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Linda, notre femme de ménage 1

Chapitre 2

Linda, notre femme de ménage 2

Divers
J’avais déjà trompé ma femme durant mes déplacements extérieurs, elle avait eu quelques aventures de son côté, mais une telle situation ne m’était jamais arrivée, hésiter à ce point, je n’arrivais plus à réfléchir calmement. Je savais que je n’aurais peut-être jamais d’autres occasions d’aller vers elle. Je l’entendais soupirer, faire des mouvements brusques pour se donner de l’aisance pour se faire plaisir en toute discrétion. J’ai agi tel un automate, sans réfléchir aux éventuelles conséquences. J’ai poussé le battant de porte de notre chambre, découvrant la scène surréaliste qui apparaissait, cette belle inconnue, allongée nue, dans une position indécente, une posée entre ses cuisses, les doigts, maintenant le vibro enfoncé qui vibrait en elle, les seins légèrement affaissés de chaque côté du torse, le visage dissimulé par les feuillets dépliés et maintenus par l’autre main. Je n’apercevais que sa chevelure brune qui dépassait des lettres, elle ne m’avait pas entendu arriver.
Je continue d’avancer au pied du lit... le fort contraste de sa toison drue et brune avec sa peau blanche était saisissant, ce vibro rose qui dépassait de ses lèvres proéminentes, je bandais comme un fou. J’approchais ma main que je posais sur sa cheville, je m’attendais à un cataclysme. Son corps a réagi, Linda a baissé les lettres, son visage tétanisé est apparu, sa bouche s’est ouverte, son regard était en pleine panique... la surprise était totale !
Nous n’avons échangé aucun mot, chacun était sur la surprise de la découverte de la présence de l’autre. Linda a parlé la première "Monsieur... excusez-moi... pardon... pardon...". Ses paroles n’étaient que des mots de réflexe, de défense pour chercher une issue à mon intrusion. Ce qui m’a le plus étonné, c’était sa réaction, aucun geste pour se cacher aussi bien ses seins, son sexe rempli ni pour dissimuler sa lecture qui devait être la chose dont elle aurait dû, le plus rapidement possible, cacher... rien, elle est restée ainsi de longues secondes, ne sachant quoi dire. Ma main était restée posée sur sa cheville, je me suis approché du côté chevet, je me suis assis, Linda était visiblement pétrifiée de peur. Son regard était figé, elle semblait attendre une réaction vive de ma part, peut-être la virer avec vigueur, je n’en fis rien. Je lui parlais calmement "Attendez, Linda.
Je comprends ce que vous faites, vous n’êtes pas heureuse avec votre mari et vous manquez d’amour, c’est normal. Je ne vais pas vous fâcher, je suis aussi responsable pour vous avoir laissé ces lettres et ces revues à votre portée, je n’aurais pas dû faire ça !". Linda avait la voix coupée, elle si bavarde avec son accent chantant, cette fois, elle craignait une réaction violente de ma part... qui ne venait pas. "C’est normal, vous êtes encore jeune et si belle, regardez-vous ! Je vous trouve si attirante..." les dés en étaient jetés, Linda me scrutait avec un regard terrifié "Vous trouvez ? Je suis affreuse, personne ne fait attention à moi".
Elle parlait lentement, silencieusement. Je lui répondais "Pas moi... vous me faites beaucoup d’effet !" je tentais la course au sprint..."Vous voulez que je vous le prouve ?". Linda semblait m’interroger du regard "Oui... mais comment ?" J’ai plongé mes yeux dans les siens noirs, fixes, j’ai approché mon visage du sien, mon nez a frôlé le sien, elle n’a pas reculé pour se rétracter. Mes lèvres ont effleuré les siennes, à plusieurs reprises, j’ai déposé des petits baisers furtifs, au début, elle ne répondait pas à mon appel, puis, lentement, ses lèvres ont réagi, elle a insisté plus longuement au contact de nos lèvres et, pour finir, elles se sont définitivement collées les unes contre les autres. J’ai senti un souffle puissant qui émanait de Linda, je l’ai enlacée lentement au fur et à mesure que je me collais sur sa bouche.
Ma langue a fait une incursion dans sa bouche, elle s’est refusée dès qu’elle l’a sentie, puis, doucement, ses lèvres se sont disjointes, ma langue s’est introduite pour aller au contact de la sienne sur laquelle je me suis enroulé. Notre premier baiser a été langoureux, long, délicieux, Linda répondait à mon appel, j’avais gagné sa confiance. Sa tête oscillait en fonction de l’intensité de notre baiser, ma salive se mélangeait avec la sienne, elle geignait de plaisir en se détendant, faisant fi de la nudité entière de son corps que je découvrais. Je me suis remis debout tout en continuant à nous embrasser, j’étais penché sur elle, ses yeux se fermaient de bonheur, je profitais pour palper discrètement un sein en encerclant un mamelon qui réagit aussitôt.
