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La ligne interdite

Chapitre 3

Mise en bouche

Erotique
Chapitre 3. Mise en bouche
Élie
Il est 7h00. Mon esprit s’éveille, mais je n’ouvre pas les yeux. Je sens qu’il est trop tôt. Je grommelle :
— Vacances #@%&* ... §#&%@$° dormiiiirrrraaahhh, en écrasant un bâillement.
Je repars dans mes songes un moment. Un rayon de soleil vient me chatouiller le nez. J’ouvre difficilement un œil. Je perçois vaguement des gémissements. J’ouvre les yeux comme si j’allais mieux entendre. Des cris de plaisir féminin me parviennent mélangés à des râles rauques de Gilles.Ce n’est pas la première fois que je le surprends en train de baiser.Je referme mes mirettes dans l’espoir de me rendormir malgré les ébats bruyants du rez-de-chaussée. Quelque chose me dit que je ne vais pas y arriver, avec les deux mains qui remontent le long de mes cuisses.
A droite, celle d’Émilie et de l’autre côté celle de David qui frôle mon sexe déjà dur au réveil. Émilie prend appui sur le haut de ma cuisse et se glisse au creux de mon épaule. Les yeux mi-clos, elle affiche un petit sourire mutin. C’est une petite rouquine, avec un carré ondulé. Des yeux bleus, d’une clarté hypnotisante qui font ressortir les centaines de petites taches de rousseurs sur l’ensemble de son visage. Elle a de longs cils droits qui me chatouillent. Une bouche étirée avec de fines lèvres, d’un rose brunissant. Des pommettes saillantes, comme sa mâchoire qui donne une touche de masculinité à son visage de poupée de porcelaine. Elle couvre mon épaule de petits baisers pendant que sa main droite caresse les fesses de Dadou. Lui me caresse le téton droit en m’embrassant tendrement. Comme j’ai envie de leur faire l’amour, parfois j’aimerais avoir deux queues pour les baiser en même temps.
Em passe des fesses de David à mes bourses, ce qui soulève mon chibre et laisse couler un long filament de liquide préséminal sur le bas de mon ventre. Je ferme les yeux et me laisse emporter par son baiser. Émilie se hisse davantage. Ses seins caressent ma peau. Nos corps frémissent.
La porte de la chambre s’ouvre brutalement.
— Je vais avoir besoin d’un câlin, souffle Valérie qui vient d’entrer.
Em bondit du lit comme une chatte effrayée et court dans les bras de Valou qui l’attrape au vol.
— Alors, nuit de garde difficile ??? demande David après avoir délaissé ma bouche.— Oui ... trop ... pas assez ... ... comme d’habitude, répondit-elle à moitié mangée par la bouche d’Émilie.
Pendant qu’elles s’embrassent, David glisse sous le drap. J’ai envie de fermer les yeux, mais je ne peux détacher mon regard des filles. Elles sont si belles, je ressens l’amour qu’elles se portent et le désir qui les anime. Une vague de chaleur envahit mon corps. Au moment où Dadou effleure mon sexe avec ses lèvres, une décharge électrise le creux de mes reins et me tire un soupir. Je sens sa langue chaude et douce qui joue avec mon frein. Il saisit ma queue et s’enfonce un peu plus au fond du lit. On entend des cris orgasmiques qui proviennent d’en bas. Émilie aide Valérie à se déshabiller. Dadou attrape mon scrotum entre ses lèvres et tire dessus en me masturbant, il me fixe intensément. Il me rend fou... J’ai envie de le mettre à quatre pattes pour lui défoncer le cul.
Mon regard fait des aller-retour d’elles à David. Il passe son index sur l’extrémité de mon gland pour le faire luire avec la goutte de présperme qui naît de mon méat. J’ai l’impression d’être au bord de l’explosion. Tous ces sentiments, l’émotion d’être avec eux, et l’excitation qui en résulte, me projettent dans un état second comme si mon corps flottait, léger comme une plume, mais ma tête et mon ventre brûlent d’un feu lascif. Valérie dépose Émilie par terre et s’approche pour m’embrasser. Elle a le goût de salive d’Em et le sien. Elle se dirige vers Dadou qui m’a en bouche et ils s’embrassent autour de mon sexe. J’aimerais fixer dans le temps, cet instant de bonheur, de complicité, de plaisir et d’amour. Les paroles d’Émilie me sortent de mon mood :
— Putain de merde, je dois partir bosser !!! s’exclama-t-elle.— DERNIER JOUR !!! clamons-nous tous en cessant nos activités respectives.
