Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 19 J'aime
  • 3 Commentaires

Lisa(1)

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelais Mathieu, je venais à peine de fêter mes seize ans un corps un peu dodue que je n’aimais pas trop et un petit zizi de bébé ridicule sans aucun poil d’à peine trois centimètres en érection. Peau laiteuse couverte de tache de rousseur. Cheveux roux et long, me descendant bien sur des épaules menues et de grands yeux verts qui pleurent tout le temps pour un oui ou un non encore aujourd’hui.Six long mois que maman et partie rejoindre les anges. Papa et moi nous tentons de construire une nouvelle vie sans elle, il n’avait jamais pu se débarrasser de ses affaires, la douleur de la perte d’un être chère était encore trop forte. Je ressemblais beaucoup à maman, de taille 1m40 comme de visage, sauf que maman avait un corps mince et de beau petit lolo ou j’aimais reposer ma tête dans de petite sieste.Les grandes vacances d’été. Papa un homme de 1m95 brun et fort, devait partir travaillé, je pleurais car je ne voulais pas me retrouvé seule à la maison. Papa me rassura en disant que tonton Marcel viendrait cette après-midi pour me tenir compagnie. Je pleure comme une gamine dans ces grand bras musclés, j’étais simplement vêtue d’une culotte devenant un peu petite pour moi à cause de ma prise de poids c’est dernier mois. Papa me caressait le dos puis les fesses en passant sous ma culotte, il passait ces doigts écartant le globe de mes fesses ce qui me soulagea un peu de la peine ressentie et fit grandir mon zizi. Je me retournai pour ne pas qui le voit, j’étais folle amoureux de mon père et j’adorais ces caresses, je lançai méchamment de ma petite voix qui n’avait pas encore mué :— Vas t’en, je savais que tu ne m’aime pas, je vais m’empiffré toute la matinée de gâteaux, je deviendrais grosse et ce sera de ta faute, na !Papa ne répondit pas, il se serra dernière mon dos et m’embrassa dans le cou en me caressant les cuisses, un peu mon zizi, passant mon ventre pour jouer avec mes tétons tout dure, puis claqua la porte en me souhaitant une bonne journée.J’avais trop de peine et m’effondrait en larmes dans la chambre parental. Au bout de quelque minutes je réussi à me calmé, mon zizi était toujours aussi dur, je n’aimais pas le contact de ma culotte en coton sur mon petit gland alors je me débarrassai de celui-ci et me coucha sur le dos, je ne voulais pas me soulager. De toute façon je n’aimais pas me masturbé. Je préférais me doigté l’anus ou me trituré les tétons, ou mieux, les deux en même temps pour m’emmener sur un petit nuage de plaisir.J’ouvris l’armoire pour découvrir les trésors de maman et jeta mon dévolu sur son mayo une pièce rose. Je me déshabillai entièrement mon minuscule sexe tout rose était fièrement dressé, une petite goutte de désir perla sur mon gland que je récupérai du bout du doigt pour le goûter avec gourmandise. Le vêtement de lycra glissa avec douceur sur mes jambes imberbe puis sur mon ventre cachant ainsi mon petit zizi, je refermai l’armoire pour me regarder dans le miroir de celui si, je me caressais sensuellement de l’entre jambes jusqu’à mes seins, donc les petits tétons se dressa instantanément, j’aurais aimé être une fille, voir mes seins se formé, perdre ma virginité avec mon papa que j’aime de tout mon cœur. Je m’assis sur le lit, l’armoire me rendait au souvenir de maman à travers moi, l’avant du mayo commençais a se taché du pré sperme qui coulais de mon zizi, je voulais être maman, profiter du lit conjugal, je rampait sur le lit pour rejoindre la table de chevet de maman et en sortie un gode que j’aimais bien, il était grand et légèrement recourbé, couvert de boules de plus en plus grande, je n’avais jamais réussi à faire rentrer la 4 et la 5. Les retiré d’un coup de mon anus me créait un bonheur indescriptible, la première fois j’avais tellement joui du cul que je suis tombé dans les pommes. A 4 pattes, je repoussais le bas du mayo et enfila la première boule sans grande difficulté.Je me retournai pour me voir dans la glace un gros plan sur mes fesses avec ce grand gode à peine enfoncer. Et sur Maya, une superbe femme de 40 ans, blonde, un physique athlétique. Je les toujours considéré comme ma seconde maman. C’était notre femme de ménage. Elle me regardait par la porte de la chambre, j’avais complètement oublié qu’elle devait venir. Je plongeai dans les draps pour me cacher. Seul dépassa le gode mais je l’ignorais, j’entendais sa voix se rapprocher :— Maintenant je sais pourquoi les sous-vêtements de Lucie sont parfois tachés !Elle tira d’un coup sur le gode qui se retira de mon anus serré par la peur ce qui me fit poussé un cri de sourit, elle rigola et me dit :— Sort de la bébé !Mes yeux pleuraient, je la suppliai :— Non, toi, sort de la chambre !— Même pas en rêve, tu sors ou je viens te cherché !Je ne bougeais pas, Maya repoussa un peu les draps pour voir mes fesses à nouveau cacher sous le fin voile de lycra rose, elle les caressa, je vibrai de plaisir, elle me dit :— Elle me manque les petites fesses que je prenais plaisir à laver quand tu étais petite. Tu te rappelles que moi et ta maman nous te donnons le bain ?— Oui mais j’aimais pas !— Pourquoi ?— Tu faisais des bisous à maman avec la bouche !Elle rigola en caressant mes fesses, je sentais ces doigts ouvrir le mayo pour s’insinué dans mon cul et caresser mon anus, je soupirais de bonheur et demandait :— Tu fais quoi ?Elle ne répondit pas à ma question, elle continua de me caressé en disant :— Dans ce mayo tu me fais penser à elle. je l’aimais terriblement. Parfois je me demande si tu es aussi chaude qu’elle au lit ?Je ne dis rien. Incroyable, me maman se tapait la femme de ménage ?
