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Liliane, mère dévouée

Chapitre 15

amélie 5

Inceste
J’observe Amelie durant tout le repas. Cette fois-ci il a lieu chez elle, et j’ai sucé son mari dans leur chambre pendant qu’elle était à la messe.
Comme je lui ai conseillé le week-end précèdent, elle a mis pour y aller une belle robe avec un large décolleté qui fait pigeonner ses seins. Et maintenant, elle ne manque pas une occasion de placer ces derniers sous le nez des hommes présents autour de la table. Elle trouve mille excuses pour se lever et trottiner devant ces messieurs avec les bottines que je lui ai offertes. Leurs talons de 15 cm la grandissent et font ressortir ses fesses qu’elle exhibe également autant qu’elle le peut. Elle a découvert un moyen simple mais terriblement efficace de faire les deux en même temps : elle s’occupe du vin, et quand elle se penche pour servir un des convives sur sa gauche en lui mettant ses seins sous le nez, elle place ses fesses arrondies juste devant le visage de celui de droite.
" Non mais quelle salope!" Me dis-je en la voyant s’amuser ainsi à allumer tous les hommes. "Est-ce que je me comporte ainsi comme une trainée en société ? Oui, c’est vrai j’ai déjà fait bien pire, mais ce n’est pas une raison. Si elle continue comme ça, elle va finir par tailler une pipe à chaque convive en plein repas." Cette idée me réjouit. Vu le nombre d’hommes présents, je serais obligée de lui donner un petit coup de main !Ca y est, je recommence à fantasmer. Un peu de tenue tout de même. On est dans un repas dominical, pas dans un gang bang!
J’essaie de calmer le feu qui commence à s’allumer entre mes jambes en pensant à autre chose. Malheureusement, la première idée qui me vient à l’esprit est ce qu’Amelie a fait avec son confesseur avant le repas. Mais qu’est-ce que je peux être conne! Comme si visualiser ma sœur en train de pomper le curé allait atténuer mon excitation. Au lieu de me calmer, je sens ma chatte commencer à couler. Je ne tiens plus, il faut absolument que je sache ce qu’Amélie a fait, et vite.A la fin du repas, je m’approche discrètement  alors qu’elle aide les garçons à débarrasser la table.
— Amélie! Quand tu auras fini d’allumer tous les hommes ici présents, tu pourras peut-être me raconter comment s’est déroulée la messe?
Ma sœur me lance un regard plein de sous-entendus et me dit à l’oreille :
— Pas ici Liliane. Je ne voudrais pas que mes garçons aient une mauvaise opinion de leur mère.— C’était cochon a ce point?

Pour toute réponse, elle hoche légèrement la tête en souriant, puis dit en gloussant :
— Rejoins-moi dans ma chambre dès que tu peux. C’est à mon tour de te montrer des photos de famille.