On se lève. Tous les trois, autour de la crevette qui paraît encore plus menue. On se serre fort. C’est tellement dur parfois de se séparer.
— Je compte sur vous deux pour soulager Élie, dit Em avant de se soustraire de nos bras.— Dadou tu vas devoir te sacrifier. Je vais prendre un bain, répond Valérie avec un clin d’œil.— Bande de lâcheuses, rétorque-t-il avec un sourire radieux.— Il est déjà 7h20, assène Émilie en se glissant dans la douche dont on voit le reflet dans le miroir face au lit.
Valou qui a ouvert le robinet de la baignoire à fond, verse un peu de bains moussants au monoï. Le parfum de fleur de tiaré et d’huile de coco embaume la pièce. Je me rallonge en regardant Em se frictionner énergiquement avec une fleur de bain. Sa peau est si blanche qu’il est dur de distinguer la mousse du gel douche, de son épiderme. Ça a beau faire dix ans que nous sommes ensemble, je ressens toujours cette fascination que j’ai eue au premier regard. A la fois une attirance incommensurable, un besoin irrépressible de la protéger et de la câliner, je l’aime depuis toujours malgré son air guindé et son agressivité latente.
Émilie
Valérie vient de rentrer dans le bain, elle me fait un clin d’œil, au moment où nos regards se croisent. Elle met une musique lascive. Je fronce des sourcils pour lui faire comprendre que je n’ai pas le temps de m’amuser, mais elle glousse et dirige sa tête vers les gars avec un petit hochement. Élie ne me quitte pas des yeux alors que David est en train de lui prodiguer une fellation. Ses fesses bougent au rythme de ses va-et-vient sur le sexe tendu d’Élie. Il faut que j’arrête de les regarder sinon je vais encore être en retard. Je me tourne vers ma belle infirmière, une bouffée de chaleur m’envahit, elle a placé ses jambes de chaque côté de la baignoire et son bassin émerge de l’eau pour m’offrir une vue imprenable sur son sexe en partie caché par de la mousse. Sa pose suggestive m’excite. Je suis tentée de me caresser un peu, mais j’y renonce en voyant les chiffres qui s’affichent sur l’écran à cristaux liquides du réveil.
Je me rince vite fait, en lorgnant Valérie du coin de l’œil. Élie émet des râles de plaisir, ce qui attise mon excitation et celle de Valou qui commence à se caresser, elle titille son clitoris avec son majeur. Elle est magnifique. J’aimerais la faire gicler avant de partir, mais il va falloir que je m’y résigne malgré les petits gémissements qui sortent de sa bouche et m’invitent à la rejoindre. Je coupe l’eau et sors les pieds posés sur le caillebotis. J’attrape le premier peignoir qui me tombe sous la main et m’enveloppe dedans pour me sécher. J’enfile les petits chaussons en mousse et me dirige vers le dressing. Je coulisse la porte. J’entre et ouvre le grand tiroir en bas à droite. Je prends un jean, un tee-shirt puis dans le placard au-dessus, je m’empare d’un tanga et d’un soutien-gorge en dentelle rouge avec une paire de socquettes assorties. J’enfile mes vêtements rapidement.
Je sors du dressing. Les bruits de plaisir emplissent la pièce. J’essaie de me fermer à cet appel au sexe. Je fais un petit baiser sur le cul de Dadou, un smack sur les lèvres de Lie qui a les yeux clos et je me dirige vers la baignoire pour constater que ma beauté est en train de se doigter allégrement. Je passe un coup de langue sur chacun de ses tétons et l’embrasse à pleine bouche. Valérie me saisit la nuque pour me faire basculer dans la baignoire. J’abaisse la tête d’un geste alerte et appuie sur la sienne pour la plonger sous l’eau. J’en profite pour filer.
