Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 70 J'aime
  • 5 Commentaires

Lilou à la Biocoop

Chapitre 2

Hétéro
Il sourit, diabolique ; elle ne sera pas déçue. Inquiète sûrement, certaines sont même carrément horrifiées ; parfois des filles qu’il avait levées se sont rhabillées en courant vars la porte. Il espère qu’elle acceptera de rester et de l’essayer. Il jure intérieurement car la voir si belle et si vulnérable le fait bander encore plus. Il abaisse son jean jusqu’aux genoux puis en sort les pieds avant de se redresser, vaguement inquiet mais pas moins excité pour autant. La bouche de Lilou s’arrondit, ses sourcils blonds s’arrondissent, ses yeux verts s’arrondissent.
— Ouf ! Ben, dis donc… Je ne savais pas que ça existait, des engins pareils !
Lilou avait admiré ses épaules larges, son torse puissant, ses abdos bien dessinés ; un super beau mec, mais là elle est époustouflée. Elle n’a jamais vu une verge si grosse. Non pas qu’elle ait eu une foule d’amants, mais quand même... Les... cinq hommes qu’elle avait connus charnellement étaient bien loin d’être pourvus aussi généreusement par dame Nature. Elle ressent alors une vague appréhension en même temps qu’une bouffée de chaleur à l’idée de ce membre pénétrant son sexe, sa bouche, son... Car elle a bien compris que Patrick est un jouisseur, un dominant même, et qu’il va vouloir la prendre par tous ses orifices. Sa poitrine devient lourde et douloureuse, son ventre se liquéfie ; elle mordille sa lèvre inférieure puis sourit.
— Je peux approcher pour voir la bête ? Elle est impressionnante ; mais tu dois le savoir...— Oui aux deux questions ; viens, montre-moi qu’une végétarienne sait s’occuper d’un gros morceau de viande...— Personne ne s’est plaint de moi depuis longtemps, je t’assure ; mais là... Je vais voir de plus près...
Elle rampe vers lui en ondulant et se retrouve bien vite avec le gland sombre devant les yeux. Elle ne peut s’empêcher de siffler entre ses dents, se demandant si elle pourra avaler ce pieu ; il est particulièrement épais, en proportion avec sa longueur. Elle le saisit d’une main, l’autre soupesant le scrotum velu, lui aussi king-size. Quelques coups de langue sur le gland à l’intense goût salé et musqué, puis elle ouvre grand et le gobe. Elle pompe fort, humecte de salive le fût en l’avalant sur dix bons centimètres : elle est bien loin du pubis, elle s’en rend compte. En général, elle arrive à avaler sans problème toute la verge de ses partenaires, mais cette fois elle a un doute devant l’obstacle.
Elle prend son temps, pompe fort, ses joues creusées témoignant de son aspiration puissante, avance encore, recule, repart lentement en avant... Ses mâchoires s’écartèlent un peu plus car la queue est plus épaisse encore vers la base. Elle caresse encore les lourdes couilles, les griffe légèrement de ses ongles affûtés, déglutit à nouveau pour faire passer le gland dans sa gorge. Ses lèvres avides avancent sur la colonne épaisse et elle érafle de ses dents la tendre peau, arrachant un gémissement à Patrick. Sa langue caressante et agile s’active ; elle avance bravement, respirant à peine. Enfin ses lèvres purpurines enserrent la base, plongées dans la toison pubienne, les commissures douloureuses d’être trop béantes. Ses yeux verts pétillent en se fixant à nouveau dans ceux de Pat ; elle lui fait un clin d’œil puis tire la langue pour lécher le scrotum avant de reculer enfin pour respirer.
