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Liliane, mère dévouée

Chapitre 16

confession

Inceste
Excitée par le récit des frasques d’Amélie avec le curée, Liliane a finalement accepté de l’accompagner à la messe. C’est maintenant au tour d’Amélie d’habiller sa sœur pour l’occasion.
— Ah non Amélie, je ne vais quand même pas mettre ce fichu sur mes cheveux! Je vais avoir l’air complétement tarte avec !— Toutes les femmes de la paroisses en mette un. C’est très vulgaire pour une femme d’aller à la messe les cheveux au vent.— Et de sucer le curé, ce n’est pas vulgaire peut-être?— Cesse de blasphémer Liliane, cela n’a rien à voir. C’est pour me punir de mes péchés que le père François me demande de le fellationner dans la sacristie.— Fellationner! Non mais d’où sors tu un mot pareil? Tu ne peux pas dire "tailler une pipe" ou "faire un pompier" comme tout le monde.
Amélie me regarde avec de gros yeux réprobateurs, comme elle le faisait pour me gronder quand nous étions petites.
— Liliane, Quand je disais que tu étais vulgaire, en voila un exemple de plus. Tu devrais employer un vocabulaire plus châtié.Mais revenons en au fichu. Je te rappelle que sur tes conseils, je mets maintenant une robe décolletée et des talons aiguilles pour aller à l’église. Tu peux bien mettre ce morceau de tissu sur tes cheveux!Et puis, à ce que je sais tu aimes bien te déguiser.— Bon d’accord tu as gagné, je vais me déguiser en grenouille de bénitier. Mais je vais mettre mes grosses lunettes noires. Je n’ai pas envie qu’un de mes collègues de bureau me reconnaisse. Il se foutrait de moi à chaque prochaine fois que je m’agenouillerais devant lui.— Ah parce certains de tes collègues vont à la messe?— Je ne pense pas, mais on sait jamais.
Je couvre donc mes cheveux avec le fichu que me donna Amélie. Avec mes grosses lunettes noires, mes lèvres fortement maquillées, mes escarpins vernis style Pin-up et le grand manteau gris qui recouvre ma robe, j’ai l’air d’une femme des années 50. Je m’admire devant le miroir. En fin de compte ce fichu me donne à la fois une allure de femme respectable et de salope en chaleur. J’adore.Je pense que je vais essayer de le mettre pour aller au bureau, rien que pour voir si mes collègues me demandent de le conserver pendant que je les suce.
— Cesse de d’admirer comme ça, on va être en retard. L’orgueil est un vilain défaut! s’impatiente Amélie.— Si je n’avais que celui-là a me faire pardonner" lui dis-je en riant.
Nous prenons la voiture d’Amélie, et elle se gare non loin de l’église. De nombreuses femmes endimanchées sont déjà présentes ; ce sont certainement les vieilles bigotes dont m’a parlé ma sœur.
Je sens la désapprobation dans leur regard quand elles nous voient Amélie et moi, perchées sur des talon aiguilles et outragements maquillées, sortir de la voiture. C’est uniquement à ce moment que je me rends compte qu’Amélie et moi sommes habillées de la même façon. On dirait des jumelles. Est-ce que le curé saura faire la différence?C’est au moment de communier que j’ai la réponse à cette question. Je suis juste derrière ma sœur dans la file, et je comprends à la tête du curée qu’elle a encore passé sa langue sur ses lèvres avant de recevoir l’hostie.Il marque donc un petit temps d’arrêt quand il voit sa copie conforme refaire le même geste. Je pense qu’il comprends alors qu’il va avoir du travail après la messe.
Les cloches sonnent et les paroissiens quittent peu a peu l’église. Seule Amélie reste comme à son habitude sous le regard courroucé des grenouilles de bénitiers qui se demandent à quelle tentation elle va soumettre leur cher curé. Si seulement elles savaient!Leurs regards sont d’autant plus appuyés qu’elles doivent se demander qui est la "trainée" qui attend sagement perchée sur des talons de 13 cm à coté d’un des piliers. Il s’agit bien sur de moi.
Une fois que tout le monde est parti, Amélie me présente.
