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Lily, la meilleure des frangines

Chapitre 3

Lesbienne
3 Heureuse initiative Maman venait de nous appeler en visioconférence, comme chaque matin à 11 heures précises. Merci l’absence de décalage horaire avec l’Afrique du Sud, ça nous laissait le temps de nous rendre présentables, irréprochables devant l’objectif de la caméra haute définition connectée à l’ordinateur comme une webcam. Sans la possibilité de garder un œil sur nous malgré la distance, jamais elle n’aurait pris six semaines de vacances pour passer du temps avec le père de Lily, fonctionnaire à l’ambassade de France de Pretoria. Il en restait cinq, on entendait profiter de notre liberté jusqu’au bout.– Tu viens ? J’ai besoin de toi.Je suivis la frangine jusque dans la salle de bain où elle se débarrassa de l’ample tee-shirt de nuit avant de vérifier l’état de ses aisselles. Pour la première fois, je ne la voyais pas grimacer devant son reflet, peut-être un début d’acceptation. Elle posa un pied sur le bord de la baignoire.– Faut désépaissir tout ça, tu pourras m’épiler entre les fesses après ? J’arrive jamais à voir si c’est bien fait.Ça aussi c’était nouveau, chacune s’occupait de son intimité d’habitude. Maintenant, après ce qu’on avait partagé mercredi, j’aurais été ingrate de lui refuser ce petit service, et comment m’interdire d’approcher son minou d’aussi près. Je la devançai pour lui prendre la paire de ciseaux des mains.– Je vais m’occuper du devant aussi.– Essaie de m’en laisser un peu, pouffa Lily amusée.Évidemment, les poils faisaient la femme à condition de les entretenir un minimum, au moins de ne pas les laisser dépasser partout ; je m’attaquai en priorité au bas-ventre, le plus facile d’accès. Après la touffe, les choses sérieuses, la frangine me présenta l’abricot entre ses cuisses largement écartées. Ma position n’avait rien de celle d’une esthéticienne, tant pis, j’entrepris de dégager le fruit dodu, ne laissant qu’un voile fin car je trouvais que c’était plus joli comme ça.Merde ! Je restais là, le nez à quelques centimètres de la fente de Lily, en train de baver d’admiration, qu’est-ce qui me retenait de l’embrasser, d’y mettre la langue, elle ne me repousserait peut-être pas. Trop intimidée, je me contentai de brosser les poils coupés en prenant garde de ne surtout pas appuyer. Le fruit resta fermé malgré mon désir de le voir s’ouvrir.– C’est bon, tu peux te retourner.Je m’empressai d’enfiler une paire de gants en latex, fermement décidée à garder mes distances pendant l’épilation à la cire. La voix rauque de la frangine m’interpela.– Je te le ferai après si tu veux.Oh oui, elle aurait peut-être plus de cran que moi.
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Le doigt lissait ma fente lentement depuis un long moment, c’était chaud, surtout au niveau du bourrelet des lèvres, là où le contact avec mon intimité se faisait plus précis. La frangine hésitait, les yeux fixés sur mon minou en évidence au bord de la chaise, mes fesses commençaient à coller au plastique, j’aurais voulu davantage d’audace de sa part. Soudain, elle se releva sans prévenir, son visage grave disait qu’elle regrettait autant que moi la situation embrouillée.– T’es toute mimi comme ça.Merde, non ! On n’allait pas se contenter de nous masturber côte-à-côte cette fois, il y avait mieux à faire. Je ne pensais plus qu’à ça, et le samedi était déjà bien avancé. À ce rythme, l’été allait paraître long, tristounet. Je l’attrapai par la main, suppliante. Lily sonda mon regard, comme quand on partageait un sujet sérieux en silence, de peur que les paroles n’aggravent la situation. Enfin, au bout d’une éternité, elle s’installa à califourchon sur ma cuisse.Je commençai à la bécoter du bout des lèvres, à titiller la pointe de sa langue de la mienne sans me résoudre à l’embrasser pour de bon malgré la bonne odeur mentholée de son haleine. La mère Dubreuil l’avait fait, elle, en dépit des relents de bière. On avait besoin d’un électrochoc, je posai la main sur un sein ferme. Peut-être qu’il suffisait de la caresser comme je me touchais en solo. La frangine hoqueta de surprise dans ma bouche ouverte, ses grands yeux bleus me dévorèrent.– La voisine va arriver, on devrait passer sous la douche.J’en voulus une seconde à Lily de briser mon élan, mais elle avait raison. La vieille d’à-côté avait promis à maman de nous amener faire le plein dans une grande surface tous les samedis, un prétexte pour savoir si ce n’était pas le chantier à la maison. Les bières, on les achetait en douce au fur et à mesure, sans témoin. Les cartons d’emballage cramaient dans le barbecue, les canettes vides finissaient dans le gros conteneur à verre au coin de la rue.– Tu ne perds rien pour attendre, susurra la frangine à mon oreille en me poussant dans la cabine de douche.Je savourai la main sur mon cul, pressée de la voir tenir sa promesse.
