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Liliane, mère dévouée

Chapitre 5

Inceste
Mathias vivait maintenant chez moi depuis plusieurs semaines. Tout semblait aller pour le mieux entre lui et ma fille. Pourtant un matin...
— Qu’est-ce qu’il y a mon bébé, tu fais une drôle de tête ! Vous ne vous êtes pas redisputés j’espère ?— Non non maman, rassure-toi. Depuis que je suce Mathias, tout se passe très bien, c’est jusque... Enfin tu sais, je t’en avais déjà parlé... Il recommence à laisser traîner ses doigts autour de ma rosette.— Ah oui, c’est vrai, tu me l’avais dit. Je t’avoue que j’avais un peu oublié. Je pensais que les pipes lui suffiraient. Bon, je vais m’occuper de ça.— Merci maman, tu es vraiment un amour. — Oui, je sais. — Bon, je te laisse, il est l’heure que je parte en cours.
Il m’avait semblé entendre du bruit derrière la porte, et dès que ma fille eut quitté la maison, je l’ouvris brusquement.Mon vieux cochon de mari était à genoux derrière elle. Je l’attrapais par une oreille et lui tordis violemment.
— Espèce de vieux vicieux, — Aiiiille... Pourquoi fais-tu ça, je n’ai rien fait ! — Tu n’étais pas en train d’écouter derrière la porte peut-être ? — Je te jure que je n’ai rien entendu.
J’enfonçai mes ongles dans le lobe pour lui faire encore plus mal.
— Vraiment ? Je fais ça juste pour le plaisir alors, j’ai besoin de me défouler. Cela faisait longtemps que je n’avais pas été méchante avec toi. Je suis sûre que ça te manquait, je sais que tu adores ça.— S’il te plaît, arrête, ça fait super mal. — Cesse de geindre, sinon c’est tes couilles que je vais tordre.
Mon mari savait de quoi j’étais capable et se tut immédiatement.
— Tu as de la chance, je vais satisfaire ton vice pour le voyeurisme. Tu vas être aux premières loges pour voir ce que je vais faire.
Je l’emmenai jusque dans la chambre en le tenant par l’oreille, et lui ordonnai de se mettre sous le sommier. Le lit était recouvert d’un dessus dont les bords descendaient à ras du sol. J’avais l’habitude de mettre mon mari à cet endroit pendant que je me faisais baiser par mes amants. Il pouvait voir le spectacle via le miroir en soulevant légèrement le tissu, et il profitait pleinement des mouvements du matelas à chaque coup de queue que je me prenais.
— Si j’aperçois la moindre partie de ton corps dépasser, je plante mon talon aiguille dessus. Est-ce que c’est compris ? — Oui maîtresse, bégaya mon cher époux. — C’est bien, tu es un bon toutou. Et que je n’entende pas un bruit. Dès que Mathias sera rentré, je vais m’occuper de lui.
C’était un vendredi, et j’étais en RTT. Mon gendre quant à lui était parti à l’ANPE. A son retour.
— Alors, comment ça s’est passé?— Comme d’habitude, je n’ai pas l’expérience suffisante d’après eux. — Ca va s’arranger, ne t’inquiète pas. — Allez, viens avec belle-maman, elle va te remonter le moral.
Mathias fut un peu surpris quand je le pris par la main pour l’emmener jusque dans ma chambre. D’habitude, je le suçais dans le salon ou la cuisine sans faire de chichi. Il comprit alors que j’avais prévu quelque chose de spécial et se mit à bander aussitôt. Je regrettai alors de ne pas l’avoir conduit en le traînant par la queue. Je m’assis sur le lit et l’invitai à en faire de même à côté de moi. Connaissant sa belle-mère, il se doutait que j’avais une idée lubrique derrière la tête et bandait déjà comme un âne.
— Ton mari n’est pas là ?— Non, il est chez le médecin pour essayer de soigner ses problèmes d’érection. Tu sais, à son âge.
Savoir que Philippe entendait parfaitement que je l’humiliais devant son gendre, provoqua une petite décharge électrique au niveau de ma chatte.
