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Lili la petite fleur pas si fragile

Chapitre 1

Comment j’ai créé mon minou

Travesti / Trans
Jeune homme d’un naturel timide et introverti, j’ai développé au fil des années depuis mon adolescence une ouverture d’esprit toujours plus grande, me permettant de découvrir des plaisirs toujours plus variés. Après avoir lu beaucoup d’histoires sur le site, je me décide à vous raconter la mienne, celle qui a contribué à être qui je suis aujourd’hui.
C’est ainsi qu’un jour, alors que je me baladais en vélo, je me suis perdu au détour d’un chemin dans les bois. En cherchant un peu à revenir sur mes pas, je suis tombé sur une cabane devant laquelle j’étais passé à l’aller sans m’en rendre compte et la curiosité de cet âge aidant, j’en ai fait le tour pour voir un peu. Comme il semblait n’y avoir personne et qu’elle était plus ou moins abandonnée, j’ai poussé la porte pour entrer. Rien de bien intéressant, un cabanon de chasseurs qui devaient s’y mettre à l’abri quand il faisait mauvais pour boire un coup. Mais c’est là que j’ai aperçu au milieu de la table un magazine qui dépassait sous un journal. Un magazine avec une belle paire de fesses de femmes.
On est tous d’accord pour dire que vu les hormones d’un gamin, je ne pouvais pas laisser cette fabuleuse découverte-là toute seule abandonnée, alors je l’ai ouvert et quelle ne fut pas ma stupéfaction de voir qu’il n’y avait pas une paire de fesses, mais une multitude, ainsi que des seins, des chattes et tout le toutim...
Un beau magazine comme on en fait plus.
A cette époque, j’étais déjà un féru de masturbation, alors avec une telle matière, j’étais aux anges. Je feuilletais les pages et là, je suis tombé dessus. Un magnifique article avec une femme adepte des dilatations anales les plus folles, la photo de couverture d’article la représentait en train de se faire fister le cul par une autre femme et sur une autre photo, c’était sa propre main qu’elle s’enfilait. Je vous laisse imaginer ma réaction en découvrant la chose. Déjà, je ne savais pas que c’était possible, et ensuite le côté incongru et l’extase qui se lisait sur son visage m’ont marqué à jamais.
C’est là que j’ai commencé à entrer dans un nouveau monde... Le soir même, dans ma baignoire, je me suis amusé à me caresser la rondelle doucement, avec un peu de savon sur mon majeur, puis lentement y glisser un doigt pour voir, j’ai tellement apprécié, que j’ai commencé à faire des va-et-vient avec le majeur. J’ai tenté de glisser un second doigt, mais non, ça ne passait pas, tant pis, j’ai recommencé de la main gauche, tout en faisant glisser ma main droite sur ma queue encore et encore, c’était divin et cela m’a conduit au plus bel orgasme que j’aie eu jusque-là !
Les 4 années qui ont suivi, je n’ai eu de cesse de recommencer et d’en découvrir plus, c’est comme ça qu’à peu près tout ce que j’avais sous la main y est passé : stylo, marqueur, collier de perles en bois, manche en bois, goulot de bouteille, pate fimo etc.
Et puis un jour, je suis parti à la fac, internet, mon studio, mon compte en banque, le tout dans une ville. C’est comme ça que j’ai pu passer aux choses sérieuses et me constituer une belle petite collection de jouets. Du plug anal le plus petit pour s’échauffer, au gode de 9 centimètres de diamètre et 40 centimètres de long. J’ai passé la majeure partie de mon temps libre les 3 années suivantes avec quelque chose dans le cul. J’avais toujours en tête cette femme avec un poing en elle, un jour, moi aussi j’arriverai à enfoncer le mien en moi. Au début, j’y allais doucement, commençant avec un petit lavement à la poire et quelques plugs et godes de 3 à 5 centimètres de diamètre de manière progressive et bien lubrifiée, mais assez rapidement j’ai dû me bricoler une poche (camelback) de 3 litres afin de me laver en profondeur pour accueillir des jouets de plus en plus gros et de plus en plus loin en moi.
Au bout de quelques mois, j’ai pu jouer avec des plugs de plus en plus gros (6 centimètres, 6.5 centimètres, 7 centimètres, 8 centimètres) que je gardais souvent longtemps en moi (toute une nuit par exemple) pour bien m’élargir. Je confirmais ensuite la dilatation avec un gode de plus en plus gros posé sur une chaise, sur lequel je venais m’assoir et que je faisais glisser sur toute sa longueur dans mon ventre avant d’aller et descendre dessus. Ils étaient si énormes et longs que j’ai dû travailler un moment avant d’arriver à jouer suffisamment avec mon sigmoïde pour passer plus loin encore. Certains de mes godes me déforment le ventre en faisant une bosse avec laquelle je peux jouer de l’extérieur ! A chaque fois, ça me provoque des éjaculations comme jamais, autrement je n’en ai, que ce soit avec une femme ou un homme...
Question jouets, j’ai aussi investi dans le gonflable, je me suis aussi mis à me muscler le sphincter avec un plug gonflable, une fois en place et bien plein, je le poussais en dehors, puis le bloquais et le faisais re-rentrer à la seule force de mon cul.
Non seulement ça m’a évité l’incontinence, mais en plus ça facilite la décontraction et la dilatation, parce qu’arrivé au gode de 9 centimètres, c’est là que j’ai enfin pu non sans mal réaliser mon fantasme de départ, passer MON poing à l’intérieur de mon cul et me branler ainsi. J’ai atteint ainsi des orgasmes insoupçonnés et d’une puissance folle. A tel point qu’il me faut à chaque fois plusieurs heures pour m’en remettre...
C’est à cette période que j’ai fait une rencontre déterminante pour ma personnalité actuelle et qui sera l’objet du chapitre 2 si vous en avez envie !
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