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Liliane, mère dévouée

Chapitre 18

Le réveillon

Inceste
Comme chaque dimanche avant le repas, Laeticia et Vanessa sucent leur cousins pendant que leur mère s’occupe du curé dans la sacristie. C’est une excellente façon de rapprocher nos deux familles restées si longtemps éloignées.J’ai réussi à persuader Amélie qu’il fallait dégorger les hommes au moins une fois par semaine afin d’éviter certaines maladies. Je ne sais pas si elle m’a vraiment cru ou si cela lui donne un prétexte pour sucer ses grands garçons, toujours est-il qu’elle s’est empressée de mettre ce traitement préventif en application.Ma sœur a cependant la bouche un peu plus grande que le ventre. Il faut reconnaitre que s’occuper de ses grands garçons, de son époux et du curé ( sans oublier de temps en temps son beau-frère, c’est à dire mon mari) est un sacré challenge. C’est pour cette raison que je lui ai proposé que mes deux filles prennent en charge ses sept  fils lors de nos réunions dominicales. En fait, je devrais dire six car c’est toujours Amélie qui se charge de Pierre-Antoine. Je pense qu’il doit surement avoir une anomalie au niveau de ses bijoux de famille ou quelque chose de ce genre, mais je n’ai jamais osé en parler avec ma sœur de peur de la vexer.
Je regarde avec tendresse Laetitia et Vanessa. Elles sont chacune en train de terminer leur dernier patient. Elles sont très organisées et font mettre leur cousins en deux colonnes de trois. Quand à elles, assises cote à cote sur le canapé du salon, elles extraient les queues des pantalons au fur et à mesure avant de la faire disparaitre dans leur bouche. Elles sont parfaitement synchronisées et les garçons jouissent quasiment en même temp. Je pense que c’est d’ailleurs un jeu entre elle. Le cycle recommence ensuite avec les deux suivants et ainsi de suite. Du vrai travail à la chaine.
Mes filles reçoivent chacune leur troisième rasade de sperme peu avant le retour d’Amélie, et Laëtitia vient ensuite le voir.
— Maman. Le fait de sucer toutes les semaines mes cousins m’a donner une idée.— Ah oui, tient donc. Qu’as tu derrière la tête?— Et si on faisait une méga PARTOUZE en famille pour fêter le nouvel an? Ce serait super pour resserrer les liens de famille.— Mais c’est une idée géniale mon bébé.— Merci maman. Et j’ai déjà pensé à la façon dont on pourrait faire.Ce qui serait bien, c’est que les filles sucent les garçon toutes ensembles afin de les faire jouir aux douze coups de minuit.— En effet ce serait l’idéal, mais ce n’est pas possible. Il y a beaucoup plus de garçons que de filles. Compte avec moi : coté garçons  les sept fils de ta tante Amélie, son mari, tes cinq frères, ton père et papy. Cela fait donc quinze.Et coté fille  Mamie, Amélie, toi, moi et Mathias. Tu es d’accord avec moi pour compter Mathias parmi les filles?— Evidemment maman.
— Bien. Cela fait donc cinq filles pour quinze garçons, c’est beaucoup trop. Oh mais non même pas, j’ai oublié le curé. Amélie l’invite tout les ans pour le réveillon. Cela fait donc seize hommes.
Laeticia réfléchit.
— Et si les filles se faisaient également enculer pendant qu’elles sucent?— Je pense qu’on n’aura pas le choix, mais il reste encore six garçons en trop. Il faut qu’on trouve des solutions pour réduire l’écart. J’ai une idée. On pourrait déjà éliminer Papy et ton père. Ils bandent mou et on n’arrivera jamais à les faire jouir en même temps que les autres. Ca ne ferait plus que quatorze queues.— Oh oui maman, c’est une bonne idée. On s’occupera d’eux plus tard.— Oui, mais je pense qu’il faut aussi éliminer ta grand-mère. Elle a presque 80 ans et elle aurait du mal à suivre le rythme. Et puis de toute façon il faudra quelqu’un pour veiller à ce que toutes les filles travaillent bien en rythme. Une sorte de chef d’orchestre en somme. Avec son expérience, mamie serait parfaite dans ce rôle.Le problème est qu’il ne reste que quatre filles pour quatorze garçons. Il en faudrait trois de plus.— On a qu’a demander aux petites copines de Denis et de Frederic, propose Laeticia. Je suis sure d’arriver à les convaincre. Et puis je sais qu’Edouard, l’ainé de tante Amélie, a également une petite copine. Elle pourrait faire la 7eme.— Marie-Thérèse? Il l’a rencontrée lors d’un pèlerinage à Lourde. Ca m’étonnerais qu’’elle accepte..— Et pourquoi pas maman? Tu as bien réussi a décoincer Tata Amélie. C’est même surement elle la plus dévergondée d’entre nous maintenant.— Oui c’est vrai, tu as encore raison mon bébé.
