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Céline, une Anim' en or

Chapitre 1

Adultère / Polonaise / Fellation

Erotique
Quand j’avais la vingtaine, j’ai fait pas mal de voyages en tant qu’animateur. Je m’occupais de personnes en situation de handicap, dans des équipes jeunes et dynamiques, lors de séjours aux quatre coins de la France. Les vacanciers y sont assez difficiles à gérer, mais ces expériences sont extrêmement enrichissantes et la rudesse de l’aventure permet de créer des liens forts entre collègues. C’est dans ce contexte que peuvent rapidement se créer de forts sentiments d’attachement et se développer d’étranges atmosphères, emplies de tensions sexuelles.

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Durant l’été, ma peau prend des teintes bronzées et je passe mon temps à déambuler en short de bain. J’ai souvent les cheveux ébouriffés et le visage marqué par le soleil. Soleil qui me rend aussi plus heureux, plus souriant et plus confiant. Avec les activités du séjour, je deviens rapidement tchatcheur, débrouillard et bienveillant, mais aussi le cuisinier (mention barbecue oblige) et le sportif par défaut. Dans le huis clos du séjour, je prends vite le rôle de premier courtisan des animatrices. Séparés de nos familles et amis, mis à rude épreuve par les conditions précaires du voyage : peu de sommeil, beaucoup de travail, fatigue physique et psychologique, nous ressentons un fort besoin de proximité et j’y réponds avec tact et gentillesse.
Amateur de camping et camps de vacances, j’ai, plus jeune, toujours su me glisser dans les chambres qui m’étaient défendues et passer des nuits en bonnes compagnies, faisant découvrir les plaisirs charnels à des amours estivales, dans le dos de leurs parents.
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Sur mon dernier séjour, j’avais rencontré une jolie blonde aux yeux bleus : Mélanie. Nous nous étions embrassés dans la paille d’une grange non loin de notre gîte. Elle avait un petit ami en dehors du camp, mais elle l’avait oublié le temps d’un instant. Nous nous étions caressés, câlinés, mais sans aller plus loin, seulement pour profiter de notre proximité. Nous avions savouré ces moments, flirtant entre nos limites et nos fantasmes. Puis nous nous étions séparés et elle était retournée à sa vie d’avant, me laissant le souvenir de ses tétons rosés entre mes lèvres, point final de notre semaine aventureuse.
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Cet été, je partais le cœur léger, j’avais amené quelques jeux pour les vacanciers, des histoires et des blagues plein la tête. C’est à l’embarquement, devant des lignes de bus, que je rencontrai rapidement mon équipe : trois jeunes filles et deux garçons, tous de mon âge. Le responsable était une connaissance, un chic type, barbu et souriant, mais ce qui attira mon attention toute cette première journée ce fut Céline : la vingtaine, les cheveux longs, de beaux yeux entre le vert et le bleu. Elle avait un ou deux ans de plus que moi et représentait la beauté inaccessible. Elle avait les cheveux fins, qui couraient le long de son visage et elle discutait avec les familles des vacanciers, elle dégageait une aura mature, rassurante et sensuelle partout où elle passait. Son corps était proportionné, plus abouti et féminin que mes précédentes partenaires, plus proche de la femme que de la fille sans doute.
Ses hanches étaient larges, son ventre, révélé par un chemisier noué au-dessus de sa ceinture, était plat et lisse, ses cuisses voluptueuses et ses jambes longilignes. Elle avait la peau très claire, les yeux brillants et le sourire facile (critère auquel, vous comprendrez bien vite, je m’attache énormément).
Dès les premiers jours, le séjour se passait bien, tout le monde s’entendait et les vacanciers semblaient s’épanouir. Chaque animateur devait s’occuper de son chalet, du petit groupe de vacanciers qui y logeait (quatre lits par bungalows ; les anims’ dormaient sur le canapé de la pièce de vie : astreintes nocturnes obligent) et de la préparation de leur repas. Je faisais des rondes pour divertir nos nouveaux hôtes en situation de handicap et donner des coups de main en échange de petites discussions avec les collègues. Nous planifions les activités sur le tas, selon la météo, et organisions de petits jeux sur les tables des terrasses. Céline était logée juste à ma droite, le dernier cabanon, côté piscine et forêt. Nous devînmes très rapidement inséparables, mais plus nous nous liions d’amitiés, et plus je tombais sous son charme.
