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Liliane, mère dévouée

Chapitre 11

amelie

Inceste
Cela fait maintenant 2 mois que Mathias , enfin je veux dire Vanessa, travaille dans la même société que moi.
Je n’entends que des éloges à propos de ses compétences, et je le considère maintenant comme ma deuxième fille.Mais aujourd’hui c’est samedi, et il surf sur internet pour compléter sa garde robe. Alors qu’il est en train de choisir une nouvelle paire d’escarpins...

"Ding dong!"
— Vanessa, tu veux bien allez voir qui c’est, je suis occupée.
— Mais bien sur belle-maman.
— Merci ma chérie, tu es un ange.
Mathias trotte sur les petits talons de ses mules pour aller ouvrir la porte d’entrée. C’est un couple de personnes âgées qu’il n’a jamais vu.
— Bonjour Madame, bonjour Monsieur.
— Bonjour Mademoiselle. Ma fille est-elle là?
Je reconnais aussitôt cette voix.
— MAMAN! Fais les entrer Vanessa, j’arrive tout de suite.
Je suis vraiment très surprise. En effet ma mère et moi sommes un peu "en froid", et il y a des années qu’elle n’est pas venue à la maison.

— Que me vous l’honneur de ta visite maman?
— Philippe n’est pas là?
— Non, il est avec ses amis du 3eme âge. Je suis seule avec Vanessa.
— Tant mieux, il faut que je te parle de choses importantes. Tu permets qu’on s’assoit?
— Mais bien sur. Je manque à tout mes devoirs.
Vanessa et moi asseyons confortablement mon père âgé de 85 ans dans un des fauteuils du salon. Quand à ma mère, je l’installe sur le canapé et elle me fait signe de venir à ses coté.
— Vanessa. Tu veux bien nous faire du thé?
— Avec plaisir belle-maman.
Ma mère ne sait pas par quoi commencer, et entame la discussion par des banalités.
— Elle a l’air charmante cette petite Vanessa. C’est qui?
— Oh! C’est une de mes brus.
— Laquelle? Tu as 5 fils il me semble.
Mathias me jeta un regard implorant qui signifie "Je vous en supplie belle-maman, ne dites pas à vos parents que je suis un garçon!"Je dois être d’humeur gentille aujourd’hui, une fois n’est pas coutume.
— C’est la copine de Nicolas. Tu sais, mon dernier.
— Oui je vois. Et alors, elle est comment ?
Je sais très bien ce que ma mère veux savoir.
— Elle est très coquine. Je lui ai apprise tout ce qu’une jeune fille devait savoir pour être une bonne épouse. C’est la bru parfaite.
— Ah, tant mieux. Je suis vraiment ravie de l’apprendre. Pourrait-elle prendre soin de ton papa pendant qu’on discute toute les deux de choses sérieuses?
Mathias ne semble pas avoir saisi l’allusion. Je forme un O avec le pouce et l’index, et fais avec quelques vas et viens discrets devant la bouche.Il comprends aussitôt, et commence à défaire les boutons du pantalon de mon père après s’être agenouillé devant le fauteuil.Ma mère observe la scène avec satisfaction.
— Elle m’a l’air en effet d’être une brave petite. Et si c’est ma fille qui lui a apprise à sucer, je pense que ton père va être aux anges.
— Merci maman, tu as toujours su trouver des paroles gentilles. Mais si tu es venues chez moi après tant d’années, je suppose que ce n’est pas uniquement pour que papa se fasse pomper?
— Bien sur que non Liliane. Si je suis ici, ce n’est effectivement pas pour ton père, mais pour ta sœur.
— Amélie ?
— Oui bien sur. Tu n’en as pas d’autres que je sache.
Il faut que je dise à mes lecteurs que ma sœur et moi ne nous fréquentons pas du tout depuis de très nombreuses années. Nous sommes l’exact opposé l’une de l’autre. C’est une grenouille de bénitier pour qui le sexe est une chose répugnante ne pouvant se concevoir que pour avoir des enfants. Alors que moi, vous savez que je suis comment dire.... beaucoup plus ouverte d’esprit à ce sujet.En fait, le seul point en commun que nous ayons, c’est le fait d’avoir eu beaucoup d’enfants chacune. Cependant, ma sœur les a eu par conviction religieuse pour agrandir la famille de dieu, alors que moi c’était tout simplement parce que j’ai toujours aimé me faire baiser.Mais si nous sommes en froid, ce n’est pas vraiment pour cette raison.
— Et que puis-je faire pour ma chère et tendre sœur adorée?
— Ne sois pas sarcastique Liliane. Je sais très bien que toi et Amélie ne vous entendez pas. Et je reconnais que c’est en grande partie de ma faute.
— Ca tu peux le dire maman. Elle a toujours été ta préférée, ta petite princesse adorée, alors que moi, tu m’a toujours traitée comme une petite....
— SALOPE?   Oui je sais. Mais si je l’ai fait, c’était pour ton bien. En fait, c’est toi qui a toujours été ma préférée.
— Comment-ça? Je ne comprends pas. Tu as toujours été tellement dure avec moi.
— Comme lorsque je t’ai obligée à sucer ton père pour la première fois en te tenant par les cheveux?
— Oui, entre autres. Tu n’as jamais fait ça avec Amélie je suppose.
— Non jamais en effet, bien que parfois je le regrette.
Je sens des picotements dans les yeux, ils commencent à s’humidifier. Je crois que je suis sur le point de me mettre à pleurer.
— Alors pourquoi tu l’as fait avec moi?