Je réfléchis quelques instants.
— Bon. Il faut qu’on fasse une sorte de plan de table pour organiser qui va avec qui.— Tu veux plutôt dire un plan de "cul" maman.— Voyons Laeticia. Un peu de tenue, tu parles à ta mère tout de même.
Nous partons toutes les deux dans un fou rire.
— Bon soyons sérieuses maintenant, on va faire un tableau sur Excel.Dans la première colonne, on mets les noms des filles. Dans la seconde, noté B comme Bouche, on mettra les noms des garçons qui se feront sucer. Et dans la troisième,...— Notée C comme CUL me coupe ma fille. On mettra les noms des garçons qui vont nous sodomiser.C’est génial maman! Je vais d’aider à le remplir. Comme ça quand Amélie sera là, on lui demandera ce qu’elle en pense.
Quelques heures plus tard...
J’ai hâte d’exposer notre projet à ma sœur, et je me dépêche d’envoyer nos hommes faire la vaisselle dès la fin du repas.
— Viens voir Amélie. Je voudrais te parler d’une idée qu’a eu Laeticia.
Je lui explique en quelques mots de quoi il s’agit.
— Mon Dieu Laeticia, c’est toi qui a imaginé ça? Mais tu es encore plus salope que ta mère et ta tante réunies!— Merci Tata, tes compliments me font très plaisirs. Alors tu es d’accord?— Si ça peut faire plaisir à ma chère nièce. C’est d’accord!— Oh merci. Si tu savais à quel point je suis contente. Et puis tu sais maman a pensé à toi, elle compte inviter le curé!
Laeticia et sa tante sautent dans les bras l’une de l’autre, et je dois interrompre leurs effusions pour pouvoir poursuivre.
— Il a cependant quelques problèmes à régler. En effet nous ne sommes pas assez de filles, même avec Mathias.Laeticia et moi allons nous charger de convaincre mes deux belles-filles ( les vraies!), mais il en manquera encore une. Il faudrait donc arriver a convaincre également ta propre bru.— Marie-Thérèse! Pas de problèmes, je m’en charge.— Je te trouve bien optimiste Amélie. Il me semble qu’elle et ton fils se sont connus à l’occasion d’un pèlerinage. Tu crois vraiment que tu vas réussir à lui faire pratiquer une fellation et a se faire sodomiser, surtout devant toute la famille?— Et bien justement. Si elle veux s’intégrer dans notre famille, il faudra qu’elle se plie à nos usages.Mais ne t’inquiète pas. J’emmènerais Marie-Thérèse se faire confesser, et je suis sure que le père François trouvera les arguments pour la convaincre. Ses sermons sont toujours de très bonne qualité!— Ha ha oui, j’en sais quelque chose. En tout cas tant mieux, tu m’enlèves une sacrée épine du pied.Puisque le problème des effectifs féminins est résolu, je vais te montrer le plan de Cul, enfin je veux dire de Canapé, que Laeticia et moi avons conçu.
Amélie scrute le tableau.
— Qu’en pense tu?— Pourquoi tu as appelé tes colonnes "B et C". Tu ne pouvais pas prendre "A et B" tout simplement?— Non. La lettre A comme "animatrice" était déjà pris pour maman. C’est elle qui sera chargée du rôle de chef d’orchestre.— Ah d’accord c’est pour ça, je comprends.
Amélie reprend son étude du plan de C, et trente secondes plus tard.
— Je vois que tu as choisi Charles-Henry pour aller dans ta case B. Tu as envie de gouter de nouveau à ton beau-frère à ce que je vois.— Je l’avoue Amélie. Sa queue est tellement délicieuse.— Tu es vraiment une petite coquine Liliane! Mais c’est d’accord, je te dois bien ça.
Amélie continue à examiner la colonne B.
— Ca m’a l’air parfait tout ça, voyons maintenant la colonne C. Ah, je pense qu’il va y avoir un petit problème.— Quoi donc?— Tu as mis mon fils Pierre Antoine dans le C de Laeticia.— Et alors ?— Vois-tu, Pierre Antoine a une particularité un peu spéciale.