— Père François, voici ma sœur Liliane. Elle a souhaité m’accompagner à la messe, et je pense qu’elle a beaucoup de péchés à se faire pardonner.— Nous allons voir ça! Bienvenue dans cette église ma fille.— Merci mon père. Dis-je simplement en retour.— Amélie, je vous laisse vous occuper seule des comptes de la paroisse, je vais prendre soin de votre sœur Liliane.— Bien sur mon père répond Amélie avec un sourire en coin.
Le curé tends son bras en direction d’une sorte de petite maisonnette en bois dans un recoin de l’église.
— Venez avec moi, je vais vous aider à soulager votre conscience. Me dit-il d’une voix lourde de promesses.
Comme vous le savez je ne suis pas venue ici pour me repentir, mais pour faire connaissance avec la grosse bite du curé qu’Amélie m’a si bien vantée. Cependant, je dois avouer que l’idée de déballer auparavant tous mes péchés est très excitante.
— Merci mon père, mais cela risque d’être très long.— Vous avez autant pécher que cela? Ce n’est pas grave, j’ai tout mon temps.
Je prends place dans le confessionnal où je trouve la sorte de petite chaise surbaissée dont m’avait parlé Amélie. Je me mets à genoux et constate que je suis en position idéale pour "confesser mes péchées". Le curé et moi sommes séparés par une cloison en bois munie d’une sorte de petite grille amovible située juste à hauteur de visage. J’en viens à imaginez que ce n’est pas un hasard et que tout cela a été spécialement conçu pour permettre aux pêcheresse d’absoudre discrètement leurs fautes à l’abri des regards indiscrets, en particulier de celui de leur mari. L’idée que des femmes ont autrefois pris plaisirs à sucer le goupillon de leur confesseur tout en passant pour des paroissiennes vertueuses me fait mouiller."Cela commence bien" me dis-je en passant la langue sur les lèvres.Le prête débute la confession :
— Allez-y ma fille, je vous écoute.— Par quoi dois-je commencer?— Par où vous voulez. Le plus simple est de partir du début.— Bien mon père. Voilà, je...J’ai commencé a tailler des p..., excusez-moi, je veux dire à prodiguer des fellations quand j’étais au lycée. J’étais particulièrement douée et très vite j’ai acquis une réputation de..., excusez moi du terme mon père, de super suceuse. Mes camarades m’ont même élue "reine des turluttes", c’est pour vous dire.— Oui effectivement. Mais dites-moi ma fille, éprouviez-vous une certaine honte a faire cela?— Oh non, pas du tout au contraire. J’adorais pomper mes camarades de classe et j’aime toujours autant sucer tous les hommes que je croise.
Le père ne se contente pas d’un résumé aussi succinct et veut connaitre tous les détails. Est-ce pour essayer de me trouver des circonstances atténuantes, ou pour le plaisirs de m’entendre dévoiler les cochonneries que j’ai l’habitude de faire? A vous de deviner.
— Aviez vous des raisons particulières pour agir de la sorte?— Cela me procurait en effet de nombreux petits avantages. Certains de mes camarades faisaient mes devoir à ma place : une pipe de 10 minutes en échange d’une rédaction de 4 heures, je n’étais pas perdante. Je me souviens encore de la tête de l’intello boutonneux qui rédigeait les dissertations à ma place, quand je commençais à défaire sa braguette pour le récompenser de ses efforts.D’autres m’emmenaient en boite, au cinéma, ou ce genre d’endroits. Je ne payais jamais rien bien sur, mais il est vrai que je ne voyais rarement le film en entier si vous voyez ce que je veux dire.
Le prête me dépond avec une voix haletante.
— Je vois très bien ma fille, continuez.
— D’autres m’offraient des friandises diverses en échange de mes gâteries. Ceux qui avaient une moto m’emmenaient faire des promenades. J’aimais me serrer contre eux. Je me tenais fermement en passant un bras autour de leur taille, tandis que mon autre main était solidement agrippée à leurs coui..., excusez-moi mon père, je voulais dire à leurs testicules.— Ce n’est rien ma fille, continuez.
Je constate que le prête a de plus en plus de mal a parler.
— Ah oui j’allais oublier le principal. Je me servais également de mes talents auprès de mes professeurs afin d’avoir de bonnes notes. On peut vraiment dire que j’ai décroché le bac à l’oral!— Effectivement ma fille, vous avec beaucoup péché. Mais tout ça c’était quand vous étiez une jeune fille. Depuis je pense que vous êtes rentrée dans le droit chemin.— Détrompez vous mon père. J’ai continué a exercé mes talents au bureau, et c’est toujours le cas actuellement.
