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Linda : soumise, cochonne et coquine ...

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Préambule : Je me présent, je suis Franande : un homme grand et brun d’un peu plus de 40 ans vivant dans Paris. Aimant l’érotisme et les rapports SM soft. Ceci est le début de l’histoire vécue avec ma soumise.
Linda est une très jolie femme brune de 32 ans, ayant un très joli corps tout en rondeur : le genre de femme qui n’est pas un mannequin mais qui a un quelque chose qui vous fait vous retourner sur elle dans la rue. Aimant la lingerie, coquine à souhait, espiègle et peu farouche : c’est ce que j’avais ressenti lors de notre premier rendez-vous qui était tout à fait classique.
Ce jour nous nous sommes donné rendez-vous dans un café, le dernier rendez-vous était très bon donc forcément il fallait recommencer. L’heure arrive, elle est en retard, je m’en doutais : j’avais l’intuition que soit elle serait une femme souvent un peu en retard, soit elle voudrait arriver après moi. Je la vois arriver au loin dans une rue, encore plus jolie que ce que je me rappelais et ... elle a mis comme prévu une robe noir assez courte qui lui va à ravir : nous avions échangé des petits messages SMS depuis notre dernière rencontre il y a 10 jours et la magie du DS commençait à opérer.Mon coeur bat de plus en plus fort, mes mains sont moites, je toussote pour me donner de l’assurance et être certain que ma voix ne va pas dérailler.Elle arrive proche, j’ai droit à un sourire très charmant (ça change de ces photos ou elle fait la tronche !) et elle vient me faire la bise. Coquin, je lui dépose des bises au coin de la bouche. Elle sourit car elle a bien compris que cela était fait exprès et n’est pas trop habituée à ce genre d’attention.
Echanges courtois et d’usage entre nous : "ça va ?", "pas trop de monde dans la RER ?", "tu as mis du temps ?" Bref, nous nous retrouvons assis dans cette petite brasserie. elle me sourit, je te regarde sans rien dire (bizarre qu’un silence puisse s’installer entre nous, nous sommes tous deux bavards !) mais tout de suite les discussions reprennent sur le thème "tu es contente de me revoir ?", "j’aime bien tes messages", "t’as vu mon gros téléphone !", la discussion tourne vite au vinaigre : on parle de ces choses DS et je lui glisse discrètement que le vieux monsieur a côté est tout rouge. Nous sirotons des mojitos et je ne sais si l’on va avoir envie de manger ...
Quelques minutes plus tard je lui glisse un : "j’ai envie que tu te lèves pour aller aux toilettes et qu’en passant tu te penches comme jamais pour lui offrir un spectacle qu’il n’aura peut-être jamais l’occasion de revoir, oseras-tu ?" Elle me regarde et rigole (cela semble trop simple pour elle). Elle s’exécute et je le vois rougir en regardant son décolleté. je suis à ce moment un peu jaloux car je n’ai pas encore pu en voir autant je dois avouer.Mais en revenant elle vient se rasseoir et je lui vois faire de même pour moi en me regardant droit dans les yeux, elle fait une pause et me dit "tu aimes cela mon maître ? Tu es fier de moi ?" Je suis fier effectivement, je suis son maître, heureux maître.
Nous continuons notre discussion et le feeling est toujours au rendez-vous. Mais je lui ai demandé quelque chose : il me faut le vérifier ! Je lui glisse donc un "j’ai envie de passer aux choses sérieuses, ce repas m’a ouvert l’appétit sexuel !" Elle rougit et me répond : " ah bon, maître ? Je vous plais toujours alors ?" "Oui, mais avant toute chose je souhaiterai vérifier un petit détail !" Je vois son regard mi-intrigué, mi ayant compris de quoi il retourne. "Je vais aller aux toilettes, en revenant tu ouvriras tes cuisses dans ma direction afin que je vois ce qu’il en retourne sous ta robe. Je t’avais demandé de ne pas porter de culotte et j’espère que tu m’auras écouté, au pire tu as 3 mn pour l’enlever ..." je lui esquisse un grand sourire, n’attendant pas sa réponse je m’en vais lui tournant le dos. Je ressors des toilettes et marche lentement vers elle, lorgnant surtout ses cuisses pour le moment fermées. Mais au bout de quelques pas elle les ouvre durant 1 ou 2 secondes me laissant apercevoir une belle petite vulve à l’air libre.Je viens vers elle et l’embrasse langoureusement, elle est surprise, le début de son apprentissage !
"Allons-y en silence !", je me lève et m’en vais payer, ma demande de silence semble l’avoir refroidie et elle ne dit plus mot. Je crois qu’elle a compris son rôle et qu’elle le fera bien. Je crois que ce rôle lui plaît car j’ai aperçu que sa petite chatte était toute dégoulinante à l’instant.
Nous sortons, je la prends par la taille comme un vieux couple le ferait et lui dit : "maintenant direction l’hôtel, il est juste là en face, tu as encore le choix de partir", "non, je suis ta soumise !" Nous nous engouffrons dans l’hôtel. Arrivons devant l’accueil, je demande une chambre à l’hôtelier. Elle est à côté de moi et elle sent une main aventureuse se poser sur son arrière train, soulever sa robe discrètement et passer dessous. Je profite de ses jolies fesses. Elle est figée ne s’attendant pas à ce que cela se produise à ce moment-là. L’hôtelier nous donne la clef, elle est "libérée" de ma main et nous montons prestement dans la chambre qui nous attend. Devant la porte je l’arrête et lui dis : "on va rentrer dans cette pièce, mais dès que nous serons rentrés tu seras à moi et tu accepteras les règles de mon jeu, compris ?" Elle esquisse un sourire coquin en me répondant "oui mon maître, bien compris". Nous rentrons dans cette petite chambre, je referme derrière nous, j’écarte un peu les bras et lui dis : "il lui faut m’enlever mon manteau et le pendre, fais de même avec le tiens !" Elle s’exécute maladroitement, légèrement tremblante : je sais bien qu’elle se demande encore à quelle sauce elle va être mangée. Je me colle alors contre elle, passe mes mains sur ses hanches et embrasse son cou en disant "tu sais, un maître est aussi un peu amant s’il le souhaite." Je la pousse délicatement proche du mur et lui lève les bras en lui glissant à l’oreille : " pose tes mains sur le mur, mets-toi en position de contrôle de police, il va falloir que je contrôle ta marchandise des fois que tu aies amené avec toi des micros ou des armes." Elle rigoles, s’exécute et me demande "je dois rester longtemps comme ça ?" Je soulève sa robe et lui assène une petite fessée en disant : "ne pose pas trop de questions stupides quand même !", elle tentes de se retourner, je la replaque avec force contre le mur en lui disant "rappelles-toi : tu es à moi. Tout se passera bien je ne suis pas là pour te faire souffrir mais bien pour te donner du plaisir !" "Merci mon maître, pour le moment le plaisir me subjugue".
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