compris. Margot a fait non de la tête. Il a insisté en la poussant vers moi. C’est lui qui lui a pris le poignet pour plaquer sa main sur ma braguette.
— Tu vois j’avais raison ma gazelle. Ton mari aime cette situation même s’il ne le sait pas encore. Moi aussi je bande.
Il lui a dégrafé la jupe qui est tombée en corolle autour des jambes.
— T’es un drôle de mari toi pour admettre que ta femme soit à poil sous sa jupe quand elle reçoit son amant. Je suis sûr que c’est toi qui as voulu.
Margot a ouvert mon zip. Puis ma ceinture. Je n’arrivais pas à reculer. Elle a plaqué sa bouche contre la mienne. Mon pantalon est tombé sur mes chevilles. Kemb lui a ôté son chemisier. Elle était nue entre nous en train de m’embrasser à pleine bouche. Tout à ce baiser, je n’ai pas eu le temps de réagir quand Kemb a dit:
— Vas-y ma gazelle, regarde ce qu’il a dans le slip.
C’est son amant qui a baissé mon slip par surprise. Ma queue s’est tendue raide contre le ventre de ma femme.
— Vas-y ma gazelle, suce ton mari devant moi. J’adore ça.
Ma femme l’a fait sans hésiter. A genoux entre nous deux. C’était ou un rêve ou un cauchemar. Elle a ouvert la braguette de son amant. Il ne portait rien en dessous. Sa bite a surgi du pantalon. Sentiment d’humiliation quand je vois l’engin. Plus gros que le mien. Elle a commencé à le lécher tout en me branlant. Puis elle a pris le gland en bouche. On la regardait faire. Elle alternait entre nos sexes. Je voyais ses lèvres distendues encercler la hampe de son amant puis venir lécher mon gland ou mes couilles. J’avais du mal à contenir mon excitation. Je ne voulais pas jouir. Je me laissais sucer. Je la laissais sucer son amant. Kemb s’est complètement déshabillé. Moi aussi. Nous étions les trois nus.Ce fut notre premier trio. Nous venions de trouver la solution.Pas celle que j’espérais. Mais la bonne quand même.J’admettais la situation. Il y eut d’autres trios.Je pensais que l’on avait atteint un point d’équilibre.Je me trompais lourdement...

FATALISME VIIA lire d’autres témoignages, les trios ne posent pas de problèmes. Cela doit être vrai quand ils durent le temps d’une étreinte sexuelle même longue. Mais quand ces trios deviennent un mode de vie. Cela devient très compliqué.Kemb venait un W. E. sur deux. Margot emmenait les enfants chez les “papi-mamie” dès le vendredi soir. Et nous vivions ensemble jusqu’au dimanche après-midi. Des fois, il ne partait que le lundi matin.En plus, il fallait gérer ses gardes à l’hôpital.En semaine, quand j’étais en déplacement, ils n’hésitaient pas à se voir à l’association. Et Margot ne me le cachait pas au téléphone.Les premières conversations sur ce sujet donnent un pincement au cœur, car pour un mari même consentant, entendre sa femme lui dire:
— Il était en super forme aujourd’hui... Je le sentais dur tout au fond de mon ventre... Tu peux savoir comme je mouillais chéri... On l’a fait dans les douches du gymnase. Je vais me mettre de la crème adoucissante entre les fesses parce que cette après-midi, je te dis pas ce que j‘ai pris Didou... etc...
Cela fait un choc, un sacré choc même. Des fois, on se prend pour le roi des cons à accepter, et des fois, on se branle en l’écoutant avidement détailler les choses.Il y a aussi une organisation matérielle à gérer:Faire les achats alimentaires pour trois adultes en tenant compte des goûts de l’amant.S’habituer à voir une autre paire de chaussures d’homme, d’autres sous-vêtements que les vôtres, un autre rasoir, une autre brosse à dents, etc.Voir sa femme repasser et plier les fringues de son amant.Et tout cacher pour le retour des enfants.Et dormir !!!Dormir à trois dans un lit n’est vraiment pas pratique. Pas pratique du tout.Ça va pour des étreintes. Mais pour se reposer... Bonjour...S’habituer à voir un mec nu en train de se raser, de prendre une douche. Sentir sa sueur ou son eau de toilette. Découvrir de nouvelles odeurs dans son lit. Il y a aussi les comparaisons bien sûr. Muscles, sexes, endurances, etc.Bref tout un nouveau monde pour un mari consentant par la force des choses. Et avec le recul, je dois reconnaître que Margot a su gérer tout cela, avec sourire, bonne humeur et beaucoup de finesses politiques.Ce n’était pas l’entente cordiale entre Kemb et moi, mais ce n’était pas non plus la guerre froide et les deux nous avions Margot comme point d’attache.Et le sexe dans tout cela ?Beaucoup d’entre vous m’ont posé cette question.Les premières fois sont troublantes, bizarres et excitantes, des fois choquantes.C’est très troublant de voir sa femme faire des gestes d’amour que vous connaissez bien avec un autre. La voir prendre le sexe en main de la même manière qu’avec vous. La voir l’embrasser, le lécher, le prendre en bouche de cette façon inimitable que vous, vous connaissez par cœur.
