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Liliane, mère dévouée

Chapitre 3

Inceste
Comme convenu avec moi, Mathias téléphona à Laetitia pour s’excuser de nouveau, et surtout pour lui dire qu’il l’aimait toujours. J’étais présente lorsque ma fille reçut l’appel, et je lui dis qu’il ne fallait pas qu’elle cède tout de suite. Malgré l’envie qu’elle avait d’aller se jeter dans les bras de son amoureux, elle comprit que c’était dans son intérêt de le laisser mariner un peu. Ca aussi, c’était convenu entre moi et mon gendre. Cela me permettait d’aller m’occuper de lui tous les jours tranquillement.
Durant la semaine qui suivit, Mathias appela tous les jours sa petite amie après s’être fait pomper par sa belle-mère.Parallèlement aux soins palliatifs que je donnais à mon gendre, je m’efforçais de décoincer peu à peu Laeticia. En tout cas pour ce qui est des fellations.
— Alors, comment cela se passe avec Mathias ? — Très bien. Il m’appelle tous les jours pour me dire qu’il m’aime et que je lui manque. — Mais c’est super. Et, est-ce qu’il t’a reparlé de..., enfin tu sais, de... fellations. — Non maman. Pas une seule fois. — C’est bon signe. S’il arrive à se passer de ça, c’est qu’il tient beaucoup à toi. — Tu penses qu’il est vraiment amoureux de moi ? — J’en suis sûre sinon il serait déjà parti. Mais tu sais, c’est malgré tout un homme et les hommes sont « faibles ». — Que veux-tu dire par là ? — Ils se laissent facilement emporter par leurs désirs sexuels. C’est dans leur nature.
J’hésitais quelques secondes avant d’aborder le cœur du sujet.
— Je pense que tu devrais essayer de lui faire des petites gâteries. Ca lui ferait énormément plaisir.— Mais enfin maman, c’est dégoutant. — C’est vrai, mais c’est une chose que les femmes doivent faire pour trouver et surtout garder un homme. C’est malheureux, mais c’est comme ça. Cela fait partie des inconvénients de la condition féminine, de même que les règles.
Mais tu verras, on s’y habitue vite. Après quelques pipes, on ne fait même plus attention au goût du sperme.
Laetitia me regarda complètement décontenancée.
— Mais enfin Maman, tu dis ça comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.
Ne me dis pas que des hommes ont déjà éjaculé dans ta bouche !
Je ne savais pas quoi trop répondre. Ma fille considérait sa mère comme une sainte, et je n’avais pas envie de lui faire perdre toutes ses illusions.D’un autre côté, je ne pouvais pas éluder la question indéfiniment.
— Et bien si, cela m’est déjà arrivé. Quand tu es une femme, tu n’as pas beaucoup le choix. Pourquoi crois-tu que ton père m’a épousée ?
Il n’y a rien de mieux qu’une petite pipe régulièrement pour entretenir la solidité d’un couple.
Je vis ma fille faire une moue écœurée quand je lui dis cela. Je décidais donc d’atténuer mes propos.
— Je le fais à contrecœur bien sûr (oh la la, quelle menteuse me disais-je), mais les femmes sont malheureusement toutes obligées de passer par là. Comme je te l’ai déjà dit, cela fait partie des inconvénients d’en être une.
Je me mordais la lèvre pour pouvoir mentir avec autant d’assurance à ma fille. Je n’allais pas lui dire que sa maman chérie adorait se jeter sur toutes les bites qu’elle croisait.
Malgré tous mes arguments, Laeticia restait réticente à prendre le sexe d’un garçon dans la bouche. Pour vaincre ses dernières résistances, je fus obligée à contrecœur d’utiliser l’argument-choc.
— Le danger, c’est que si tu ne suces pas Mathias, il risque de se lasser de toi et d’aller voir une autre. Malheureusement, les lycées sont remplis de petites traînées qui n’hésiteront pas le faire pour te le piquer. (J’étais bien placée pour le savoir). — Tu veux dire que si une femme ne suce pas son homme, celui-ci va la quitter. — C’est effectivement le risque. — Je ne crois pas que Mathias pourrait me faire ça, lui il m’aime. — Il a beau t’aimer, si jamais une petite dévergondée lui faisait des gâteries, je ne sais pas s’il résisterait très longtemps.
Laeticia fut effrayée.
— Oh non maman, ne me dis pas qu’il pourrait me quitter.— Pour le moment, je ne pense pas, car il est amoureux de toi. Mais les hommes sont tellement influençables... il suffirait qu’une petite sal..., enfin catin...— C’est hors de question qu’une chose pareille arrive ! décida ma fille en se levant d’un brusquement.
Maman, je sais que c’est très délicat comme demande, mais voudrais-tu m’apprendre à faire une fellation ?
