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Liliane, mère dévouée

Chapitre 6

Inceste
Durant les semaines qui suivirent, je sodomisais sauvagement mon gendre à chaque occasion qui se présentait.
Ma fille n’avait aucun soupçon et me laissait seule à la maison avec Mathias sans aucune inquiétude, d’autant plus que son père était là. Elle ne savait évidemment pas qu’il passait son temps sous le lit pendant que je prenais le cul de son copain.
Mathias y avait tellement pris goût que lorsqu’il avait le choix entre le cul de sa belle-mère et son gode, il choisissait systématiquement ce dernier. Et plus j’y allais fort, plus je l’humiliais, et plus il en redemandait. Il y avait longtemps que j’avais compris que mon beau-fils était une lopette, mais là il dépassait toutes mes prévisions.
Il était tellement heureux que je lui ramone l’anus que du coup, il laissait celui de ma fille tranquille. C’était ce que j’avais voulu au début, mais maintenant, je commençais à regretter le bon vieux temps où mon gendre laissait traîner ses doigts entre les fesses de Laeticia. En bonne mère qui se respecte, j’avais envie que ma fille goûte à son tour aux joies de la sodomie.
Un jour donc, alors que je ressortais mon gode de son cul :
— Mathias, je veux que tu reparles de sodomie à Laeticia.— Vous êtes sûre ?— Certaine.— Mais pourquoi ?
Je lui attrapais les couilles.
— Tu veux vraiment que je te donne une raison ?— Non, non. Je ferais ce que vous me demandez.— A la bonne heure, répondis-je avant de le lâcher.— Comporte-toi comme un petit pervers, mais ne dis surtout pas que c’est moi qui te l’ai demandé. Je ne voudrais pas que ma fille ait une mauvaise opinion de sa mère adorée.— Entendu belle-maman.
Quelques jours plus tard :
— SPLASH ! Espèce de salaud !
J’accourus en entendant ma fille et vis mon gendre se frotter la joue. Visiblement, Laeticia lui avait mis une bonne gifle. Je pris une voix innocente et demandai :
— Que s’est-il passé?— Maman, cette fois-ci ce petit vicieux ne s’est pas juste contenté de me reparler de sodomie, il m’a carrément enfoncé un doigt dans le cul !
Je fis semblant d’être outrée et de me mettre en colère.
— QUOI ! Comment as-tu osé faire ça à ma fille ?
Et pour appuyer mes propos, je lui balançai à mon tour une gifle magistrale. Je compris que Mathias était sur le point de tout raconter, mais il vit dans mon regard que je lui ferais payer extrêmement cher cette trahison. Il avait déjà vu comment je m’occupais des couilles de mon mari quand j’étais en colère, et il n’avait pas envie de perdre les siennes. Il se contenta donc de frotter sa deuxième joue et de quitter la pièce comme je le lui ordonnai.
Une fois seule avec ma fille, je poursuivis mon plan.
— Mais je ne comprends pas, je croyais que c’était de l’histoire ancienne.— Moi aussi, il m’a laissée tranquille durant plusieurs semaines, et puis ça lui est revenu comme ça subitement. M’expliqua ma fille.— Ah je vois, il a beau être amoureux de toi, il ne peut pas se retenir très longtemps. C’est un sacré problème.— Oui en effet. Je n’ai pas du tout envie de me faire sodomiser.— Je te comprends. Tu as parfaitement raison. Lui répondis-je avec une parfaite mauvaise foi.— Qu’est-ce qu’on pourrait faire pour le calmer ?— J’aurais bien une idée, mais je ne sais pas si elle va te plaire.— Vas-y, dis maman.— Il faudrait mettre Mathias devant un choix insoluble.— Je ne comprends pas.— Dis-lui que tu veux bien qu’il te sodomise à condition qu’il accepte que tu l’encules avant.
Oui je sais, ce mot est très vulgaire, mais je l’emploie exprès, car il est plus impressionnant. Tu penses bien qu’un garçon ne voudra jamais qu’une fille ne l’enc..., enfin ne le sodomise et que Mathias refusera catégoriquement. Tu n’auras qu’à lui dire : "Puisque c’est comme ça, ce n’est plus la peine de parler de sodomie avec moi". Et voilà, le tout sera joué, tu seras tranquille.
— Tu crois vraiment que ça peut marcher ?— J’en suis certaine. Laisse faire ta mère, je vais aller lui parler.
Laetitia me sauta au cou. — Maman, tu es géniale.— Mathias a raison, me dis-je en serrant ma fille contre moi, je suis quand même une sacrée salope.
Je réussis à convaincre Laeticia qu’il était préférable que j’aille parler seule à seul avec mon gendre. Il était dans le jardin à se demander encore pourquoi je l’avais giflé si violemment.
— Excuse-moi pour tout à l’heure Mathias, mais il fallait que cela ait l’air vrai pour ne pas éveiller les soupçons de ma fille.
Maintenant, écoute-moi bien. Tu vas faire exactement ce que je vais te dire.
Pour être certaine qu’il m’obéirait bien, je glissais une main dans son short et saisis un de ses testicules entre le pouce et l’index. Je coinçai sa prune avec mes ongles effilés.
— Si tu vends la mèche, de quelque façon que ce soit, j’enfonce mes ongles de toutes mes forces. Est-ce que c’est bien compris ?— Oui oui Liliane. Je ferais tout ce que vous voudrez.
Je retirais ma main et repris une voix douce.
— A la bonne heure, tu es un brave garçon. Tu as toujours envie de prendre le cul de Laeticia ?— Oui.— Parfait, je vais t’aider à y arriver. Voilà ce qu’il faut que tu fasses...
Quelques heures plus tard... Je fis semblant d’être surprise par la réponse de mon gendre. Laeticia elle, était complètement effondrée. Contre toute attente, Mathias avait accepté qu’elle lui prenne le cul en échange du sien. Je m’approchai de l’oreille de ma fille pour la réconforter.
— Ne t’inquiète pas, lui dis-je doucement, rien n’est perdu.
Prends-le sauvagement, vas-y tellement fort qu’il va vite demander grâce. Et puis, insulte-le, traite-le de tapette, de pédé et de tous les noms de ce genre. Parle-lui comme si c’était une fille. Les garçons détestent ça. Il sera mort de honte et il te demandera d’arrêter.
Laeticia reprit confiance et sourit de nouveau.
— Compte sur moi maman.
(En fait, je ne suis pas une salope, je suis la REINE des SALOPES)
Laeticia se déchaînait.
— Alors petite salope, ça te plaît que je te défonce le cul, hein ?