— Et comme tu sais, Laeticia finit ses cours dans plusieurs heures, on est donc tranquilles. Nous avons largement le temps d’évoquer un sujet un peu sensible.

Je laissai volontairement un peu de temps pour réfléchir à Mathias, avant de continuer.
— En plus des fellations, Laeticia m’a dit que tu avais d’autres envies. Tu vois de quoi je veux parler.
Les yeux de mon gendre s’allumèrent. Oh que oui il avait compris. Il se faisait sucer régulièrement par sa belle-mère, et il se demandait maintenant s’il allait pouvoir l’enculer également. Je lus dans ses pensées.
— Minute papillon, lui répondis-je. — Je te vois venir. Tu voudrais le beurre, l’argent du beurre et le cul de la belle-mère sans rien payer ? Ce n’est pas comme cela que j’envisage les choses. Si tu veux mon cul, il faudra d’abord me donner le tien.— Je ne comprends pas bien. — Et là tu comprends mieux, lui demandai-je en sortant un gode ceinture du tiroir de la commode. — Vous voulez me...... SODOMISER ?— Ah, je vois que tu sais bien ce que c’est. Ne me dis pas que tu as déjà essayé?
Mathias rougit.
— C’est à prendre ou à laisser : soit tu me présentes ton cul et je te garantis que je vais lui faire sa fête, soit tu me jures que tu ne parleras plus jamais de sodomie à ma fille. Est-ce que c’est bien compris ?— Oui. — Alors, que choisis-tu ?
Mon gendre fixait le triple gode que je tenais en main. J’avais choisi exprès le plus gros modèle que j’utilisais avec mon mari afin de l’impressionner.
— Il est vraiment très gros, et je n’ai jamais fait ça.— Oui, je te confirme qu’il est gros. Je sodomise mon époux avec depuis des années, et pourtant quand je lui prends le cul avec celui-là, je te garantis qu’il couine comme un goret.
J’avais tout fait pour effrayer mon gendre et j’étais certaine qu’il se dégonflerait, ce que son silence semblait confirmer.
— Bon, il ne me reste qu’à le ranger alors. Par contre, plus de doigt dans le cul de ma fille. Compris ? — Non, attendez... prononça-t-il timidement. Vous me promettez d’y aller doucement ?
Un éclair de cruauté traversa mon esprit.
— Mais bien sûr, ne t’inquiète pas. Lui répondis-je en souriant. — Je vais t’exploser le cul tellement fort que le simple fait d’entendre le mot sodomie te fera gerber, pensais-je en fait dans mon for intérieur.— Déshabille-toi et mets-toi à quatre pattes sur le lit !
Mathias obéit avec un mélange de crainte et d’excitation. Il avait l’air d’apprécier le comportement autoritaire de sa belle-mère.J’en eus la confirmation quand il se trémoussa après que je lui eus donné une belle claque sur les fesses.
— Hum, ça faisait longtemps que je n’avais pas défloré un petit cul comme le tien. J’en ai l’eau à la bouche !
Je lui beurrai copieusement l’anus avec du gel lubrifiant, et introduisis sans ménagement deux doigts dans son rectum. Je commençai à les tourner contre sa paroi interne comme si je farcissais une dinde.Malgré la façon très humiliante avec laquelle je le traitais, Mathias bandait toujours comme une trique. Ce que je lui faisais ne le décourageait pas, au contraire, il bougeait son cul de façon à s’empaler sur mes doigts.
— C’est que mon gendre est une belle petite salope en fin de compte ! dis-je à voix haute à l’intention de mon époux.
En effet, de temps en temps, je jetais un coup d’œil dans le miroir et je voyais le dessus-de-lit légèrement relevé. C’était mon mari qui observait sa femme en pleine action. Je savais qu’il bandait en faisant ça ce vieux cochon. Je le lui ferais payer cher plus tard.Je m’adressai maintenant à Mathias.
— Attention, on va maintenant passer aux choses sérieuses.