Linda a chuchoté "Non, monsieur, on ne doit pas continuer... si madame apprenait..." Je continuais à poser mes lèvres sur son visage, son nez, son front, ses lèvres, j’ai répondu "Elle ne saura rien...ça reste entre nous". Était-ce un sentiment rassurant que je lui proposais ou une éventuelle envie de moi, mais je l’ai sentie se détendre, elle a attiré mon visage sur son buste que j’ai embrassé, glissant lentement vers ses seins qui se raffermissaient d’excitation. Plusieurs râles longs, rauques, sont sortis de sa gorge, elle a basculé sa tête sur l’oreiller, j’ai compris qu’elle était à ma merci. J’ai sucé ses bouts, les taquinant avec mes dents et ma langue, ce qui provoquait quelques décharges électriques dans son corps, alternant d’un sein à l’autre, je la faisais monter en tension et je trouvais qu’elle réagissait fort bien de mes caresses sur sa poitrine.
J’observais, pendant ce temps, son sexe, excessivement touffu et dru, un épais triangle taillé uniquement sur les côtés du maillot tapissait son bas-ventre, dissimulant ses formes, son clitoris.
Ma main est remontée sur l’intérieur de la cuisse, j’ai vu ses jambes s’ouvrir davantage, une belle odeur poivrée embaumer son entrejambe, j’ai approché lentement mes doigts, craignant une réaction hostile de sa part... il n’en a rien été! Ma bouche parcourait l’espace entre ses seins et l’orée de son triangle noir, je me rendais compte, à ce moment-là, de l’extraordinaire exploit que je venais de réaliser... séduire Linda, cette belle Portugaise et l’avoir sous mes doigts et ma bouche, à mon gré. Elle ne bougeait pas, se laissant faire sans regarder, la tête toujours en arrière sur l’oreiller. Mes doigts ont fait une première approche sur le côté, glissant entre ses poils drus, Linda s’est détendue, résignée à ne pas me résister. J’ai senti la forme de sa vulve, ses grandes lèvres ourlées et le sillon central, j’ai déniché son clitoris qui ressemblait à un petit pois et, dès le premier contact dessus, Linda a bloqué sa respiration, pour, à nouveau, se détendre ?
Une jambe s’est ouverte davantage, j’ai aperçu le vibro qui avait glissé entre ses grandes lèvres, quelques poils étaient restés collés sur le gland en latex. Je n’avais jamais connu de femme aussi fournie que Linda, pourtant j’en ai connu de tous les horizons, des blanches, des noires, des Indiennes, elle était extrêmement fournie. Mais ce jour-là, je ne me posais pas de question, je déroulais mon scénario sans connaître la finalité. Mes doigts visitaient sa chatte, errant sur son bouton sensible, j’osais descendre entre ses lèvres pour atteindre l’entrée de son vagin, je découvrais une grotte débordant de cyprine qui s’écoulait sur mon doigt dès ma première introduction. Je repoussais lentement le vibro qui tombait sur le lit, le chemin entre son vagin et son anus n’était qu’une rivière onctueuse et gluante.
Une puissante odeur épicée me remplissait les narines, au lieu de me rebuter, c’était tout le contraire, ça m’excitait encore davantage, c’était son parfum personnel qui est resté en mémoire toute la période de notre liaison. Nous avions mis un terme à notre contrat quand nous avions déménagé, dix ans plus tard. Pendant toute cette période, Linda a gardé ce parfum intime qui lui était propre, que je reconnaîtrai encore à ce jour, si nous devions nous croiser par le plus grand des hasards...
Dans nos ébats qui se sont succédé après cette première expérience, je voulais absolument retrouver ses effluves odorants, j’étais drogué avec ce nectar et Linda le savait, à plusieurs reprises, même quand ma femme était présente, elle ne manquait pas de déposer sur mes doigts un peu de sa cyprine parfumée, histoire de m’exciter... nous en souriions en cachette.
Ce jour-là, je découvrais ses trésors avec mes doigts, puis, doucement, ma bouche qui se promenait sur sa toison. C’est à cet instant précis que j’ai senti la main de Linda qui se posait à hauteur de mon sexe devenu complètement entravé dans le slip. Je pivotais lentement mon bassin vers elle, sa main a empoigné mon pénis par-dessus mon pantalon, elle exerçait des mouvements dessus comme une masturbation. D’un geste rapide, j’ai débouclé ma ceinture, mon pantalon est descendu à mes pieds, Linda a patienté pendant mon déshabillage. Sa main est revenue timidement se reposer sur mon sous-vêtement... elle semblait intimidée, gênée, elle n’osait aller plus loin. Elle n’eut pas le temps de réfléchir, de mon côté, ma bouche atteignait la zone sensible entre ses grosses lèvres, je les ai aspirées plusieurs fois, j’ai introduit ma langue dans sa grotte remplie de lave chaude et gluante, elle a poussé un râle puissant, se bloquant par le plaisir que je lui offrais.
