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Liliane, mère dévouée

Chapitre 2

Inceste
Comme je l’escomptais, quand il vit sa belle-mère lui sourire perchée sur ses talons aiguilles devant le pas de la porte, Mathias banda instantanément.
— Bonjour belle-maman. — Bonjour Mathias, lui répondis-je en laissant la marque de mes lèvres sur ses joues.— Entrez je vous prie, je peux vous offrir un café ?— Oui, merci avec plaisir.
Je m’assis sur le canapé et croisai une de mes jambes sur l’autre, les mettant ainsi bien en évidence sous les yeux de mon gendre.Je vis son regard se diriger vers elles, et commençai à jouer avec mon escarpin en le maintenant au bout de mes orteils. Je faisais semblant de n’y prêter aucune attention, alors que Mathias ne s’intéressait qu’à ça.Il y avait longtemps que j’avais remarqué son attirance pour les hauts talons, et je comptais bien me servir de cette faiblesse.
— Comment va Laetitia ? Me demanda-t-il d’une voix mal assurée. — Pas très bien. Elle a beaucoup de peine.
Mathias ne répondit pas et déposa la tasse de café sur la petite table basse devant moi. Il s’apprêtait à s’assoir sur le fauteuil face à moi quand je tapotai le canapé.
— Assis-toi à côté de moi, on sera mieux pour parler, lui dis-je.
Et puis arrête de m’appeler belle-maman, ça me vieillit. Appelle-moi Liliane.
Dès que mon beau-fils fut assis à côté de moi, je posai nonchalamment ma main sur sa cuisse. Je sentis alors une légère secousse le traverser de part en part. La vue de mes escarpins et le contact de ma main à travers son jean avaient suffi à l’exciter.J’étais contente de l’effet que je lui faisais malgré notre différence d’âge. C’était presque trop facile avec les petits fétichistes comme lui.
— Avant d’aller plus loin, j’ai une question à te poser : es-tu vraiment amoureux de ma fille ?
— Oui, je l’aime.— Alors pourquoi l’a fais-tu pleurer ?
Pendant qu’il réfléchissait à sa réponse, je bus une gorgée de café puis reposai ma main un peu plus haut sur sa cuisse. Je pouvais maintenant sentir son érection à travers le tissu. Je fis semblant de ne pas m’en être rendu compte et me mis à caresser innocemment le bout de son gland avec mes longs ongles vernis.
Mathias eut du mal à répondre.
— Je ne le fais pas intentionnellement. C’est juste que j’aimerais faire comme mes copains avec leur petite amie. Mais Laetiticia est...— Coincée ! Oui, je sais, son ex-beau-père a abusé d’elle quand elle était jeune et cela l’a traumatisée.
Je vais faire tout mon possible pour la décoincer, mais cela va prendre du temps. Si tu la quittes, elle va faire une déprime.
Il commença à tergiverser.
— J’aime Laetitia, mais nous avons beaucoup trop de divergences question sexe, je ne pense pas que ça puisse coller entre nous.