Bien qu’elle nous ait avoué avoir un compagnon de vie, auquel elle était fortement liée, elle eut rapidement de nombreux prétendants tacites au sein du camping, tant elle plaisait à chacun. Je suis persuadé, encore aujourd’hui, qu’elle s’en rendait bien compte et en jouait facilement. Elle était à l’écoute, réceptive et amicale, mais j’aurais eu bien du mal à décrire le mystère qui l’entourait. Je sentais qu’elle était trop bien pour nous... Elle était plus distinguée et plus élégante, assez intelligente et mesquine pour nous taquiner sans nous provoquer ouvertement. Mais les séjours sont un monde à part. Ici les limites se franchissent, les sentiments vont plus vite, sont plus forts. Tout y est décuplé. Céline devint rapidement trop proche, trop confiante et trop désireuse.
Nous finîmes par devenir, dès la première semaine, de bons confidents. Nous discutions régulièrement, nous échangeant des textos et discutant de nos passions respectives. Elle m’ajouta sur Instagram et nous nous retrouvions en soirée pour nous raconter nos aventures passées et nos problèmes familiaux respectifs. Je lui confiais mes histoires de camping, mes ébats passés avec Mélanie et mes déceptions récentes. Elle me parlait de son rapport avec le sexe et l’amour, insistant sur leur indissociabilité et m’avouant qu’elle était désireuse de coucher rapidement avec ses partenaires avant d’aller plus loin, afin de tester leur compatibilité avec ses exigences. Plus les jours passèrent, plus je me rendais compte qu’elle était portée sur le cul et l’espièglerie.
Et si d’un côté elle me parlait de son copain et de la force de leur union, de l’autre elle n’hésitait pas à me demander conseil pour trouver un endroit où étendre ses strings hors de portée des vacanciers, ou me faire remarquer qu’on les devinait facilement sous ses habits. Je répondais à ses avances d’un air neutre et indifférent, mais je peux vous assurer que j’étais désarçonné et excité par son attitude désinvolte et son manque de pudeur. Je me rendais bien compte que cette fille aimait flirter et qu’elle semblait s’amuser de moi, mais j’appréciais cette tension sexuelle qu’elle entretenait.

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La première semaine se passa sans problème, tout le monde faisait son travail, il n’y avait pas de disputes. Nous organisâmes des sorties et des barbecues, des animations et des karaokés et nous fêtions l’été à grands verres de Tourtel Twist.
Pour entamer le week-end convenablement, je m’étais réservé quelques jours de repos, nécessaires pour décompresser et changer d’air. Céline disposant d’une demi-journée, nous décidâmes d’en profiter pour nous éclipser du camp de vacances. Après avoir tous deux fait des pieds et des mains pour organiser notre escapade, nous réussîmes à planifier nos congés pour avoir une après-midi en commun et pouvoir disposer de la voiture de fonction du responsable. Nous avions eu l’idée et l’envie de flâner ensemble le long des berges d’un village voisin et avions des vues sur un restaurant chic à la carte alléchante. Céline voulait aussi personnellement me faire goûter à deux trois spécialités et de mon côté j’étais ravi de la retrouver éloignée du groupe.
Nous déambulâmes tout l’aprèm’ dans les ruelles ensoleillées. Nous plaisantions en riant comme des tourtereaux et le soir venu nous prîmes une table au bord de l’eau, sur une terrasse isolée. Nous commandâmes des verres de liqueurs, des entremets complexes et des spécialités locales savamment cuisinées que nous dégustâmes baignés par les rayons d’un soleil couchant.
Nous passâmes une excellente soirée et je dois vous dire que je me noyais dans son regard quand, coupe de muscat à la main, elle me racontait sa vie complexe et mouvementée, de ses origines polonaises à sa récente recherche d’appart’. Elle était habillée d’une robe à pois rouges et blancs qu’elle avait achetée en me demandant conseil sur un marché local, elle était légèrement maquillée et parfumée.
Notre discussion porta aussi sur la complexité de notre séjour, les animateurs logeant dans les salles communes de nos quatre chalets, nous manquions d’intimité, même durant nos congés. Nous parlions aussi beaucoup de sujets plus tabous, et je commençais à être sacrément excité. Au détour d’une discussion mêlant ‘‘canapés-lits’ et ‘‘gémissement de plaisir’’, elle m’avoua avoir essayé plus d’une fois de se masturber durant le séjour, mais n’avoir jamais pu conclure, dérangée par les ronflements des vacanciers ou par la peur d’être épiée. Je restais pensif en sirotant ma coupe alcoolisée avant de glisser sur le ton de la conversation :
— Tu sais, si t’arrives pas à te faire jouir, je peux te rendre service !
Elle rougit avant de rigoler et nous passâmes à autre chose, sachant que nous avions frôlé les limites de notre amitié. La soirée continua, sans que la tension sexuelle ne disparaisse, tant Céline se montrait sexy et légère. Nous papotions, parlant de nos meilleurs ébats, entre collègues ou dans la nature, et elle me captivait en se mordant les lèvres ou en arrangeant son décolleté.