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On s’écroula sur le canapé, plus fatiguées de la crise de fou rire que de la soirée, le pauvre Bastien regrettait de nous avoir invitées à son anniversaire. Lily lui avait mis la honte en l’envoyant bouler devant tout le monde ; cet abruti n’aurait jamais dû insister quand elle lui avait dit préférer les nanas. Ça me rappelait une réplique du film Wonder Woman, les mecs étaient bons à faire des gosses, moins pour nous donner du plaisir. Quoique, avec les réserves stockées dans les banques de sperme, on pouvait carrément se passer d’eux. J’étais sûre que ça avait poussé certaines à réfléchir, déjà Lena.La jolie brune élancée aux grands yeux sombres, en troisième année de master Web et multimédia, passait pour un feu follet dans les soirées étudiantes, aussi imprévisible qu’insaisissable ; sa bonne humeur contagieuse brillait ici et là avant de disparaître sans prévenir, toujours seule. Évidemment, il se trouvait des mythos pour se vanter après coup de l’avoir chopée, personne n’y croyait. Dès demain par contre, d’autres rumeurs la diraient gouine, le « Attendez-moi ! » hurlé à notre départ n’était pas passé inaperçu. On avait rejoint la station de métro bras-dessus bras-dessous en riant.– Waouh ! s’exclama la copine en repérant l’ordinateur et l’écran géant surmonté de la caméra HD, le tout posé sur un meuble de bureau à roulettes.La bière passa au second plan, elle contempla le matériel informatique d’un regard brillant de jalousie.– Putain ! Je pourrais doubler mon nombre d’abonnés avec ça.La moue de la frangine résuma notre étonnement, Lena fit dérouler le menu de son portable après l’avoir déverrouillé. Je me demandais à quoi servait cette précaution de nos jours, les hackers avaient une longueur d’avance.– Je peux ?L’ordinateur allumé, j’accédai à ma page perso protégée par un mot de passe pour prévenir une éventuelle intrusion de maman dans ma sphère privée, puis lui abandonnai la souris. L’attente fut de courte durée ; bien que fonctionnaire de base, le beau-père avait droit à une connexion Internet sécurisée à très haut débit, comme tout le personnel du service diplomatique en poste à l’étranger, merci le Quai d’Orsay. Lena brancha son portable à un port USB, la vidéo s’afficha en plein écran.– Je l’ai postée juste avant d’aller chez Bastien, des fois je le fais en direct.Les explications pouvaient attendre, l’image de la copine en sous-vêtements coquins fit grimper la température.– Pas mal ! s’extasia Lily ravie.
