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Line et Ahmed

Chapitre 1

Hétéro
Où l’on retrouve Line, jeune fille qui vient de réussir son Baccalauréat. Avec sa cousine Marjorie lors des vacances d’hiver, elles ont fait la connaissance de Bernard le directeur du chalet ainsi que des moniteurs Luc, Marc et Lucille. Si Line était innocente en arrivant au chalet, ce n’était plus le cas en partant. La dernière soirée qui a réuni les deux cousines, les deux moniteurs, Lucille, Bernard et les cuisiniers restera dans leur mémoire (voir LES VACANCES DE NEIGE). Au retour, Line qui ne s’était pas protégée doit consulter Jean-Paul un gynécologue qui accepte de pratiquer une IVG. La préparation à l’examen et à l’opération avec l’aide de l’anesthésiste Désiré laisse un souvenir ému à la jeune fille, surtout la taille du sexe de Désiré. (Voir LE GYNÉCOLOGUE). Après le baccalauréat, Bernard, le directeur du chalet reprend contact avec les deux cousines et les convainc par un petit chantage à participer aux séances qu’il organise pour la satisfaction de messieurs bien argentés. Au vu de l’enveloppe de billets reçue après leur première participation, les deux cousines ne font plus de difficulté pour continuer les séances. Lors d’une d’entre elles, Line rencontre Ahmed, jeune ingénieur informaticien, pourvu d’un appendice semblable à celui de Désiré. Elle a le plaisir de lui faire l’amour, après avoir pris la précaution de recevoir au préalable une queue de dimensions moins imposantes. Bernard, inquiet pour sa protégée, renvoi Ahmed et interdit à Line de le revoir. La jeune fille découvre que sa mère et sa tante, mère de Marjorie, font partie du ‘cheptel’ de Bernard. Furieuse elle refuse de continuer les participations aux séances récréatives (voir LES APRÈS-MIDI RÉCRÉATIVES).

AHMED RETROUVE LINE
Après avoir été renvoyé, Ahmed furieux se retrouve sur le trottoir. Jamais il ne s’était senti aussi humilié. Il évite les regards narquois des autres invités qui le quittent devant l’immeuble. Ce Bernard ! L’accuser de violenter une jeune fille ! Et les autres qui approuvaient ! Ils étaient jaloux, oui ! Jaloux de la jouissance de la fille ! Ils ont bien vu qu’elle prenait son pied ! Est-ce de la violence ça ? Pour une fois où il était heureux de partager son plaisir ! Qu’il avait enfin trouvé quelqu’un qui acceptait son… il allait dire infirmité, mais puisque qu’une femme a joui avec, il ne se sent plus handicapé. Il faut absolument qu’il la retrouve cette… comment se nomme-t-elle ? Ah oui ! Line. C’est la femme qu’il attendait depuis qu’il était en âge de faire l’amour, la femme de sa vie ! Qu’importe qu’elle soit une prostituée, il faut qu’il en sache plus sur elle, où elle habite, où elle travaille, ou plutôt vu son âge où elle étudie, avant de la contacter en dehors de toute présence importune. Il décide de la suivre.
Dissimulé dans l’encoignure d’une porte, il assiste à la sortie de Line en compagnie de Denise et des deux autres femmes dont il ne se souvient plus du nom. Toutes les quatre elles marchent sur le trottoir jusqu’à la bouche de métro où Line se sépare de ses compagnes. Ahmed fonce à sa poursuite. Il a juste le temps de la voir emprunter la direction \"Porte d\’Orléans\" et arrive sur le quai en même temps que la rame. Il attend que la jeune fille monte pour grimper dans la dernière voiture. A chaque station il descend sur le quai, vérifie qu’elle reste dans la rame et remonte. Ah ! La voilà ! Zut ! Line se dirige vers lui ! Il court en avant et se cache dans un couloir pour la laisser passer. Il la suit ainsi jusqu’à un immeuble dans lequel elle entre. Il note la rue et le numéro. Les noms inscrits sous les sonnettes ne lui disent rien. Il reviendra et patientera jusqu’à ce qu’il la voie sortir.
Il a beau avoir des horaires élastiques dans son travail, il ne peut consacrer tout son temps à sa filature. Il essaye de varier les heures pour augmenter les chances d’une rencontre. Quatre jours qu’il fait le pied de grue, quatre jours qu’il espère se retrouver nez à nez avec l’objet de ses désirs. Déjà quelques passants le reconnaissent et le dévisagent soupçonneux. Il regarde sa montre. Il doit retourner au bureau pour signer le courrier. Oh ! La voilà ! Il fonce la rattraper, fait semblant de la pousser dans le dos. — Pardon, mademoiselle… Oh ! C’est vous Line ? — Euh… Oh ! Bonjour Ahmed, sourit-elle en le reconnaissant. — Je m’excuse de vous avoir bousculé. J’espère ne pas vous avoir fait mal. — Oh non ! Pas du tout ! Euh…— Euh… Ni l’un ni l’autre ne savent que dire. Ils sont heureux de la rencontre mais n’osent pas le montrer. — Euh… Voulez-vous prendre une tasse de café, propose-t-il. — Avec plai… Oh non ! Je suis désolée. Je n’ai pas le temps, je dois me rendre au secrétariat de la faculté. — Après votre rendez-vous alors ? — Si vous voulez. Vous connaissez le bar…Ahmed promet d’être à l’heure. Ils se quittent chacun satisfait de se revoir.