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Une semaine, puis deux, le séjour passait à une vitesse affolante. Ma relation avec Céline n’avait pas avancé. Elle continuait de me chauffer : je la retrouvais régulièrement dans mon lit après les réunions de fin de journée, plus ou moins vêtue, en train de manger de la glace ou de regarder son tel et je l’engueulais gentiment quand elle tachait mes draps. Elle était insouciante, plaquait parfois ses fesses contre mes cuisses ou me demandait de lui masser les épaules sous son haut. Mais elle évitait toutes mes avances quand j’essayais de la tirer dans mes bras, ou lui proposais de rester dormir. Elle commençait aussi à entretenir des relations ambiguës avec d’autres anims’, elle manquait parfois nos rendez-vous nocturnes pour aller designer des activités avec l’un d’eux et développait une complicité qui me titillait tant je devenais addict à sa présence.
Je n’arrivais pas à me satisfaire de cette situation, j’avais l’impression de perdre mon rôle privilégié à son côté. Je remettais tout en question, peut-être l’avais-je énervée ? Ou bien je ne lui plaisais plus ? Peut-être s’était-elle lassée de moi, car elle m’estimait acquis ? Ou bien avait-elle pris peur en se rendant compte qu’elle s’amourachait contre son gré ? Toutes ces questions bourdonnaient dans ma tête et la fatigue aidant, je me retrouvais à broyer du noir. Je pense que j’étais tombé amoureux de Céline et que je le constatais bien trop tard, que j’avais trop espéré, sans me soucier de la réalité. Au fil des jours je suis devenu jaloux et envieux et j’ai caché mes émotions pour ne pas avouer mes maux, quitte à m’enfermer dans le mutisme et la tristesse.
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En tant qu’animateur, il est difficile d’être déprimé, et je commençais spontanément à éviter les vacanciers et les activités : je me suis progressivement penché vers les tâches ménagères. J’ai expliqué au responsable que je m’étais trouvé une passion pour la cuisine et m’enfermais dans les chalets pour cuisiner en solitaire pour le groupe entier. Les jours passèrent sans que l’on me remarque, et j’attendais la fin du séjour avec monotonie. Mais sur mon jour de repos, alors que j’avais décidé de passer la journée au lit, Céline vint frapper à ma porte : elle m’amenait un petit-déjeuner, comme j’avais pris l’habitude de lui en faire durant ses permissions, avec un fruit coupé, et mes friandises préférées.
— Je peux ? me demanda-t-elle en pointant mon matelas du doigt. J’acquiesçai, les yeux embués :— Hum...— Aujourd’hui je m’occupe de ton chalet, me dit-elle en s’asseyant.— Merci, c’est ... gentil !— Tu peux le manger quand tu voudras, repose-toi ! me fit-elle en passant sa main sur ma jambe.— Merci.— Et j’espère que ça ira vite mieux, t’as pas l’air dans ton assiette en ce moment.— Hum, comme tu dis.— J’espère que c’est pas de ma faute ? Si tu veux on en reparle ce soir Dan.— Euh, je sais pas, ouais peut-être, je veux pas te déranger hein.— Mais non t’inquiète. T’es trop mimi avec tes cheveux ébouriffés !!
Elle me fit un petit câlin et s’en fut en sautillant, annonçant au groupe de mon chalet que le petit-déj’ était servi à côté et qu’il fallait essayer de ne pas me réveiller. Je me rendormis lentement après avoir grignoté une viennoiserie. Céline avait laissé son parfum partout, et je maugréai silencieusement en rêvant d’elle.
La journée se passa comme je l’avais prévue, sans mouvement. Une fois le petit groupe de vacanciers parti en visite, je pris possession de la piscine pour l’aprèm’ et retournais dans mon lit le soir venu. Céline revint à l’assaut en soirée, envoyant quelques messages durant son service, elle voulait savoir ce qui me tourmentait et ne me laissa pas de répit, menaçant de passer si je ne répondais pas, menaces qui, soit dit en passant, m’auraient ravi. Elle avait rallumé la flamme et hantait toutes mes pensées.