Je senti coulisser un doigt en moi, mon anneau s’ouvrit tout seul comme une fleur devant un soleil, elle commentait.— Incroyable comme tu mouille du cul. Tu aimes ce que je te fais ?— Mmmh !!!— Tu soupir comme ta mère. Tu as déjà fait l’amour ?— Non, s’te plaît, dit rien à papa !— Lui dire quoi ?Je ne répondis pas, elle me mit un deuxième doigt dans l’anus qui émettait des clapotis de plaisir, j’en pleurais de bonheur. D’un coup les doigts de Maya quitta mon anus et tout mon corps partit en arrière.Je me retrouvai à califourchon sur elle assise sur la chaise de la coiffeuse. Forte et plus grande que moi je me laissais faire. Maya délirait en me prenant pour ma maman, elle me caressait le dos et le cul à travers le mayo rose en me susurrant.— Que tu es belle Lucie, j’ai envie de toi, de ton cul, de ta chatte, de te caresser !Le visage entre ces sein je ne bougeais pas, cuisses écarté entre ces hanche, elle me doigtait à nouveau l’anus, elle souleva mon menton et m’embrassa avec passion et ne s’occupait aucunement de mes yeux, qui de peine, de crainte ou de plaisir pleurait. Sans quitté mes lèvres je senti les doigts de la femme de ménage quitté mon cul et un contact froid y prendre place, je ressentis la première boule me pénétrer, mon crie de sourit étouffé par son baiser. La deuxième boule et la troisième enchaîna rapidement. La quatrième ne passait pas, elle n’avait jamais pu rentrer en moi, elle lâchait mes lèvres et me dit :— Détend toi Lucie, crie si sa peu t’aider !— Je suis pas Lucie, maman et morte ! pleurai-je.Elle me serra contre elle en relâchant le gode qui restait en moi !— Pardon bébé, tu ressembles tellement a ta maman que j’ai perdu la tête !Elle me coucha sur le lit et dit :— Ta maman et moi nous nous aimions, ton père et au courant depuis le début, il a laissé faire car il l’aimait et ne voulait pas la perdre, il aurait tous fait pour elle. Moi je t’aime car tu lui ressemble tellement !— Moi j’aime mon papa. J’aurais tellement donné pour être à la place de maman !Elle soupira, en regardant mon entre jambe humide du mayo rose elle voulait enlever le gode, effleurant mon mini sexe caché. Je lui pris la main et dit :— Non, arête. S’te plais, fait comme avec elle !— Ta maman me faisait du bien elle aussi !— Moi j’aime mon papa !— Très bien, mais moi j’aime les filles, je t’appellerais alors Lisa et ont vas changer ta tenue !— S’te plaît, j’en peu plus !Je tenais toujours sa main et fit de petit vas et vient qui se répercutait entre mes fesses. La femme de ménage me souriait et dit :— Je ne toucherais pas à ton sexe, je n’aime pas ça !— Moi non plus, j’aime me faire du bien avec mes fesses et mes petits tétons tous dur !Elle rigola et pencha la tête pour me sucer un téton a travers le voile de lycra, de plaisir je fermais les yeux, les larmes coulait sur mes joues en feu. Jambes écarté au maximum je ressentais un plaisir incroyable qui m’irradiait tous le corps à chaque fois que le gode appuyait contre mes intestin, elle arrêtait, je la regardais se déshabillé, avant que je ne dise quoi que ce soit elle dit :— Tu mouille du cul comme une salope mais ça ne suffit pas, je vais employer les grand moyen !Une fois pantalon et culotte enlevé, elle se caressait la chatte, un liquide transparent et crémeux sortait a grand flot de son trou d’amour que j’aurais tellement voulu avoir à la place de mon ridicule zizi, elle lécha un peu sa main et replongea à l’assaut de sa chatte pour récupérer son nectar, elle enduisit le gode et mon anus avec beaucoup de soin et recommençais l’opération. Elle plaçait un coussin sous mes reins et dit :— Tu vas jouir comme jamais, tu vas souffrir aussi, tu et prête ?— Oui, délivre moi vite, j’en peu plus !Assise sur le lit, tenant le gode a deux main, elle dit :— Maintenant ma chérie, pousse comme si tu faisais caca !Je poussais aussi fortement que je pouvais, étrange que dans cette situation, au lieu que sa sorte, le gode fini par me remplir de cette quatrième boules plus grosse que mon poing, sous la violence de cette assaut je me cambrais comme un arc, mes larmes fusait à travers la chambre, j’en avais le souffle coupé, la douleur que je ressentais était telle que je croyais que mon cul était déchiré, que l’on m’écartelait. Le souffle revenue je criais et pleurait comme jamais. Maya se coucha sur moi pour me couvrir de baisé, une main entre mes jambes tenant le gode, elle me regarda et rigola :— Ton clito et tous mouillé ma chérie !Je me regardais à mon tour. Mon zizi avait éjaculé une quantité de sperme inouï qui assombrissait le mayo de bain rose. Elle recommença les vas et vient sans me prévenir. Les vagues de plaisir et de douleur m’emporta.Je me réveillai dans le séjour couché sur le canapé. Le bruit de l’aspirateur me sortait lentement de mon coton. J’avais mal aux fesses, je mis une main sur mon bassin et reconnue la ficelle d’un bikini. En regardant ma poitrine je vis le bikini de maman que j’adorais. Minimaliste et de couleur or. En regardant par la fenêtre je vis se faire séché à l’extérieur le mayo de bain une pièce rose de maman et les draps de la chambre de papa. Me voyant bougé. Maya éteignit l’aspirateur et s’approcha, elle était également vêtue d’un bikini celui-ci de couleur noir, elle me dit d’une voix très douce :— Tu m’as fait peur ma chérie, tu ne te réveillais pas, tu es partie depuis plus de trois heures, je t’ai lavé, changer et soigné, sa vas ?— Oui, mais j’ai un peu mal!— Normal Lisa, tu as un peu saigné, ne t’inquiète pas, ce n’est pas grave, je vais regarder et remettre un peu de crème, retourne toi !À peine sur le dos qu’elle tira sur les ficelles du bikini, elle enleva délicatement le fin tissus doré et m’effleurait les fesses d’un baisé, pris une crème sur la table basse et m’enduisit immédiatement l’anus, ce qui me fit ronronner de plaisir, elle en riait et dit :— Tu es encore bien ouvert, j’ai trois doigt dans ton cul, tu le sens ?J’acquiesçai et demanda :— Pourquoi tu es en mayo de bain ?— Nous somme entre fille, il fait chaud, pourquoi pas ?Je fis la tête et répondit :— Je ne suis pas une fille, je suis rien, papa ne m’aimera jamais !A nouveau je fondis en larme. Maya me souleva elle s’assit et me posa sur elle pour me consoler en me caressant les cuisses, une fois un peu calmé elle me dit :— Tu sais, il est normal que tu aimes ton papa et il t’aime lui aussi mais ce que tu demandes et impossible, c’est interdit, on appelle sa de l’inceste !— M’en fiche, j’aime papa, moi je ne dirais jamais rien, je veux qu’il m’aime !Elle soupira, cela faisait déjà longtemps que mon père et Maya connaissait mon ambiguïté de corps et d’âme. Elle me dit :— Ecoute Lisa, je t’aide si tu m’aide à ton tour !— Dit moi, je ferais ce que tu voudras!