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Linda, notre femme de ménage 1

Chapitre 1

Divers
Dans les années 2000, ma femme et moi avions décidé de prendre une femme de ménage pour garder notre maison propre, étant tous les deux très pris par notre travail. Mon épouse, commerciale, moi, militaire, étions souvent absents et avec nos enfants, c’était difficile d’assurer. Nous avions lancé notre recherche et, après plusieurs entretiens, une femme d’origine portugaise d’une trentaine d’années, mariée, des enfants, présentant toutes les caractéristiques d’une personne attentionnée, propre, délicate et par-dessus tout, très mignonne avec un visage doux, des cheveux longs bruns en chignon, un corps bien proportionné avec une poitrine généreuse et des fesses bien fermes... j’avais été charmé d’emblée. Je n’ai jamais pu comprendre comment, même après tant d’années passées, j’étais attiré par cette femme au visage doux, agréable, confiant et bien fait.
Nous avons donc conclu un contrat pour deux matinées ou après-midis par semaine, avec des conditions spéciales, des absences où nous laisserions la clef de la maison dans une cachette, son planning, ses travaux et lui signifier que certains jours, je pourrais être présent, en récupération... bref, sa mission. Elle était parfaitement intégrée à nos désirs et après quelques mois de service, elle nous donnait toute satisfaction.
J’étais charmé par son attitude, toujours prête à rendre service, sa douceur, son tact, elle attirait mon attention au fur et à mesure du temps qui passait. Quand nous étions présents, Linda nous racontait sa vie, nous apprenions que son couple battait de l’aile, son mari rentrait souvent ivre et elle était certainement battue...
Elle nous racontait tout cela, et nous tentions de l’aider du mieux que l’on pouvait. Ma femme et moi, pendant cette période, étions dans une phase de recherche de piment pour notre couple, l’un comme l’autre avions certains désirs cachés pour vivre autre chose. Notre travail, les enfants, le ronron du couple, tout cela lassait et nous avions envie d’autre chose, tout en restant fidèles à notre couple. Linda a été suffisamment agréable avec nous que nous la sentions très proche, en particulier vers moi qui la conseillais ou me rendais chez elle pour réparer tel ou tel problème domestique. Au fur et à mesure du temps qui passait, je la sentais assez abordable, elle n’était pas farouche et nous nous permettions de rigoler de certains instants intimes de nos vies, l’envie de tenter différentes approches est venue naturellement.
Un matin, ma femme était partie tôt et je rentrais avant elle, j’ai voulu tenter une expérience, je laissais dépasser une revue Couples magazine de ma table de chevet. Quand je revenais le soir, j’ai vite compris que cette revue avait été déplacée et qu’elle avait été lue, car j’avais placé un petit marque-page à un endroit précis et... il avait disparu. Plusieurs fois, j’ai renouvelé l’expérience, à chaque fois, Linda trouvait la revue et la lisait. Un autre jour, j’avais inséré un courrier que j’avais envoyé à ma femme dans lequel je racontais ma liaison avec ma cheffe supérieure, capitaine, avec qui j’avais couché plusieurs fois, c’était en Afrique, lors d’une mission. Mon courrier était expressément détaillé et je l’ai donc laissé dans une revue dans ma table de chevet. Inutile de raconter mon état... je me posais plein de questions sur sa réaction, allait-elle lire ou, gênée, allait-elle le replacer ?
Mon retour, le soir, m’a apporté la réponse... elle l’avait lu, les feuilles avaient été pliées dans l’ordre alors que je les avais placées en désordre volontairement. Mon cœur s’est accéléré...Linda aimait mon initiative.A partir de ce jour, je sentais Linda plus proche de moi, les jours suivants, je lui laissais plusieurs revues pornos et des lettres que j’écrivais à la hâte dans lesquelles j’inventais des liaisons avec des femmes ainsi que des liaisons imaginaires de ma femme avec d’autres hommes... de quoi passer des heures de lecture tranquillement et se transporter dans des scénarios qui lui montraient que nous n’étions pas si sages que nous le laissions paraître... et son attitude a changé. Ma femme partie, elle arrivait en petite blouse légère, un léger soutien-gorge et un slip assez visibles à travers, elle déambulait partout pour ranger, nettoyer la maison, elle s’arrangeait pour venir me demander de l’aider à porter des cartons, à chaque fois, elle me frôlait, me montrait ses seins dans l’échancrure de la blouse.
