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Céline et Christelle

Chapitre 1

Hétéro
Cela faisait déjà deux semaine que je sortais avec Céline et, jusque-là, nos relations étaient restées très chastes : quelques baisers langoureux et de nombreuses caresses à travers les tissus mais rien de plus. Pourtant, dès que je l’ai vu, je l’ai trouver très excitante avec son petit corps menu mettant en valeur ses seins appétissant (un 85 B pour une aussi petite femme) et un petit cul à faire bander un cadavre. Cela faisait déjà deux semaines donc quand, pour la première fois, à l’occasion d’une baignade au bord du fleuve, il me fut donner de voir son corps d’un peu plus près : bien qu’il ne se passa rien cet après-midi, je ne pu m’empêcher de fantasmer sur ce corps presque nu si proche de moi. A un moment, alors que nous nous embrassions tendrement, dans les bras l’un de l’autre, je fis exprès de frotter mon membre durci contre son bas ventre pensant que ceci l’exciterait suffisamment pour qu’elle me dise d’une voix douce : ’allons chez toi faire l’amour’. Hélas, elle ne dit rien de tel ; au contraire, quand j’aventura un doigt sous la culotte de son bikini, elle me demanda de rester sage. Bien décidé à n’en pas rester là, je l’invite à manger avec moi le soir même. Elle hésite un peu car elle a promis à sa copine Christelle, 19 ans comme elle, de passer la soirée avec elle. Même si cela gêne un peu mes plans érotiques, je lui dit de l’appeler pour lui dire qu’on va aller la chercher (Christelle habite à une vingtaine de kilomètres de chez moi et n’a pas de véhicule). A la différence de Céline qui est petite et semble fragile, Christelle est une jeune femme aux formes bien affirmées, aux hanches larges et aux seins lourds. Ses longs cheveux bruns et sa dégaine de hippy dégagent une forte sensualité. La soirée se passe très bien : le repas que j’ai confectionné est plutôt réussi, le vin délicieux et, après nous être bien restaurés, nous décidons de finir la soirée autour de spliffs d’un excellente herbe. Céline ne se décoince toujours pas alors que Christelle n’arrête pas de me lancer des ?illades assez suggestives : j’en vient même à regretter de ne pas être seul avec elle. Vers une heure du matin, le propose aux filles de rester dormir là car je suis trop défoncé pour reprendre le volant et les raccompagner. Mon appartement étant petit, se pose la question de savoir qui dormira dans le canapé et qui partagera mon lit. Evidemment, Céline décide de dormir avec moi. Nous installons donc Christelle dans le salon et allons nous coucher. Céline met un long t-shirt et garde sa culotte en guise de tenue de nuit alors que, fidèle à mon habitude, je me dénude entièrement pour passer sous la couette. Une fois sous les draps, nous nous enlaçons et nous bécotons un peu. Comme Céline semble craintive, je lui dit qu’il ne se passera que ce qu’elle voudra bien qu’il advienne. L’herbe semble faire son effet car notre embrassade devient de plus en pus torride. Aussi, je glisse une main sous son t-shirt pour lui caresser le dos ; elle se laisse faire et j’en profite pour coller mon corps tout contre le sien. Mon sexe est complètement tendu par l’excitation et, tout en lui disant des mots doux à l’oreille, je commence à le frotter contre sa culotte. Mes caresses font de l’effet car, au bout de quelques minutes de ce traitement, elle me dit qu’elle veut bien faire l’amour à condition que je sois doux avec elle. Cette nouvelle me rend aux anges et je décide aussitôt de lui ôter son t-shirt. Ses seins sont magnifiques, parfait! ! ement ronds et fermes, ils se dressent fièrement comme pour me demander de les lécher, ce que je fait. Tout en titillant ses tétons, je commence à caresser sa culotte jusqu’à ce que je sente l’humidité