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Liliane, mère dévouée

Chapitre 12

amelie 2

Inceste
"Humf, humf, humf.....Slurp...slurp....slurp....."

C’est bizarre, j’ai l’impression d’avoir déjà vécu cette scène me dis-je alors que je prodigue une fellation à mon beau-frère. A mais oui que je suis sotte, c’était dans le bureau de mon patron ( voir chapitre 9).Deux mois se sont écoulés depuis la visite de ma mère, et depuis nous mangeons à tour de rôle les uns chez les autres comme convenu ce jour là. 

— Oh Liliane, si seulement ta sœur pouvait me pomper comme tu le fais!
Je sors la queue de Charles-Henry de ma bouche pour pouvoir lui répondre.
— Amélie ne veux toujours pas te sucer?
— Tu rêves ou quoi, je ne lui ai même pas posé la question. Pour elle le sexe ne sert que pour concevoir des enfants. 
— Je sais, mais tu en as eu 7. Tu es donc quand même un sacré queutard ! lui dis-je en riant.
— Ce n’est pas drôle. Pour ta sœur, tailler une pipe ce serait commettre un grand péché. Heureusement que tu es là pour me soulager, sinon je crois que mes bourses éclateraient.
— C’est normal, il faut s’aider en famille. Mais au pire, tu pourrais te branler.
— Tu plaisantes. Si Amélie me surprenait à faire ça, elle demanderait le divorce en me traitant de vicieux. 
— Mon pauvre Charles Henry, tu n’as vraiment pas de chance. Et si j’arrivais à convaincre Amélie de te tailler des pipes, qu’en penserais-tu?
— Ce serait merveilleux, mais c’est complétement irréaliste, elle est bien trop coincée.
— Laisses-moi réfléchir un peu avant de baisser les bras, il doit bien y avoir un moyen.
Le fait d’imaginer ma sœur en train de se faire baiser la bouche comme une vulgaire salope me fait mouiller instantanément. Apprendre à sucer à Amélie, ça c’est un challenge comme je les aime. Ainsi stimulée, mon imagination débridée se mets en route et peu à peu un plan machiavélique se forme dans mon esprit. 
— Charles Henry, j’aurais bien une petite idée pour que ta femme accepte de te sucer, mais je ne suis pas sure que ça va marcher.
— Dis-toujours, on ne sait jamais.
J’explique mon plan à mon beau-frère.
— Oh Liliane. Comment peux-tu imaginer quelque chose d’aussi pervers? 
— C’est très simple. J’ai toujours été une salope par nature et ma mère a pris soin de développer ce coté de ma personnalité. Réfléchis à mon idée. En attendant ta chère belle sœur va te finir avant que ta femme ne rentre.
En effet ma sœur AMELIE reste toujours après la messe pour aider le curé dans sa comptabilité, mais depuis le temps que je m’active sur la queue de son mari, l’heure a tournée et elle ne va pas tarder à venir pour le repas.Je me remets donc à sucer avec ardeur la queue de mon beau-frère tout en lui pelotant les couilles. Mon propre mari aurait adoré me voir prendre la giclée au fond de la gorge, mais il doit s’occuper du barbecue. C’est donc seulement sous le regard vicieux de mon père que je le fais.Quand Amélie arrive à la maison, je suis tranquillement en train de préparer l’apéritif alors que nos hommes discutent ensembles ( Je les soupçonne de parler de mes talents de fellatrices ).
— Bonjour LILIANE me dit-ma sœur en me faisant la bise. Tu ne veux toujours pas venir à la messe avec moi?
— Non merci Amélie, tu sais que ce n’est pas mon truc. Et puis en plus j’ai mille choses à faire le dimanche matin. "Notamment avec ton mari " me dis-je en pensée.
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2 mois plus tard, à l’occasion d’un autre repas de famille.
— Qu’est-ce qu’il y a Amélie?
— Cela fait 2 mois que Charles-Henry ne m’honore plus. Avant, tous les dimanches il faisait son devoir conjugal.