Pour toute réponse, Mathias poussait des gémissements de plaisirs tout en bougeant le cul afin d’accentuer les coups de godes que lui donnait son amoureuse. Ma fille était décontenancée, mais je lui fis signe de continuer tout en gardant l’air confiant.
— Prends ça petite pute ! Tu aimes, prends des coups de bites dans le fion, n’est-ce pas petit pédé...
Laeticia était en sueur à force de s’acharner sur le cul de son amant. Lui en revanche ne donnait aucun signe de lassitude, bien au contraire.
Ma fille me regarda, effarée. Plus elle insultait Mathias, plus elle lui disait des choses humiliantes, et plus il bandait. Je levai alors les bras en l’air en signe d’incompréhension. Je semblais complètement surprise de la réaction de mon gendre.
— Je ne comprends pas. C’est la première fois que je vois une chose pareille. Il n’y a que deux solutions : soit Mathias a vraiment envie te t’enculer, soit c’est une petite fiotte.
Mais quelle que soit la réponse, le fait est qu’il a gagné le deal. Désolé chérie, mais il va falloir...
Laetitia fut prise de panique.
— Oh non maman, pas mon cul...— Je suis sincèrement désolée pour toi ma chérie.
Je n’aurais jamais imaginé que Mathias réagisse comme cela. Mais un marché est un marché Laetitia. Tu es obligé de l’honorer. Mais ne t’inquiète pas, je veillerais à ce que Mathias soit très doux avec toi.
C’est avec un plaisir sadique que je préparais délicatement le cul de ma fille, tandis que mon gendre attendait mon feu vert avec impatience pour pouvoir la pénétrer.
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