Ma curiosité est piquée au vif, je vais enfin s’avoir.
— Ne le répète à personne, mais il est monté comme un taureau. Il m’est absolument impossible de prendre son sexe en entier dans la bouche. C’est tout juste si j’arrive à faire entrer le gland.— A ce point?— Et oui. Je ne voudrais pas qu’il envoie ta fille à l’hôpital.
Laeticia saute sur cette occasion pour intervenir.
— Tatie. C’est pour ça que tu ne voulais pas que ce soit moi ou Vanessa qui le sucions?— Oui ma chérie.
Je pose mes mains sur le clavier de l’ordinateur.
— Ce n’est pas grave, on va arranger ça en quelques clics.Bon, j’enlève Pierre-Antoine du C de Laeticia, et à la place elle aura Henry.Il n’y a pas de problème avec lui?— Non, aucun.— Parfait. Donc...., et bien c’est Mathias qui va se prendre la grosse B de P.A dans le C.
Ma sœur me regarde l’air perplexe.
— Excuse moi Liliane, mais avec toutes les lettres que tu utilises, je n’ai rien compris!— Amélie, je disais simplement que je plaçais ton fils Pierre Antoine dans la colonne C en face de Mathias. C’est plus clair maintenant?— Ah oui, que je suis sotte! Mais tu penses qu’il va être d’accord?— A parce que tu crois peut-être que je vais lui demander son avis? Et puis, il ne me semble pas utile de le prévenir. Ca lui fera une surprise !
Ma sœur et moi éclatons de rire. Seule Laeticia ne partage pas notre enthousiasme.
— Mais enfin maman. Pierre-Antoine risque de lui faire du mal.— Tu as peur pour ton amoureux, et c’est bien normal. Mais ne t’inquiète pas, avec tout ce qu’il se prends dans la case C au bureau, il a l’anus bien dilaté.Et puis ça lui fera du bien en de s’habituer à un très gros calibre. Il arrive en effet que nous ayons des clients Africains.
Amélie éclate de nouveau d rire.
— Liliane! Tu es vraiment insupportable. Le pauvre garçon, c’est ton gendre tout de même!— Raison de plus pour qu’il se fasse enculer par Pierre Antoine. Faire partie de notre famille, cela se mérite!
Les semaines passent et le jour tant attendu est enfin arrivé. J’ai tellement été occupée ces derniers temps que j’ai malencontreusement "oublié" de prévenir Mathias de ce qui l’attendait. Amélie quand à elle, a réussi à convaincre sa bru à l’aide du curé et tout s’annonce pour le mieux.Nous sommes donc tous réunis pour la soirée du réveillon. Les hommes se sont occupés du repas, ce qui est la moindre des choses. Ils vont toutes nous fourrer dans peu de temps, et ils pouvaient donc bien s’occuper de fourrer la dinde!Je préviens mes lecteurs! Le premier qui dit "une de plus ou de moins cela ne changera pas grand chose" va se prendre mon escarpins dans les couilles! Prenez garde, je chausse du 41 et je vise très bien. Demandez à mon mari si vous ne me croyez pas.Ou en étais-je? Ah oui, au fourrage des dindes! Non, ça se sera à minuit.Bon, trêve de plaisanterie. Après avoir bien mangé et bien bu, nous sommes tous et toutes très émoustillés. Tout le monde a hâte d’entendre les 12 coups de minuits. Quand au femmes, elles ont surtout hâte de les sentir entre leur fesses.
23H30. Ma mère claque dans ses mains.
— Mesdemoiselles, il va falloir commencer à se mettre en place. Messieurs, si vous aviez l’amabilité de placer les canapés comme il faut pour que vos partenaires puissent se positionner.
Se référant au plan de "cul" que ma fille et moi avons définis, maman fait mettre toutes les filles à genoux sur les canapés. A son signal, chacune d’entre nous retire sa culotte que nous jetons toutes en cœur dans la salle, puis relève sa robe au dessus de ses reins afin de bien exposer son fessiers. Ma mère passe rapidement devant nous et dessine à chacune une belle bouche à pipe rouge écarlate.
— Une petite photo avant de commencer!
Alors que toutes les filles tendent les lèvres vers l’objectif, je me tourne afin de présenter mon derrière.Maman fait semblant de se fâcher.
