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Liliane, mère dévouée

Chapitre 17

exorcisme

Inceste
Ajouté au brusque changement d’attitude d’Amélie, une de ses plus pieuse et plus dévouée paroissienne, ma confession a convaincu le père François que le malin avait pris possession de ma famille. Il a donc décidé de réaliser un exorcisme collectif afin de le chasser, ( à moins que ce ne soit juste pour lui l’occasion de faire une partouze), et m’a dit après ma prestation :

" Nous verrons cette exorcisme le week-end prochain. Il me faut en effet un peu de temps pour trouver le moyen de chasser le démon du sexe qui a pris possession de votre famille.A cette occasion, je vous suggère de convier votre fille et votre gendre, nous pourrons ainsi réaliser un exercice collectif."

Et donc à la demande du curée, j’ai demandé à ma fille et à ma bru de nous accompagner Amélie et moi à l’église le dimanche suivant. Après la messe, nous nous retrouvons toutes dans le presbytère, où le prête souhaite se rendre compte par lui-même du degré de possession de ses ouailles.
— Mon père, je vous présente ma fille Laeticia et ma bru Vanessa, son ou sa petite amie, comme vous préférez.
Le curé ne s’attarde pas sur les présentations et attaque directement le vif du sujet.
— Ma chère Laeticia, si vous pouviez me faire une démonstration de ce que le malin vous pousse a faire.— Avec plaisir mon père, que dois-je faire?— A vous de choisir. Ce que vous avez envie en ce moment même.
Laetitia me regarde pour obtenir mon approbation.
— Fais ce que M le curé te demande mon bébé.
Sans surprise, Laetitia s’agenouille devant Vanessa et commence à lui faire une turlutte. Le père observe la scène l’air grave. 
— Très intéressant. Je constate que non seulement votre fille s’est jetée immédiatement sur le sexe de son petit ami pour le sucer, mais qu’en plus elle ne manifeste aucun dégout a le faire.
Ma fille, vous aimez ce que vous êtes en train de faire?
— Humf Humf, ouiii, humf humf...
Laeticia opine de la tête tout en continuant de sucer avec ardeur, tandis que le père François semble réfléchir à l’ampleur du problème qu’il a à résoudre.Vanessa souffle maintenant comme un bœuf.
— Mon père, je vais bientôt venir....— Ne vous retenez pas, je voudrais vérifier quelque chose. Répond le curé qui attendait apparemment ce moment pour intervenir.
Laeticia reçoit le foutre de son amant au fond de la gorge sans émettre la moindre protestation. Bien au contraire elle semble se régaler et avale la semence lentement pour en savourer le gout plus longtemps.
— C’est bien ce que je craignais, le démon habite également la bouche de votre fille. Il va falloir de nombreuses séances de fellations pour l’en chasser.Passons maintenant à votre gendre, enfin je devrais plutôt dire votre bru. Votre bouche est-elle également possédée par le malin?— Je pense que oui mon père.— Nous allons voir ça répond ce dernier en soulevant sa soutane.
Vanessa embouche immédiatement le sexe en érection.
— Effectivement, vous êtes également possédée. Je vois à votre technique que c’est le même démon qui habite votre belle-mère et votre petite amie, et qui a également pris possession de ma chère paroissienne Amélie depuis quelques temps.
Je me permets de prendre la parole.
— Il doit s’agir d’une possession héréditaires mon père, notre mère est exactement dans la même situation que nous.— Décidément, l’ampleur du problème dépasse toute mes prévisions. Il va falloir un exorcisme très poussé.Arrêtez ce que vous êtes en train de faire mon fils, j’ai besoin de toutes mes capacités pour ce que nous allons faire. Suivez-moi !
Nous entrons dans une pièce sombre qui me fait penser à une salle de torture digne de l’inquisition. Au début, l’idée de me faire exorciser ( c’est dire dans mon esprit sucer des queues, me faire baiser et/ou sodomiser) m’excitait comme une folle, mais là j’avoue que je commence a ne pas être rassurée.J’avance lentement dans la pièce et je me mets réellement à flipper quand je vois les deux carcans au fonds de la pièce. Le curé s’adresse à Vanessa et moi en les désignant .
— Mettez-vous a genoux sur cette planche, et placez votre cou et vos poignets dans les entailles prévues à cet effet!— Non, je refuse d’être attachée à ce truc.— Ne faites pas l’enfant ma fille. Il est indispensable que vous soyez attachée. Le cérémoniale de l’exorcisme est assez violent.— Et bien justement, raison de plus pour ne pas être dans l’incapacité de bouger.