Ils étaient assez fermes et j’avais aperçu les larges aréoles brunes qui décoraient ses seins ou alors ses fesses quand elle se baissait, j’avais même aperçu son système pileux brun abondant qui dépassait de sa culotte, à l’époque où l’épilation n’était pas encore en vogue. Je sentais que Linda se sentait de plus en plus confiante à mon égard, nous avions des attitudes complices en riant de situations anodines... bref, tout allait bien. Quand j’étais de repos, je restais dans le salon au rez-de-chaussée, Linda s’affairait à l’étage. Dans notre chambre, je l’entendais marcher, puis, un long silence a suivi, je sus pourquoi. Je devinais qu’elle s’était assise sur mon côté de lit (j’avais reconnu le craquement) et qu’elle lisait la revue et les lettres pliées dedans.
Je ne faisais aucun bruit, j’allais même remuer quelques bricoles dans le garage pour lui signifier que je ne la surveillais pas, je revenais silencieusement au pied de l’escalier afin d’écouter le moindre bruit qui pouvait émaner de notre chambre. Et mon attente avait été couronnée de succès ! Les petits cliquetis, mouvements de vêtements, les pages de mes courriers qui tournaient dans ses mains et, pour finir, quelques soupirs timides et contenus, je comprenais que son travail de femme de ménage avait été interrompu et qu’elle s’adonnait à des caresses intimes qui duraient plusieurs minutes pour se terminer en apothéose... j’étais comblé de satisfaction, je savais qu’elle prenait du plaisir à lire ce que je lui offrais. Quand elle redescendait, je voyais bien son visage rougi et son expression de bien-êtres qui s’affichaient... et quand elle s’approchait de moi, il y avait cette odeur caractéristique de chatte qui émanait de ses mains... ça me rendait fou aussi.
Plusieurs jours durant, Linda a profité de mes largesses avec, à chaque fois, de plus en plus de temps passé à lire ou relire mes récits et mes revues et à chaque fois, elle prenait du plaisir à se caresser avant de redescendre.
Jusqu’à ce matin où je suis rentré bien plus tôt, sans bruit, Linda était à l’étage, j’ai perçu des gémissements plus audibles que d’habitude, je suis monté à pas de velours sur l’escalier moquetté et j’ai commencé à apercevoir le dessus de notre lit repoussé, ses pieds largement écartés, ses jambes nues. J’ai avancé lentement pour découvrir Linda sans culotte, une main active sur sa chatte épaisse, deux doigts entraient et sortaient de son vagin mouillé avec beaucoup de frénésie, je poussais ma curiosité à découvrir ce corps encore inconnu. Une blouse de ménage était déboutonnée et laissait apparaître deux seins affaissés avec des pointes brunes extraordinairement dressées et longues que le soutien-gorge abaissé à mi-ventre laissait voir. Linda avait le visage caché par les feuillets des lettres qu’elle lisait, la revue coquine, elle, était ouverte, posée sur le lit. Je découvrais ce tableau incroyable, je trouvais cette femme belle et attirante.
Ses gémissements et ses soupirs s’accordaient avec les pressions que ses doigts habiles exerçaient sur son bouton et dans son vagin, elle a manqué à plusieurs reprises de jouir, mais elle tenait à continuer à lire ces lettres qui l’excitaient au plus haut point. Mon excitation était au plus haut point en détaillant ce sexe fourni, aussi noir que ses cheveux, d’où, je me souviens encore, perlaient des gouttes de cyprine qui collaient ses poils autour de sa vulve. De temps en temps, elle retirait ses doigts pour les sucer et retourner les feuillets, mais elle restait dans cette position pour continuer sa lecture. Je restais immobile, mon sexe bandait affreusement, je décidais de me retirer aussi silencieusement que lors de mon arrivée, décidé à la laisser aller au bout de son plaisir sans casser le fil du jeu que j’avais mis au point.
Ce jour-là, je me suis éclipsé de chez moi, j’ai erré sur les bords de Loire pour assimiler ces images et me donner bonne conscience. Au retour, Linda finissait de laver le sol, elle chantait des mélodies de son pays, ça me plaisait beaucoup et je le lui ai fait savoir, ce qui ne lui a pas déplu, bien au contraire. J’ai eu beaucoup de difficulté à imaginer son corps nu sous les vêtements qu’elle avait remis. Quand elle est partie, j’ai couru dans ma chambre restée ouverte, certainement pour chasser des senteurs suspectes. Je retrouvais ma revue et mes lettres encore une fois remises en place, mais ce parfum particulier épicé m’avait attiré. Je me souvenais qu’elle tournait les feuillets avec ses doigts qui venaient de s’introduire dans son vagin trempé... j’étais comme une mouche, je raffolais de cette odeur épicée. Au coin de certains feuillets, une vague tache humide était encore visible, ça m’excitait terriblement.