Je la regarde l’air effrayée en mettant ma main devant la bouche.
— Oh mon dieu! Pourvu qu’il n’ait pas une maitresse !
Amélie blêmit tout d’un coup. Elle qui est déjà blanche de peau, la voilà comme un cachet d’aspirine. Elle se mets à ânonner :
— Non, ce n’est pas possible. Pas Charles-Henry, pas après 20 ans de mariage.
— J’aimerais te dire que non, mais je n’en suis pas sure. (En fait si j’en suis même certaine car c’est à ma demande que Charles-Henry délaisse sa femme, mais il est important qu’elle le croit pour que mon plan fonctionne. Et puis ça m’amuse tellement de lui faire peur.)
Amélie éclate en sanglot, c’est le moment de lui donner le coup de grâce.
— Et oui, les hommes sont tellement faibles tu sais.
Ma sœur se blottit dans mes bras et je fais semblant de la rassurer.
— Calme toi, si ton mari a une maitresse je t’aiderai à le reconquérir. Et puis c’est peut-être juste que votre couple s’est enfoncé dans la routine. Ce qu’il faudrait, ce sont des petites choses pour ranimer la flamme entre vous deux.
— Quoi donc? Un diner aux chandelles?
— Pourquoi pas, c’est une bonne idée, mais ce n’est pas vraiment à ça que je pensais. As tu essayé de mettre de la lingerie, de te maquiller, de porter des talons hauts....?
— Grand dieu non. C’est bon pour les catins!
— Je te remercie.
— Mais je ne disais pas ça pour toi Liliane.
Je connais déjà la réponse, mais pour me venger je ne peux m’empêcher de lui poser la question suivante :
— Je suppose donc que tu ne lui fais jamais de petites gâteries?
— Comment-ça! Des gâteries ?
— Il ne s’agit pas de pâtisserie. Je veux dire une turlutte, un pompier...
— Ca va, j’avais compris. Je sais très bien de quoi tu parles, je ne suis pas une gourde!  Je n’ai bien évidemment jamais fait une horreur pareille. Comment peux-tu parler de façon aussi vulgaire? 
— Surement parce que je ne fais pas qu’en parler.
— Ca ne m’étonne pas. Tu as toujours été une dépravée. Maman dit même souvent que tu est une....
— Salope! Oui, je sais. Et j’en suis fière.
J’ai envie de rajouter : " Regarde comment ton homme a le sourire. C’est parce que juste avant que tu ne viennes à la maison, je l’ai fait jouir dans ma bouche! ", mais je parviens à me retenir. Je pense que je fais bien car elle me répond :
— Liliane, tu es vraiment écœurante! Tu devrais t’occuper un peu plus du salut de ton âme, sinon tu finiras en enfer comme toutes les femmes de mauvaise vie.
— Je pense que je m’y plairais. Il parait qu’il y a une armée de diables montés comme des boucs qui prennent les pècheresses comme moi par tous les trous!
Ma sœur se signe. 
— Cesse de blasphémer. Je prierai pour toi.
" Et moi je sucerai ton homme pour toi" dis-je entre mes lèvres.

Le repas a été bien arrosé et sous prétexte de lui remonter le moral, j’ai réussi a convaincre ma sœur de boire quelques verres de vin. Amélie n’en a pas l’habitude et commence a être un peu "pompette".L’alcool a souvent un effet désinhibiteur, mais sur Amélie c’est proprement stupéfiant. Elle est toute rouge et son regard commence à briller de lubricité.
— Liliane, tu crois vraiment que je devrais faire des petites gâteries à Charles-Henry?
— C’est un homme, et comme chez tout les hommes il y a en lui un cochon qui sommeille. Et puis, c’est le père de tes enfants. Ce serait normal que tu t’occupes de lui comme ça.
— Liliane, je sais que je n’ai pas souvent été très gentille avec toi et je comprendrais que tu refuses. 
— Refusez quoi?
