Comme je vous le disais, à cette époque, je passais déjà beaucoup de temps avec le cul dilaté, mais pas toujours non plus. Il m’arrivait en effet de participer à quelques soirées étudiantes, et c’est au détour de l’une d’elles que j’ai fait une rencontre qui fut déterminante pour le reste de ma vie. Pas emballé par cette soirée, je me suis dit que quitte à être là, j’allais au moins boire un coup. Arrivé au bar, en attendant ma commande au bar, je me rends compte qu’une femme à côté de moi est à peu près dans le même état, elle regarde ses copines ivres mortes au loin en se demandant bien ce qu’elle fout à sortir avec elles. Elle remarque que je le remarque et esquisse un sourire et c’est comme ça que cette relation a commencé. Elle s’appelle Florence et est étudiante en 5e année de médecine pour ensuite se spécialiser en anesthésie. De ce fait, comme elle n’a pas énormément de temps libre, elle préfère le rationaliser, et c’est comme ça que l’on en arrive assez rapidement à parler de nos préférences... Un peu timide, je n’ose pas trop rentrer dans les détails, et si je lui parle de mon affection pour les dilatations, je ne précise pas forcément que c’est sur moi, bien au contraire, mais quand elle m’a dit qu’elle aussi, je pense qu’elle a vu l’étincelle dans mes yeux, parce qu’elle a tout de suite suggéré qu’on pourrait essayer... et nous voilà en direction de chez elle. C’est un de ses traits qui m’attire toujours autant, si je suis plutôt réservé et suiveur, elle est cash et prend les choses en main sans chichis.A peine arrivés, elle me propose un verre pour suivre celui du bar, et après me l’avoir remis, je la vois s’approcher pour m’embrasser, de longues minutes, puis à un moment, je l’ai vue se mettre à genoux, déboutonner mon jean, et commencer ce qui fut à l’époque la plus belle fellation que je n’aie jamais eue. Elle m’a ensuite entraîné dans la chambre, s’est déshabillée et allongée sur le lit en commençant à se caresser de manière insistante. Puis elle a enfoncé 1 doigt entre ses lèvres, puis un second quelques secondes plus tard, et un troisième. J’étais spectateur, mais je ne pouvais m’empêcher de m’approcher encore et encore, jusqu’à avoir les yeux à 50 centimètres de sa main. Je l’ai vue avec son autre main chercher quelque chose dans sa table de nuit et sortir un tube de gel lubrifiant dont elle a immédiatement commencé à enduire sa main. J’étais comme dans un rêve, sous mes yeux était en train de se dérouler LA scène dont j’avais rêvé depuis la découverte de ce magazine durant mon adolescence. Lentement, elle a commencé à faire des va-et-vient avec plusieurs doigts, insistant gentiment, puis l’impensable est arrivé, elle m’a proposé d’aller me laver les mains et de participer. J’avais beau avoir une certaine expérience de ce côté-là, elle se limitait à moi. Jamais quelqu’un ne s’était associé à cela, et le fait qu’elle me fasse cette proposition spontanément me laissait quelque peu... J’ai dû passer bien deux minutes au lavabo, à frotter, savonner et surtout avoir le cerveau en ébullition. Quand je suis finalement sorti pour aller la retrouver, j’ai vu qu’elle ne m’avait pas tout à fait attendu, elle avait en effet sorti un gode avec lequel elle avait l’air de prendre pas mal de plaisir ! En me voyant, elle s’est juste allongée, le gode toujours en elle, et m’a demandé si j’avais envie de le remplacer. Ce en quoi je me ne me suis pas fait prier, et j’ai commencé à lui faire l’amour, non sans une certaine arrière-pensée. Le plus étonnant, c’est qu’elle avait cette même arrière-pensée, et au bout de quelques minutes, elle m’a accompagné pour rajouter son gode en plus de ma queue. Je la sentais distendue, mais son visage ne montrait aucune douleur, aucune crainte, juste un grand plaisir, alors j’ai décidé d’oser plus encore. Je me suis retiré et me suis mis entre ses jambes écartées, j’ai pris le tube de gel, et après en avoir déposé une certaine quantité sur sa chatte et sur ma main, j’ai commencé à lui mettre quelques doigts. Les uns après les autres et rapidement, ils y étaient tous, je l’empalais avec le cône formé par mes doigts. Voyant que je manquais d’expérience, elle me guida, me fit ressortir le pouce et faire un certain nombre