Le curé tousse. Il a du mal à me trouver des excuses pour mon comportement aussi indigne.
— Soit. Vous avez une vie de débauche dans le cadre de votre travail, mais vous êtes néanmoins devenue une épouse et une mère aimante. Amélie m’a dit que vous aviez six enfants?— En effet mon père, mais ce n’est pas pour autant que je me suis assagie. Déjà pour commencer pas un seul de mes enfants n’a le même géniteur!Et puis vous parlez d’épouse aimante. En fait si j’ai épousé mon mari, c’est parce qu’il a de l’argent et un tempérament de soumis. Je passe mes nerfs sur lui en le punissant cruellement pour un oui ou un non, et si je n’ai pas de prétexte valable, j’en invente un.De plus, je le cocufie pratiquement tous les jours et je fais en sorte qu’il le sache.
Le prête me regarde avec une mine effarée, c’est surement la première fois qu’il tombe sur une femme aussi salope que moi. Il essaye néanmoins toujours de me trouver des circonstances atténuantes.
— Vous êtes en effet une épouse extrêmement perverse. Mais vous êtes certainement une excellente mère.— Pour ça oui mon père, je pense être une très bonne mère. Ainsi par exemple, je suce régulièrement mes cinq fils !— Ce n’est pas vraiment ce à quoi je pensais en disant que vous étiez une bonne mère.— Excusez-moi mon père. Je veille au bonheur et à l’avenir de mes enfants comme toute maman, mais je ne pense pas que vous approuviez les méthodes que j’utilise.— Je ne vois pas très bien où vous voulez en venir, je vous en prie ma fille, expliquez-vous.
C’est surement une impression, mais il me semble sentir une sorte de vibration, comme ci on bougeait quelque chose dans le confessionnal.
— Par exemple ma fille Laeticia. Elle a toujours été un exemple de vertu et à 19 ans elle était encore vierge.— Mais c’est parfait Liliane, c’est parce que vous l’avez bien éduquée.— Oui, si on veux. Mais elle était tellement prude que son petit copain risquait de la laisser tomber. Du coup, c’est moi qui l’ai sucé pour qu’il ne quitte pas ma fille.— C’est un geste d’abnégation de votre part. C’est beau de la part d’une mère de se sacrifier ainsi pour le bien de sa fille.— Ce n’était pas du tout un sacrifice mon père. Je mourrais d’envie de m’occuper de la queue de mon gendre dès le premier jour ou je l’ai vu. Et ensuite, j’ai appris à ma fille la fellation, la sodomie et l’art d’exciter les hommes en s’habillant et en se maquillant de façon provocante. Depuis, elle est devenue aussi salope que sa mère.— Ah....., en effet.....
C’est tout ce que me répond le père François. Je n’entends plus que ses halètements tandis que les vibrations derrière la cloison ont augmenté d’intensité.Partie sur la lancée, je continue à lui dévoiler mes frasques les plus récentes.
— Et puis ce n’est pas tout. Mon gendre était un jeune homme charmant et je l’ai transformé en Sissy— En Sissy, je ne comprends pas. parviens difficilement à répondre le père François.— Je l’ai forcé à se travestir en femme et à devenir une petite catin soumise. J’ai manœuvré pour qu’il se fasse sodomiser et qu’il prodigue des fellations. Depuis, il porte constamment des vêtement féminins et des talons aiguilles, et il passe ses journées a assouvir les désirs lubriques des hommes de la société ou je travaille.
Le curé ne m’écoute plus. Je sens le confessionnal vibrer de plus en plus fort. Quelque secondes après j’entends un humfffffff...assourdi puis plus rien.J’attends un peu avant de reprendre.
— Mon père, il faut aussi que je vous parle de ma sœur Am....
Le prête m’interrompt en soupirant.
— Plus tard ma fille, nous aurons l’occasion d’en reparler. Vous avez déjà suffisamment confessé de péchés pour aujourd’hui.
— Vous pensez pouvoir les absoudre mon père? dis-je en commençant a remuer mon derrière de désir.
— Ma fille, en ce qui vous concerne, je pense qu’une simple absolution ne sera pas suffisante. Ce qu’il vous faut, c’est un "EXORCISME"!
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