Vous vous doutez bien que je connais parfaitement le chemin menant à la chambre d’Amélie! Une dizaine de minutes plus tard, nous sommes toutes les deux assises sur le bord de son lit.
— Vas-y, raconte!— Cela a commencé avant la messe quand j’ai préparé l’église avec mes consœurs de la paroisses.— Les bigotes?— Oui, si tu veux. — Quand elles m’ont vu perchée sur mes talons aiguilles pour déposer des fleurs ou allumer les cierges, elles étaient outrées. Elles me regardaient de travers comme-si j’étais une fille de mauvaise vie, et je les entendais murmurer dans mon dos. Je ne comprenais pas toutes les paroles, mais j’ai reconnu des mots tels que "dévergondée, allumeuse, catin....". En les entendant, je sentais ma chatte s’humidifier, et pour toute réponse j’ai fait claquer mes hauts talons encore plus fort sur le marbre. Elles étaient toutes vertes de rage et à la fin pour les achever, j’ai appliqué juste devant elles une épaisse couche de rouge à lèvre comme tu me l’a appris.
Je regarde mon ainée avec un mélange de fierté et de stupéfaction.
— Ouah Amélie! Mais tu es vraiment devenue une petite "gourgandine" comme tu dis.— Oui, mais ce n’était que le début. Lors de la quête, je me suis penchée devant tout les messieurs de façon à leur mettre mes seins juste sous le nez. Ils avaient tous les yeux fixés sur ma poitrine alors que leur épouses me fusillaient du regard. Tu imagines, des femmes que je côtoie depuis plus de 20 ans pour certaines!— Oh oui j’imagine très bien, ce devait être un peu comme quand tu as servi le vin au cours du repas. La quête a été bonne j’espère? — Tu dis ça en plaisantant, mais c’est pourtant le cas. Jamais ces messieurs n’ont été aussi généreux. La prochaine fois, je ferais également en sorte que le nez des plus gros donateurs se retrouve entre mes fesses.— Hum. Tu me donnes envie. Je n’avais jamais imaginé que faire la quête pouvait être aussi excitant.— Et bien pourquoi ne viens-tu pas la faire avec moi? On ne serait pas trop de deux tu sais!
Mais ma parole, c’est le monde à l’envers. C’est ma sœur qui me donne des leçons de vice maintenant ! Je décide de décliner son offre.
— Non merci Amélie, mais la messe ce n’est pas trop mon truc.— C’est ce que je pensais aussi pour les pipes et les talons aiguilles, et regarde moi maintenant!— Oui c’est vrai Amélie, mais vraiment c’est sans façon. Allez-va y continue.— Bon, mise à part la quête, le moment le plus excitant de l’office a été la communion. Comme tous les dimanches, je me suis agenouillée devant le curé et j’ai ouvert la bouche.... Au moment où il s’apprêtait à déposer l’hostie sur ma langue, je l’ai faite discrètement glisser sur mes lèvres en le regardant droit dans les yeux. J’ai cru qu’il allait défaillir. Il a du simuler une quinte de toux pour pouvoir se ressaisir.
C’est fois-ci, je suis carrément ébahie par l’audace d’Amélie. Quand je pense qu’il y a seulement quelques semaines, elle se serait signée rien qu’en entendant le mot "pipe".
— Amélie, tu as fait ça? Non mais quelle salope!— Dis-donc Liliane, tu es drôlement mal placée pour me dire ça espèce de catin! Je pense qu’une bonne séance de confession avec M le curé te ferait le plus grand bien!
J’avoue que cette idée commence a me trotter dans la tête depuis quelque temps, mais je n’en dis rien à Amélie.
— Allez continue. Comment ça s’est passé après la messe?— Comme tu le sais, tous les dimanches  j’accompagne ensuite le curé au presbytère.— Oui ça je sais, et ensuite!— Je calcule le montant de la quête, je l’inscris dans les comptes de la paroisse....
Ma sœur prend un malin plaisir à me faire languir.
— Je sais tout ça Amélie. Comment ça s’est passé avec le curé? Est-ce que ça a fonctionné comme je te l’avais dit?— Ah, c’est ça qui t’intéresse. Il fallait le dire tout de suite.Et bien oui, je me suis dandinée comme une cruche sur mes talons aiguilles autant que je le pouvais, et c’est tout juste si je lui plongeais pas la tête dans mon corsage à chaque fois que je me penchais sur lui pour lui détailler les comptes.Je l’ai tellement allumé qu’à un moment j’ai cru qu’il allait prendre feu!
Nous éclatons toutes les deux de rire.
— Et après?— Après? J’ai fait exactement comme tu m’avais dit. J’ai fait tomber mon stylo par inadvertance, et je me suis penchée pour le chercher en tendant bien mon cul en arrière.Je me souviens encore de ce que j’ai dit alors : " Non mais qu’est ce que je peux être maladroite! En plus je crois qu’il a du rouler sous votre bureau."
Ma chatte est maintenant inondée. "Et ensuite?" dis-je à ma sœur avec une voix remplie d’impatience. Amélie continue à jouer avec mes nerfs.
