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Lin, camgirl débutante

Chapitre 3

Le secret de Déborah

Orgie / Partouze
Résumé : Sous le pseudonyme Kawaii Dragon, Lin, jeune femme asiatique, anime une sexcam sur le site de Wilfried, propriétaire de nombreux sites pornos payants. Il est aussi le propriétaire du vaste immeuble des anciens abattoirs. Camgirls et camboys y louent des boxs au premier étage. Le second étage étant dévolu aux tournages pornos.
Bien qu’inspirée de faits réels, cette histoire est une fiction. Tous les personnages sont fictifs.


Vendredi soir, tard dans la nuit. Disons plutôt samedi matin, tôt, très tôt. Lin vient d’éteindre ses cams, après avoir retiré de ses orifices lubrifiés, les trois sextoys avec lesquels elle avait joué trois heures durant (un dans le vagin, deux dans l’anus, soyons précis), tout en dialoguant avec ses spectateurs et ses tippeurs. Comme après chaque session, depuis son arrivée lundi, elle court nue au sous-sol, où se situent les douches communes. Ce soir, l’eau est bien chaude et cela l’aide à la détendre.
La journée a été tendue. Les modérateurs ont tardé à intervenir lorsqu’une bande de trolls s’en est pris à elle, l’insultant et menaçant de la violer, et de lui faire subir le pire. Ça ne lui était encore jamais arrivé, une telle violence dans les paroles. Mais elle se sent bien maintenant. Elle n’est déjà plus aussi intimidée, qu’elle l’était il y a quelques jours. Malgré ces incidents, elle se réjouit de se remettre devant ses caméras demain. Elle est impatiente de se remettre à jouer avec ses spectateurs, de les faire bander, de les rendre fous.
Déborah l’a suivie. Lin ne l’a pas entendue descendre les escaliers derrière elle. L’assistante du Big Boss, porte comme toujours, un tailleur gris, moulant, étrange mélange de sévérité et de sensualité. Car Déborah, malgré ses sourcils constamment froncés, est une femme attirante, grâce a des formes que l’on qualifie habituellement de pulpeuses. Ses hanches sont un peu larges et sa poitrine semble bien lourde sous sa chemise boutonnée jusqu’au cou. Ses cheveux blonds sont tirés en arrière en une courte queue de cheval. Son maquillage est discret mais subtil. Lorsqu’elle arrive en bas des escaliers, elle trouve Lin, couverte de mousse, se frottant vigoureusement l’entre-jambes. Elle s’arrête un instant pour admirer ce corps si mince de princesse manga. Elle ressent à nouveau ce désir si présent lorsqu’elle se connectait à sa sexcam. Elle s’efforce de conserver une attitude professionnelle, néanmoins. Elle toussote pour avertir Lin de sa présence.
— Hum hum !— Déborah ? dit Lin se retournant, souriante. Vous êtes encore là ? Si tard ?— Tu es libre demain ? — Demain ?— Samedi. Wilfried m’a demandé de t’emmener faire les boutiques. — Quelles boutiques ?— Les boutiques érotiques, bien sûr. Il m’a chargé de te dire que ce que tu fais lui plait bien. Il pense que tu vas avoir besoin de lingerie, d’accessoires et de nouveaux jouets pour tes prochains shows, sans quoi nos spectateurs risquent de se lasser.— Et toi, tu penses quoi ? (Lin remarque une lueur particulière dans le regard de Déborah. Elle connait bien ce regard. Elle sait ce qu’il signifie.)— Je pense qu’avec un corps comme le tien… tu n’as besoin de rien de plus pour exciter quelqu’un.— Merci… Et si tu me montrais le tien ? (Et des deux mains, elle éclabousse Déborah qui réagit trop tard.)— Ooh ! Sale petite… Mon tailleur Dior… Non mais, regarde ce que tu as fait de mon Diooor !
Lin s’approche trempée et nue, et commence à déboutonner sa veste. Déborah se laisse faire. L’émotion lui coupe le souffle, lorsque les doigts de Lin commencent à déboutonner sa chemise, dévoilant son soutien-gorge à armatures couleur crème.
— Je rêve d’avoir des gros lolos comme les tiens, chuchote Lin, à son oreille.— Moi, j’aimerais être aussi fine que toi.
Les mains de Lin massent doucement la poitrine de Déborah. Lorsqu’elle monte sur la pointe des pieds pour approcher ses lèvres des siennes, l’assistante du Big Boss la repousse avec tact.
— Désolée, je n’ai pas le droit. Mon contrat m’interdit de baiser avec les camgirls et les camboys qui louent nos boxs.— Dommage, j’aurais tellement aimé que tu viennes faire une session avec moi.— Désolée, je ne peux pas. Je passerai te prendre chez toi vers midi. Ça te va ?
Pendant cette courte nuit, Lin fait encore un de ces rêves érotiques qui l’agite. Elle traverse une forêt sauvage qui embaume la chlorophylle. Épuisée par sa marche, elle se repose au pied d’un chêne millénaire à la base couverte de mousse. Un champignon surgit du sol, entre ses cuisses. Elle retire son short et laisse le Phallus Impudique la pénétrer. De fines lianes descendent de l’arbre et viennent se glisser sous son tee-shirt, titillant ses tétons, s’enroulant autour d’eux lorsqu’ils sont durcis. Au moment de l’extase, l’arbre ancien fait tomber une pluie de feuilles soyeuses. Lin s’endort dans son rêve et se réveille encore, dans un lit défait et trempé de tous ses fluides corporels.— J’ai encore abusé de mon corps en dormant cette nuit, se dit-elle, en s’étirant.