Amélie se penche à mon oreille d’une voix douce :
— Ne t’inquiète pas, c’est juste pour l’ambiance. Le père aime bien se prendre au sérieux avec son folklore moyenâgeux, mais ce n’est pas un psychopathe. Et puis je suis là.Fais moi confiance, je suis certaine que tu vas adorer.
Je ne toujours pas très rassurée, mais je sais que ma sœur est incapable de me faire du mal, et puis je ne veux pas passer pour une peureuse."Ce n’est qu’un jeu" me dis-je en posant ma tête et mes poignets dans les trous en demi-cercles.Amélie referme la partie supérieure et la verrouille, puis fait de même pour Vanessa.
— Amélie, auriez vous l’obligeance d’allez chercher deux cierges de communion dans la sacristie? — Bien sur mon père. Dois je rapporter également des candélabres?— Ce ne sera pas nécessaire ma fille, je ne compte pas les allumer. Par contre vous pouvez également rapporter le flacon d’huile qui me sert pour les onctions.— L’huile??? Comme vous voulez mon père.
Contrairement à moi, Amélie ne semble pas avoir encore compris l’usage que le curé veut faire des cierges. Mais contrairement à elle, je ne connais par leur taille.Quelques minutes plus tard, ma sœur revient avec deux grands cierges dans les bras. Je fais un bond en les voyant, ils doivent faire un mètre de hauteur pour un diamètre de cinq centimètres. Le curé ne compte quand même pas s’en servir pour faire ce à quoi je pense tout de même! Mes craintes sont rapidement confirmées quand il s’adresse à ma sœur.
— Amélie. Le situation est grave. Je vais avoir besoin de votre aide pour chasser le démon qui hante votre famille.— Mais bien sur mon père, je ferai tout ce que vous me demanderez.— Je n’en doute pas. Prenez un des cierges et donnez le à votre nièce après avoir badigeonné le bout avec de l’huile.— Quel bout?— Mais enfin Amélie, ne soyez pas si sotte. Celui qui est pointu, avec la mèche. C’est pour qu’elle sodomise sa petite amie Vanessa avec.— Oh bien sur mon père, qu’elle gourde je suis. 
"Tiens Laetitia" dit-elle à ma fille après avoir copieusement huilé le bon coté.
— Très bien Amélie, c’est parfait. Maintenant vous faites de même avec le deuxième afin que je m’occupe du cul de Liliane.— Mon père, puis-je vous demandez une faveur?— Mais évidement ma fille. Dites!— J’aimerais m’occuper personnellement de chasser le démon qui habite ma petite sœur. Comme cela, vous pourriez vous occupez de celui de Laetitia avec votre propre goupillon.— Mais c’est une excellent idée! Il vous faudra cependant travailler l’anus de Liliane sans faiblesse. Le démon y est solidement retranché et il ne partira pas facilement.— Soyez sans crainte mon père, je suis prête à tout pour le salut de son âme.
Pendant que le prête enfile un préservatif avant de pénétrer le cul de ma fille, Amélie se penche à mon oreille en présentant le gros cierge juste sous mes yeux.
— J’espère que tu n’as tout de même pas cru que je ne savais pas à quoi aller servir ces cierges?
Ma sœur a prononcé ces mots sur un ton glaçant, comme un bourreau s’adressant à sa victime. Elle me fait vraiment peur.
— Mais enfin Amélie, qu’est ce qui te prend?
Pour toute réponse, elle me fait un sourire mesquin en portant ses doigts sur le cierge pour en souligner la grosseur. Puis, sans dire un mot, elle se place derrière moi et je sens l’extrémité dure et froide en cire se plaquer contre ma rosette.Sans aucune préparation préalable, elle se met ensuite à pousser en tenant le cierge à deux mains. Et estimant qu’il ne pénètre pas assez vite, elle le fait tourner de droite à gauche sur quelques centimètres afin de forcer l’entrée tel un foret, ce qui m’arrache des cris de douleurs.
— Arghhhh......Nonnn..... Ahhh...,.......Améliiiiiiie.... Arrête.....
— C’est pour ton bien Liliane, ce n’est qu’un mauvais moment à passer.Je vais poser mon bassin contre le bout du cierge et je vais pousser d’un coup sec pour le faire rentrer d’un coup. Après cela ira mieux.
— Amélie, NOOOOON,... ne fais pas ça... ARGHHHHH.
Trop tard. Poussé sans ménagement par ma sœur, le cierge vient de pénétrer profondément dans mes intestins.Amélie ne perd pas une minute, et sitôt mon anneau rectal distendu elle commence à me limer en tenant le cierge à deux mains. J’ai les larmes aux yeux tellement mon fondement me brule.Pendant ce temps, Laeticia travaille délicatement le cul de mon gendre tandis que le curé s’apprête à la pénétrer à son tour. Se tournant vers ma sœur, il lui dit :