— Je veux que tu me fasses jouir, ta mère me manque, c’était la seul femme de ma vie, comme tu lui ressemble, je veux que tu sois mon amante !— Tu veux que je joue avec ton abricot avec mes doigts ?— Oui, et que tu me lèche, te tenir comme ça tout contre moi m’excite comme une folle !— Tu me montre comment on fait alors, mais promit, tu m’aide à faire l’amour avec papa ?— Je te le promets bébé, ce soir si tu veux!Je réfléchie a toute vitesse, le salon embaumait l’odeur de femelle de Maya et la crème cicatrisante, elle mouillait comme une folle et je ressentie son jus contre mes fesses nue, je demandai :— Tonton Marcel ? il doit venir cette après-midi ?— Il ne viendra pas, je lui et téléphoné quand tu te reposais, alors se dil ?Je me retournai pour la contemplé, le bikini appartenait a ma mère et Maya était plus grande et plus pulpeuse qu’elle. Le soutien-gorge et le slip de bain lui rentrait dans la chair. Je demandai :— Je dois faire quoi ?— Commence par me léché les seins, timidement je plaquais une main sur son ventre, je repoussai le soutien-gorge du sein droit qui bondit du bonnet, elle rigolait devant mes yeux d’émeraude étonner, elle se coucha m’entrainant avec elle et dit :— Ma chérie, allez fait moi du bien !Je lui léchais le sein avec gourmandise, je créai sur elle les phantasmes que j’avais sur mon père, doucement je glissais ma main sous son slip de bain, ma main rentra en contact avec son pubis imberbe, je rigolais et dit :— Tu es comme moi, ta pas encore de poil !Elle rigola également et dit :— Si, mais moi je me rase, ta maman adorait, ça ne devrait pas tarder chez toi, tu et juste un peu en retard, elle fit glisser elle-même son slip, j’avais une vue imprenable sur sa chatte et son jus translucide qui coulais, elle commentait ce que je devais faire. J’aimais pas trop beaucoup les filles mais mon zizi devenait tout dure, comme une pierre en jouant avec les lèvres de son vagin, toujours sur ces ordres je fis glisser son clitoris entre mes doigts, elle se cambrais et hurlait son plaisir !— Oui ma chérie, c’est bon ce que tu me fais, non arête, ne rentre pas tes doigts dans mon chatte, lèche moi les seins, caresse moi ma petite bite de salopeSans qu’elle me demande je pinçais ce gros bouton plus volumineux que mon sexe entre mes doigts, Maya se cambrait en poussant un feulement assourdissant, je venais de la faire jouir en quelque minutes seulement, comme dans les vidéo sur le net, son corps fut pris de spasme musculaire et elle tremblait, une fine pellicule de sueur recouvrait sa peau doré, ma main était trempé de son jus, je continuais de la caressé, en me penchant sur elle, je demanda :— Alors tu m’aide, promit ?Elle m’attrapa par les reins pour me coucher sur elle, Maya tremblait toujours, je caressais un sein et attendait qu’elle se calme, elle reprit ces esprit au bout d’un long moment :— Putain, je crois que jamais j’ai jouie comme ça ! tes une vrai salope, tu ma pincer le clito, je dois être toute rouge.Je rigolais et rétorqua.— Toi aussi tu m’as fait mal, je t’ai dit que je ne pouvais pas faire rentrer les quatrièmes boules !— Tu dois quand même entrainer ton cul, ton père et monter comme un âne !— Comment tu sais ? tu m’as dit que tu étais lesbienne ?— Ta maman me la dit, elle aimait la baise, ton père et moi, à tour de rôle on la menait à l’orgasme deux fois par jour, comme moi tu la vue en slip de bain, ta vue le paquet qu’il a ?— Oui, il à une grosse bosse…On commence quand ?Elle rigola.— Une vrai nympho toi aussi, tu as le clito tout dure, je le sens contre mon ventre.Je me relevai un peu pour découvrir un filet de sperme s’échappant de mon zizi jusqu’à son ventre.— Pardon maya.— C’est rien bébé, je vais te soulager un peu et après nous allons manger.Elle me coucha sur le dos, ce mit a genoux a côté de moi, s’enduisit un doigt de crème cicatrisante, elle me pistonna immédiatement de trois doigt en me léchant les tétons. Je couinais et gémissait de plaisir, mon sexe était tendu à son maximum de trois centimètres, prit de soubresaut, je prévenais.— Mayaaaa je viens. Elle retira sa tête et gratta d’un doigt ma prostate. Mon zizi se mit à lâcher sous forte pression un filet de sperme qui atteignit la commissure de mes lèvres pour se terminer par trois goute sur mon ventre, la femme de ménage me doigtait toujours le cul avec douceur, elle rigola et dit :— Goute. Tu devras t’habitué à se gout si tu veux faire l’amour avec ton père.Je me léchais les lèvres, un filet de larme s’échappait de mes yeux.— C’est bon, j’aime bien, il y en a encore ?— Pas beaucoup ma chérie, tes noisettes doivent être sèche à présent.Elle me caressait mes ridicules bourses et dit :— Tellement petite… Quand tu es née, tes parents avais la lourde charge de te donner un nom de garçon ou de fille. Pardonne leurs. Comment peut-on les jugées ? à moitié fille et pas vraiment un garçon. Elle récupéra le peu qu’il y avait sur mon ventre du bout des lèvres et me l’offrit en baisé. Cul nue nous prenons notre repas qui commençait par une salade verte, elle me dit :— Cette après-midi nous parton en ville, nous allons acheter quelque truc pour t’entrainer !— Moi je veux plus m’habillé en garçon!— J’ai jamais dit sa bébé, au contraire, une robe et sans culotte, ce sera très bien pour ce qu’ont vas faire !— Mais je veux pas sortir en fille ?— Mais dit ? tu sais ce que tu veux ?A nouveau mes yeux pleurait, elle se leva pour me prendre dans ces bras, le téléphone de la maison sonnait, Maya me portait et me fit assoir sur le meuble du téléphone et décrocha :— Allo ?Je n’entendais rien, Maya mit le haut-parleur et j’entendis la voix de mon père :— Et ce que Mathieu vas bien ? il pleurait beaucoup ce matin, je m’inquiète !— Elle s’appelle Lisa à présent !Un moment de silence puis il dit :— Sa lui vas bien, il…non pardon… Elle veut devenir une femme alors… Bien, je suis heureux pour elle. tu restes lui tenir compagnie ?— Oui nous allons faire un peu de shoping, elle veut plaire à son amoureux !— Son amoureux, elle a un amoureux ?— Oui, toi, elle veut que tu sois son premier amoureux ! Il rigola.— Dit lui que je l’aimerais toujours, quoi qu’elle décide. Embrasse-la pour moi !— Attend papa criait je !— Oui ma chérie ?— Papa, je t’aime, j’ai juste mangé une salade, tu sais je ne pensais pas ce que j’ai dit ce matin !— Je sais ma chérie. Nous avons de nombreuse chose à nous dire et de nombreuse chose à faire pour que tu deviennes une femme, tu et certaine de ta décision ?— Oui papa ! … Papa ?— Oui, quoi ?— Je veux que Maya soit ma dame de compagnie !— Entendu ma chérie, nous en reparlerons une autre fois, soit heureuse, c’est tous ce que je te demande… Maya ?— Oui Pascal ? — Je suis heureux que tu sois avec elle, apprend lui tous ce que tu sais, je suis en manque, ce soir j’aimerais lui faire l’amour pour fêter ça, il y a tellement de temps que j’attends !