Quant au lit, tout était tiré à quatre épingles et rien ne trahissait la récente présence de Linda qui s’était caressée sur le drap de dessus. De cela, je n’en parlais pas à ma femme, de peur de casser mon scénario. Un autre jour encore, je m’apercevais qu’elle ne portait plus de sous-vêtement, je comprenais facilement la raison... c’était certainement plus rapide et aisé pour aller lire mes lettres ! Ces lettres, justement, elles étaient écrites sur des rencontres avec d’autres femmes rencontrées fictivement en Afrique. J’avais décidé de changer de style en imaginant une scène avec une amie proche que Linda avait connue lors d’une visite anodine chez moi. J’ai décrit toute l’approche et comment j’ai pu faire céder cette amie avec plein de détails excitants... tout y est passé. La lettre faisait quatre feuilles avec des mots précis, crus, presque trop... je redoutais la réaction de Linda.
Le jour où je décidais de laisser à sa portée cette lettre, je devais être en repos, mais Linda ne le savait pas. Elle est arrivée toute pimpante, une tenue différente des autres jours, je me souviens encore de ses seins pointus qui poussaient le frêle tissu du chemisier, de l’absence de marque d’une éventuelle culotte. Elle fut surprise que je la laisse plus tôt que d’habitude... je voulais lui donner davantage de temps pour lire le récit que je lui avais réservé. La revue jointe était remplie d’images où des femmes se caressaient sans rien cacher de leurs attributs et, de plus, ces femmes avaient des vibro plantés dans leur vagin, images qui auraient pu choquer Linda.
Justement, ce matin-là, juste au-dessus de la revue et des lettres, dans un petit tiroir que je laissais entrouvert, j’avais placé le vibro de ma femme dont elle s’était servi quelques jours auparavant lors d’une nuit à nous exciter mutuellement et ce vibro n’avait pas été nettoyé, il avait encore des traces de mon sperme et de sa mouille...
C’était une belle réplique d’une verge avec un mignon gland au sommet, une molette pour varier la vitesse et la vibration... je laissais donc ce vibro accessible dans ce tiroir semi-ouvert. Elle ne pouvait pas ne pas ouvrir cette cachette visible au-dessus des documents que je laissais à sa disposition. Je laissais Linda seule et partais en voiture attendre quelques instants qui me parurent excessivement longs. Je savais comment elle travaillait, rapide, organisée, tout était parfaitement rangé au rez-de-chaussée et elle montait ensuite à l’étage pour les salles d’eau, les chambres des enfants et d’amis, pour finir par la nôtre. Après plus d’une heure après mon départ, j’entre silencieusement...
De suite, je perçois un long soupir sonore...Linda était fortement excitée, je le devinais. Je montais en silence l’escalier et je découvrais au sol, sur la moquette du couloir, sa jupe, son chemisier et tout cela en vrac, signe d’un empressement forcé pour aller rapidement au but de la visite. Linda était allongée, nue sur notre lit ouvert. Je distinguais ses pieds, ses jambes fines, ses cuisses largement ouvertes, je découvrais le chevet avec le tiroir ouvert, qui contenait le vibro de ma femme, mais sans le vibro... mon regard s’est posé sur ce tableau splendide, Linda faisait aller et venir ce vibro dans son vagin, de longs poils bruns se collaient dessus quand il ressortait et puis la main qui maintenait les pages qu’elle lisait fébrilement. J’avais détecté un tremblement continu de sa main tandis que l’autre poussait le vibro en elle jusqu’à la garde tout en ayant réglé la vitesse au plus rapide. Je devinais l’excitation intérieure de cette femme curieuse, mais si attachante.
Je tentais de réfléchir à ce que je devais faire... j’avais envie de cette femme et je savais qu’elle aussi était séduite par mes attitudes envers elle. Je restais ainsi de très longues minutes à la laisser continuer à s’imbiber de mes écrits et de ce providentiel vibro qui lui procurait un plaisir inhabituel. Linda a eu un orgasme puissant, accompagné d’un cri strident qui aurait pu éveiller les soupçons du voisinage... et, malgré ce plaisir obtenu, elle continuait à lire mes feuilles tout en laissant le vibro à demi sorti, mais qui, je l’entendais, continuait à vibrer. J’étais perturbé... j’hésitais à aller de l’avant ou m’éclipser.
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