Ils ont beaucoup parlé, deux heures au moins, retardant par des motifs futiles l’instant de la séparation. Deux heures pendant lesquelles, ils ont abordé de multiples sujets sans jamais oser effleurer celui qui les préoccupe, l’après-midi chez Bernard. A la fin, Line se lève. — Euh… Je dois rentrer chez moi, il se fait tard. — Oh !… en effet, admet-il en consultant sa montre. Excusez-moi de vous avoir retenu si longtemps. — Ce n’est rien, je suis… euh… Je ne me suis pas ennuyée. Ahmed l’accompagne jusqu’au métro. — Puis-je espérer vous revoir ? — Oh oui !… Euh… si cela ne vous dérange pas. — Pas du tout, disons demain entre midi et deux heures ici même ?
Line chantonne en montant dans la rame. Elle a retrouvé Ahmed. Elle va pouvoir ressentir de nouveau la jouissance si profonde qui l’a ébranlé quelques jours auparavant et lors des trois étreintes avec Désiré. Tout à coup, elle se fige. Elle a eu besoin de conditions particulières pour apprécier pleinement le volume de leur sexe. Les quatre fois, elle a été « préparée » par une pénétration disons, normale. Est-ce que Ahmed acceptera de recréer ces conditions, permettre une rencontre en trio ? Et comment lui demander ? Elle ne peut pas déclarer tout de go : « Je veux bien coucher avec vous, mais seulement après avoir été baisée par un autre » ! Elle soupire. Ce n’est pas gagné d’avance ! Quant à subir Ahmed sans préparation, non ! Mille fois non ! Elle a trop peur d’être déchirée, estropiée !… C’est sans issue, vaut mieux couper court. Elle n’ira pas au rendez-vous… Non ! Ce n’est pas la solution. Une queue comme celle d’Ahmed, on n’en rencontre qu’une ou deux fois dans sa vie. Pas question de la laisser filer ! Elle trouvera une solution. Il le faut ! Confiante dans l’avenir, elle se remet à fredonner un refrain à la mode s’attirant des sourires de la part des autres passagers.
Ce n’est qu’à la troisième rencontre, au cours d’une promenade sur les bords de Seine, qu’Ahmed se lance. — Je ne sais pas si j’ose vous le dire…— Je vous en prie. — Euh… vous savez… euh… je garde un merveilleux souvenir de notre première rencontre. — Dans le bar près de l’université ? — Non… chez… euh… Bernard… Line se retient de claironner : « Moi aussi ! » — C’est bien vrai ? Vous ne dites pas ça pour m’endormir ? — Oh non ! Je n’avais jamais auparavant ressenti autant de plaisir dans les bras d’une fille, je vous assure. Line frémit à cet aveu, « Moi si, avec Désiré, c’est la raison pour laquelle je suis heureuse de te rencontrer » a-t-elle sur le bout de la langue. Elle ne dit mot. — Vous allez souvent chez… euh… Bernard ? reprend-t-il. — Non, plus maintenant. — Ah ! La réponse de Line le déconcerte. Il pensait avoir trouvé le biais pour aborder le sujet qui l’intéresse. — Pourquoi vous me demandez ça ? s’inquiète-t-elle. — Euh… Je pensais… Euh… on pourrait… — On pourrait quoi ? — Euh… Recommencer… — Recom… Oh !… Ahmed baisse les yeux. Il est allé trop loin ! Quel imbécile ! Ne pouvait-il pas tenir sa langue ? Line soupire. Le jeune homme désire lui refaire l’amour, c’est déjà ça. Mais sera-t-il prêt à satisfaire son exigence, de la partager ? Tant pis pour les conséquences, il faut qu’elle pose ses conditions. — Vous vous rendez compte de ce que vous demandez ? — Pardonnez ma demande incongrue, dit-il sans la regarder. — Euh… moi aussi j’ai beaucoup apprécié… — C’est vrai ? — Comme si vous ne vous en étiez pas rendu compte. — Oh ! Vous ne savez pas le plaisir que vous me faites. Il la serre dans ses bras. Line penche la tête en arrière. Il décode l’invitation et applique sa bouche sur les lèvres qui s’entrouvrent.