J’avais envie de bondir de joie depuis le temps que j’attendais cette réaction, mais je sus rester digne.
— Effectivement, c’est très délicat, mais que ne ferait pas une mère pour sa fille ? (quel faux cul je fais, pensais-je)— Oh merci ! cria-t-elle en m’embrassant. — Comment comptes-tu faire pour m’apprendre maman ? Tu veux qu’on aille ensemble chez Mathias. — Non. J’ai une meilleure idée. Ce serait mieux que tu apprennes avec une autre qu..., enfin je veux dire un autre garçon. Comme ça tu pourras faire une surprise à ton amoureux. — Oh oui, ce serait géniale maman. Mais tu penses à quel garçon ? — Tu as la chance d’avoir 4 frères ma chérie, tu as l’embarras du choix. Nicolas est actuellement dans sa chambre, on pourrait commencer maintenant. — Tout de suite ? — Bien sûr, pourquoi attendre ? Va lui dire que j’ai besoin de le voir.
Pendant que ma fille allait chercher son frère, mon mari Philippe me dit discrètement.
— Tu aurais pu penser à moi. — J’y ai pensé. Je sais bien qu’un vieux cochon comme toi aimerait se faire sucer par sa fille, mais il lui faut une queue jeune et vigoureuse pour apprendre.— Est-ce que je peux au moins regarder ? Me demanda-t-il d’un air suppliant.
Mon vieux mari me fit pitié. Il avait le regard implorant d’un petit garçon. Je savais qu’il adorait me mater pendant que je me faisais prendre par mes amants, et j’eus une idée.
— Bon, d’accord. Tu vas me servir de cobaye pour montrer à Laeticia comment sucer son frère. Ça te va ? — Oh chérie, tu es vraiment la meilleure des femmes.— La plus salope tu veux dire !
Quelques minutes plus tard, Laetitia et moi étions assises l’une à côté de l’autre sur le canapé, avec chacune notre « cobaye » debout devant nous.
J’adressais un grand sourire à ma fille et l’encourageai.
— Tu vas voir, je vais te montrer comment rendre Mathias fou de plaisir.
Je ne sais pas si c’est la perspective de sucer mon petit ami qui la transforma, mais elle d’habitude si prude se jeta littéralement sur la braguette de son frère pour extirper sa queue.D’un côté, j’étais ravie de son empressement, mais de l’autre, je devais calmer ses ardeurs pour pouvoir lui apprendre correctement.
— Ce n’est pas un concours de vitesse. Une bonne pipe commence alors que l’homme est toujours habillé.
Il faut lui donner envie, le faire bander avant même de le toucher...
— Comment maman ? — Tout est dans le visuel, la façon de bouger, des petits gestes anodins. Regarde-moi.
Je pris une moue mutine en lançant des œillades sensuelles à mon mari. Je savais qu’il commencerait déjà à bander rien qu’avec ça.Laeticia m’observait avec attention.
— Tu vois, je me mets à genoux. Les hommes adorent ça. Ils ont l’impression de te dominer et ça leur fait plaisir, alors qu’en fait c’est toi qui es la maîtresse de leur désir. — Je ne comprends pas bien pourquoi. — Ce n’est pas grave, je t’expliquerais ça plus tard. Maintenant, pour achever ton homme, tu passes doucement ta langue entre tes lèvres. — Comme ça maman ? — Oui très bien. Regarde la bosse sur le pantalon de ton frère. Tu lui fais un sacré effet ! — Oh oui c’est vrai. Tu n’as pas honte petit cochon !
Nicolas rougit.
— Pour la prochaine fois, pense à te maquiller les lèvres avec un rouge bien vif. — Mais maman, cela fait très vulgaire. — Oui c’est vrai, mais ça excite tellement les garçons. — Tu crois que Mathias aimerait ça ? — Je ne le crois pas. J’en suis absolument certaine. Crois-en mon expérience. (Je ne mentais pas, j’avais remarqué que mon gendre adorait quand je laissais les marques de mes lèvres sur sa queue.) — D’accord, j’en mettrais. Tu m’apprendras à me maquiller ? — Mais bien sûr, avec plaisir. — Je compte sur toi pour faire quelque chose de « classe ». — Évidemment ma chérie. « Je te ferais une belle bouche à pipe », pensais-je alors. — Merci maman, tu es vraiment la meilleure. — Non arrête, tu vas me faire rougir. Bon, on continue la leçon. Maintenant que ton amant bande bien, tu peux libérer délicatement sa queue.
Laeticia extirpa la verge de son frère en même temps que j’extrayais celle de son père de son pantalon.
— Un des points clefs d’une bonne fellation, c’est de maintenir la queue toujours bien humidifiée.
Ma fille m’imita en déposant un peu de salive sur le sexe de son frère et en l’étalant avec sa langue.