— Bravo Amélie, je vois que vous y mettez tout votre cœur. Avec vous le malin ne va pas résister longtemps.— Merci mon père. Répond-elle en continuant à me ramoner le fion de toutes ses forces.— AIIIIIILLLE,.......Arrête Amélie......., je t’en supplie......., ça fait trop mal.
La douleur est intenable, j’ai l’impression d’avoir un tisonnier dans le cul. Ma sœur me répond enfin.
— Alors petite garce, ça ne te plait pas ce petit exorcisme?— Arghhh.. mais enfin Amélie...qu’est ce qui te prend...... Ce n’est qu’un jeu.— Pas pour moi. Tu crois que je ne sais pas que tu te tapes mon mari depuis des mois!— C’était donc ça. Mais il ne m’a jamais baisée, je te le jure. Je n’ai jamais fait que de le sucer.— Oui, pendant que j’étais à la messe! Vous avez du bien vous moquer de moi, la petite gourde bigote qui passe tous ses dimanches à l’église pendant que son mari baise avec sa sœur.— J’ai fait ça pour toi Amélie, pour ton couple. Tu devrais plutôt me remercier.— Te remercier de quoi? D’avoir avalé le sperme de mon homme?— Arghhhh......Ouiiii. Si je n’avais pas purgé moi-même les couilles de Charles Henry, au mieux il se serait branler, au pire il aurait été voir une prostitué. Je pense que c’est mieux que ce genre de chose reste en famille.— Ainsi donc, je devrais te remercier?— Ouiii, tout a fait....— Et bien c’est ce que je suis en train de faire. 
Animée par la rage, Amélie redouble d’ardeur pour m’enculer.
— Tu aimes te faire baiser n’est-ce pas. Que penses tu de mon gros cierge?— Il est trop gros Amélie. Ca fait trop mal!— Tu ne va pas me faire croire qu’une trainée dans ton genre ne s’est jamais prise une grosse bite dans le cul. Il n’y a pas des clients Africains dans la boite ou tu travailles?— Pitié Amélie, je suis ta sœur.— Ah oui, tu t’en souviens maintenant. Et est-ce que tu y pensais quand tu léchais la queue de mon homme?
Ma sœur se met a me pistonner l’anus de plus belle en poussant violement sur le bout du cierge avec son bassin, comme si elle était équipée d’un gode géant. Jamais je n’aurais pensé qu’elle puisse être aussi cruelle.
-ARGHHHHH...... Amélie, arrête je t’en supplie........ Je ne suce Charles Henry que depuis quelques mois. Avant, c’était maman qui le faisait.
Ma sœur s’arrête soudainement.
— Qu’est ce que tu dis, MAMAN?— Oui, c’est la vérité Amélie. Elle le suce depuis des années pour l’équilibre de votre couple. Il y a quelques mois, elle m’a demandé de la remplacer car elle et papa vieillissent.
Amélie se remet à agiter le cierge dans mon anus pendant encore quelques secondes, puis après quelques coups bien appuyés qui me font pousser des hurlements, elle s’arrête enfin.Tenant le cierge toujours dans mon cul d’une main, elle enfourne les doigts de l’autre dans ma chatte.
— Mais tu es trempée ma petite sœur. Tu es vraiment une sacrée salope. Tu couines comme une truie en te plaignant depuis quinze minutes mais en fait tu adores ce que je te fais.— Je t’en supplie Amélie, arrête. Maman et moi n’avons fait que de sucer Charles Henry.
La voix de ma sœur commence à se radoucir.
— A ce que je vois, il va falloir que je m’occupe sérieusement de lui. Il ne perd rien pour attendre ce vaurien. En attendant, je vais faire jouir ma gentille petite sœur qui s’est si bien dévouée pour moi.
Joignant le geste à la paroles, Amélie plante ses doigts dans ma chatte et se met a astiquer mon abricot tout en faisant bouger doucement le cierge dans mon anus.Après ces longues minutes de souffrances, la pression de ses doigts sur mon clitoris est un délice, et bientôt un flot de cyprine lui inonde la main.Dans une demi torpeur, j’entends peu après les cris de jouissance de ma fille et de ma bru, aussitôt suivi de ceux du curé.Je vois le carcan s’ouvrir mais je suis incapable de bouger. Amélie m’aide à me relever puis me prend dans ses bras.
— Excuse moi petite sœur, j’étais folle de rage contre toi. Je n’avais pas compris que tu avais fait ça parce que tu m’aimais. Maintenant nous sommes quittes, et je compte sur toi pour m’aider à donner une bonne leçon à Charles-Henry.
Tellement heureuse que mon supplice ait pris fin, je lui réponds malicieusement :
— Ce sera avec un grand plaisir Amélie.
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