— Comme je te l’ai dit, parce-que tu étais ma préférée. Je voulais te donner la meilleure éducation possible, que tu ais les armes pour réussir dans la vie en tant que femme.  Avec Amélie ce n’était pas possible. Elle a toujours été complétement coincée.
— En somme, comme une de tes filles était une bigote, tu as fait de l’autre une salope.
— Toi et moi ma chérie, on est exactement pareilles. J’ai toujours été une belle garce, et je suis très fière que tu en sois également devenue une grâce à moi.
Je pose ma tête contre l’épaule de ma mère en pleurant. Cela ne m’était jamais arrivé de toute ma vie. Cependant, il n’est pas dans mes habitudes de me laisser aller à mes sentiments, et je me reprends aussitôt.
— Bon d’accord. Qu’attends tu exactement de moi maman?
— Comme tu le sais certainement, je vais avoir bientôt 69 ans, et j’ai de plus en plus de difficultés à satisfaire ton père. J’ai mal aux genoux quand je me mets devant lui, et à son âge, je ne peux pas lui demander de rester debout pendant que je suis assise pour le sucer. Et pour bien faire, il ne bande presque plus et je suis obligée de passer des heures avant sa queue dans la bouche. Oh je ne m’en plains pas, tu sais à quel point ta mère adore cela, mais cela me prends tout mon temps.
— Si tu veux, je pourrais venir de temps en temps chez toi pour sucer papa! Cela te soulagerait.
— Non merci Liliane. Tu es gentille mais je sais que tu as déjà un mari et 5 fils à t’occuper, sans parler de ton travail. Par contre si Laetitia ou Vanessa rendait visite de temps en temps à leur grand père, je suis sure qu’il aimerait beaucoup. Regarde comme il a l’air d’apprécier ce que lui fait ta bru.
Je tourne la tête en direction du fauteuil. Absorbée par la conversation avec ma mère, j’ai complétement oublié Mathias. Il s’active depuis le début sur le membre de mon père qui râle de plaisir.Ce dernier doit se rendre compte qu’on l’observe et ouvre les yeux.
— Que ce passe t’il, on parle de moi.
— Rien de grave papa, on disait juste que tu semblais apprécier la prestation de Vanessa.
— Oh oui, cette petite suce a merveille. On dirait toi quand tu étais plus jeune ma chérie.
— Raymond, tu as toujours su parler aux femmes lui réponds ma mère avant d’enchainer : c’est normale, c’est Liliane qui lui a apprise. Et comme c’est moi qui avait appris à ta fille comment faire...C’est un peu comme un héritage que l’on se transmet de mères en filles dans la famille. Aller je te laisse aux soins de ta petite bru mon chéri. J’ai encore à parler avec ma fille.Ou en étais-je?  Ah oui, je disais que ce n’était pas la peine que tu viennes sucer ton père à la maison. La queue que je voudrais que tu suces à ma place, c’est celle de ton beau-frère.
— CHARLES-HENRY?
— Oui. Cela fait au moins 20 ans que je lui dégorge le poireau tous les dimanches après la messe. Même si c’est très plaisant, je n’ai plus l’âge de m’occuper en même temps de lui et de ton père.
— Mais Amélie, elle ne peux pas s’occuper de son mari? C’est à elle de le faire!
— Tu as raison, mais tu sais à quel point elle est vieux jeu. Pour elle le sexe ne sert que pour la procréation. Alors une fellation! 
— Oui je sais, c’était une question idiote. Mais pourquoi le fais tu à sa place maman?
— Sans moi, Charles Henry serait à la diète. Je ne voudrais pas qu’il trompe ta sœur ou même pire qu’il la quitte. C’est pour cela que je me suis sacrifiée
J’ai envie de dire à ma mère : "Te sacrifier! Comme si tailler une pipe était un sacrifice pour toi. Je te connais maman, je sais que tu raffoles des fellation", mais cela n’arrangerait pas nos relations. Je me contente donc de lui répondre :
— Oui, je comprends. Mais comment fais-tu en pratique? Amélie ne se doute de rien?
— Oh non, ta sœur n’imaginerait jamais que sa mère puisse faire une chose pareille!Et puis c’est très facile. Tu sais à quel point Amélie est bigote. Elle reste avec le curée après chaque messe pour s’occuper de sa comptabilité et de sa paperasse en général. Si tu veux avoir mon avis, elle ferait mieux de s’occuper de son goupillon! Mais bon, l’essentiel est que j’ai à chaque fois une heure et demie pour m’occuper de son mari.
— Ok, mais il y a un problème. Amélie ne vient jamais chez moi.
— Ta mère y a pensé figure toi. On pourrait tous manger les uns chez les autres à tour de rôle. Une semaine chez moi, l’autre chez Amélie et la troisième chez toi. Et en plus, cela permettrait de resserrer les liens de famille.
— Oui. Et à chaque fois je pourrais sucer mon beau-frère. Tu as vraiment pensé à tout maman.
— Alors c’est d’accord.
— Oui maman, c’est d’accord.
— Oh merci Liliane. Tu es vraiment la meilleur des filles dont une mère puisse rêver!
Notre attention est alors attirée par le râle de mon père. Après une demi-heure de pompage épuisant, Mathias a enfin réussi à lui faire cracher quelques gouttes de spermes.Voyant cela, ma mère le félicite.
— Bravo ma fille! Il n’y a pas beaucoup de femmes qui arrivent encore à faire jouir mon vieux mari.Tu es digne de faire partie de la famille.
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