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La caméra fixée au montant du lit dans ma chambre, Lena orienta l’écran de l’ordi afin de contrôler l’angle de prise de vue, puis appuya sur la touche « Entrée » du clavier. Je la sentais excitée à l’idée de se donner en spectacle. La frangine, collée à moi dans le large fauteuil, laissait déjà fureter une main sur son entrecuisse à travers le tee-shirt de nuit, pressée de connaître la surprise promise par la copine. Cette dernière se déhancha en silence, elle nous avait dit fredonner dans sa tête pendant les dix minutes de gratuité. Il fallait donner aux internautes envie de s’inscrire.Rien ne valait une démonstration pour étayer la leçon. La copine fit glisser sa chemise d’une ondulation des épaules, détacha un à un les boutons avec une lenteur exaspérante, puis se dépêtra du bout de tissu qu’elle fit tournoyer au-dessus de sa tête avant de le jeter loin du lit. Le pantalon subit bientôt le même sort. Le déhanchement désordonné se transforma en dance de séduction, chaque pose interprétée selon un code bien établi mettait ses charmes en valeur. Elle n’en était pas à son coup d’essai comme cam-girl.Le fauteuil commençait à être petit pour deux, l’excitation nous gagnait avec l’envie de nous masturber devant le spectacle qu’on appréciait de profil sur le lit et de face sur l’écran. La copine avait le don de captiver l’attention des voyeurs, je me demandais combien pouvaient la suivre en direct à 1 heure du matin. Le soutien-gorge tomba, découvrant des petits seins en forme de poires, les tétons agacés du bout des doigts finirent par pointer. Puis elle se retourna pour enlever sa culotte, la frangine sursauta à la vue des jolies fesses couleur pêche.Au bout d’un moment à se caresser en nous faisant la danse du ventre sur sa musique imaginaire, Lena se roula en boule jusqu’à avoir le nez au-dessus de la touffe de son bas-ventre taillée en duvet, la fente complètement lisse s’étirait en gros plan sur l’écran. La vache, bonjour la souplesse ! Un sourire canaille prouvait que la position n’avait rien d’inconfortable, l’exploit à lui seul aurait mérité des applaudissements. J’avais les mains occupées ailleurs, tout mon corps réclamait, brûlant d’un feu inhabituel. La frangine se pencha à mon oreille.– Tu crois qu’elle va se le faire ?La situation le laissait penser, je me prenais à l’espérer. Comme si elle avait entendu, ou pour me donner raison, Lena plongea la langue dans sa grotte. Les alertes du chat en direct redoublèrent, on se serait crues dans un centre d’appels. La copine les ignora, sa légèreté avait disparu, remplacée par la solennité que j’observais parfois devant la glace quand mon désir devenait trop puissant, que rien d’autre ne comptait. Qu’est-ce qui lui plaisait le plus, lécher ou être léchée ? Lily vira son tee-shirt, je l’imitai.
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Un bras qui n’était pas à moi effleura mon sein enflé par l’excitation, j’ouvris les yeux. Lily avait les siens fermés, les narines pincées, la bouche tordue par un drôle de rictus. Je la regardai maltraiter son clito, un peu jalouse car son ardeur à se branler avait brisé la mienne. Soudain, un sourire radieux illumina ses lèvres, c’était fini.– Elle est belle, hein ?Lena tournait autour du fauteuil avec la caméra. À la recherche de mon plaisir, je n’avais pas assisté à la fin du spectacle.– Quoi ! Vous n’avez jamais vu une nana prendre son pied ? explosa la frangine d’un rire troublé une fois son souffle revenu.Jamais aussi clairement, je n’étais pas encore remise de mes émotions l’autre jour, et elle avait joui moins fort. La copine effleura mes lèvres d’un coup de langue.– Pauvre Victoire, on ne peut pas la laisser comme ça, tu veux lui faire du bien ?Pas besoin de supplier Lily, mais j’en voulais plus, c’était l’occasion. La main tendue vers Lena, cette dernière comprit tout de suite mes attentes, elle s’agenouilla entre mes cuisses après avoir trouvé un bon angle pour la caméra. La frangine me prit dans ses bras, je m’y sentis bien, à ma place.Sa bouche avait la saveur sucrée salée de l’amour, sa langue s’enroula autour de la mienne, celle de la copine s’affola à la base de mon clito tandis qu’elle commença à me limer d’un doigt.Peut-être que si mes complices n’avaient pas déjà ressenti leur plaisir, on aurait pris notre temps, certainement même ; ce serait pour une autre fois. Je bombai le torse, Lily caressa mes seins. Elle devinait mes attentes.Avec deux bouches et quatre mains sur moi, je ne fus pas longue à venir. Ça n’avait aucune importance, le bonheur était là, intense, fulgurant.
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La copine partie après une nuit aux horaires décalées, maman allait bientôt appeler, je réinstallai l’ordinateur dans le salon. On avait intérêt à enregistrer les films sur un disque dur externe et à vider la carte-mémoire de la caméra, ou j’en connaissais une qui pèterait les plombs en rentrant de Pretoria. La frangine m’observait en serrant son bol de café au lait entre ses mains, je sentais de l’hésitation dans ses yeux au bleu plus profond que jamais.– Tu crois que Lena pourrait faire un site rien que pour nous ?
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