Lina (première partie) Je sors de la fac, je me dépêche de rentrer, mon père doit rentrer de son dernier voyage professionnel.(Lina vit chez ses parents dans le centre de Lille dans une maison très confortable grâce au salaire de son papa chéri. La mère est une belle bourgeoise qui vit du salaire de son mari. Réservée en apparence, elle virevolte avec ses amies entre magasins de grandes marques, sorties au cinéma, théâtre, musée, et parfois en club où sa plastique de femme de quarante-quatre ans plait beaucoup aux hommes, jeunes et moins jeunes. Clémence répond parfois aux avances des plus hardis. Elle n’a aucun remord, elle sait en effet que Luc son mari est lui aussi très volage et qu’il collectionne les conquêtes, notamment les très jeunes femmes. Luc est très bel homme et il en profite dès que son travail lui laisse un peu de temps de libre. Lina tout ça, elle le sait, elle connait les frasques de sa mère, mais c’est surtout son père qu’elle aime le plus, c’est son Dieu.) J’entre dans la maison, il est là dans le salon assis sur le canapé en peignoir, il sort de la douche ses cheveux sont humides. Il se lève à mon entrée.Je me jette dans les bras de mon père — Papa, je suis si heureuse de ton retour,— Oh ma chérie moi aussi, huit longs mois sans te serrer dans mes bras, laisse-moi te regarder, mais dis-donc tu as bien changé, tu es une vraie petite femme maintenant.— Bah oui, j’ai dix-huit ans, d’ailleurs je te hais tu n’es pas venu le jour de mon anniversaire…— Je sais mais j’ai pu te parler et te voir sur l’ordi. Mais ç’est vrai je suis impardonnable…Tu dois avoir de nombreux prétendants, un petit copain ?— Non, personne, les gars de mon âge de m’intéressent pas. Je n’ai jamais couché avec un garçon, ni une fille d’ailleurs.— Tu préfères les vieux ?— Bah disons ceux de ton âge, si tu penses être vieux hi hi hi…— Non je ne me sens pas vieux, mais je suis ton père donc… tu as flashé sur un de tes profs ?— Oui, mon prof de philo, mais il ne me calcule pas.— Il est surement aveugle, si j’étais ton prof je ne me gênerais pas pour te draguer un peu, te faire rester dans l’amphi après le cours et t’obliger à faire des choses…— Ooooh dis donc mon Papounet tu es bien cochon…tu n’as pas trouvé de jeune conquête pendant ton séjour ?— Si, mais ça fait longtemps, d’ailleurs j’attends ta mère pour nous amuser un peu, j’imagine que tu vas chez une copine ?— Pas de chance, je suis là et maman ne rentre pas avant demain, en partant ce matin elle m’a dit qu’elle dormait chez sa copine Carole.— Bon tant pis pour moi, je vais mater un film. Je m’assois près de lui dans le canapé, je m’appuie sur son bras qu’il a passé derrière mon épaule, sa main touche légèrement le côté de mon sein gauche.