— Vous accepteriez de venir chez moi ? demande-t-il plein d’espoir quand leurs bouches se séparent. Line ne répond pas directement. — J’ai beaucoup apprécié chez Bernard mais… — Que… que voulez-vous dire ? Il a l’impression de recevoir une douche froide. — Les circonstances étaient particulières… Un autre invité venait de faire l’amour avec moi quand nous nous sommes… euh… réunis. Il la dévisage perplexe. Que veut-elle lui faire comprendre ? — Je pense que cette situation singulière est pour beaucoup dans la réussite de notre… euh… rencontre… Oui, poursuit-elle devant son regard interrogatif, je demeure persuadée que c’est parce qu’un autre a préparé le chemin que j’ai pu accueillir sans dommage votre… euh… votre sexe… euh… un peu gros. — Je vous ai fait mal ? — Pas du tout au contraire, mais je m’efforce de vous expliquer pourquoi. — Vous… vous êtes entrain de me dire qu’il faut qu’une personne vous baise juste avant moi ? — J’ai trop peur d’être blessée… Ils reprennent leur promenade. — Vous m’en voulez pas ? demande-t-elle inquiète de son silence. — Non, je vous remercie de votre franchise. — Vous êtes fâché je vois. — Non… Mais, ajoute-t-il après un profond soupir, c’est dur de s’entendre reprocher une infirmité…— Oh ! J’ai rien dit de tel ! Moi aussi j’ai éprouvé du plaisir dans vos bras, moi aussi je souhaite ardemment le retrouver… mais… mais pas au prix de la souffrance. Ils cheminent un moment sans dire un mot. Ahmed s’arrête. — Si… si je trouvais une solution acceptable, vous viendriez chez moi ? — Oh oui !… euh… pardon, avec plaisir. Vous pensez à quelque chose ? — Euh… Je ne peux rien vous promettre. Je ne suis pas seul en cause vous comprenez…Ils reprennent leur marche. Tout à coup Line se colle contre lui. — Embrassez-moi…Ils se séparent sur la promesse d’un nouveau rendez-vous au même endroit la semaine suivante.
Ahmed a du mal à se faire à l’idée de partager sa dulcinée. Ses ancêtres maghrébins doivent se retourner dans leur tombe s’imagine-t-il. Que penseraient-ils de leur descendant ! Oui mais, quelle autre solution proposeraient-ils pour convaincre Line sans la brutaliser, la contraindre ? A force de penser à la jeune fille son désir s’amplifie. Il doit s’isoler dans des toilettes publiques pour se soulager par quelques coups de poignets. Provisoirement calmé, il peut mieux réfléchir. Cela ne peut plus durer. Il décide de satisfaire les exigences de Line. Il lui présentera un compagnon lors de leur prochain rendez-vous… mais qui ? Qui acceptera de jouer le rôle ? Il ricane en pensant à ces chevaux qu’on présente à des juments en chaleur pour les exciter avant que l’étalon les monte. C’est exactement de cela qu’il s’agit ! Euh… Pas tout à fait car en plus Line exige la pénétration préalable ! Exige… exige ! Ses gênes nord-africaines se rebellent. Qu’a-t-elle à exiger ? Une femme, ça se soumet aux désirs de son homme ! C’est lui qui exigera d’être seul, la forcera au besoin… Forcer ? L’image d’une Line en larme, écartelée, écrasée sous son corps, défile devant ses yeux. Non, il ne se voit pas la baiser sous la contrainte, ce serait un viol, oui un viol. Ahmed soupire, qui peut l’aider ? — Philippe !… Non, pas lui…Pourquoi est-ce le premier nom qui lui vienne à l’esprit ?… Au fait, pourquoi pas ? Les deux jeunes gens très liés jusqu’alors se sont brouillés un an auparavant lorsqu’Ahmed a sèchement repoussé les avances timides que lui faisait son ami d’enfance. Depuis, eux qui étaient inséparables, se sont évités ne se côtoyant que dans des endroits publics, environnés de connaissances. Avec le recul du temps, Ahmed déplore sa brutalité. L’amitié de Philippe lui manque. Il aurait du faire preuve d’un peu de tact au lieu de proférer des paroles blessantes. Certains soirs à la suite de rencontres décevantes avec des prostituées, il en vient à regretter de ne pas avoir tenté l’expérience. Peut-être dans son cas, avec son infirmité, des amours masculines seraient un succédané acceptable ? Oui, Philippe acceptera, ne serait-ce que pour restaurer leur amitié. Il est sûr que s’il lui demande, son copain le secondera, non sourit-il, le précédera ! Il recherche dans son carnet d’adresse les coordonnées de son ami en espérant qu’il n’a pas changé de numéro…
A suivre…
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