Je descends les escaliers en vitesse. Je rajoute un petit mot à côté de celui de Sam qui est « Salut les glandeurs » avec un petit smiley clin d’œil et un début de liste de courses dans la marge où j’y ajoute café. J’ouvre l’armoire à chaussures du hall d’entrée. Je saisis ma paire de chaussures de sécurité et mon blouson. Je les enfile. Apparemment, les tourtereaux ont fini leurs ébats torrides, car il règne un silence religieux en bas. Je les enfile et sors dans la cour où il fait encore bien frais à cette heure-ci. Je me dirige vers mon vieux fourgon rouge délavé piqué de points de rouille. Par chance, il démarre du premier coup. Je vais ouvrir les portes cochères pendant que le moteur réchauffe l’habitacle. Je prends le volant, sors mon tas de boue et referme derrière moi. J’allume le vieil autoradio qui grésille, direction le boulot.
Valérie
En sortant la tête de l’eau, j’entends les halètements d’Élie. Je passe mes mains sur mon visage pour enlever la mousse. Il est sur le point d’éjaculer. Je perçois la contraction de son corps aux bruits qu’il manifeste. Je me rallonge dans la baignoire et replace mes deux jambes de chaque côté des rebords. L’eau du bain clapote à l’entrée de mon vagin, ce qui me remet dans un état d’excitation certain. Alors que je vais solliciter mon clitoris, David est sorti du lit. Il s’est approché vers moi. Il pose sa main sur mon ventre et la glisse vers mon entrejambe. Un frisson parcourt tout mon corps. Il introduit son majeur, ce qui a pour effet de me tirer un souffle de plaisir. Alors qu’il caresse mon point G, il se penche pour m’embrasser. Il n’entrouvre la bouche qu’au moment où nos lèvres sont jointes. Je glisse ma langue. Quel délice, nos salives et le sperme de Lie se mélangent, c’est décidément mon petit-déjeuner préféré.
Contrairement au sperme de Dadou, il est très crémeux, doux et sucré. Pendant ce long baiser, David accélère la cadence, je suis sur le point de jouir. Il arrête de m’embrasser. Je soulève mon bassin pour accompagner sa main, mon corps est en feu malgré la fatigue. Il se crispe, je coule. David retire son doigt et vient jouer avec mon méat, ce qui envoie des jets fins un peu dans tous les sens. Je redresse ma tête en tirant la langue dans l’espoir de recueillir quelques gouttes de mon éjaculation. Il module son toucher pour essayer de me satisfaire pendant que j’exprime ardemment mon plaisir. Un jet encore bien abondant atteint ma lèvre supérieure qu’il s’empresse de lécher. Dadou unit à nouveau nos bouches lorsqu’il s’arrête. Je suis légère, mais épuisée. Il me prend dans ses bras et me porte jusqu’au lit où Élie comate à moitié. Il me dépose délicatement.
Je me mets sur le côté et place mon bras droit sur le torse de Lie qui a fini par sombrer si j’en crois la régularité de sa respiration.
David
— Me v’là comme un con, me dis-je à moi-même.
Je regarde ma queue bien dressée. Valérie s’est endormie aussitôt installée près d’Élie. Entendre leurs respirations, ainsi que leurs deux corps nus à moitié enchevêtrés l’un dans l’autre, m’excite. J’ai une vue imprenable sur les fesses de Valou. Alors que je me repais de leur sensualité, je commence de longs va-et-vient avec ma main gauche. Du bout des doigts, je caresse l’épaule de Val. Ils glissent jusqu’au creux de ses reins. Elle émet un petit soupir d’aise. Mes doigts suivent les courbes de son fessier rebondi puis longent son sillon de bas en haut et inversement dans la douceur la plus extrême, je ne suis pas loin de la délivrance. Avec mon pouce et mon majeur, j’écarte un peu ses fesses et la vue de son œillet fait jaillir mon foutre en quelques giclées qui strient les fesses de Val, mais aussi les abdominaux de Lie.
Une fois l’arrosage terminé, je me penche pour passer un petit coup de langue sur mon sperme qui se répand le long de sa fesse et embrasse la chevelure de Valérie pour conclure les ébats du réveil. Je prends un boxer dans la commode à l’entrée du dressing et le revêts. Le début de cette première journée de vacances me met en joie. Je vais dans la cuisine me préparer un petit-déjeuner royal. Pendant que je déguste mes céréales aux fruits frais dans un bol de lait de soja, je commence à me projeter. Les prochaines heures qui vont démarrer sans doute avec une petite sieste digestive dans une chaise longue au bord de la piscine. Les premiers rayons de soleil scintillent à sa surface et me donnent le sourire.
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