Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 112 J'aime
  • 10 Commentaires

Liliane, mère dévouée

Chapitre 13

Amélie 3

Inceste
Une semaine a passé depuis la première pipe de ma sœur, et nous sommes de nouveau ensemble pour la désormais traditionnel réunion de famille du dimanche. Maman avait raison, rien de telle qu’une bonne fellation entre sœurs pour resserrer les liens. Amélie s’est beaucoup rapprochée de moi et elle  vient me parler discrètement après le repas. Cette fois-ci, elle a pris soin de ne pas boire une goutte d’alcool afin de garder la tête froide, et je crains qu’elle ne regrette ce qu’elle a fait la semaine dernière. Je préfère donc faire profil bas :
— Amélie, excuse moi pour dimanche dernier. J’aurais du te prévenir que Nicolas allait jouir.— Ne t’en fais pas, tu as eu raison. Si tu ne l’avais pas fait, je n’aurais jamais voulu avaler son sperme et je n’aurais jamais su à quel point c’est bon.
Ouf! Je ressens un énorme soulagement. Comme je vais le découvrir sans attendre, mes craintes sont totalement infondées.
— Liliane. Si je suis venue te parler, c’est que j’ai une folle envie de recommencer! Et cette fois ci je veux le faire à jeun pour mieux en profiter.— Non mais petite coquine! Tu ne serais pas en train de devenir..., comment dis-tu déjà? A oui, une gourgandine.— Je crois que si Liliane. Je n’ai pensé qu’à ça durant toute la semaine.— Et avec Charles-Henry?— Non pas encore, je voudrais lui offrir sa première fellation pour son anniversaire, c’est dans trois semaines.— Quelle idée magnifique Amélie. Et puis tellement romantique!— Pour lui aussi ce sera la première fois qu’il se fera sucer. Tu crois que ça lui fera plaisirs ?
En entendant ces paroles, je repense aux râles de mon beau-frère quand il a déchargé dans ma bouche trois heures plus tôt.
— Oh oui, j’en suis certaine. Tous les hommes adorent cela. C’est le plus beau cadeau que tu puisses faire à ton homme. ( A part lui donner aussi ton cul peut-être?)— En attendant, je voudrais profiter de ce délai pour améliorer ma technique!— C’est une très bonne idée. Mais dis-moi, ce ne serais pas plutôt parce que tu a pris gout à la pipe et que tu es incapable de tenir jusque là ?
Amélie rougit jusqu’aux oreilles et me réponds timidement :
— Si je l’avoue, il y a de ça aussi. Depuis que j’ai pris la queue de ton fils dans la bouche, je ne pense plus qu’à ça.

— Et bien ça alors, si j’avais su que ma grande sœur bigote était en fait une petite salope qui s’ignorait, il y a longtemps que je l’aurais dévergondée. Mais ce n’est pas grave, vaut mieux tard que jamais.Par contre tu n’as pas de chance aujourd’hui, mes fils sont tous partis. Tu sais les jeunes, les repas de famille...— Ne m’en parle pas. Ils préfèrent tous jouer à la "Play station".— Comme tu dis! Oh mais j’y pense, il y a Vanessa!— Vanessa! Enfin, je ne comprends pas. C’est bien la petite amie de Nicolas?— Oh, elle le suce souvent bien sure, mais ce n’est pas sa petite amie. C’est juste la version officielle pour les voisins.En fait Vanessa est.... 
Je termine ma phrase en chuchotant dans son oreille. Amélie mets sa main devant la bouche en signe de surprise.
— Non,.... ce n’est pas possible.....
( Je viens de révéler à ma sœur que Vanessa n’est pas ma bru, mais un garçon s’appelant Mathias, et que c’est le petit copain de Laeticia. Je précise qu’il aime tellement se travestir que ma fille et moi avons accepté qu’ils le fasse. Oui je sais, ce n’est pas tout à fait comme ça que les choses se sont produites, mais peu importe, seul le résultat compte.)