— Ouf ! J’ai cru ne pas y arriver…— Et moi, j’ai cru ne pas pouvoir me retenir, je ne voulais pas…— J’adore avaler du sperme. Le tout est de faire ça avec quelqu’un de confiance.— Je suis clean, j’ai fait un test sanguin le mois dernier, et depuis…— Dans ce cas… Je suis clean aussi, et j’aimerais te boire.— Tu es végétarienne pourtant ; le sperme…— Si j’ose dire, c’est un produit animal, comme le lait ou les œufs ; donc pour moi ça va. Si j’étais végane, par contre...— C’est quoi ça ?— Des végétaliens purs et durs, et pour eux pas question d’avaler de sperme. Moi, pas de souci...
Elle rit puis engloutit littéralement toute la verge en quelques secondes, la pompe et déglutit pour la masser en profondeur, ce qui fait gémir Patrick. Elle recule à nouveau, essoufflée mais ravie, et aspire un filament de salive qui relie ses lèvres au gland. L’épaisse colonne de chair brune est brillante et humide. Elle l’avale encore et se colle au ventre dur, arrachant un cri au grand brun quand elle mordille la base ; il ne peut plus se retenir et jouit bruyamment et bloquant la tête de Lilou. Qui ne cherche pas à s’échapper, heureuse de sentir l’éjaculation importante directement dans son œsophage.
Puis elle se lève, respirant fort, et vient embrasser Patrick qui l’écrase contre son torse musclé.
— Waou ! Tu as été géniale, Lilou ; je ne crois pas avoir rencontré une fille qui m’ait essoré aussi bien.— Merci ; je n’étais pas sûre d’y arriver, tellement tu es épais et long. Mais j’adore voir les yeux de mon partenaire quand je suis tout au bout...
À présent nus tous les deux, ils s’embrassent et se caressent fiévreusement. Leurs corps s’embrasent à nouveau, elle gémit quand il écrase son ventre en fusion contre sa virilité renaissante. Il plonge sa langue dans la bouche consentante, aspire sa lèvre inférieure et la mordille. Elle geint et plante ses ongles dans ses fesses pour écraser sa verge imposante contre son ventre doux. Leurs fluides se mélangent et les rendent ivres de plaisir. Il se recule et la contemple, émerveillé de sa beauté et du désir primal qu’il lit sur son visage. Puis il plonge deux doigts dans le vagin de la jeune femme : il est trempé et torride. Elle le supplie :
— Prends-moi, tout de suite, je t’en supplie...— Tu vas mener la danse...
Il s’allonge sur le lit, la tête posée sur deux oreillers juxtaposés ; ses yeux sombres dévorent Lilou alors qu’elle l’enjambe et guide la verge au centre de sa fente. Elle s’empale en gémissant, il voit ses cuisses qui tremblent, son ventre qui se creuse, affolé.
— Tu es si étroite, ma belle, si étroite... Va doucement.
Elle le veut en elle à fond mais doute de sa capacité. En effet, son gland bute contre le col de l’utérus et elle se crispe sous la douleur soudaine. Elle doit se rendre à l’évidence : elle n’est pas assez profonde pour son engin de concours. Elle monte et redescend, son bouton roule voluptueusement contre le fût de chair et lui arrache des roucoulements. Il caresse la poitrine qui danse devant lui, pince les aréoles et sent le vagin se contracter sur sa queue.
— Continue, ma belle, fais-toi du bien…— Désolée, mais je n’arrive pas à te prendre.— Tu verras, je te sodomiserai. Et là, je te la mettrai toute, jusqu’aux couilles. Tu as déjà fais ça ?— Mon ex l’a fait quelques fois et il m’a fait mal. Mais je sais qu’avec toi ce sera différent.— Oh, tu auras un peu mal, mais tu y prendras aussi du plaisir. Mais il faut te préparer avant ; je dois bien avoir quelque chose…
Après quelques mouvement ondulants et langoureux du bassin, Lilou se soulève et s’allonge sur le lit en adressant un sourire d’encouragement à son amant. Il quitte la pièce puis revient avec un pot de lubrifiant, un sourire triomphant aux lèvres. Sans un mot, elle s’agenouille dos à lui et lui présente ses fesses. Il verse dans sa paume une grosse noix de produit qui se présente comme un gel translucide, qu’il étale soigneusement sur l’anus avant de le faire pénétrer avec un doigt. Lilou est serrée mais essaie de se décrisper, et rapidement Patrick place son index en sus du majeur sans qu’elle proteste.