Je me levai d’un coup et posai mon escarpin sur son sexe.
— Si tu rends ma fille malheureuse, je te jure que je te le ferais payer cher.
Je vis un mélange de peur et d’excitation dans ses yeux tandis que j’appuyais de toutes mes forces.Je sentais mon gendre bander comme un fou sous ma semelle. Il était totalement sous mon contrôle. A cet instant, j’aurais pu faire ce que je voulais de lui, même le castrer.Mais ce n’était évidemment pas mon intention.Je me rassis et remis ma main sur son sexe. Je passais du chaud au froid pour exacerber son excitation.Je repris une voix douce.
— Je suis consciente que comme tous les hommes, tu as des envies. J’ai été mariée deux fois et je connais bien leurs besoins et la façon de les satisfaire.
Pendant que Mathias réfléchissait au sens de mes paroles, je rebus une gorgée de café et m’essuyai les lèvres en passant la langue dessus.J’avais envie de lui dire que sa belle-mère était une sacrée salope, mais bon, ce n’aurait pas été très convenable. Et puis ce serait bien plus amusant de le voir le découvrir lui-même.
— J’ai donc une proposition à te faire : tu restes son petit copain, et moi en échange.....
Je laissai à mon gendre le temps de deviner la suite.Je pense qu’il avait compris, mais il n’osait pas y croire, ou en tout cas pas y répondre. Je repris donc la parole.
— Tu aimes les fellations n’est-ce pas ?
Tu as de la chance, ta belle-mère est une suceuse de premier ordre.
Mathias devint blanc comme un linge. Il ne s’attendait pas à ce que sa tendre belle-maman lui dise une chose pareille.
— J’ai un deal à te proposer : tu restes le petit copain de Laetitia le temps que je la décoince, et en échange, c’est turlutte à volonté dans la bouche de ta belle-mère.
Alors, qu’en dis-tu ?
Mathias déglutit et demanda, surpris :
— Vous belle-maman ?— Oui moi. Qu’est-ce que tu crois ? Tu tétais encore ton biberon que moi je tétais tous les garçons de mon quartier. — D’accord. Murmura-t-il.
J’étais certaine de sa réponse.
— Appelle Laeticia. Dis-lui que je viens de partir après avoir eu une discussion avec toi. Excuse-toi et promets-lui que tu ne lui demanderas plus de faire des « choses ».
Pendant qu’il composait le N° de ma fille, je commençai à déboutonner son jean. J’extirpai sa queue au moment même où elle décrocha.
— Allo Laeticia, c’est Mathias.
Je salivai sur le gland pour l’humidifier.
— Qu’est-ce que tu veux ?
Je donnai des coups de langue sur le frein.
— Ta mère est venue, elle m’a expliqué certaines choses. Je voudrais m’excuser...— Elle est encore là ?
Je fis un signe de négation de la tête et me mis à sucer avec ardeur.
— Non... Elle vient de partir... eut du mal à articuler Mathias.— Tu as une drôle de voix. Qu’est-ce que tu as ?— Oh rien, je crois que j’ai attrapé froid cette nuit. J’ai comme un chat dans la gorge.— Et ta mère, c’est une bite qu’elle a au fond de la gorge, pensais-je pendant que je le pompais.

Mathias me lança un regard suppliant afin que j’interrompe ma pipe pendant qu’il parlait avec ma fille. Pour toute réponse, je me mis à lui mordiller le bout du gland.Il toussa.
— Ah oui, je t’entends, ça n’a pas l’air d’aller fort. Tu devrais te soigner.— Du sirop de corps d’homme, il n’y a rien de mieux pour le mal de gorge, chuchotais-je à mon gendre.

Laeticia a dû m’entendre :
— Il y a quelqu’un avec toi ? demanda-t-elle.
Je m’étais remise à pomper sauvagement.
— Non..., c’est la télé. Bon, je vais raccrocher, j’ai de plus en plus de mal à parler.— D’accord. Merci d’avoir appelé. Soigne-toi bien.
Il était temps que Mathias raccroche. Il se mit à pousser des gémissements de plaisirs.
— Oh belle-maman. C’est si bon. On ne m’avait jamais fait une chose pareille.
Je ne répondis pas. Ce n’est pas poli de parler la bouche pleine. Et puis j’avais envie de faire cracher mon gendre rapidement, histoire de lui faire voir de quoi était capable sa belle mère.
Je le regardais dans les yeux en prenant un regard lubrique tandis que sa queue tressautait dans ma bouche à chaque jet de sperme. Je voyais dans son regard qu’il n’aurait jamais imaginé que sa belle-maman ait pu être aussi salope.J’ouvris la bouche en grand pour lui faire voir son foutre sur ma langue, puis avalai d’un trait. Je lui nettoyai consciencieusement le gland avant de remettre son slip et son pantalon en place.