— Et si. Viens avec moi et tu verras.
Le scenario de la semaine précédente se répète, à la différence près qu’au lieu de défaire la braguette de Nicolas, ma sœur n’a qu’a relever la jupe de Mathias.
— Oh mon dieu, mais c’est vrai!— Tu te rends compte Mathias. Ta tante Amélie était persuadée que tu était une fille!Tu pourrais dire merci à ta belle-mère pour tout les efforts qu’elle a fait pour en arriver là.
Mon gendre me répond d’une voix peu convaincante:
— Merci belle-maman.
M’adressant de nouveau à ma sœur.
— Comme tu vois, je lui interdis de porter des petites culottes! C’est beaucoup plus pratique comme cela.Et surtout n’hésite pas à lui demander des conseils pendant que tu vas le pomper. Mon gendre aime autant sucer que se faire sucer. Il a beaucoup d’expérience.
Je vois alors que quelque chose intrigue Amélie.
— Oh, mais que je suis sotte. Si je laisse ça en place, tu ne pourras jamais le sucer.— C’est quoi ? Me demande Amélie avec de grands yeux étonnés.— Oh ça, c’est une cage de chasteté. C’est pour empêcher ma bru de jouer avec son petit oiseau sans la permission de ses maitresses. Tu vois, sa verge est complétement recroquevillée à l’intérieur. S’il commence à bander, elle vient se heurter aux parois de la cage et c’est très douloureux pour lui. D’ailleurs, il m’arrive souvent à Laetitia ou a moi de l’exciter exprès rien que pour ça.— C’est pour le punir quand il a fait quelque chose de mal?— Oh non, c’est juste pour s’amuser. Laeticia et moi le faisons souvent. C’est tellement fun de voir sa queue coincée dans sa cage et de l’entendre nous supplier de la libérer.— C’est très cruel !— Non, penses-tu! Par contre, ça c’est cruel.— AIIIIILLE.
J’ai enfoncé l’ongle pointu de mon index dans un de ses testicules.
— Pourquoi avez-vous fait cela belle-maman? Je n’ai rien fait de mal!
— Jusqu’à maintenant non en effet, je voulais seulement donner quelques explications à ta tante. Par contre tu viens à l’instant de protester contre une décision de ta maitresse. Maintenant tu sais pourquoi je vais faire ça.— AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILLE.
Je pince un de ses tétons entre les ongles du pouce et de l’index, avant de le tordre méchamment.
— Tu vois Amélie, il ne suffit pas de grand-chose pour se faire respecter par un homme. Juste des ongles biens affutés ! Mais bon, tout ceci n’était qu’une petite aparté. On en reparlera plus tard, pour le moment on a des choses plus importantes à faire.
Je prends une petite clef dans mon sac et enlève la cage de chasteté que j’ai mise à mon gendre. Puis je précise à l’attention d’Amélie :
— Laeticia a un double des clefs bien sur. Voila, maintenant c’est à toi.
Ma sœur est toute excitée.
— Oh la là! Quand mes fils vont savoir que tu es en fait un garçon!— Vous n’êtes pas obligée de leur dire ma tante.
Je coupe la parole à mon gendre en tendant la main.
— Oh mais si au contraire. Comme-ca tu pourras aller leur rendre visite pour les sucer. Les pauvres, ils n’ont pas de sœurs pour s’occuper d’eux et ce n’est pas leur mère qui le fait non plus. Enfin pas encore en tout cas.— Merci Liliane, c’est très gentil de ta part. Je pense en effet que mes sept fils seront très heureux de mieux faire connaissance avec leur cousine par alliance.D’ailleurs. Tu préfères que je t’appelle comment. Mathias ou Vanessa?
— Comme vous préférez ma tante !
— Et bien alors je continuerais a t’appeler Vanessa. Ce nom te va tellement bien.
