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Liliane, mère dévouée

Chapitre 14

Amélie 4

Inceste
Dans le confessionnal de l’église :

— Pardonnez-moi mon père, car j’ai beaucoup pêché.

Le curé de la paroisse reçoit ma sœur en confession toutes les semaines. De toutes ses ouailles, Amélie est certainement celle qui a le plus de pêchés à se reprocher.

"Qu’est-ce que ce sera aujourd’hui? se demande le prêtre.
Elle n’a pas laissé sa place dans le bus à une personne âgée? elle a jalousé sa voisine pour avoir gagné le concours de la meilleure tarte lors de la kermesse....?"

Complétement blasé par toutes les vilénies que sa plus fidèle paroissienne lui avoue depuis des années, le père Albert reçoit encore une fois Amélie en confession.

— Quel ignoble péché avez-vous fait cette semaine pour que je vous vois avec la mine aussi contrite? Lui demande-t’il avec une pointe d’ironie.
— Ne vous moquez pas mon père. Il s’agit d’un pêché vraiment très grave.
— Vous m’inquiétez. Dites moi de quoi il s’agit.
— Je n’ose pas le dire, tellement j’ai honte.
— Allez-y ma fille, confiez-vous à moi j’ai l’habitude.
— Je..., j’ai commis le péché.....de....chair.

L’homme d’église est à deux doigts de s’étouffer quand il entend cela de la bouche d’Amélie. S’il y a une personne dans toute sa paroisse qu’il pense incapable du pêché de luxure, c’est bien ma sœur. Elle est ce qu’on appelle une grenouille de bénitier et s’occupe entre autre de toutes ses taches administratives après la messe.

— Ma fille, vous avez eu sept enfants avec votre mari. Je ne pense pas que vous ayez commis le pêché de chair. Vous n’avez surement fait que votre devoir d’épouse.
— Que nenni, mon père. Je ne me suis pas donnée à mon mari dans un but de procréation. En fait, je lui ai.... Pardonnez-moi mon père, c’est trop horrible. Je n’arrive pas à le dire.
— Laissez-vous aller ma fille. Je suis sur que le seigneur vous pardonnera.
— Mon père, ce que je fais à mon mari. Ce sont....,  des fellations.

Dans la bouche d’Amélie, ce mot est tellement surprenant que le curé sent son sexe se réveiller. Il n’a jamais été insensible aux charmes de sa paroissienne malgré son coté bigote, et a toujours eu envie de glisser son goupillon entre ses lèvres pincées.

— Ce n’est pas si grave ma fille. Beaucoup de femme pratiquent ce genre de chose. Dites-vous que vous vous sacrifiez dans l’intérêt de votre couple.
— Mon père, pour que se soit un sacrifice, il faudrait que cet acte me révulse. Or en fait,...j’ai honte à le dire....je prends du plaisir à le faire.
— Ah je vois. 

Le sexe du confesseur commence à se dresser sous sa soutane.

— Et ce n’est pas tout mon père. Maintenant quand je vois un bel homme, quel que soit l’endroit ou le moment de la journée, je ne pense qu’à une chose. M’agenouiller devant lui et... 
— Mais vous ne l’avez pas fait j’espère?

Amélie se tait quelques secondes, avant de dire d’une voix à peine audible.

— Si mon père.

Le prête déglutit.

— Continuez à soulager votre conscience ma fille. Comment cela est-il arrivé?
— C’était chez moi, avec mon voisin. Et comble du vice, je l’ai fait alors que mon mari était dans la pièce d’à coté.
— C’était surement un moment d’égarement passagé ma fille. Vous me ferez cinq "ave Maria" et dix "je vous salue marie". Je prierai également pour le pardon de ce péché.
— Non mon père. Ce n’était pas un égarement passagé. J’ai tellement aimé sucer mon voisin en cachette de mon mari, que depuis je me jette sur son sexe à chaque fois que je peux.
J’ai le vice dans la peau. Si vous saviez à quel point j’ai honte.

Le curé, qui n’en est pas moins homme, bande maintenant comme un fou. D’autant plus qu’Amélie a l’habitude de s’agenouiller sur un prie dieu pour se confesser, et que sa bouche pècheresse se trouve à hauteur idéal pour... Enfin vous avez compris, je ne vais pas vous faire un dessin.