— Entendu, elle sera aussi chienne que sa mère, elle a le feu au cul.— Tu la tester ?Maya glissa sa main entre mes jambes et me mit un doigt dans le cul. Je couinais de plaisir et de surprise. Papa commenta en m’entendant :— Pas possible, ma femme et ma fille son deux chienne en chaleur.Maya rigola et commenta :— Elle a le cul qui mouille comme une chatte, ce soir tu pourras la prendre ! Je gémissais.— Oui, ça fait du bien, tourne avec le doigt, j’en peu plus ! Papa demanda :— Tes vraiment une … tu lui fais quoi ?— Je lui mets trois doigts dans le cul, elle et ouverte comme une autoroute sans péage, une salope, faut voir comment elle écarte les cuisses, j’espère que tu seras en forme se soir !— Haaa, papa, elle me rend folle, j’ai hâte d’être à ce soir pour être à toi, je t’aime papa ! — Moi aussi ma chérie, j’ai hâte de te gouter, j’en rêve depuis longtemps. Ne vous occuper pas de moi, je veux t’entendre jouir, dit moi ce qu’elle te fait !— Oui papa, je vais essayer, mais j’en peu plus. Elle enlève ces doigts, je suis assise sur le meuble du téléphone. Elle me fait descendre, je dois me pencher en avant, elle. Hoo oui, papa, c’est bon. Maya me lèche l’anus, hoo, je tremble, je vais… Je vais, Ouiiii !Je tombais au sol sous la jouissance anal. Maya se dirigea vers le téléphone et dit :— Je raccroche, ça ta plus ?— Tu et perverse. Ma femme et maintenant ma fille, à croire que je dois partager mes amour avec toi. J’aimerais être avec vous dans l’instant mais je n’ai pas le choix, je dois travailler. Prend soin d’elle et ne l’épuise pas trop, salut Maya fait lui un gros câlin à ma place, après tous, je commence à avoir l’habitude. Tu me manquerais si tu n’étais pas là !Il raccrocha, je pleurais :— Papa, je t’aime papa, maintenant il ne voudra plus me faire l’amour !Elle me prit par les aisselles pour me poser sur elle, mon zizi n’avait rien produit cette fois, juste une pure jouissance anal qui m’avais épuisé, elle me déposa sur le bord de la baignoire et me dit !— Ta maman et moi nous jouions souvent a se jeu, nous téléphonions a ton père en faisant l’amour, il adore ce jeu, ne t’inquiète pas, ce soir il sera excité comme jamais !— C’est vrai ?Elle rigola et me débarrassa de mon seul vêtement le haut du bikini doré en m’embrassant avec la langue et me dit :— Oui, je t’assure, à la douche, tu sens l’amour.Nous prenions une douche ensemble, elle dirigeait tout en évitant de nous mouiller les cheveux. Bien qu’elle n’aimait pas les hommes, elle me lava le zizi, pour elle se n’était qu’un clitoris sur une chatte qui n’existait pas encore, je lui dis alors qu’elle m’essuyait :— Tu es très belle.— Merci, toi aussi, j’ai toujours aimé les rouquines.— Dit, tu restes avec moi ce soir ?— Tu veux que je sois avec toi pendant qu’il te prend ta virginité ?— Oui, s’te plait, j’ai un peu peur !— Comme tu voudras, je n’ai jamais accepté la proposition de tes parents pour me joindre à leur ébat car je n’aime pas les hommes, pour toi je ferais une exception mais je ne toucherais pas ton père, tu devras te débrouillé seul.— Entendue Maya, merci.Elle m’habilla d’une robe couleur de soleil de maman et changea d’avis en me donnant un string brésilien de la même teinte, de petit escarpin blanc complétait la tenue, je me regardais dans la glace, je voyais ma maman, plus jeune dans la même tenue l’été dernier et je me mis a pleuré. Cruel glace d’hivers qui a pris ma maman. Je redoutais depuis le froid et la neige. Je crois que je resterai éternellement inconsolable, comme elle pouvait me manqué.Maya me câlina et me conta :— Je connaissais ta maman depuis la sixième, elle et moi nous étions inséparable, tu lui ressemble à un point, tu peux pas savoir.— Tu la connaissais avant que papa rencontre maman ?— Oui, bien avant. Ta maman et moi nous étions ensemble mais elle voulait un enfant et avoir une vie de couple. Comme elle m’aimait aussi elle a décidé que je travaillerais pour elle, comme ça je serais souvent avec elle. J’étais la plus heureuse des femmes à ta naissance. J’acquiesçai et dit.— Je t’aime beaucoup, heureusement que tu es encore là.— Je ne pouvais pas t’abandonner, je t’aime, pas comme une maman mais je tes toujours aimé. Tu as été un cadeau dans la vie de ta maman. Je la remercie tous les jours de t’avoir donné la vie et encore plus aujourd’hui. Je sais que je ne suis plus toute jeune, ton père non plus, un jour tu rencontreras ton prince charmant et tu partiras.— Moi je partirais jamais.— J’espère que si Lisa. Ton père ou bien moi nous n’accepterons jamais que tu veille sur nous quand on sera vieux.Je me remis a pleuré, elle continua. — Ne t’inquiète pas, ce n’est pas pour tous de suite. En attendant tu as des études à terminer et tout le temps qu’il faut pour être une vrai jeune femme épanoui.
Dans sa mini Cooper cabriolet nous emmenant au centre-ville, elle caressait mes cuisses blanche, jusqu’à dévoiler mon string.— Arête on va nous voir.— Tant mieux, tu es tellement belle, tu me rends folle.— Tu es folle !Elle rigola et m’embrassa.— Oui, folle de toi.
J’avais peur en ville, je m’accrochais à elle, difficile de circuler pour la première fois en fille, j’avais l’impression que tout le monde nous regardait. Elle s’arrêtait devant un sex-shop.— C’est ici bébé, nous trouverons ce qu’il te faut pour qu’il ne te déchire pas.J’étais terroriser, elle me tira a l’intérieur en me tenant par la main. Le vendeur, un homme d’une trentaine d’année avec des lunettes nous jetait un bref coup d’œil, nul doute que dans ce lieu de débauche il devait en voir de tous les couleurs. Elle m’emmena au rayon des godemichés et dit.— Il te faut… voyons… un gode de bonne taille pour assouplir ton cul et un plug que tu garderas toute la journée comme sa quand Pascal voudra te prendre tu n’auras pas mal.— Il va me prendre ce soir, je dois le mettre quand ?— On va en essayer un de suite.Maya attrapa un Rosebut sertie d’un cristal rouge de 4 centimètres d’épaisseur puis un gel intime, regarda autour d’elle, seule une caméra pouvait nous voir. Elle me dit.Vient en cabine.— Non tu es folle.— Encore ? elle chuchota, c’est qui qui veux coucher avec son père ?Je fis de même en tentant de me soustraire à son étreinte en vain.— Ça n’a rien à voir.Elle me plaqua contre les étagères, fourragea sous ma robe et baissa mon string d’une main.— Puisque je suis folle, pas besoin de cabine.Elle déballa le plug, l’enduisit de gel intime, d’une main elle écartait mes fesses et me rentra le Rosebut d’un seul coup.— Aie, tu me fais mal, je t’aime plus.— Deux fois menteuse.Elle remit mon string, j’étais trempé du jus qui coulait de mon anus et des larmes coulant sur mes joues, de son sac à main elle sortit un mouchoir pour m’essuyer les larmes et les cuisses, le vendeur nous interpela.