Sous mes conseils avisés ainsi que ceux de mon gendre, Amélie commence a prodiguer une superbe fellation. Quelques semaines plus tôt, je n’aurais jamais imaginé que ma sœur soit capable d’une chose pareille. En fait elle aime ça autant que moi.Vanessa profite de son statut de "professeure" pour donner quelques conseils :
— Tante Amélie, la zone la plus sensible c’est le frein juste là.
Ma bru désigne précisément l’endroit en le pointant avec le bel ongle verni de son index. Amélie semble remarquer pour la première fois les magnifiques ongles taillés en olive de ma bru.
— Ce sont des vrais?— Oui, vous devriez vous faire faire les mêmes. Je vais vous faire voir ce qu’on peut faire avec si vous le permettez.
Vanessa enserre sa propre queue avec ses deux mains de sorte de former un jolie collier de couleur autour de sa queue.
— N’est ce pas jolie?— Oh oui, c’est magnifique.— Et ce n’est pas que jolie, ça excite également beaucoup les hommes.
Mathias poursuit ses explications.
— Regardez ce qu’on peut faire aussi à une queue avec ses ongles.
Ma bru enfonce alors elle-même son petit doigt dans son urètre mais ne peut le laisser longtemps tellement cela l’excite.
— Allez-y tante Amélie, c’est à vous.
Ma sœur caresse le frein du bout des doigts et donne des petits coups de langue dessus. Puis elle enserre la queue entre ses doigts en imaginant l’effet que cela donnerait si leurs extrémités étaient vernies. Enfin, après avoir vrillé la pointe de sa langue dans le méat, elle y introduit à son tour son petit doigt.Vanessa est au comble de l’extase. Je pense que ma sœur va la faite jouir rien qu’en grattant l’intérieur de l’urètre du bout de l’ongle si je la laisse continuer. Je décide donc d’intervenir.
— Arrête Amélie ou il ne va plus résister longtemps. Tu as encore d’autres choses à apprendre.
Je prends sa main et humidifie son index avec la bouche avant de le guider jusqu’à la rosette de ma belle-fille.
— Mais que fais-tu? Tu ne veux tout de même pas que....
— Que tu lui enfonces ton doigt dans l’anus? Si, c’est exactement ce que je veux, les hommes adorent ça.
Je sens Amélie un peu réticente et dois la rassurer un peu.
— Dis toi que c’est comme les suppositoires que tu mettais à tes enfants quand ils étaient malades. Tu vas voir, il y a une surprise à l’intérieur.Vanessa, guide ta tante s’il te plait.— Bien sur belle maman.
Ma bru prend la main avec le doigt tendu de ma sœur, et l’aide à l’introduire.
— Un peu plus profond Tante Amélie, un peu sur la gauche maintenant, oui là. Vous sentez comme une petite bosse? Caressez là doucement.
Mathias se met a haleter et n’arrive plus a parler. Je dois poursuivre moi-même les explications.
— C’est sa prostate. C’est le point le plus sensible chez un homme. C’est un peu l’équivalent du point G chez la femme. Tu sais ce qu’est le point G ?— Non pas du tout.— Que je suis bête, j’aurais du m’en douter. Ce n’est pas grave, je t’expliquerai une autre fois.— Décidemment, j’ai beaucoup de choses a apprendre. Tu dois vraiment me prendre pour une gourde Liliane.
Amélie suce depuis plusieurs minutes en branlant la queue de Vanessa d’une main, et en agitant l’index de l’autre dans son cul. Ma belle-fille respire de plus en plus fort :
— Tante Amélie! Je vais bientôt venir.
Ma sœur me lance un petit regards pleins de sous-entendus.
— Oh mais qu’est-ce qu’elle est gentille de me prévenir, ELLE! Ce n’est pas comme CERTAINES!Ne te retiens pas. Crache tout au fond de ma gorge! rajoute-elle à l’attention de ma bru.
Amélie avale tout d’un trait et pousse même le vice jusqu’à nettoyer le gland de mon gendre avec la langue sans que je lui dise. Quelle coquine tout de même !Je la prends dans mes bras.