— Comment dire...Pour ce qui est des fellations...tu as la réputation d’être très..... douée. 
— Non mais c’est quoi cette réputation dont tu parles? Toute la ville est au courant que je taille des pipes ou quoi? Tu n’a qu’à mettre une annonce dans le journal : "suceuse experte donne cours. Tarifs dégressifs..."
Ma sœur prends ma remarque au premier degré et me réponds :
— Je suis sure que ça marcherait, je connais beaucoup de femmes dans le club que je dirige à la paroisse qui...
— Mais enfin Amélie, je plaisantais.
— Excuse-moi Liliane, je ne sais pas ce qui me prends, j’ai trop bu.
— Non, je crois que ce sont tes hormones. C’est la petite salope qui dort en toi depuis des années qui commence à se réveiller.
— Liliane, je t’en prie.
Ma sœur reboit un verre de vin pour se donner du courage, puis reprend.
— Excuse moi Liliane, je ne voulais pas t’offenser. C’est juste que j’ai tellement peur de perdre mon mari.
Et après un long moment d’hésitation, elle ajoute :
— Pourrais tu..... m’apprendre à le gâter? S’il te plait?
Amélie me regarde avec les yeux pleins de larmes. Elle aime sincèrement son mari et est terrorisée à l’idée de le perdre. Dans l’état ou elle est, je la sens capable de faire n’importe quoi. Si je lui demandais de se jeter à mes genoux pour me supplier, elle le ferait sans hésiter. Mais j’ai pitié d’elle. On a beau s’être souvent crêpées le chignon toutes les deux, c’est ma sœur.Je crois qu’au fond, je ne suis pas aussi méchante que j’aime le faire croire.
— D’accord, ta petite sœur va t’apprendre comment faire cracher un homme avec sa bouche. 
Cette phrase a peine terminée, je prends Amélie par la main : 
— Allez, viens avec moi.
— Mais pour aller où?
— Et bien dans ma chambre. Tu veux apprendre à sucer oui ou non?
— Oui, mais je ne pensais pas qu’on le ferait tout de suite.
— Il faut battre le fer pendant qu’il est encore chaud. Et puis c’est le moment idéal, nos hommes ont tous bien bu et ils jouent à la pétanque. Ils ne se rendront compte de rien.
Je m’adresse discrètement à mon fils cadet. 
— Nicolas, trouve un prétexte pour te libérer. Je vais apprendre à sucer à ta tante et j’ai besoin de ta queue.
Nicolas me regarde avec de grands yeux écarquillés
— Tante AMELIE ?
— Oui, mais parle moins fort sinon tout le monde va d’entendre. Rejoins nous discrètement dans ma chambre dès que tu peux. En attendant je vais préparer ta marraine.
J’entraine Amélie par la main. Malgré l’alcool, elle est paniquée.
— Oh la la, je n’ai jamais fait ça. En plus avec mon filleul que j’ai tenu dans les bras lors de son baptême. Comme j’ai honte!
— Et bien maintenant tu vas tenir sa queue dans ta bouche. Et puis tu verras, c’est très bon la honte.
Une fois dans ma chambre.
— Assis-toi sur le lit. J’ai un petit truc à faire en attendant que Nicolas arrive.
Je prends un bâton, et je recouvre les lèvres de ma sœur avec un rouge carmin. Je lui demande ensuite de se regarder dans le miroir de l’armoire.
— Alors, qu’en penses-tu?
— Qu’as tu fait Liliane. J’ai l’air d’une prostituée!
— Mais non! Je t’ai juste faite ce qu’on appelle communément une "bouche à pipes". C’est pour t’aider à te mettre en condition. Tiens, voila justement ton filleul qui arrive.
A ma demande, Amélie commence a défaire la braguette de son neveu. Elle a du mal à y arriver tellement ses mains tremblent.Je glisse à l’oreille de mon fils.
" Pour ta tante c’est la première fois. Alors sois indulgent."
Avec beaucoup de mal, Amélie réussit a défaire les boutons et je l’aide à descendre le pantalon et le boxer de Nicolas sur ses genoux.