À midi pile, Déborah vient la chercher au volant de son cabriolet BMW Série 4. Alors qu’elles se dirigent vers la zone commerciale, Lin lui raconte son rêve érotique. Cela les fait rire. Un chauffard se déporte, les frôlant dangereusement, puis les insultant.
— Les mecs se comportent de plus en plus mal, commence Déborah.— Ma mère te répondrait qu’il y a toujours eu plus de porcs que de gentlemen.— Des gentlemen ? ricane Déborah. Et elle en a connu beaucoup ta mère ?— Un seul. Mon père.— Que s’est-il passé ? demande Déborah, remarquant que le regard de Lin se perd soudain dans le vide.— Il a gâché sa vie à travailler pour des porcs et son travail l’a tué. Mais ne gâchons pas cette belle journée. Tu veux bien ?
Elles commencent leur tournée par la plus grande boutique érotique de la région, un supermarché du sexe. Ensemble, elles étudient plusieurs tenues pour les futurs shows de Kawaii Dragon. Mini monokini vert fluo, fine brassière, cache-tétons, petit corset rouge… Déborah insiste pour que Lin choisisse quelques culottes fendues.
— Non, je n’aime pas ça, répond Lin, un peu sèchement. D’ailleurs je n’aime pas les culottes. Fendues ou non.
Quelques clients se retournent. Une vendeuse sourit, visiblement satisfaite devant tant de franchise. Déborah renonce. Lin s’attend à ce qu’elles se rendent au rayon des sextoys, mais sa compagne lui annonce que la société de Wilfried vient de signer un partenariat avec un fabricant. De ce fait, les camgirls (et les camboys qui aiment ça) vont pouvoir tester les créations de cette marque en live. D’après Déborah, il y a là dans le lot quelques modèles intéressants, aux formes et aux textures originales. De quoi procurer des heures de plaisirs à celles (et ceux) qui les testeront et à ceux (et celles) qui les regarderont.
Elles continuent leur tournée des boutiques érotiques et en ressortent chargés de sacs remplis de lingeries, bas, hauts, et d’accessoires comme des bougies, des pinces, des chaînes, et toutes sortes de crèmes et de  lubrifiants vaginal et anal. Elles remontent dans la voiture et soudain…... soudain Déborah embrasse Lin.
Fougueusement.
Avec passion.
Ses lèvres se plaquent sur celles de la belle asiatique. Elle les goutte, les pince. Puis sa langue perce leur barrière et vient chercher la sienne dans sa bouche. Elles s’embrassent longuement, devant les passants, les clients d’un samedi après-midi ordinaire. Elles ne s’arrêtent qu’à bout de souffle.
— J’ai envie de te poser une question, Lin.— Toutes celles que tu veux, Déborah.— Aimes-tu le sperme ?— Quoi ? Pourquoi cette question ? Tu… — Parce que moi, j’adore ça. Laisse-moi te dire mon secret. Mais d’abord, promets-moi de ne le révéler à personne.— Je te le promets.— Il y a au bout de cette route, une boutique érotique un peu particulière. À l’arrière de cette boutique se trouve une pièce de Glory Hole. Tu connais ?— Un trou dans le mur où les mecs passent leur bite ?— J’aime m’y rendre les samedis après-midis et y sucer des queues appartenant à de parfaits inconnus. J’aime surtout les faire éjaculer et les avaler. J’aime le goût du sperme et son odeur. Veux-tu m’y accompagner ? Maintenant ?
Il faut reconnaître que cette boutique ne ressemble pas aux autres supermarchés du sexe. Installée dans une ancienne usine, rien à l’extérieur n’indique qu’elle propose un Glory Hole. L’intérieur est sombre, l’ambiance y est mystérieuse, pleine de tension sexuelle. Deux prostituées bruyantes et vulgaires sont venus s’acheter des bas et des préservatifs. Des individus à l’hygiène douteuse traînent dans les allées. Ils n’achètent rien. Ils attendent. Ils attendent quoi ? Ils attendent qui ?
Déborah entraîne Lin vers le fond. Elles traversent les rayons lingeries, sextoys, librairie, bluray et dvd, puis arrivent devant un épais rideau rouge. Une main l’écarte pour elles, de l’autre coté. L’homme est grand et large. Il les salue d’un petit signe de tête, puis les précède dans un couloir qui sent l‘encens. Enfin, le cerbère leur ouvre une petite porte. Elles entrent. Il regarde Lin avec un regard affamé puis referme derrière elle.