Je posai le bout de ma queue en caoutchouc contre sa rosette et commençai à appuyer. Le gland fut rapidement bloqué par l’anneau rectal vierge de mon gendre, mais ce n’est pas ce genre de détails qui allait m’arrêter. Je commençai donc à donner des petits coups de bassin afin de forcer l’entrée. Mathias se mit à crier.
— ARGHH, OUILLE..... Liliane, doucement, ça fait très mal !— Ta gueule salope ! Tu l’as voulu ma bite, alors maintenant tu l’as. Oh et puis tu peux crier si tu veux, ça m’excite encore plus.
Sans tenir compte de ses suppliques, je continuai à forcer son anus tel un marteau piqueur jusqu’à ce qu’il cède. Je sentis alors ma queue s’enfoncer d’un coup dans ses entrailles.
Mathias poussa un hurlement de douleur. Cela décupla mon plaisir et je me mis à lui ramoner le fion avec rage.
— Alors, tu as toujours envie d’enculer ma fille ?
Mon gendre était trop occupé à couiner pour pouvoir me répondre, mais je constatai que sa queue était toujours aussi raide.Cela eut le don de m’énerver et j’attrapai ses balloches avec une main.
— On va voir si tu vas toujours bander avec mes ongles enfoncés dans tes couilles.
Mathias hurlait de douleur, mais à ma grande surprise, non seulement cela ne le fit pas débander, mais au contraire, cela le fit jouir. En voyant ses jets de foutre gicler sur le lit alors que je lui broyais les testicules, je jouis à mon tour. Je m’effondrais sur le lit à côté de mon gendre. Il avait toujours mon gode dans le cul.
— Tu es vraiment une sacrée petite salope, lui dis-je à l’oreille en me pressant contre lui, ivre du plaisir que j’avais pris.

Mathias n’était pas en état d’enculer sa belle-mère, et ce n’est que quelques jours plus tard que je lui présentais mon cul comme promis. Il voulut se venger en me ramonant de toutes ses forces, mais mon cul en avait vu d’autre et ce n’est pas avec sa petite queue qu’il allait me faire beaucoup de mal. Non, je suis mauvaise langue. Mathias était très bien équipé, mais mon cul avait effectivement vu passer tellement de bites, qu’il en fallait une vraiment bien grosse pour me faire couiner. Mais gentille comme je suis, je pris plaisir à l’humilier en le traitant de petite bite. De colère, il s’acharna sur mon anus et le remplit bientôt de son foutre brulant.
— Alors, heureuse ? Me demanda-t-il en prenant le ton d’un macho de bas étage.— Vu la petite queue que tu as, c’est plutôt pas mal, lui répondis-je. — Liliane, vous êtes vraiment une garce. — Oui, je sais, c’est pour ça que je plais aux hommes.
Il blottit sa tête contre mes seins, tel un petit garçon. Je lui caressai les cheveux avec tendresse.
— Belle-maman. Je pourrais vous demander une faveur ? — Mais bien sûr. — J’aimerais bien... Enfin j’ai bien aimé... heu, si vous acceptiez... — Tu veux que je reprenne ton cul avec mon gode, n’est-ce pas ? — Comment avez-vous deviné ? — Tu crois que je n’ai pas remarqué comment tu remuais ta croupe telle une femelle en chaleur la dernière fois ?
Il baissa la tête rouge de honte.
— Je dois vous décevoir. — Non, ne t’inquiète pas. Je connais plein de petites salopes dans ton genre qui aiment se faire sodomiser, à commencer par mon mari.
Mathias poussa un soupir d’étonnement.
— Votre mari Philippe ? Non, ce n’est pas possible.— Et si, il adore ça. Mais ne lui dis pas, garde le secret entre nous.
Je pensais à mon mari qui était encore une fois sous le lit et qui entendait tout ce que je disais. J’imaginai la tête qu’il ferait lorsqu’il recroiserait Mathias et cela faillit me faire jouir de nouveau. Je suis une sacrée salope quand même, vous ne trouvez pas ?
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