— Mesdames, il est interdit d’utilisé les objets en rayon avant de les avoir acheté.Je chuchotai.— J’te l’avais dit. Il va appeler la police.— Mais non, t’inquiète, n’oublie pas que je suis folle. Elle m’attrapa le bras pour m’emmener en caisse, déposa le gel intime et le carton du plug. Je devais être aussi rouge que mes cheveux. Elle déposa cent Euros sur le comptoir et dit.— C’était une urgence. Ma copine va se faire enculé pour la première fois. elle me retourna et souleva ma robe d’été, elle me cambrait et repoussait le fin tissus entre mes fesses puis demanda :— Regarder, vous trouvé que ça lui vas bien ?Il rigolait et dit.— Magnifique. Bon, pour cette fois je passe l’éponge.Maya baissa ma robe, me retourna et entoura ma taille. J’avais honte, l’homme me complimenta.— Mademoiselle vous êtes merveilleusement belle, la prochaine fois, attendez au moins de quitté la boutique, imaginé qu’il y a du monde ?— Oui monsieur. Répondis-je timidement. Le plug me chatouillait les intestins. Je me sentais pleine comme un œuf et j’avais du mal à tenir sur mes jambes. A cause de la situation, je voyais tout avec un léger recul comme si je dormais et que je rêvais. Maya continua.— Nous continuons de faire un tour. Elle déposa un baisé sur mon cou ; Lisa, tu promets d’être sage ?Je répondis à la question de Maya, au vendeur, je ne pouvais lever les yeux.— Oui, promit monsieur.L’homme rigola, en passant à côté de lui je vis une grosse bosse déformé son jeans. Un écran diviser en quatre montrait ce que filmais les camera, il n’avait rien perdu de la scène. Rayon godemiché, Maya choisie un gode de 25 cm et de 4,5 cm de large, il était veineux et de couleur rose, je me tenais à sa taille tous le temps en fermant les yeux la plupart du temps, le plug et la situation allais me faire jouir, je la prévenais d’une petit voix.— J’en peu plus, je vais partir.Elle rigolait, semblant ne pas compatir à mon état. Elle me dit en montrant le gode.— Je crois que c’est le diamètre de ton papa, mais je ne suis pas certaine, tu en pense quoi ?Je tenais le gode plus grand et plus gros que mon avant-bras. Je jouie instantanément du cul. En feulant, mes jambes se dérobait et le gode tomba au sol. Maya me retenait d’une main puis me portait pour m’assoir sur un banc. A peine assise que je jouie à nouveau à cause du plug au fond de moi qui s’enfonça plus profondément et je perdis conscience. Je me réveillais grâce à un linge humide et froid appliqué sur mon front, le vendeur était pencher sur moi, j’étais allonger sur le banc.— Alors ma puce, sa vas ?Je ressentais mes jambes humide et Maya les essuyant, trop humide pour être du sperme et a l’odeur je reconnue le pire. Maya se pencha sur moi, m’embrassa et me dit ce que j’avais compris.— Bébé tu et tomber dans les pommes et tu as fait pipi sous la jouissance, ne t’inquiète pas tout vas bien, Quentin à fermer la boutique. Repose-toi, laisse toi faire. J’avais le corps en sueur et la tête dans du coton, j’étais encore au septième ciel, je ne sentais plus ma jupe ni mon string, sur le moment je ne ressentait aucune honte sur le fait que cette homme pouvait voir mon petit zizi, j’étais encore loin d’être revenue sur terre. Je m’endormie, épuisé. A mon réveil j’étais dans une couverture, roulé en boule contre Maya, elle parlait d’elle a cet inconnue. Avouant qu’elle était lesbienne depuis toujours et que je pleurais tout le temps depuis toujours. J’avais toujours le bijou intime qui me caressait les boyaux, Je bougeais une main pour sentir un contact humain et le posa sur son sein gauche à travers sa blouse, elle me dévoila un peu pour m’embrasser le front et dit.— Bonjours la belle au bois dormant, tu reprends vie ?Je répondis d’un hochement de tête, je me lovais contre elle comme quand j’étais enfant, je ne voulais pas bouger, elle en décida autrement en me forçant à me remettre sur pied, bien entendu je pleurais j’avais toujours la couverture qui protégeai ma nudité, Maya m’embrassa passionnément, pendant qu’elle fit glisser la couverture je me cramponnais a son cou. J’entendais la voix du monsieur qui me complimenta.— Les rouquines sont les femmes, les plus magnifiques, Lisa, tu as un cul à damner un saint. Maya me retourna, je faisais face à cet homme mais n’osait le regarder, il tenait une culote noir, ce fut lui qui m’attrapa un pied puis l’autre et fit glisser la culotte le long de mes jambes pour l’ajuster sur mes hanche et dit.— Voilà. Mademoiselle, je souhaite que tous vos vœux soit exhaussé, vous deviendrez assurément une très belle femme.— Merci monsieur, dite rien à personne hein ?— J’emmènerais se secret dans ma tombe, belle de feu.Il m’embrassa sur la joue, ces lèvres était douce et me fit frissonner, il avait enlevé ces lunettes laissant voir de magnifique yeux bleu. Quand il se redressa pour s’éloigné je vis que son pantalon avait dégonflé, il avait dit que j’étais belle mais je le dégoutais, je me retournai pour me réfugier dans les bras accueillant de Maya, elle m’embrassa et chuchota.— Je n’ai jamais vue une fille jouir comme toi. tu es sensible et câline, je t’aime Lisa. Je t’aime a un point que j’en ai mal au ventre.— Moi aussi je t’aime. Comment on va rentrer maintenant, j’ai plus de vêtements ?— Tu as dormi pendant une bonne heure, nous avons veillé sur toi à tour de rôle. J’ai terminé tes achat et je tes acheté une petite robe ravissante. Elle me montra une robe noir du bout des doigts, une robe de soirée à dos nue jusqu’à la lisière de fesses. Elle m’aida a l’enfilé, mes jambes était nue, la robe ne couvrait que ma nouvelle culotte. Maya nouais la robe derrière mes cheveux et me tenait par la main pour me diriger vers la caisse. J’avais du mal à marcher, mes jambes était de coton et le plug prenait un malin plaisir à bouger, ce vilain petit jouer allait me faire jouir à nouveau, je prévenais Maya.— Il faut l’enlevé s’te plait, je tiendrais pas moi, j’en peu plus.— Entendu ma chérie.Au milieu du magasin, devant le regard du commerçant de charme, elle descendit ma culotte, le plug émis un bruit spongieux quand elle le retira. L’homme s’approcha, une serviette et l’emballage du Rosebut dans les mains Maya m’essuya les fesses, mes jambes de coton n’arrivait pas à me tenir, j’étais encore une fois au bord dangereux de la jouissance. A genoux derrière moi Maya me maintenait par le ventre et dit.— Un effort bébé, juste encore un petit effort, que tu peux être réceptive. Inimaginable.Quentin venait en renfort, je me blotti dans ces bras, cela n’avait rien de naturel pour moi mais je ne m’appartenais plus, j’étais comme un patient gravement blessé, emmener aux urgences. Maya m’essuya toujours les fesses et s’excusa.