de son intimité à travers le tissu. Alors, je glisse ma main sous celui-ci et masse son minou généreusement fourni puis, ses lèvres s’écartant, j’introduis un doigt dans son sexe et la masturbe le plus délicatement possible. Elle respire de plus en plus fort et le pourpre colore ses joues mais, comme elle se contente de me caresser le ventre, je prend sa main et lui fait saisir mon membre. Le contact de ses doigts contre mon sexe est un délice et, pendant de très longues minutes, nous restons ainsi, nous masturbant réciproquement et nous embrassant. Enfin, je retire mon doigt de son fourreau de douceur et le porte à sa bouche : elle semble étonné de cette pratique mais elle le lèche langoureusement. Je replonge donc mon doigt dans sa petite chatte et, après avoir récolter son ne! ! ctar, je le lèche en la regardant dans les yeux : sa mouille est douce et très peu acide, j’ai envie d’en avoir plus, d’y plonger les lèvres. Depuis le début, elle est allongée sur le dos, je me met alors sur elle et, partant des lèvres, je l’embrasse en descendant lentement vers sa culotte. Là, je la fait glisser le long de ses jambes soyeuses et, une fois ce vêtement jeté loin de nous, je remonte, toujours en l’embrassant, de ses pieds à sa chatte. Je commence par y appliquer de petits baisers sur sa toison (j’aime les filles poilues) avant de me servir de ma langue pour licher l’entrée de son vagin. Céline a posé ses mains sur ma tête et me caresse les cheveux, ses soupirs de plaisirs se font de plus en plus sonores et, quand j’entreprends de m’occuper de son clitoris, de le lécher, de le sucer, elle cambre son bassin comme pour m’inciter à poursuivre ma caresse buccale. Enfin, après avoir pousser un petit cri et s’être immobilisée quelques instants pour récupérer de ce pre! ! mier orgasme, elle m’attire vers elle et, saisissant mon sexe, le guide vers l’entrée de son vagin. Je glisse en elle sans problème et m’introduit jusqu’à la garde, elle se pince les lèvres pour étouffer un râle de bonheur. Couché sur elle, alternant de longues pénétrations et une stimulation de l’entrée de son minou, je profite pleinement de la moiteur délectable de son corps. Nous restons de longues minutes dans la position du missionnaire qui procure beaucoup de plaisir à Céline à voir la façon dont elle réprime des petits cris de jouissance. Enfin, à un moment, je la fait se mettre à quatre pattes et la prend en levrette. C’est vraiment fantastique : le spectacle de son petit cul tendu vers moi et la musique de ses cris m’excite au plus haut point. Je la lime de plus en plus fort et, au fur et à mesure que le rythme de mes coups de rein s’accélère, elle s’exprime de plus en plus : Oh Oui, vas-y...oui, Hummm, OUII, HUMMM, OUIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! C’est dans ! ! un dernier râle de plaisir que je jouis en elle qui est au nirvana du sexe. Je m’écrase alors sur elle qui s’allonge confortablement. Mon sexe est encore dur, j’ai encore envie de la prendre et nous voici reparti pour une cavalcade frénétique avant de jouir ensemble et de nous écrouler plein de plaisir. Bientôt, Céline s’endort et je reste quelques instants à côté d’elle en repensant à cette première fois. Je ne sais pas pourquoi, mais cette partie de sexe m’a couper l’envie de dormir, aussi, comme je ne fume jamais dans ma chambre, je décide d’aller fumer un spliff dans la cuisine. Je passe donc un kimono et, en faisant le moins de bruits possible en traversant le salon, je vais me servir un verre de jus de fruit et commence à rouler. Je l’allume quand Christelle arrive en me disant ne pas trouver le sommeil. Elle porte une combinaison blanche qui s’arrête à mi cuisses et qui laisse deviner ses formes généreuses. Je lui tend le spliff et lui propose de