— Effectivement ma fille. C’est plus grave que je ne le pensais. Je n’aurais jamais imaginé une chose pareille venant de vous. Il va falloir vous repentir très sérieusement.
-Oui mon père, mais vous ne savez pas tout.

Le curé sursaute. Qu’a pu faire son ouaille d’encore plus monstrueux que de pratiquer des fellations sur son voisin. Alors que son époux était juste à coté en plus. Il craint maintenant le pire et demande en déglutissant.

— Dites!
— Le pire, le plus odieux, c’est quand je me mets à genoux devant vous et que vous déposez l’hostie sur ma langue. J’ai alors des idées impures...J’imagine..., j’imagine que c’est autre chose que je prends dans la bouche. 

Cette fois-ci, la verge du curé se tend à l’horizontal et forme une bosse sur le devant de sa soutane.

— Et là actuellement ma fille, vous pensez également à.....
— Oui mon père.
— Effectivement. La situation est beaucoup plus grave que je ne le pensais. Il faut combattre le mal par le mal. Le seul moyen que je vois pour que ces idées malsaines quittent votre esprit, c’est de les mettre en pratique. Il faut que vous assouvissiez vos fantasmes jusqu’à en être écœurée.

Le prête lève alors sa soutane et présente son gros goupillon violacé sous les yeux gourmand de sa paroissienne.

— Allez-y ma fille, sucez à fond et avalez tout. Je m’en vais chasser le démon qui a pris possession de vous !

Sans la moindre hésitation, Amélie ouvre la bouche et commence à expier ses fautes.

Quelques semaines plus tard, lors du maintenant traditionnel repas dominical, je me rends compte que ma sœur n’est pas dans son état normal.
Dès que l’occasion se présente, je viens la rejoindre pour lui parler.

— Qu’est-ce qu’il y a Amélie? Tu fais une drôle de tête.
— Liliane, il faut que tu saches que ta sœur est devenu une petite gourgandine!

— Oui je sais, j’ai appris la nouvelle. Tu prodigues maintenant des fellations à ton mari.  Mais c’est merveilleux, je suis vraiment très contente pour votre couple.
— Merci Liliane. Je n’oublierai jamais que c’est grâce à toi. Mais ce n’est pas de ça dont je voulais te parler.

— Oh Amélie, tu m’intéresses. Quel acte de dépravation as tu commis ?

( Je m’attends au mieux à une petite pipe donnée à un paroissien derrière l’église.)

— Oh Liliane. Je ne peux pas le dire. J’ai trop honte. Que vas tu penser de ta sœur après ça?
— Amélie, tu en as trop dit, ou pas assez. Raconte moi vite ou je vais finir par penser que ma sœur est devenue une petite...

— SALOPE! Et bien tu aurais entièrement raison, c’est exactement ce que ta sœur est devenue!

Je prends Amélie dans mes bras.

— Mais c’est fantastique! Comme ça on sera deux dans la famille ( Enfin trois avec ma mère, et même cinq en comptant Laeticia et Mathias).
— Ce n’est pas drôle Liliane. Ce que j’ai fait est vraiment horrible. Et le pire, c’est que je prends du plaisir à le faire. Je serais damnée pour l’éternité.
— Mais non, ne raconte pas de sottises. Si toutes les salopes allaient en enfer, il y a longtemps qu’il n’y aurait plus de place!

Nous éclatons toutes les deux de rire.

— Allez, maintenant dit tout à ta petite sœur. J’ai déjà la chatte toute mouillée rien qu’a l’idée de t’entendre.

Amélie me raconte tout en détail. Depuis les fellations de son voisin, la scène au confessionnal, et pour finir la pipe faite au curé.
Je reste scotchée quelques instants.

— Alors là franchement, je suis épatée. Même moi je n’ai jamais fait un truc pareil. Bon c’est vrai que pour ça il faudrait déjà que je me fasse confesser.