— Je suis désoler Quentin, si j’avais su qu’elle avait une jouissance aussi rapide je n’aurais rien fait.— Ne vous excuser pas, c’est un vrai plaisir, et puis je peux fermer boutique, grâce à vous j’ai fait ma recette pour la semaine et j’ai des souvenirs impérissables, dite à Pascal qu’il a beaucoup de chance.Mes nerfs était à fleur de peau, le vendeur caressait mon dos nue en me soutenant, Maya me remit ma culotte, moi je me sentais guimauve. Quentin tenta de me lâcher mais mes jambes ne voulaient rien savoir. Maya me demanda comme une provocation.— Dit moi bébé, en combien de temps tu arrivais à te faire jouir par les fesses ?— Je sais pas, une minute parfois, moins en général !L’homme rigola, Maya souffla.— Ma pauvre, tu aurais dû me le dire ?— Tu m’a, m’a pas demander. Sanglotais-je.Le vendeur de charme me souleva du sol et dit.— Je vous accompagne à la voiture, ce petit bijou a besoin de repos. Je pleurais silencieusement sur sa chemise, son parfum d’homme m’enivrait, j’avais la curieuse impression d’être dans les bras de papa. Trop de jouissance successive m’avait mis ko. J’avais peur, comme si jouir encore une fois pouvait arrêter mon cœur. Il s’emballait dans les bras de cet homme. Il le ressenti et me dit.— Calme-toi, on dirait un colibri.Il me berçait tendrement, j’entendais leur voix dans le lointain, je ne comprenais rien, j’étais au service des urgences, les médecins tournait autour de moi, j’entendais encore la sirène de l’ambulance, le temps était suspendu, une infirmière me secoua la poitrine, la tête au-dessus de la mienne en disant.— Lisa, Lisa, réveille-toi ma chérie !J’étais allongé sur le siège passager de la voiture de Maya. La capote était fermé, elle continua ; dit au revoir a Quentin, montre lui que tu vas bien.Je regardais du côté droit. Le vendeur attendait inquiet, il avait remis ces lunettes. Je lui souris et dit.— Je vais bien, j’ai tellement eut de plaisir. Maya éclata de rire, le vendeur également, il m’embrassa la joue et dit.— Reviens quand tu veux pour me donner de tes nouvelles belle de feu. Même si tu n’achètes rien.— Promit monsieur, et merci.— Apelle moi Quentin. Au revoir. Il fit un clin d’œil à Maya, elle mit le contact. Je regardais dans le rétroviseur cet homme qui ne m’avait pas laisser indifférente, il nous regardait s’éloigné, je le perdis de vue au croisement. De retour à la maison je retrouvai un peu d’énergie. Maya s’occupait de moi, me préparent pour cette nuit. Massage à l’huile parfumé, comme elle faisait à maman. Elle avait acheté un ensemble de satin bleues électrique, porte jarretelle, soutien-gorge, culotte et bas de soie. Pendant qu’elle m’habillait de cette lingerie ma respiration s’accéléra, elle me sermonna.— Ha non. Ne jouit pas encore ou je te mets une fesser !Je rigolais, enlevant cette pression érotique, elle m’embrassait et rigolait à son tour, jamais une seul fois mes parents ou elle n’avait levé la main sur moi, j’avais toujours été une enfant sage, choyer et aimer elle m’attrapa par les reins et demanda ; alors bébé, prête pour cette soirée inoubliable ?— Oui, grâce à toi, je me sens à nouveau en forme !— Tu sais, ta maman m’avais dit que ton papa était très performant, cela fait longtemps qu’il n’a pas fait l’amour. Tu pourrais essayer de ne pas jouir immédiatement ?— Je te promets que j’essayerais… dit, si j’y arrive pas, papa m’aimera moins ?— Non, absolument pas bébé.Elle m’aida à mettre une robe blanche de maman, dans le miroir on voyait par transparence ma lingerie. Je rigolai.— Si papa me voit comme ça, c’est lui qui ne tiendra pas.Il arriva dans son splendide costume de bureau, je me cachais derrière un mur. Maya l’accueilli, j’entendais les baisés, deux smac en l’air comme à leur habitudes. Il s’échangeait des amabilités et il demanda :— Ou est ma belle de nuit ?— Elle se cache !— C’est idiot, je la vois presque constamment nue, elle a pris les habitudes de sa mère.J’entendais Maya m’appelé. Je me montrais, mon père fit tomber sa mallette.— Bonjours papa, bonne journée ?Papa s’approcha, acroupi il posa ces mains sur mes hanche et dit ;— Tu ressembles comme deux gouttes d’eau à ta mère quand nous nous somme connue.Je lui souris, il m‘embrassa sur la bouche en me caressant les fesses comme il faisait d’habitude.— Embrasse-moi avec la langue s’te plait mon papa. Papa m’attrapa par les fesses me posa debout sur une chaise pour m’embrasser longuement comme il le faisait a maman, il me caressait tout le corps, passant une main devant ma culotte par-dessus la robe, mon petit zizi était dure, je ressentais son pantalon prendre du volume, je demandai ; tu me la montre, s’te plait ?— Devant Maya ?Elle répondit à ma place.— Elle tient à ce que je sois présente.— Tu as toujours refusé, pourquoi maintenant ?— Ce n’est pas la même chose et sa la rassure !Papa me pétrissait les fesses en me rassurant.— Je ne ferais rien que tu ne veuille pas.— Je te veux en moi papa, depuis le temps que tu me caresse et que je pense à toi, j’ai envie de toi. J’ai jamais vue ton sexe et j’ai peur que tu sois trop gros pour moi. J’ai peur, je veux Maya a côté de moi.— Bien, je comprends, je vais me rafraichir un peu avant.Papa revenait en peignoir de bain et s’assis sur le canapé blanc. Maya lui apportait un whisky sec, habitude de toujours, le seul verre d’alcool qu’il se permettait dans la journée, je me tenais droite devant mon père, je ne savais pas quoi faire, il lui dit.— S’il te plait Maya, déshabille mon cadeau.Maya m’embrassait sur la bouche, puis se plaçais derrière moi pour retirer la robe. Mon zizi avait repris vigueur, je restais dans mes sous-vêtements lumineux. Papa soupira en me regardant avec amour et lança.— Toi aussi Maya, tu ne peux être spectatrice de nos ébats en étant habillé, il me regardait ; quand pense tu ma chérie ?Je ne réfléchis pas plus et m’empara du ceinturon de Maya pour lui enlever son pantalon, Maya rigola et enleva son chemisier, son entre jambe était humide de désir, je lui enlevais la culotte et embrassais son pubis, elle me caressait la tête, je ressentais en elle, l’envie d’aller plus loin. Papa m’interpela.— Vient ma chérie, je rêve de toi depuis si longtemps.Debout devant papa, il m’embrassait sur la bouche en enlevant ma culotte. Papa me dit.— Viens mon enfant, depuis le temps que tu me réclame et que tu es dans mes rêves.Je m’installai a côté de lui, je posais les mains sur son peignoir, je le regardais, il me fit a peine un signe de tête, je compris le message et dévoila moi-même l’objet de mon phantasme, il n’avait aucun sous-vêtements. La grosse bite de mon père surgie devant mes yeux écarquillé. Elle était énorme, plus grosse que le gode acheté cette après-midi. J’implorai. — Papa, je peux la toucher ?