— Liliane! Il y en a qu’une qui fait sa salope, et évidemment c’est toi. Et bien tant pis, ton cul sera sur la photo à la place de ta bouche.— Ca na pas d’importance, de toute façon on ne voit pas la différence. Les deux se prennent autant de bites l’une que l’autre! Déclare ma sœur en riant.— Non mais dit dont Amélie! Je te trouve bien dévergondée ce soir lui dis-je sur un ton faussement indigné. C’est la perspective de te faire enculer par le curé qui te rends d’humeur si badine?
Nous éclatons toutes de rire.l’ambiance est survoltée et ma mère s’agite.
— Bon le temps presse, il est 23H40. Messieurs en place, vous avez tous devant votre assiette un carton d’invitation portant une lettre et le nom d’une demoiselle. Ceux dont le carton porte la lettre C doivent se présenter derrière la personne nommée sur le papier. Les autres avec la lettre B se mettent en position devant leurs lèvres.Allons allons, dépêchons. Vous êtes assez grand pour vous déshabiller tout seuls. Ce n’est pas que je n’aimerais pas le faire, mais j’ai du travail!
En bonne chef d’orchestre, maman passe rapidement auprès de chaque garçon C afin de leur enduire copieusement la queue de gel lubrifiant. Elle en profite pour en tartiner également l’anus de toute les filles puis continue à donner ses consignes.
— Il est 23H45. A mon top, on enfourne des deux cotés.
On se croirait à Cap Canaveral avec toutes ces queues dressées prêtes à décoller.Maman donne d’ailleurs le compte à rebours comme s’il s’agissait du lancement d’une fusée :
— 10-9.......3-2-1 ENCULAGE!
Au même moment sept bites s’enfoncent d’un coup dans autant d’anus. Les cris de douleurs des demoiselles sont étouffés par les queues qui pénètrent au même instant entre leurs lèvres.Il n’y a guère que les hurlements de Mathias qui se distinguent du brouhaha général, tandis que Pierre Antoine pousse comme un dingue pour faire entrer sa queue. Il faut dire que mon gendre a une grande gueule et que la bite qu’il a dans la bouche n’est pas très grosse comparée à celle qui pousse contre son anus!Sa rosette cède enfin et Pierre Antoine le pénètre d’un coup.
— Et un! Et deux...
Ma mère donne la cadence afin que tout le monde suive le même rythme. Le but étant que toutes les queues déchargent en même temps, il faut un peu de discipline.Elle tourne autour des canapés tout en prodiguant conseils et encouragements. 
— Allez, allez! Il faut garder le rythme!
Arrivée à mon niveau, elle voit que mon neveu s’excite comme un vrai malade dans mon cul.
— Doucement Pierric! Ce n’est pas une course de vitesse. A l’allure ou tu encules ta tante, tu ne va jamais tenir jusqu’à minuit!— Désolé Mamie. Les fesses de tata Liliane sont tellement bandantes.— Oui je sais elle tient de moi, mais ce n’est pas une raison pour perdre tout contrôle.Et toi Liliane tu ne peux pas surveiller ton neveu, tu ne vois pas qu’il est sur le point de jouir? Passe encore qu’un quasi puceau comme lui ne sache pas se retenir, mais une grand fille expérimentée comme toi. Franchement tu me déçois.
C’est la meilleur, je me fais réprimander par ma mère comme une petite fille. Je me revois 30 ans en arrière quand elle m’a apprise à sucer papa.
— Han Han Han. Che fais... che que... je peux maman.— Pour commencer on ne parle pas la bouche pleine, espèce de petite malpolie! C’est comme ça que je t’ai élevée?  Et puis depuis le temps tu devrais savoir comment calmer les ardeurs d’un jeune male en rut. Mais bon à ce que je vois, maman va encore devoir te faire une démonstration.
Pierric pousse un cri et s’arrête net. Ma mère a attrapé ses couilles à pleines main et les a serrées dans sa paume.
— Un petit brouillage des œufs. Rien de tels pour faire débander un homme!Tu le sais bien pourtant, tu l’a déjà fait souvent. Maman sait que tu adores enfoncer tes ongles dans les testicules de tes amants!
( Oui, c’est vrai j’adore planter mes ongles pointus dans les couilles de mes soumis, surtout celles de mon mari. Mais ce n’est pas pour les faire débander, c’est juste pour le plaisir de les voir souffrir.)
— Oui maman, excuse moi.— Bon et bien ne reste pas planter comme ca. Attrape moi les couilles de ton neveu. J’ai d’autres paires à m’occuper.