lui servir un verre mais, comme elle est la plus proche du frigo, elle me dit de ne pas me déranger. Quand elle se penche pour prendre la bouteille, sa combinaison remonte suffisamment pour que je m’aperçoive qu’elle ne porte pas de culotte (et que sa chatte est épilée). Il est impossible qu’elle ne s’en soit pas rendu compte et, à l’idée qu’elle me provoque ainsi, ma bitte retrouve de sa vigueur ; une vigueur que j’ai du mal à d! ! issimuler sous mon kimono. Elle s’assoit tout à côté de moi et, me posant une main sur la cuisse, me demande comment s’était. Je fais l’innocent et demande de quoi elle parle. Alors, elle me fait remarquer que les cloisons sont assez fines et que, à entendre crier Céline, elle a peu de doute quant à nos activité. Ce disant, elle se penche tellement vers moi que je ne résiste à l’envie de l’embrasser. Elle accueille avec plaisir ma bouche et, devant ce signal amicale, je saisi ses seins et les malaxe allègrement. Alors, elle se lève, me prend par la main et m’entraîne vers le sofa. Là, elle me fait m’allonger, s’assied à califourchon sur mes cuisses et ôte sa combinaison. J’admire quelques instants ses sens lourds aux auréoles étendues, ses hanches larges et rebondies, et surtout, sa chatte complètement épilée. De son côté, elle défait ma ceinture et mettant à nu mon corps, . Elle se glisse un peu en arrière et met mon sexe en bouche pour initier une fellation des meilleurs. Pe! ! ndant qu’elle me suce, je flatte sa chatte avec mon gros orteil, ce qui a pour effet de la rendre encore plus affamée de mon membre. Comme je sens que je vais exploser, je la fait se retirer et l’invite à venir se mettre sur moi. L’idée semble lui plaire car il ne lui faut pas longtemps pour être complètement empalée sur moi. Son sexe est très confortable et, pendant qu’elle monte et descend sur mon membre, je suis fasciné par le spectacle de ses seins monstrueux qui ballottent dans tous les sens. Je la caresse partout, lui flattant les seins, empoignant ses fesses et titillant son clito. Je parvient même à enfoncer un doigt en plus de mon sexe dans son vagin. A voir la façon dont elle me regarde à ce moment là, j’en déduit que c’est une grosse cochonne (ce qui n’est vraiment pas pour me déplaire). Enfin, de ce doigt lubrifié par sa mouille, j’entreprends de lui caresser l’anus. Ca a pour effet de la déchaîner complètement et elle va même jusqu’à appuyer sur mon doigt comme po! ! ur me dire d’aller plus vite. Alors, j’introduit d’un coup sec mon majeur ce qui lui arrache un cri de douleur en même temps qu’un air de satisfaction totale. Alors, je lui demande de se mettre à quatre pattes et, après avoir bien enduit son anneau de salive, je la sodomise sous ses paroles approbatrices. Son anneau est très accueillant et Christelle m’encourage à aller toujours plus loin et plus fort. Finalement, je jouis en elle et, à peine les premiers jets de sperme sortis, elle se dégage de ma prise, se retourne et me nettoie le sexe du mieux qu’elle peut avec sa langue. Je suis complètement crevé et n’ai qu’une envie : aller me coucher. Quand je souhaite une bonne nuit à Christelle, elle m’embrasse langoureusement et me dit que sa porte me sera toujours ouverte. Parvenu dans ma chambre, je constate avec un certain soulagement que Céline dort profondément. Je ne tarde pas à la rejoindre au pays des rêves.
Le lendemain, en raccompagnant Christelle, nous avons refait l’amour chez elle car ses parents n’y étaient pas. Quant à Céline, nous sommes restés ensemble tout l’été mais, bien qu’elle ait accepté de pratiquer la fellation, je n’ai pas réussi à la convertir à la pénétration anale, chose que je fais régulièrement avec Christelle avec qui je suis aujourd’hui.
Marley
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