— Oui ma chérie, branle moi, soulage moi, je te prendrais plus tard, je te promets que j’aurais encore de l’énergie. Je me retourna pour voir Maya, elle avait peur, son abricot était trempé, elle me souriait et me fit un signe de tête positif. Je posais pour la première fois une main timide sur l’énorme bite paternel, je n’arrivais pas à en faire le tour avec les doigts, elle était très chaude, sentais bon le savon. Papa me dit.— N’est pas peur, fait tout ce donc tu as envie.— Je peux l’embrasser papa ?— Oui, tout ce que tu veux ! Je l’embrassais en posant mes mains sur la grosse bite qui m’avait donné la vie, papa essuya mes yeux humide, il me souriait, il me suppliait du regard. Je descendis pour déposer de doux baisé le long de cette colonne de chaire tout en le masturbant des deux mains, Papa invita Maya à s’assoir à sa gauche. De ma petite langue rose je lapais le près sperme sortant de se gros gland violacer, je me léchais les babines et dit.— Je peux te prendre en bouche papa ?— Oui ma fille, goute, depuis des mois que tu me réclame, je capitule, si tu ne veux pas ou que tu n’aimes pas, ne te force pas.Maya se masturbait lentement en nous regardant, papa me caressait mes cheveux roux, puis le ventre de Maya en lui disant. — Je suis heureux que tu sois avec nous. Je regrette que tu n’aimes pas les hommes. Maya soupira de bonheur, elle était au bord de l’extase, elle répondit.— Tu n’es pas simplement un homme, tu et surtout son père et sa change tous. J’aime cette petite depuis qu’elle est bébé, elle est le joyau de ma vie, je rêvais intérieurement de la surprendre en train de jouer avec la lingerie de Lucie.Je masturbais papa avec entrain, je n’arrivais pas à faire entrer son gland dans ma petite bouche, j’étouffais et pleurait de dépit. Papa me consolait puis m’interdit de la faire, pour lui hors de question que je soufre pour si peu. Je caressais son pubis et ces grosse boules poilu, je jouais avec comme un enfant découvrant un cadeau exceptionnel, papa glissa sa main sous moi, caressant mon ventre puis mes bas, il remontait vers mon kiki, j’écartais les cuisses naturellement c’était la seul personne qui me touchait à cette endroit a par mon médecin, celui qui fera de moi une femme.Sa main couvrait mon pubis entièrement, j’aimais beaucoup et me rappelais que c’était sous cette caresse que j’avais éjaculé la première fois. J’avais deux ans de moins, nue, couché sur lui devant la télé, il me tenait comme à son habitude, les mains jointe sur moi et dormais a moitié, mon kiki était dure, je faisais de petit mouvement car j’aimais le contact de ces gros doigts, je fus prise de soubresaut et j’avais l’impression de faire pipi, papa se réveilla et regardait sa main droite poisseuse avec un drôle d’air. Bien entendue je pleurais, je ne savais pas ce qui m’arrivait. Maman rigola, me consola dans ces bras et me nettoya, papa m’expliqua ce que c’était et que je ne devais pas avoir honte, depuis nous jouions fréquemment a se jeu. Sauf que maman me nettoyais avec sa langue. A la mort de maman nous avons arrêté se jeu. Quelque semaine plus tard, dans mon pyjamas je m’installais à nouveau sur papa et lui avoua que j’aimerais remplacer maman, il avait refusé, ce fut la première fois que papa me refusait quelque chose et je suis partie boudé, je recommençais ce manège un nombre incroyable de fois, il avait toujours refusé. Son attouchement me rappelant ce souvenir merveilleux. Je me levais pour me placer à califourchon sur sa cuisse gauche, cela me permettait de caresser la cuisse fuselé de Maya puis je repris une masturbation lente de la bite de papa, je me redressai pour l’embrasser, il en profita pour essuyer mes yeux.— Je t’aime Lisa.— Moi aussi papa.Je ressentais son sexe pulsé entre mes fesses. Je demandai.— Tu peux rester combien de temps en érection papa ?— Tout dépend, sois douce, ça fait un moment que je n’ai pas fait l’amour, je suis proche de la jouissance.— Maintenant ?— Non, je te préviendrais, ne t’inquiète pas.Je me levai un peu pour présenter la bite de papa contre ma rosette, Maya me prévenait. — Non Lisa, tu n’es pas préparé à le recevoir.— Mais je veux juste essayer, papa ?— Pas encore ma chérie. Je croyais que tu voulais me gouté ?— Mais j’ai envie moi.Je n’écoutais rien, ce jour était le mien, je bougeais les fesses contre le gland paternel, il tenait sa bite bien droite d’une main et posa l’autre main contre ma hanche, bien que je mouillais du cul d’excitation, le gland ne parvenais a rentré, papa ne me forçais aucunement, en voyant que j’étais déçus il réajusta mon porte-jarretelle de satin et me souriait, Maya se masturbais toujours et m’annonça de façon triomphale.— Je t’avais prévenue ma chérie, il et trop gros.Je m’assis sur la cuisse de papa, sa grosse bite devant mon ventre, frôlant mon mini zizi.— Moi j’ai une idée ! dit j’en me penchant pour plonger ma petite main dans l’abricot de Maya, sous l’assaut elle se cambra. Je récupérais sa cyprine pour enduire le gland de mon père. Papa en resta médusé, je ressentais un gonflement plus important de sa bite, cela devait l’excité a mort ; — ça suffit pas, donne encore !Je replongeai ma main dans son abricot. Maya était parcourue de spasme, je roulais son gros clito entre mes doigt, elle produisit encore plus de cyprine pour mon plus grand bonheur. Maya en plein orgasme m’insulta.— La salope, la salope, elle et pire que sa mère. HOOO, JE VIENS. JE JOUIE. PUTAIN JE JOUIE. HAAA, OUIIII !!!!Maya se cramponna au bras musclé de papa. Je récupérais son jus pour enduire la bite de papa, je du mit prendre plusieurs fois, à chaque fois que je touchais l’abricot de Maya, elle recula comme si elle avait un bobo.La bite de papa prenait un volume vraiment important, j’avais beau l’enduire j’avais l’impression que la cyprine séchait directement au contact de la bite brulante de papa. Il me prévenait dans un râle.