( Il y a surement des petits malins parmi les lecteurs qui doivent se demander si je me suis déjà faite fessée le con. Qu’ils viennent me le demander en face, je leur ferai gouter à mes talons aiguilles!)
Bon, revenons au sujet. Je disais quoi déjà. A oui, on en était à la pipe que ma sœur a taillée dans la sacristie.

— Et depuis avec le curé, tu....
— Oui..., tous les dimanches après la messe.
— Et donc tout à l’heure, tu as...

Amélie hoche la tête plusieurs fois.

— Dis donc petite coquine. Alors comme ça ma sœur s’occupe du goupillon de son confesseur!
— Chut, moins fort. Charles-Henry pourrait t’entendre.
— Oui, excuse-moi. Alors, elle est comment la queue du curé?
— Liliane, je t’en pris. Un peu de décence.
— Désolée. Je n’aurais pas du te demander ça.
— Bon, puisque tu insistes. Elle est plutôt pas mal.
— Elle est plus grosse que celle de Charles-Henry?

Amélie glousse.

— Mouiii.
— Et tu n’as pas envie qu’il te la mette ailleurs que dans la bouche?
— Oh Liliane, voyons!

Après quelques secondes à regarder ses pieds comme une petite fille, Amélie susurre :

— Si.
— Et alors, vous avez déjà...
— Non,....pas encore.
— Qu’est ce que tu attends?
— Je ne sais pas comment m’y prendre. Je n’ai jamais été très douée pour séduire les hommes.
— Tu aimerais que ta petite sœur de donne des conseils.
— Oh oui, Je n’osais pas te le demander.
— Moi à ta place, j’irais à la messe en portant des talons aiguilles, et je mettrais une robe plus sexy!
— Des talons aiguilles à la messe! Tu imagines la tête que feraient les autres paroissiennes! Elles vont s’imaginer des choses. Déjà que certaines se posent des questions.
— Tu parles de tes copines bigotes?   Tu verras, il n’y a rien de plus jouissif que d’allumer ce genre de commères. Et puis au moins, elles auront un sujet de discussion.

Ma sœur sourit. Elle doit être en train d’imaginer la tête qu’elles feront en la voyant avec une robe décolletée lui arrivant au dessus du genoux, tout en entendant le claquement de ses talons sur le sol en marbre de l’église. Je pense qu’elle est en train de mouiller rien qu’en y pensant.
Je reprends mes explications.

— Voilà. Après l’avoir allumé durant la messe, dandine toi devant lui avec tes talons aiguilles pendant que tu t’occuperas de ses paperasses dans le presbytère. Fais les claquer sur le sol comme une pétasse, les hommes adorent ça. 
Tortille bien tes fesses, et quand tu sentiras qu’il est à point, trouve un prétexte pour te pencher devant lui en exhibant bien ton derrière. Tu n’auras qu’a faire semblant de ramasser quelque chose que tu auras fait tomber, ou un truc dans le genre.
Je serais vraiment surprise si tu ne sens pas alors son goupillon se glisser sous ta robe!

Amélie est toute rouge. C’est sur qu’elle s’est imaginée la scène pendant que je la racontais et elle me répond d’une voix ingénue.

— Liliane. Tu es vraiment diabolique.
— Amélie! Faits attention à ce que tu dis, tu es en train de blasphémer!
— Oh mon dieu c’est vrai, tu as raison.
— Ce n’est pas grave. Il faudra juste que tu te fasses confesser plus durement dimanche prochain!
— Oh oui  j’y compte bien.  Oh mais j’y pense tout d’un coup, et s’il se trompe de TROU!
— Et bien ce sera la surprise. Lequel préfères-tu ?
— Non mais Liliane, je t’en pris. Je n’ai jamais pris le sexe d’un homme ailleurs que dans le vagin!
— Tu as tort. Tu devrais essayer dans prendre un entre les fesses. Tu verras, c’est très agréable.
Et puis si vraiment tu ne veux pas, tu n’auras qu’à prendre son goupillon dans la main pour le guider jusqu’à ta chatte.

Amélie est tellement honteuse quelle ne répond pas.

— Et surtout, tu n’oublieras pas après de tout raconter en détail à ta petite sœur!
— C’est promis.

Hum, j’ai vraiment hâte d’être à dimanche prochain. Pas vous?
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