— Maintenant, regarde-moi bien. Ouvre grand la bouche en formant un O et cache tes incisives sous tes lèvres. C’est très important que tes dents ne frottent pas sur son gland, car tu pourrais lui faire très mal. — Ce serait bien fait pour lui ! Avec toutes les vacheries que Nicolas me fait.
Je vis la crainte sans le regard de mon fils.
— C’est effectivement très amusant de punir un homme de cette façon. Ca lui fait voir qui commande. N’est-ce pas chéri ? dis-je en m’adressant à mon mari. Mais cela nécessite une parfaite maîtrise de soi et une solide expérience. Pour le moment, commence déjà par les bases. — Oui maman, je disais ça juste pour taquiner mon cher petit frère... et pour l’inciter à être plus gentil avec moi à l’avenir. — Bon, continuons. Tout en maintenant ta bouche grande ouverte, avale la queue de ton frère le plus loin possible, puis remonte jusqu’au sommet du gland et ainsi de suite.
Laeticia commença doucement ses va-et-vient.
— C’est bien. Serre tes lèvres sur sa queue pour lui procurer plus de sensations en faisant bien attention que tes dents restent bien cachées.
Ma fille suivait mes instructions à la lettre sans hésiter et bientôt son petit frère commença à gémir doucement.J’étais à la fois surprise et ravie qu’elle caresse ainsi une bite sans manifester la moindre répulsion, elle qui il y a encore peu de temps était outrée rien qu’en entendant le mot "fellation". Maintenant au contraire, elle semblait aimer ça.
— Pense à jeter régulièrement des regards langoureux vers le garçon que tu suces. Ca va l’exciter encore davantage. — Comme ça ? — Oui, parfait. Quand on te voit, on a l’impression que tu fais ça depuis des années.
Laeticia interrompit sa pipe.
— Mais enfin maman. Tu ne penses quand même pas une chose pareille ?— Bien sûr que non. C’est juste que tu débrouilles vraiment très bien. Tu es vraiment digne d’être ma fille.
Celle-ci rougit dans un mélange de honte et d’excitation.
— Arrête un peu de pomper et donne des petits coups de langue sur le sommet du gland, cela va permettre de reposer ta mâchoire. Insiste sur le frein là, c’est l’endroit le plus sensible.
Nicolas se contracta.
— Tu vois, qu’est-ce que je t’avais dit. — C’est super maman, je sens toutes ses réactions dans ma bouche. — Je te l’avais dit. Est-ce que tu commences à comprendre pourquoi une femme domine un homme quand elle le suce ? — Je crois que oui maman. — Ah, un petit truc que les hommes adorent. Passe doucement la paume de ta main sur le sommet du gland.
Mon fils se mit à gémir de plus en plus fort.
— Tu peux recommencer à le pomper.
Entre deux instructions données à ma fille, je pompais furieusement la queue de mon mari tout en lui pelotant les couilles.Laeticia s’en rendit compte et d’initiative elle prit les grelots de son frère entre ses doigts. Je ne reconnaissais pas ma fille. Qu’est-ce que j’étais fière d’elle quand je vis cela !
— Je vais bientôt venir, prévint Nicolas.
Je fus gréé à mon fils de cette prévenance. Je m’adressai à ma fille qui était en train de le pomper avec fougue, et ne semblait pas avoir conscience ce qui allait arriver incessamment.
— C’est ta première fellation. Tu n’es pas obligée d’aller jusqu’au bout. Je finirais ton frère si tu veux.
Laeticia interrompit sa pipe quelques instants.
— Non maman. Je veux faire voir à Mathias de quoi je suis capable.
J’étais vraiment contente de sa réponse. Nous nous mîmes toutes les deux à pomper nos hommes le plus vite possible. Dans cette course à la pipe, l’expérience l’emporta sur la fougue de la jeunesse, et Philippe me graissa les amygdales alors que ma fille s’activait toujours sur la queue de Nicolas.
Il jouit en criant peu après et Laeticia avala sans broncher son sperme, puis lui nettoya le gland comme je l’avais fait avec son père peu avant. Loin d’afficher une moue écœurée, son visage était au contraire radieux. Je vis que ce n’était pas seulement à cause de la joie d’avoir relevé ce défi, mais qu’elle avait vraiment aimé ce qu’elle venait de faire. Je compris alors qu’elle tenait de sa mère et qu’elle deviendrait vite une belle petite salope comme moi. J’en eus très vite la confirmation.
— Maman ?— Oui mon bébé. — Est-ce que je pourrais... sucer Loïc et Frederic quand ils vont rentrer à la maison ? — Tes grands frères ! Mais bien sûr.
Tu es en train de devenir aussi gourmande que ta mère.
Laeticia croisa alors le regard de son père et le prit par le cou.— Ne t’inquiète pas mon papounet. Je m’occuperais de toi aussi.
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