— Et ensuite? .....Alors que je continuais à chercher vainement le stylo qui se trouvait pourtant à 20 cm de ma main, j’ai senti ma robe se relever et se poser sur ma tête, puis un objet dur s’est insinué entre mes fesses." Pas là M le curé, je n’ai jamais..."" Il faut un temps pour tout ma fille. Je dois chasser le malin qui a pris possession de votre corps. J’ai cependant pitié de vous et je vais atténuer vos souffrances."
Après avoir imité la voix du curé, Amélie reprend son récit.
— J’ai alors senti un produit gras se poser sur mon anus, puis 2 doigts ont pénétré à l’intérieur et se sont mis à le masser. C’était tellement bon. Je me suis aperçue que mes fesses ondulaient toutes seules de plaisir.— Tes fesses? Tu as un sacré culot. Tu ne peux pas admettre que c’est toi qui était excitée comme n’importe quelle petite salope! — Oh si, tu as raison. Mais ce n’était que le début. Après quelques minutes de massage, les doigts sont ressortis de mon cul, et à la place c’est autre chose que j’ai senti pousser contre ma rosette.
Je suis pire qu’une gamine et lui demande sur un ton faussement ingénu.
— C’était quoi Amélie?— Le goupillon du curé, exactement comme tu l’avais prévu la semaine dernière. J’ai bien reconnu son gros gland qui cherchait à pénétrer. Il faut dire que je connais maintenant sa forme par cœur avec le nombre de fois que je l’ai sucé.
Je suis pendue aux lèvres d’Amélie tout en imaginant que c’est dans mon propre cul que la queue du curé est en train de s’enfoncer. Parfaitement consciente de l’état dans lequel elle me mets, ma sœur poursuit tranquillement son récit :
— Je commençais à avoir mal alors que le curé poussait de plus en plus fort, en donnant des coups de reins afin de forcer l’entrée.
" Mon père, ça fait mal!"" Je sais ma fille, mais c’est pour le salut de votre âme! Serrez les dents, mais pas les fesses, on y est presque!"
— J’ai sentis le curé donner des coups de plus en plus fort avec sa queue puis...
"AAAAARRRGHHHH."" Ca y est ma fille, c’est entré. Le plus dure est fait. Maintenant je vais pouvoir expulser le malin de vos entrailles!"
— Effectivement, suite aux coups répétés contre mon anneau rectal, il s’est dilaté et a fini par céder en m’arrachant un hurlement de douleur. Sans tenir compte de mes cris, le curé s’est enfoncé en moi d’un coup et j’ai senti ses couilles cogner contre mes fesses. Il s’est mis ensuite à me pistonner encore et encore.....
Amélie est tellement excitée en racontant tout cela qu’elle glisse une main sous sa robe. Egalement folle d’excitation, je fais de même et nous nous retrouvons toutes les deux en train de nous astiquer la chatte l’une à coté de l’autre.
— Amélie, continue je t’en supplie!
Alors que sa main s’agite frénétiquement entre ses jambes, Amélie réussi à reprendre son histoire.
— Je sentais la grosse....queue du curé aller et venir dans mes entrailles. Je ne le voyais pas car il avait relevé ma robe sur la tête, mais il tenait fermement mes hanches à deux mains pendant qu’il m’enculait de toutes ses forces.Je couinais comme une petite putain avec son client."Mouuiii, encorrrrre, .... plus foooooort,....c’est bon.....Tout en haletant le curé ne cessait de me répéter :" Alors ma fille..., vous sentez comment je chasse le démon qui est en vous?"" Oh oui mon père, je le sens....Encore.....plus fort."
Amélie est complétement en trans et moi-même je suis incapable de parler. Je sais que je vais jouir d’une minute à l’autre. Il est temps qu’elle termine son récit.
— Et là, tout d’un coup,...j’ai sentis un jet brulant se répandre dans mes boyaux. Cela m’a fait jouir comme une folle instantanément. Complétement épuisé, le curé est resté en moi encore quelques minutes avant de se retirer. Je me suis nettoyée avec une serviette, et quand le l’ai mise dans la panière a linge sale, j’ai eu une petite pensée pour Bernadette, la vieille fille qui s’occupe de son ménage." Va-t-elle reconnaitre le sperme du curé? Si ca se trouve elle y a déjà gouté!"Puis j’ai remis mes affaires en ordre et je suis venue directement ici pour le repas.
Amélie n’a pas fini sa phrase qu’un jet de cyprine a déjà inondé mes doigts. Je vois que ma sœur s’est également faite jouir tout en parlant.J’approche mon visage du sien et prends sa tête entre mes mains. Jamais de toute ma vie je n’avais éprouvé autant de tendresse pour ma elleJe pose mes lèvres contres les siennes. Ses lèvres s’entrouvrent et bientôt nos langues se mêlent.
— Amélie, j’aimerais bien venir à la messe avec toi dimanche prochain.
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