— Tu veux mater un film de cul ? Humm je peux rester avec toi ? Il me regarde étonné, ses yeux se baissent sur mes seins. — Je n’avais pas remarqué que tu avais les seins aussi gros que ceux de ta mère, décidemment ce prof de philo ne sait pas ce qu’il rate. Je sens ses doigts caresser mon sein, je regarde par l’échancrure du peignoir, je vois sa bite posée sur sa cuisse, elle me semble bien grosse et pourtant, il ne bande pas tout à fait. Je me penche et pose ma main sur son torse velu. — Oh ma belle tu m’excites, ce n’est pas normal mais je bande pour ma fille, regarde. Il ouvre son peignoir, en quelques secondes son sexe se tend droit, avec un gland très gros, comme un gros champignon. — Tu as vu l’effet que tu me fais, enlève ton t-shirt. Je me retrouve en soutien-gorge et petite culotte devant mon père qui bande come un Turc.Il baisse mes bonnets et titille de sa langue mes tétons, il en prend un entre ses doigts et le tourne, il m’embrasse et enroule sa langue autour de la mienne… J’embrasse mon père…Il prend ma main et la pose sur sa queue. — Oh oui ma petite caresse-moi, branle-moi.— Oui mon papa, je ne sais pas trop comment faire c’est la première fois que je touche une bite et en plus la tienne est grosse.— Je vais te guider. Il pose sa main sur la mienne et la fait coulisser sur son pieu, il fait sauter mon soutif et me mange les seins. Il retire sa main de la mienne et je continue la branlette seule, il souffle comme un bœuf, son bras appuie plus fortement sur ma nuque, je ploie sous cette force, mon visage touche sa queue. — Oh oui ! ma chérie pose un baiser sur mon gland, passe ta langue dessus et lèche. J’obéis et m’applique à bien lécher le gros champignon violacé, un peu de liquide apparait, je le prélève du bout de la langue et avale. — Prends-la en entier et suce bien. Je m’exécute et prends en bouche ce gros cylindre de chair, hummm !!! Je prends plaisir à pomper mon père qui semble apprécier ma prestation. Je sens bouger mon père qui donne des coups de reins, c’est lui qui me baise la bouche maintenant, puis il appuie sur ma tête et je sens un jet gluant sur ma langue, puis un second et encore et encore, mon père jouit dans ma bouche, j’avale ce que je peux, je m’étrangle un peu et je recrache sa bite pour reprendre ma respiration. — Oh ma petite salope tu m’as vidé, ta bouche est aussi chaude que celle de ta mère et maintenant je ne regrette plus son absence.— Merci papa je prends cela comme un encouragement à poursuivre mon éducation avec toi.— Oui, laisse-moi reprendre mon souffle et je vais m’occuper de ton joli minou encore vierge.
Il est vingt- trois heures et mon père et passons le reste de la soirée à discuter après ce premier contact incestueux. Il me demande si je veux que nous allions nous coucher dans ma chambre. Bien sûr que je le veux, je le prends par la main et le traine jusque sur mon lit. Il est allongé sur le dos, je me couche sur lui, je l’embrasse, nos langues se mélangent, il pose ses mains sur mes fesses, me suce les seins. Je glisse sur son corps pour le prendre en bouche, il est à moitié bandé, mais très vite il durcit sous l’effet de ma bouche devenue experte.Il me retourne et vient poser sa bouche sur ma chatte humide. Sa langue trouve mon clitoris et je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Après plusieurs minutes de ce traitement, je le sens qui se prépare à me pénétrer. Je vais devenir femme et c’est mon père qui va me déflorer ici dans mon lit. Prudent il a enfilé un préservatif. — Je vais te pénétrer ma douce chérie, n’aie pas peur, je vais être doux. OOOOH je sens son gland forcer le passage, je ne sens pas de douleur particulière, mais c’est étrange comme sensation. Il progresse jusqu’à me pénétrer entièrement. Il ne bouge pas il m’embrasse et me laisse m’habituer. Je le serre dans mes bras j’aimerais le faire entrer tout entier pas uniquement son sexe, mais lui et tout son corps.Il commence à faire de longs et lents va-et-vient. — Oui papa c’est bon continue. Il m’embrasse sur les joues et le front puis je le sens accélérer ses coups de reins, il me baise maintenant, cette fois je hurle mais pas de douleur, je me sens femme, mais aussi salope et la chienne de mon père qui maintenant me bourre de plus en plus vite.Voilà un quart d’heure que mon père a fait de moi une femme, je suis les jambes nouées autour de ses hanches pendant qu’il me défonce avec son gros pieu. Soudain il se raidit, je pense qu’il jouit dans le préservatif. Il reste un instant en moi puis se retire, je vois le préservatif gonflé de son jus, il le retire, je lui arrache des mains et me le vide sur le ventre et les seins.Mon père m’embrasse et se retire de ma chambre et me souhaite une bonne nuit.Voilà trois mois que mon père et moi sommes amants. Dès que ma mère est de sortie, nous en profitons pour baiser et mon père poursuit mon apprentissage. D’après lui je progresse très vite. En trois mois, j’ai découvert de nombreuses positions et surtout j’ai offert mes fesses à mon père. J’ai un peu souffert les premières fois mais maintenant, je me considère plus anale que vaginale. Je suis clitoridienne aussi. Vous me prenez pour une experte mais ç’est grâce à l’éducation de mon tendre paternel.
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