À nouveau les muscles anaux enserrent fortement les phalanges en contractions répétées avant de s’habituer ; Lilou soupire mais reste bien offerte. Il ajoute du lubrifiant et continue ses mouvements, caressant la vulve maintenant avec son autre main, massant le clitoris, ce qui arrache de nouveaux gémissements à la jeune femme. Patrick retient un grondement en admirant cette superbe femme offerte et confiante qui s’offre à lui. Sa verge lui fait mal tellement elle est gorgée de sang.
Mais il continue à assouplir l’œillet qui lui est promis. Il joint l’annulaire et pousse ses doigts en triangle ; Lilou geint et frémit mais reste offerte. Là, c’est Patrick qui gémit devant l’offrande faite par cette femme qu’il ne connaissait pas quelques heures plus tôt. Pourtant, il lui semble la connaître depuis toujours, il lui semble qu’elle est une partie de lui, il lui semble qu’il la cherchait et qu’enfin il l’a trouvée ; il embrasse amoureusement la fesse gauche et elle gémit.
— Viens, je t’en supplie ; prends-moi, je n’en peux plus.— Je ne veux pas te faire mal…— Je te veux en moi, vite…Ouch !
Il a remplacé ses doigts par son gland lubrifié et l’a enfoncé ; les sphincters se resserrent et l’emprisonnent un instant, mais il peut s’engouffrer lentement, attentif aux gémissements de Lilou. Pas un instant elle ne se refuse : au contraire, elle se tend vers lui, se cambre et s’offre. Patrick pousse un véritable rugissement en donnant un coup de reins qui le propulse bien à fond ; son pubis claque contre les fesses tendues. Il recule et s’extrait presque entièrement, mais Lilou proteste et remue en arrière, s’empalant avec un râle de plaisir.
Dès lors Patrick ne peut se retenir. Il saisit les hanches de son amante et la besogne vigoureusement ; la sueur ruisselle sur son torse et inonde le dos pâle de la blonde qui gémit et prononce des mots sans suite d’une voix rauque. Ses coups de boutoir sont violents mais la coquine l’encourage, tournant la tête vers lui pour lui lancer des baisers tremblants ; ses yeux pleins de larmes sont voilés par la montée du plaisir, ses pommettes rougies. Ils crient en même temps et s’écroulent sur le lit, étroitement chevillés, la respiration lourde et le cœur battant à rompre.
Plus tard, après une douche câline, ils dorment enlacés pour la première fois.Au petit matin, Patrick s’éveille et s’étire. Son bras tâte l’oreiller, le lit : vide. Elle est partie.Ce n’est pas la première fois qu’une conquête s’enfuit avant le petit matin, loin de là. Mais c’est la première fois qu’il en est chagriné ; il a tant de choses à lui dire, à lui faire, à lui donner…
La porte d’entrée s’ouvre et Lilou entre, un sac en papier fleurant bon les viennoiseries à la main. Ses yeux pétillent de joie en le voyant.
— Ah, tu es réveillé ? Un vrai loir ! J’ai léché ta bite tout à l’heure : aucune réaction. Alors je me suis dit que l’odeur de croissants chauds…— Bonjour, jolie bonde coquine… Tu vois, les croissants me font de l’effet.
Il écarte le drap et dévoile une monstrueuse érection qui arrache un gémissement de plaisir anticipé à la jeune femme. Elle pose les croissants sur la table de la cuisine et se déshabille rapidement sans quitter Patrick des yeux.
— Avant ou après le petit déj ?— Patrick chéri, tu ne vas pas commencer à chipoter : je te propose avant ET après !— Tenu !
*****
Il arrive un peu tard au bureau, sous l’œil intéressé de Dominique.