Tout en continuant à pomper la bite de mon beau frère, je glisse une main en mes cuisses et attrape le paquet de Pierric. Du bout des ongles, je l’incite à continuer de me limer l’anus tous en veillant à ce qu’il ne s’emballe pas de nouveau.
Maman poursuit son inspection et est maintenant à coté de Mathias qui a le visage complétement crispé. La queue de Pierre Antoine est tellement grosse que les coups qu’il prend dans le cul lui tirent les larmes des yeux.  Il me fait pitié le pauvre, mais ma mère par contre n’éprouve pas la moindre compassion.
— Alors Mathias, ca va comme tu veux?
Le malheureux, il pleure comme une madeleine tandis que son cousin s’active sans retenue. Heureusement que ses cris sont étouffés par l’autre bite qu’il a dans la bouche.
— Et oui je sais, ça fait mal. Mais comme on dit, c’est le métier qui rentre! 
Maman éclate de rire avant d’ajouter.
— Vois le bon coté des choses. Après cette soirée, tu pourras te faire pénétrer par n’importe quel bite quelque soit sa taille. Ca te sera très utile dans ta carrière professionnelle.
Mathias gémit toujours, mais maman continue de lui parler comme si de rien n’était.
— Un petit conseil de connaisseuse. Serre les dents et ouvre les fesses! Ah et puis, j’allais oublier. Tu remercieras ta belle mère, c’est elle qui a décidé de te coller la queue de Pierre Antoine dans le fion!
Ma mère s’adresse maintenant à ce dernier. Au contraire de Mathias, il a le sourire jusqu’aux oreilles pendant qu’il s’active.
— Et bien PA, ton enthousiasme fait plaisir à voir. Je constate que tu prends beaucoup de plaisir à défoncer la rondelle de ton cousin par alliance.— Oh oui mamie, surtout que c’est la première fois. Maman m’a toujours interdit de sodomiser mes cousines de peur que je ne les envoie à l’hôpital. Elle ne veut même pas qu’elles me sucent!
Ma mère s’adresse à ma sœur d’une voix pleine de reproches.
— Mais enfin Amélie, qu’est ce que j’apprends! Ce pauvre garçons n’a jamais eu l’occasion de casser un cul?
Amélie baisse les yeux tout en pompant le nœud qu’elle a en face d’elle, c’est à son tour de se faire gronder comme une petite fille.Maman s’adresse de nouveau à Pierre Antoine.
— Mon pauvre petit. A partir de maintenant tu viendras voir ta mamie. Elle va bien s’occuper de toi.
Puis elle reprend son inspection en prodiguant conseils et encouragements. Régulièrement sa main caresse une paire de couilles ou son doigt s’enfonce dans un anus.Pendant que tous les garçons liment un cul ou une bouche, mon mari et mon père regardent avec envie. Cela a été difficile de leur faire comprendre que nous étions pas assez nombreuses pour nous occuper d’eux. Pour les convaincre, nous leurs avons promis que toutes les filles les feraient jouir juste après. Nos langues ont encore du travail devant elles.
Les minutes passent à toute vitesses et bientôt maman entame un nouveau compte a rebours.
— Attention, c’est parti 10, 98, 8.....5, 4, 3, 2 1 .
Tout les garçons crient en cœur "BONNE ANNEE".A peine une seconde plus tard, Je sens la semence chaude de Pierric se déverser dans mes entrailles. Mon neveu a le sourire jusqu’au oreille, il est fier d’avoir baiser le cul de sa tante comme un dieu.
— Bonne année tata me redit il à l’oreille tout essoufflé.— Bonnffe A.... 
Je voulais moi aussi lui souhaitez la bonne année bien que j’ai la bouche pleine, mais ce petit salaud de Charles Henry est parfaitement synchronisé. Les douze coups de minuit ont à peine retentis qu’il décharge au fond de ma gorge. Le contenu de ses couilles gicle d’un coup comme un torrent et c’est une véritable vague de foutre qui envahit ma caverne buccale jusqu’au palais. Heureusement que j’ai l’habitude de maitriser les flots tumultueux car sinon je crois que je me noierais!
— Bonne année ma chère belle sœur! Me dit-il en riant.
Je dois avaler tout son foutre avant de pouvoir lui répondre :
— Bonne année à toi aussi beau frère.

FIN du premier cycle
( PS : j’ai quelques idées d’autres épisodes mais il traite du tempérament sadique de Liliane qui transparait dans certaines de mes histoires. C’est du SM, mais si certains apprécie qu’ils n’hésitent pas à me le dire auquel cas je développerai cet aspect )
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