d’allers-retours comme ça, de plus en plus profonds, jouer avec mes doigts en elle, refermer ma main. Après un bon quart d’heure ainsi, elle me suggéra d’ajouter le pouce et de recommencer. Ma main pouvait presque disparaître en elle, mais bloquait toujours, alors je repris les allers-retours, en forçant un tout petit peu à chaque fois. Elle se concentrait, je la sentais pousser sur ma main, comme pour lui faciliter le passage, et finalement, je la sentis glisser en elle, et ses lèvres se refermer sur mon poignet. Cette sensation me fit presque éjaculer instantanément. La décharge de plaisir qu’il soit physique ou purement psychologique de par mon excitation fut plus intense, encore que lorsque je me fistais moi... Et sa réaction à elle fut... pendant un instant, je crus avoir au bout de mon poing une femme que j’étais en train d’exorciser, tellement elle se tortillait, et j’ai commencé à prendre peur de lui avoir fait mal, de l’avoir blessée, jusqu’à ce que je comprenne qu’elle était simplement en train d’avoir un orgasme. Je suis resté comme ça, ne sachant pas trop quoi faire, la laissant redescendre, ce qui lui prit une bonne minute. Quand elle a repris ses esprits, mon poing était toujours bien calé au fond d’elle, je devais avoir l’air stupide, mais elle eut un regard tellement doux envers moi que j’ai tout de suite oublié tout ça. Là, elle m’avoua que j’étais le premier homme à la fister, et que si elle doutait au début d’arriver à engloutir un poing comme le mien, le résultat était bien au-delà de ses espérances, et que si je voulais, elle adorerait que je continue. Alors je repris mes va-et-vient et elle jouit une seconde fois. Cette fois, pour me remercier, une fois dégagée de mes doigts, elle m’allongea sur le dos et reprit la fellation du début de soirée. Je ne lui ai jamais demandé combien d’hommes elle avait sucés avant moi, mais une chose est sûre, c’est qu’elle avait déjà un savoir-faire qui me catapultait au 7e ciel, et il ne fallut pas longtemps pour que je jouisse dans sa bouche, ce qui n’a pas semblé lui déplaire, bien au contraire. Puis elle vint s’allonger à côté de moi. Durant cette phase « post-coïtale », je lui ai dit que j’avais pris énormément de plaisir à la faire jouir avec mon poing, et que je recommencerai volontiers chaque fois qu’elle le voudrait ! C’est là qu’elle m’a fait une déclaration qui si je n’étais pas déjà amoureux, me l’a fait devenir, elle m’a tout simplement proposé si j’en avais envie de me faire la même chose... Elle avait vu mon petit trou durant nos ébats et avait remarqué à son allure que je devais souvent jouer avec... Gagné... Un peu timide et honteux, j’ai rougi, mais je dois reconnaitre que je rebandais, rien qu’à l’idée de sa main en moi, et elle l’a remarqué. Elle m’a demandé si j’en avais envie maintenant, et si c’était possible. Comme je m’étais fait un bon lavement juste avant de sortir, il s’avère que oui, c’était possible. Alors très tendrement, elle m’a murmuré à l’oreille de me placer au bord du lit, genoux à terre, et qu’elle s’occupait du reste. Elle a commencé à m’appliquer du gel et à jouer avec ma rondelle, en tournant autour, la titillant avec ses doigts, et j’ai senti un doigt forcer doucement l’entrée. Juste du bout de l’ongle, pas plus, puis il est ressorti, puis revenu, et lentement tout entier, il est entré, puis ressorti pour revenir avec un autre, un troisième et ainsi de suite. Je pense que mes jeux habituels facilitaient grandement cette insertion rapide. Il ne lui fallut en tout et pour tout qu’environ 15 minutes pour que je sente passer son poing et mon cul se refermer sur lui avec une sensation d’extase tout bonnement prodigieuse ! Du moins avant qu’elle ne commence ses va-et-vient. En effet, mon manque de souplesse me permettait juste de passer mon poing, mais pas d’aller au-delà, ce qu’elle pouvait amplement faire. La sentir s’enfoncer en moi, sentir mon ventre se déformer était l’expérience la plus intense que j’avais vécue jusqu’ici, et je n’ai pas tardé à jouir, sans pour autant maculer ses draps de sperme. Elle sortit son poing et nous nous sommes allongé l’un à côté de l’autre, heureux. Achevant cette rencontre qui ferait qu’aujourd’hui encore nous sommes ensemble...