Mathias était toujours sous le coup de la surprise. Il n’en revenait pas que sa belle-mère lui ait taillé une pipe comme si c’était quelque chose de complètement anodin pour elle. (Il ne savait pas encore que c’était effectivement quelque chose que je faisais couramment.)
Je remis ostensiblement une couche de gloss sur mes lèvres sous ses yeux, puis m’adressai à lui de la façon la plus naturelle du monde, comme si il ne s’était rien passé.
— Aurais-tu la gentillesse de me raccompagner chez moi en voiture ? Je n’ai pas envie d’attendre le tram.— Bien sûr belle-maman. Avec plaisir.— Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler comme cela. Maintenant que je te suce, tu peux bien m’appeler par mon prénom !— D’accord, Bel..... Liliane.
Je pris place dans la voiture de Mathias et reposai de nouveau ma main sur son entrejambe.
— Que je suis bête, m’exclamais-je soudainement. Laeticia m’a dit que tu aurais aimé qu’elle te suce en voiture, j’aurais pu le faire pendant le trajet.
Je fis semblant de réfléchir tout en lui palpant les couilles à travers son pantalon.
— Ce n’est pas grave, je demanderais à mon gendre de m’emmener faire des courses ou quelque chose de ce genre.
Oh et puis, il y a plus simple. Viens m’attendre près de chez moi le matin, et je te sucerais pendant que tu me conduiras au travail. Ça te convient ?
J’avais dit ça de la façon la plus naturelle du monde, et je m’amusais beaucoup de la gêne que je provoquais chez mon gendre.
— D’accord, Liliane. — Ah enfin, tu m’appelles par mon prénom, lui dis-je en caressant plus fort son sexe.

Mathias se stationna à 200 m de chez moi afin que ma fille ne nous voie pas. Avant de quitter son véhicule, je lui roulais un patin en lui rappelant ce que je lui ferais le lendemain.

Quand je rentrai à la maison, je trouvai ma fille radieuse.
— Maman. Je ne sais pas ce que tu as dit à Mathias, mais en tout cas, tu as été très convaincante. Aussitôt après ton départ, il m’a appelée pour me dire qu’il s’excusait. Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureuse.— Oh, je ne lui ai pas dit grand-chose. Je lui ai seulement fait comprendre ce qu’il perdrait s’il te quittait.
Laetitia se jeta dans mes bras.
— Tu es la plus cool des mamans. — Je sais, je sais, lui dis-je en lui caressant les cheveux.

Le lendemain comme convenu, mon gendre était venu m’attendre en voiture non loin de chez moi.A peine assise, je reposais ma main sur son sexe.
— Alors, tu as fait de beaux rêves ?
Mathias ne répondit pas.
— J’espère que tu ne t’es pas branlé en pensant à moi au moins !
Il rougit.
— Oh si tu l’as fait n’est-ce pas espèce de petit cochon ! En tout cas, ta queue est plus loquace que toi, elle bande déjà.
Fais bien attention à la route pendant que je vais te sucer. Je n’ai pas envie qu’on ait un accident, lui dis-je en riant.
Je me penchais sur lui et défis sa braguette. Je mis à l’air sa queue déjà bien raide et l’embouchai aussitôt.Je sentais les mains de Mathias se crisper sur le volant pendant qu’il conduisait. Il était 07h00 du matin et la circulation commençait à se densifier. Je suçais sans me soucier des voitures ni des camions que Mathias doublait. Pourtant, avec leurs cabines surélevées, les chauffeurs de ces derniers pouvaient facilement me voir penchée sur le conducteur. Il n’y a qu’aux arrêts aux feux rouges que j’interrompais ma fellation pour ne pas être surprise par les piétons sur le trottoir.
Je me demande d’ailleurs si une femme ne se doutait pas de quelque chose à la façon dont elle me regardait quand j’ai relevé la tête.Je fis tout le trajet avec la queue de mon gendre dans la bouche. Il eut la présence d’esprit de s’arrêter dans un endroit discret non loin de mon lieu de travail, où je pus le finir. Après avoir avalé une nouvelle fois sa semence, je déposai un baiser sur ses lèvres et me dirigea à pied jusqu’à mon lieu de travail.

Je n’avais pas pensé que le trajet en voiture serait beaucoup plus rapide que celui que j’effectuais d’habitude à pied et en tramway, et j’arrivai au bureau une demi-heure plus tôt. Après avoir pompé Mathias, j’avais la chatte en feu. Il fallait absolument que je me trouve une queue d’urgence pour me faire ramoner. Mon patron et mes collègues de bureau n’étaient pas encore là pour me rendre ce service, et je n’avais pas la patience d’attendre leur arrivée. C’est alors que je vis le vigile en train de me reluquer. Il finissait sa nuit et semblait fatigué, mais je compris que je pourrais facilement le réveiller. Il était plutôt "rustique", mais ça me changerait des cadres en costard cravates que j’avais l’habitude de me taper.
Il ne comprit pas ce qui lui arrivait quand je plaquais ma main entre ses jambes.— J’ai envie de me faire baiser. Ça te dit ?
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