— Bravo Amélie, maintenant tu es prête pour la phase deux.— La phase deux?— Oui, je t’en avais parlé. Mettre des sous vêtements affriolants, un maquillage provocant, des dessous sexy et puis...des talons aiguilles!— Oh Liliane, je n’oserais jamais.— Tu as fait le plus difficile en apprenant à sucer. Tu ne va pas te dégonfler maintenant. C’est très bien de savoir faire jouir un homme, mais avant il faut savoir le faire bander!Je vais te montrer.
Mathias commence a se sentir de trop.
— Je vais vous laisser entre femmes.— Et bien justement, reste avec nous ! Tu vas m’aider à transformer ta tante en pin-up!— Oh LILIANE, voyons!— Excuse moi Amélie, je voulais dire en dame du monde.
Je sors de mon armoire tout un ensemble de vêtements que j’avais préparé à l’avance.
— Enlève ton vieux tailleur beige et mets ça :
J’ai dans les main un chemisier rouge et une jupe en cuir noir droite arrivant légèrement au dessus du genoux.
— Ca ne va pas faire un peu trop vulgaire?— Mais nooonn...., juste un tout petit peu salope.
Le visage de ma sœur s’empourpre.
— Ah non Amélie, tu ne vas pas garder tes collants couleur chaire! Je t’ai pris de beau bas noirs avec des dessins et des porte jarretelles. Oui je sais, tu vas dires que c’est bon pour les catins, mais mets les quand-même. Ca va faire bander ton homme.
Je lui laisse le temps de mettre ses vêtements et l’aide à fixer ses bas, puis:
— Maintenant, le clou de la tenue!
J’ouvre alors une boite contenant une superbe paires de bottines noires vernies munies d’un talon de 15 cm. L’arrière est décoré d’un lacet rouge qui contraste avec le noir.
Amélie met sa main devant la bouche.
— Je ne pourrais jamais marcher avec des chaussures pareilles !— Mais si tu verras. Tu as déjà l’habitude de porter des talons. Pas aussi hauts certes, mais ces bottines sont munies d’une épaisse semelle interne qui atténue la cambrure.Elles sont très confortables, crois-en mon expérience.
Ma sœur chausse ces bottines avec un mélange de honte et d’excitation.
— Cette fois-ci c’est sure, j’ai l’air d’une putain! Ne cesse-elle de répéter.— Pas encore Amélie. Attends d’abord qu’on refasse ton maquillage et que je te recoiffe avant de dire ça.
Ma sœur a déjà mis du fond de teint pour aller à la messe, et je m’attaque immédiatement à ses yeux.
— Vanessa, pendant que je vais faire un regard de vamp à ta tante, tu veux bien t’occuper de ses ongles? Il y a un flacon rouge carmin juste là.— Avec plaisirs belle maman.— Merci ma chérie, tu es très gentille.
En un tour de main, j’allonge les cils d’Amélie et lui donne un regard de braise. Pendant ce temps, Vanessa a fini de vernir les ongles de sa tante qui garde les doigt bien écartés le temps qu’ils sèchent.
— Il ne reste plus que la coiffure. Le chignon te donne une allure vraiment austère. Tu pourras le remettre quand je t’aurais apprise à punir ton mari, mais pour le moment il s’agit de le séduire.
Je libère les cheveux qui tombent en cascade sur ses épaules.
— C’est vraiment dommage de les cacher comme tu le fais. Ils sont absolument magnifiques!— Liliane. Tu te moques de moi.— Non Amélie, je suis sincère. Allez lève toi maintenant et va t’admirer dans le miroir.— Oh mon dieu! Qu’est ce que tu as fait?— Tu n’aimes pas?— Oh si Liliane. Viens dans mes bras que te t’embrasse!— Ce n’est pas le moment de pleurer, tu vas faire couler ton rimmel.
Je me lève et donne une petite claque sur les fesses de ma sœur comme si c’était une vulgaire putain, afin de lui donner du courage.
— Allez viens Amélie, il est temps d’aller faire BANDER ton mari !
Diffuse en direct !
Regarder son live