Mon insistance à me délecter de cette nouvelle chatte, la façon de m’y prendre faisait son chemin et j’ai vite détecté la venue d’un premier orgasme que je voulais freiner le plus possible afin de la laisser sur le fil du plaisir. Je profitais de cet instant pour baisser mon slip d’une main, laissant ma verge tendue s’offrir aux éventuelles caresses. Linda hésitait, elle ne me touchait pas de suite, j’ai saisi sa main pour la guider sur ma colonne... il y eut cette réaction, elle a lâché mon sexe dès le premier contact, puis, lentement, elle l’a pris en main et a commencé à me branler sans excès. De mon côté, je continuais à me régaler de son abricot, son clito a reçu une longue et forte succion, Linda a crié comme une lionne, j’ai senti son vagin se contracter à plusieurs reprises et j’ai senti un filet chaud couler sur ma langue... elle était une femme fontaine, comme ma femme.
Ce cap franchi, je l’ai sentie plus libérée, sa main avait pris mon sexe et faisait coulisser le prépuce allègrement en passant son doigt sur le gland pour étaler ma liqueur qui prouvait de mon excitation. J’ai avancé mon bassin vers son visage, elle a déplacé son corps pour s’installer à portée de ma verge, j’ai attendu qu’elle soit décidée à me sucer pour reprendre de plus belle ce cunni qui me tentait depuis si longtemps. Linda a glissé mon gland entre ses lèvres, a aspiré une partie de ma verge sans hésiter, nous étions dans un 69 de toute beauté en quelques minutes... je n’en revenais pas. Linda avait des aptitudes à repartir de plus belle même après avoir eu un orgasme, c’était un de ses traits caractéristiques de ses performances... elle pouvait jouir plusieurs fois sans se désunir. Ce jour-là, c’est moi qui ai cédé à sa bouche gourmande, je l’ai prévenue de mon éjaculation imminente, elle m’a laissé continuer sur ses seins jusqu’à la dernière goutte.
Une fois terminé, je me suis installé entre ses jambes et j’ai pu prendre mon temps pour m’abreuver de ce sexe tout en observant son regard plongé dans le mien. Nous échangions en silence, chaque mouvement de ma langue sur et dans son sexe, était suivi de rictus qui déformait son visage, elle haletait tout en prononçant des mots en portugais que je ne comprenais pas, mais vu les gémissements qu’elle poussait, je savais que je lui donnais du plaisir et que ce plaisir était certainement enfoui au plus profond d’elle même depuis des années...
Ainsi, à force d’insister sur son bouton d’amour, son visage s’est transformé, il s’est figé un long moment, puis ses yeux se sont fermés, sa tête est repartie en arrière, son vagin s’est gonflé, rétracté pour se gorger de sang, elle jouissait bruyamment quand elle m’a maintenu la tête contre son sexe afin de s’offrir davantage. J’ai eu droit à une deuxième séance de fontaine qui a éclaboussé mon visage et quelques coulures chaudes ont parcouru mes joues, mon menton, tout baignait dans ce flot sans parfum particulier, mais j’ai eu plaisir à le goûter et j’ai trouvé le goût assez suave, j’ai aimé. Linda, elle, était partie très loin dans son orgasme, elle reprenait difficilement sa respiration, je l’ai laissée reprendre ses esprits... pour une première fois, je savais que c’était largement satisfaisant, et puis, il fallait gérer le futur, affronter la situation avec ma femme et Linda qui revenait deux fois par semaine chez nous.
J’ai laissé Linda sur le lit, quand je me suis levé, je revois encore cette magnifique image de ce corps nu, abandonné en croix, sexe ouvert, les bras relevés au-dessus de la tête, elle fermait encore les yeux, vannée par ces orgasmes successifs qui avaient été si longtemps ignorés à cause du climat de son couple. J’ai adoré la regarder se reposer, j’étais aussi fier d’avoir fait une nouvelle conquête que de lui avoir permis de renouer avec la vie normale d’une femme aimée comme elle le méritait. J’étais revenu dans la chambre avec des boissons fraîches, Linda me regardait arriver, le regard interrogateur, je devinais sa gêne sur ce qui venait de se passer. Je l’ai mise de suite en confiance en lui disant que ma femme n’en saurait rien, qu’elle pouvait continuer à œuvrer comme avant et que, si elle le désirait, nous pourrions avoir d’autres câlins en cachette.
Elle m’a fait répéter plusieurs fois que ma femme ignorerait notre liaison, je le lui ai confirmé... et ce pacte a tenu toutes les années qui ont suivi. Les dernières minutes que nous avions passées se sont déroulées à se justifier vis-à-vis de ma femme, Linda était excessivement gênée de lui prendre son mari. Malgré tout, elle semblait étonnée de nos expériences lors de mes absences, elle ne se doutait pas que ma femme ait eu aussi des relations avec d’autres hommes. Avec Linda, nous avons remplacé les draps qui étaient marqués par les diverses traces de plaisir mutuel, elle a continué le ménage et est repartie en fin de matinée comme prévu.
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