— Alors, tu avais une nouvelle fille dans ton lit ? Pas celle de l’annonce, quand même !— Simple panne de réveil en l’occurrence.
En fait, si elle ne peut le voir ce soir pour cause de cours de Qi Gong, elle l’a invité pour le lendemain soir. Et comme ce sera vendredi, elle a insisté sur le fait qu’il pourrait rester autant qu’il le souhaitait.
— Tu viens quand tu veux après le travail et je serai à toi autant que tu veux, pour le temps que tu voudras, lui avait-elle expliqué.— Pour le temps que je voudrai ? Je crois que je ne serai pas rassasié de toi avant bien longtemps…— Je ressens la même chose, tu sais. Je te connais à peine, et pourtant...
Patrick n’a pu arriver qu’à 19 heures chez Lilou ; par l’interphone, elle lui lance :
— Bonjour, toi ! Je t’ouvre en bas, tu montes au troisième et c’est la porte à droite. C’est ouvert, tu entres sans sonner. Capito, signore ?— Jawohl, mein fraulein !
Quand il entre, il croit défaillir de bonheur : Lilou ne porte qu’un corset blanc qui rehausse sa jolie poitrine ; des bas blancs autofixants gainent ses jambes superbes mises en valeur par des escarpins rouges à talons aiguille. Elle lui sourit, un peu nerveuse, ne sachant si sa tenue osée va le choquer ou non. Elle est vite rassurée par le sourire qui illumine sont visage. Elle se jette dans ses bras et ils s’embrassent éperdument en gémissant sous l’afflux si intense et soudain du désir charnel.
— Jamais tu ne vas pouvoir finir de faire la cuisine.— M’en fiche : fais-moi l’amour, je t’en supplie...— Lilou, j’ai faim, moi !— Tu n’auras rien à manger tant que tu ne m’auras pas baisée, je te préviens.— Pfff ! Le règlement est vachement strict dans cette maison.— Oui. Comme dit ma tante auvergnate, c’est à prendre ou à lécher !— Bon ; dans ce cas, je vais te prendre ET te lécher !
Ils mangent tard, après une douche qui a failli dégénérer ; il est épuisé, elle a le ventre endolori des assauts répétés et puissants de son amant. Et pourtant, après une longue promenade dans les rues de Paris ponctuée de baisers tendres et de caresses, de discussions à voix basse sur leur vie, leurs espérances, leurs craintes, ils reviennent dans l’appartement de Lilou et se déshabillent lentement, les yeux dans les yeux. Il bande comme un cerf ; elle est trempée, la cyprine ruisselant à l’intérieur de ses cuisses
— Tu vas me faire jouir ?— Je vais te faire mourir de plaisir, Lilou. Avec ma bouche, avec mes doigts et avec ma bite.— Si tu meurs avec moi, d’accord. Je ne veux plus te quitter.
*****
Lundi matin, 9 heures.Dominique entre dans le bureau de Patrick qui lui tend sans rien dire un billet de 500 Euros tout craquant.
— Tiens, pour le pari. J’ai perdu.— Il te reste dix jours, idiot !— C’est fini, je ne joue plus. J’arrête, donc je te paie.— Je ne comprends pas ; elle est trop moche ?— C’est la plus belle femme du monde, au contraire.— Là, je comprends plus. Tu n’as pas essayé de la sauter ?— Si ; nous avons bu un verre à l’Argentin, et… et… j’ai arrêté de jouer. Je suis tombé amoureux.
Dominique part pour une remarque sarcastique et s’arrête en voyant l’air lunaire, apaisé, de son ami. Il se demande comment le sortir de cet état qui l’inquiète un peu.
— Et elle, elle… t’aime ?— Oui, elle m’aime. Je ne le mérite pas, mais elle m’aime.— Tu lui as dit, pour le pari, tout ça ? s’étonne Dominique.— Oui, elle sait tout.— Et… elle t’a pardonné ?— Demande-lui : elle est derrière toi.
Diffuse en direct !
Regarder son live