C’est une petite pièce d’à peine deux mètres sur deux, peut-être moins. Les murs, ou plutôt les cloisons, sont percées chacune de trois trous de chaque coté. Il est ainsi possible aux dames de soulager six messieurs à la fois.
— Vient. Mets-toi à l’aise, dit Deborah, en faisant glisser les minces bretelles du petit haut rose pâle de Lin.
Elle dévoile ses petits seins, les massent avec douceur et lui offre sa langue. Lin la titille avec la sienne, puis la suçote. Elle rattrape avec agilité la salive qui allait en couler et les deux femmes excitées s’embrassent encore, se dévorent. Leurs salives coulent sur leurs gorges prêtent à recevoir. On toque à une cloison. Elles se tournent et voient un phallus velu émerger par l’un des orifices.
— Il est à moi !— Non, à moi !
Elles se disputent en riant, comme deux pucelles se disputant leur première bite. Déborah en emprisonne le gland entre ses lèvres. Lin laisse glisser sa langue le long de la hampe. On toque à la cloison opposée. Lin voit deux pénis l’attendant. L’un est encore mou. C’est celui-là qu’elle suce en premier, tout en branlant l’autre. Il durcit trop vite et une éjaculation précoce vient parfumer sa bouche.
— Embrasse-moi ! Donne-le moi ! la supplie Déborah.
Généreuse, Lin vide le contenu de sa bouche dans celle de sa compagne. Celle-ci s’en régale visiblement. Elle s’en pourlèche, puis déglutit bruyamment. Celui qu’elle suçait, donne de petits coups contre la cloison, signalant une éjaculation proche. Déborah présente ses lèvres devant son gland juste à temps pour récolter les jets gras de sa semence.Elle ne l’avale pas. Elle attend qu’il se retire, pour laisser la place à une autre queue prête à exploser. Déborah enfourne ce pénis à l’érection fraîche dans sa bouche pleine. Lin s’en étonne un peu.
— Je n’avais jamais vu quelqu’un faire ça. Euh… ça ne le dérange pas le monsieur de se faire sucer dans le sperme d’un autre ?— Essaie et tu verras, répond Déborah. Je ne connais rien de meilleur que de sucer la bouche pleine de bon foutre blanc.
Lin décide d’essayer. Elle recueille l’éjaculation de sa seconde queue, et ne l’avale pas. Un autre pénis prend sa place, noir et courbé. Elle le prend dans sa bouche, le couvrant automatiquement et intégralement du sperme de son prédécesseur. Le contact lui plait. Le sperme est un excellent lubrifiant. Le pénis glisse agréablement dans sa bouche et il a déjà le goût du sperme, ce goût dont elle découvre qu’elle aussi, elle l’aime tant.
Quand la longue queue noire se vide entre ses lèvres, elle choisit encore de ne pas avaler. Sa bouche est bien pleine et elle constate que Déborah en fait autant. L’assistante du Big Boss en a récolté tant, qu’elle ne peut l’empêcher de couler sur ses seins opulents qu’elle a sortis de son soutien-gorge crème.La queue qu’elle suce maintenant fait déborder sa bouche, dans un bruit de clapotis. C’est un peu trop pour Lin, qui s’arrête pour avaler. Déborah l’imite et, après avoir déglutit, lâche un rot. Lin rit et essaie de l’imiter. C’est un tout petit rot qui sort de sa gorge. Elles rient.

Des heures durant, les affamées vident les bourses et se remplissent l’estomac. Il n’y a pas de douche et c’est souillées de la tête aux pieds qu’elles quittent l’endroit. La nuit tombe lorsqu’elles remontent en voiture.
— J’avais prévu de t’emmener dîner quelque part mais…— … j’ai plus faim, moi non plus.
Elles rient encore. Déborah démarre. Elle dépose Lin devant son immeuble.
— Je garde tes paquets, dit Déborah. Je les dépose devant la porte de ton box. Surtout Lin, pas un mot de tout ça. À personne. D’accord ?— D’accord Déborah. Merci pour cette… balade. C’était vraiment super. J’ai hâte d’y retourner. Avec toi.— Moi aussi. Je t’aime.— Je t’aime aussi.
Elles s’embrassent. Et leur baiser a un goût de sperme.
À SUIVRE…
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