— Regarde comme tu lui fais de l’effet. Il est déjà raide.
Ma sœur reste tétanisée.
— Enfin Amélie, tu as déjà vu Nicolas tout nu!
— Oui, mais la dernière fois, il n’avait pas plus de 2 ou 3 ans.
— Bon, j’admets que son sexe a beaucoup grandi depuis. Dis toi que c’est un esquimaux!
— Il ne pourrait pas fermer les yeux. Ca m’aiderait.
Je fais signe à mon fils de le faire.
— Regarde moi Amélie et fait un O avec ta bouche comme ça en plaçant tes dents sous tes lèvres.
Ma sœur ouvre enfin timidement les lèvres comme je lui demande et engloutit le membre.
— Voila bravo, c’est très bien. Allez maintenant tu fais des mouvements de va et viens avec ta bouche.
— Humf, humf, humf...
— Super Amélie. Continue comme ça!
Ma sœur se décoince progressivement, et elle pompe maintenant avec fougue. Mais au bout de quelques minutes, je vois mon fils faire des grimaces et lui demande à l’oreille.
— Qu’est ce que tu as?
— Je sens les dents de Tata Amélie de temps en temps.
— Je vais essayer d’arranger ça, mais je ne voudrais pas l’interrompre, elle a l’air de tellement aimer te sucer la queue. En attendant sois courageux, maman te revaudra ça.
Je m’adresse à ma sœur.
— Doucement petite gourmande. Quand je t’ai dis de penser à un esquimaux, je ne t’ai pas dit de croquer dans la glace!
— Oh pardon Nicolas, j’espère que je ne t’ai pas fait trop mal.
— Ce n’est rien marraine.
Amélie se remets aussitôt à pomper en faisant bien attention à ses dents cette fois-ci.Comme elle se débrouille très bien avec sa bouche, je décide de corser un peu la fellation. Je prends donc une de ses mains que je dépose sur les couilles de mon fils en l’aidant à les masser. Quand à sa deuxième main, je mets la mienne dessus pour lui montrer comment astiquer la queue pendant qu’elle la suce.
Nicolas se mets à gémir de plus en plus fort, et au bout de quelques minutes je l’entends murmurer:
— Maman, je vais.....
Je comprends aussitôt qu’il s’apprête à jouir, mais je lui dis a l’oreille de continuer comme ci de rien n’était. Amélie est tellement occupée avec sa bouche et ses mains qu’elle ne s’est rendue compte de rien.Ce qui devait arriver arrive enfin, et mon fils jouit tout à coup dans la bouche de sa tante. Surprise, elle recule vivement la tête et reçoit le reste du jet sur le visage. Ses lunettes sont recouvertes de sperme, et elle en a même dans les cheveux.J’éclate de rire.
— C’est ce qui s’appelle être baptisée! Oops excuse moi Amélie, je blasphème.
Ma sœur ne sait pas quoi faire. Elle n’ose plus bouger avec la bouche pleine et le visage recouvert de sperme.
— Amélie, la première chose à faire, c’est d’avaler ce que tu as dans la bouche. Ensuite on s’occupera du reste.
A ma grande surprise, ma sœur avale d’un trait sans hésiter. Aucun signe de dégout n’apparait sur son visage tandis que le sperme tiède de son filleul descend jusqu’à son estomac.
— Qu’est ce que je fais maintenant.?
— Viens avec moi dans la salle de bain.
A l’aide de lingettes démaquillantes, je lui nettoie le visage.
— Voila, on ne vois plus rien. L’ideal serait de prendre une douche, mais là on n’a pas le temps. Evite de te coller trop près à ton mari pour qu’il ne sente pas l’odeur.
Nous rejoignons ensuite nos hommes dans le jardin.
— Et bien les filles, on se demandait ou vous étiez parties.
— Oh rien. Nous étions dans la chambre, je faisais voir les photos de nos dernières vacances à Amélie.
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