La soirée fila cependant, jusqu’à ce que les anims’ soient conviés à la réunion, à laquelle je n’assistais pas. Céline ne passa pas, mais après moult insistances de sa part, je lâchai le morceau par message :
[SMS,< Céline,> Moi]< Heyy, alors comment il va le bg ?< T’avais quoi à bouder tout hier ?> Hey> C’est comme l’été dernier avec Mélanie. C’est bientôt la fin du séjour et je me sens vide et seul.< Hum... Je vois. Mais il va vraiment falloir que tu arrêtes de me parler d’Elle, ça me rend jalouse.> Hum ? OK, mais t’es bien mieux t’en fais pas !> La journée ça a été de votre côté ?< Oui oui ! J’espère bien oui !< C’est bon, ils sont couchés de mon côté, si tu veux tu peux passer au bungalow... m’expliquer ;)
J’hésitai longuement, mon cœur battait la chamade, j’avais fini par développer des sentiments bien trop forts et j’angoissais à l’idée que l’on s’en rende compte. Mais d’un autre côté, Céline avait toujours été douce et bienveillante, surtout avec moi. Je finis de ranger mon espace de vie, je me douchai et je sortis, vêtu d’un seul short de bain dans la tiédeur de la nuit.
En quelques enjambées, j’atteignis la terrasse de son chalet, un rideau flottait par-dessus l’ouverture. Je frappai sur le battant de la porte pour m’annoncer et j’entrai. Mes yeux mirent un peu de temps à s’habituer à l’obscurité, Céline était sur son lit, elle venait de s’enrouler dans son drap blanc, jeté par-dessus son corps. Elle était vêtue d’un soutif noir et le drap couvrait ses cuisses dénudées en glissant autour d’elles, non sans faire ressortir leurs courbes et leur volume. Je laissai traîner mon regard sur ce spectacle avant de croiser ses yeux. Je regrettai rapidement de ne pas avoir mis un caleçon, je commençais à durcir sous la toile légère de mon short.
— Ah, je pensais que tu viendrais pas, tu m’as pas répondu.— Ah pardon, j’ai hésité, je te dérange ?— Non non, il y a trop de bruit... Ils ronflent et ça me fait vriller.— Tu faisais ce que je pense ?— Ouep pourquoi ? Tu veux toujours aider ?
Elle me fixait de son sourire malicieux, ses beaux yeux étincelaient malgré la faible luminosité. Elle fit glisser sa main droite par-dessus le drap en faisant mine de s’essuyer. Je rétorquai :
— Tu vois c’est ça ton problème, tu m’allumes alors que tu sais très bien que tu me fais de l’effet et que tu vas pas assumer.— Haha c’est un problème ?— Oui, tu te doutes bien que tu commences à me plaire non ? ... Tu sais, ça me travaille.— Euh, oui sans doute. (...) Je suis désolée, je pensais pas que ça te tourmenterait à ce point !
Elle me prit par la main et fit mine de réfléchir d’un air soucieux. Elle me tira contre elle et me prit dans ses bras en me serrant contre son corps.
— Tu sais, c’est pas qu’un jeu, je suis vraiment désolée, c’est que t’es mon type et je suis en manque.
Je la pris dans mes bras, caressant ses épaules et ses cheveux, debout devant son lit, sa tête reposant contre mon torse, sa déclaration ne m’aidait pas du tout.
— Faut dire, tu me plais beaucoup Céline, t’es vraiment craquante, je sais pas si tu t’en rends bien compte.— Hum...
Mes mains dans ses cheveux semblaient lui faire un bien fou, elle avait les yeux fermés. Elle était vraiment magnifique, à moitié nue, si sensible et accessible. J’aurais voulu la baiser sur l’instant, mais je préférais opter pour une phrase plus apaisante :
— Tout ce qu’on a vécu c’était vraiment agréable. J’ai kiffé être avec toi, te voir matin, midi et soir, te parler, te taquiner, te draguer un peu. C’est que le temps file, le séjour avance, et les départs approchent. Je sais pas si je te reverrai un jour, et puis tu n’es pas célib. Et ça me déprime.— Chut chut chut ! (...) Tu aurais dû me le dire plus tôt c’est tout.
Elle passait sa main sur mon torse. Le soleil était désormais couché, le camping était silencieux et j’entendais sa respiration alourdie. Elle laissa un baiser sur mon ventre, glissant ses mains contre moi, les arrêtant sur mon ceinturon :
— Peut-être que tu me pardonneras si je t’accorde une soirée ? susurra-t-elle en tirant vers le bas, m’offrant une moue interrogative. Mais ça restera entre nous...
Le temps sembla se stopper quand le tissu glissa un peu le long de mes hanches : tous mes rêves prenaient forme devant moi, comme si tout s’expliquait, Céline devenait le fantasme de luxure qu’elle m’avait toujours inspiré. Elle me fixait par en dessous, accroupie sur son lit, les lèvres entrouvertes. Je me penchai vers elle, lui saisis le menton et je l’embrassai, avec tendresse, savourant le contact de sa peau. Je me relevai et hochai la tête : elle poussa sur mon short qui tomba en libérant mon sexe, nervuré, gonflé comme jamais il ne l’avait été.
Cette nuit-là, Céline s’est offerte à moi.
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