La voir se cambrer devant un autre homme. La voir introduire sa langue dans une autre bouche. La voir ouvrir ses jambes et se montrer sans pudeur. La voir aussi jouir tellement fort.Voir l’inconnu au sexe d’ébène bien dur, prendre possession de votre moitié. Le voir la labourer en force. Voir le corps de votre femme tressauter sous les assauts. La voir se tordre de bonheur. Voir son visage d’ange se contracter, transpirer.
L’entendre encourager l’amant à aller plus vite, plus loin.La voir aussi obéir sans rechigner et faire des choses que vous n’auriez jamais osé lui demander par respect. Voir Margot se mettre en levrette en plein salon... Ouvrir elle-même ses fesses pour dévoiler son œillet tout plissé. L’entendre nous demander de la sodomiser...Voir cette grosse queue s’enfoncer lentement et en pleine lumière dans le cul de votre femme. Et découvrir qu’elle le supporte sans problème. Voir Kemb la défoncer avec violence en lui claquant les fesses. Vous avez mal pour elle, mais vous êtes tout ahuri de vous apercevoir que votre femme aime cela.
La voir assise sur un fauteuil, et mettre ses jambes sur les accoudoirs à notre demande, nous offrant ainsi une vue à couper le souffle sur son abricot. Voir ses doigts investir sa fente. La voir se caresser sans pudeur. La voir impudique, se faire jouir seule devant nous.
Et bien sûr la découverte des nouvelles figures qu’autorise le trio. Un devant, un derrière et sentir la queue de l’autre à travers la paroi vaginale. Un qui est sucé pendant que l’autre honore le sexe ou les fesses. La voir essayer de nous sucer les deux.Et puis beaucoup d’impudeur puisque nous vivions nus pratiquement toute la journée.Nous mettions juste un short Kemb et moi. Margot à ma grande surprise restait nue à la demande expresse de Kemb. Et c’était cela qui me mettait le plus mal à l’aise.La voir constamment à poil et accepter sans rien dire de rapides caresses quand son amant passait à côté d’elle. Des fois même cela allait au-delà, puisqu’il n’hésitait pas à lui enfoncer ses doigts dans le sexe ou entre les fesses.
Elle se laissait faire devant moi sans rien dire, avec un petit sourire sur les lèvres. Et souvent, elle finissait à genoux avec la bite de Kemb dans la bouche. Et bien sûr elle ne refusait pas la mienne après.
Car les trios étaient très équilibrés entre Kemb et moi. Il n’y avait ni perdant ni gagnant. Nous faisons l’amour à trois. Dans un équilibre qui me paraissait normal.Cela a duré six mois. Six mois avant que je découvre qu’en réalité, Kemb a assis doucement son pouvoir sur nous. Margot avait une confiance aveugle en son amant. Et souvent quand je n’étais pas d’accord, elle me faisait changer d’avis avec beaucoup de douceur ou de finesse pour ne heurter aucun de nous.Ensuite, le comportement de Kemb était d’un machisme absolu. Il ne participait jamais aux corvées et cela ne le dérangeait pas du tout d’être servi à table par ma femme, de ne rien débarrasser, etc. Son éducation sans doute.
Au niveau sexuel aussi, il prenait insidieusement le pouvoir.Au début, je n’avais pas compris pourquoi il me laissait commencer avec Margot. Au contraire, cela me flattait. J’étais le mari alors à moi l’honneur. J’étais même fier de ce droit. Mais une fois que j’avais joui, lui commençait, et il avait de la réserve et ne se gênait pas pour me le montrer en baisant Margot plusieurs fois avec énergie et acharnement alors que je regardais repu certes, mais la bitte flasque.
Des fois, j’avais honte parce que Margot essayait de me remettre en forme avec sa bouche, sans grand succès. Elle me regardait alors gentiment et se tournait vers son amant pour des séances torrides devant moi.
Et puis c’est vrai que le sexe de Kemb était plus imposant que le mien. Ce n’était pas les monstruosités que l’on voit sur Internet, mais il était bien monté, très bien même. Un gourdin long, très épais à la base, circoncis avec un gros gland plus clair et des belles couilles assez hautes sur la hampe.
Je l’enviais. J’enviais ses vingt-cinq ans, sa puissance, son assurance, ses certitudes et son pouvoir sur ma femme. Et sur moi.Parce que je ne disais rien ou que Margot me dissuadait de me rebeller.Mais je ne savais pas qu’à force de se taire ou de se trouver des excuses, on n’est plus capable de se défendre le moment venu.
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