— Maintenant mon amour, je.Je tenais la bite de papa a la base et donnait de petit coup de langue sur le gland, parfumé de cyprine chaude. Je regardais son visage crispé, de mes mains, je senti sa grosse bite prendre encore plus de volume, bouche ouverte je regardais se phénomène, une énorme giclé de sperme m’atteignit sur le palais, mon père criait sa jouissance, étonner je reculai la tête et dégluti le sperme par automatisme, une seconde giclé atteignit le ventre de mon papa, j’adorais se gout, je plongeais ma bouche sur le gland pour récupérer cette semence chaude. Papa me caressait le cou de sa main disponible, il y avait tellement de sperme qui sortait que je tentais d’arrêter se gâchis en insérant ma langue dans son méat mais papa avais plus de force que moi dans sa bite que sur ma petite langue rose, il fut pris de soubresaut comme Maya. Je les regardais jouir enlacer comme des amoureux, ils avaient l’air fragile et c’était moi, toute petite qui avait provoqué l’exploit de terrasser des géants, ma bouche quittait la bite de mon père, j’avais pensé qu’il débanderait de suite mais non, elle était toujours fièrement tendu, j’étranglais son gland et le relâchait, à chaque fois un peu de sperme sortait doucement, je le léchais aussitôt. Je rigolais en pensant qu’une fois je n’étais qu’un spermatozoïde sortant de se même gland et que je me frayais un chemin a l’intérieur de maman dans une course à la vie. J’avais de la chance à l’époque d’avoir gagné, j’ai toujours et encore beaucoup de chance d’avoir pu aimer mon papa et de lui avoir prouvé mon amour, j’avais du sperme sur mes joues, sur mon menton et mon ventre, celui qui m’attirait encore c’était celui sur le torse velue de papa. Je me penchais pour le léché, la bite de mon papa perdait de la vigueur entre mes jambes. La mienne palpitait comme le gros clitoris de Maya contre lui, je dessinais un cœur avec le peu de sperme qui restait sur le ventre de papa et demandait en regardant leurs visages fermé et haletant.— Ben on joue plus ? vous êtes pas drôle, après vous dite que c’est moi qui jouit trop vite !Maya rigola, j’adorais voir son corps couvert d’une pellicule de sueur, papa riait également, il avait ouvert les yeux et me regardait avec amour en passant sa main libre dans mes cheveux, ils se regardaient et s’embrassait pour la première fois sur la bouche, je râlais.— Papa, c’est mon amoureuse, ta pas le droit, moi j’ai pas jouie bande d’égoïste.Papa relâcha Maya et me serra fortement contre lui pour un gros câlin. Maya rigola et lança.— Tu vas nous le payer petite dévergonder. Comment peux-tu te servir de mon jus ?— C’est toi qui ma apprit se matin !Elle rigola de plus belle et répondit.— Ça n’a rien à voir. A tu la moindre idée de ce que tu viens de nous faire ? ton père et moi nous ne somme pas de simples joués ?Papa rigola, ces mains de chaque côté de ma tête il m’embrassa bouche ouverte à la recherche de ma langue que je lui offris. Maya se leva et se plaça a genoux, m’écartait les fesses et enfouilla immédiatement sa langue dans mon anus. Je relâchais les lèvres de papa et poussa un couinement à faire fondre un cœur. Je ressentais l’agilité de la langue de Maya tourné et tourné, j’en avais les larmes aux yeux de plaisir la tête posé contre l’épaule de mon papa adoré. Il arrêta Maya alors que j’étais au bord de l’extase. — Arête Maya, je veux la voir jouir et en profiter, cela fait longtemps que je n’ai pas vue son sperme et je ne les jamais gouté.Papa me transportait dans ces bras musclé. Je me sentais frustré de ne pas avoir jouie et en même temps extrêmement amoureuse.— Mon papa, mon papa adoré, délivre moi, j’en peu plus.— Oui ma chérie, je veux te gouter comme maman le faisait, laisse toi faire. Il me coucha sur la table basse mes jambes pendantes, Maya s’installa derrière moi pour me soutenir, j’aimais le contact de son sein sur ma joue. Papa me souleva les cuisses pour les poser sur ces épaules, me regarda dans les yeux et dit :— Je t’aime ma chérie.— Moi aussi papa.Il plongea sa tête dans mon intimité et d’un seul coup de langue me lécha mes noisettes et mon zizi de bébé. Je croyais que j’allais tomber prit de vertige et prévenait d’une petite voix en attrapant la main caressante de notre femme de ménage.— Tien moi Maya.— Je suis là ma chérie, je ne te lâche pas.Papa me prenais entièrement en bouche. Il jouait avec la langue, tournante autour de mes petites noisettes imberbe. Je ressentais mon gland contre son palais. Moi je délirais.— Maya, me lâche pas, j’en peux plus.Maya me sera fortement contre ces seins et déposait de petit bisou sur mon front. Je commençais à voir des étoiles multicolores. Je ressentais la main droite de papa s’insinué entre mes fesses et un doigt perforé mon anus. Je criais.— Haaa, je toooombe.J’explosais dans la bouche de papa, il m’aspirait, me vampirisait, j’avais la sensation que tous mes entrailles sortait de mon zizi devenue douloureux. Papa me regardait droit dans les yeux, la bouche en cœur, avalant mon zizi.— Pitie papa arête, j’en peux plus.Papa n’arrêtait pas, je ressentais son doigt s’enfoncer encore plus profondément, je ressentais des goute de mon jus d’anus perlé contre ma fesse gauche.— Papaaa. Nooon.Il n’arrêtait en rien, je jouie de l’anus quand il recourba son doigt en moi. Je me cambrais comme un cheval, mes rein ne touchais plus la table basse, je reposais uniquement entre les seins de Maya et les épaules de mon papa. J’ignorais si je soufrais ou jouissais tellement ce que je ressentais était fort et je mordis l’avant-bras de Maya devant moi, elle ne dit pas un mot, continuait de m’embrasser le front et les tempes, papa rentra un deuxième doigt en moi avec une grande facilité, mon zizi était toujours dans sa bouche chaude. Papa me tenais les reins, certainement qu’il avait peur que je me casse en deux. Quand il rentra un troisième doigt en moi j’ouvris la bouche et poussa un crie de jouissance. Plus tard papa m’avais dit entendre le chant d’un ange. Je tombai à nouveau dans le coma pour la troisième fois de la journée. Je me réveillais sur la table de massage de maman, j’avais un peu mal à l’anus et les cuisses écarté. Papa me massais le ventre, Maya s’affairait à me masser les pieds, les caresses était douce, j’avais chaud partout.Il parlait de dilatation anale comme des docteurs.— Papa ?— Haaa ma chérie, enfin réveillé !— Papa, pourquoi j’ai mal aux fesses ?— Pendant que tu dormais nous t’avons dilaté l’anus avec le gode que Maya ta acheté. Tu as mal ?— Un peu ! Il m’embrassait avec passion, sa bouche sentait un léger parfum de whisky. Maya se leva pour prendre sa place, elle était toujours nue alors que papa arborais toujours son peignoir. — Alors la belle au bois dormant, tu as fait de beau rêve ?Je dis oui avec la tête, je passais mes bras autour de son cou et là je remarquai que j’étais toute huileuse, je demandai.— Vous avez fait quoi à ma peau.— Rien mon amour. Répondit mon papa ; nous t’avons frictionné avec une huile énergisante. Pardon d’avoir profité de toi ainsi mais comme tu ne réagissais pas nous avons pensé que tu ne souffrirais pas.Le mot souffrance me ramena au souvenir.— Pardon de t’avoir mordu, ta a mal ?Elle me montra son avant-bras droit et dit.— Avec tes toute petites quenottes ? non bébé, regarde je n’ai rien du tout.— C’était pas ce bras. dis-je comme si elle me prenait pour une imbécile. Papa rigola en massant mes cuisses écarté de l’aine jusqu’aux genoux. Maya rigola et m’embrassa le bout du nez.— Montre Maya. — Non, tu vas pleurer, je t’assure que je n’ai pas mal. C’est pas grave, c’était un vrai bonheur de te voir jouir.Je n’étais pas de cette avis et pris moi-même la main qui caressais mes tétons. Elle avait sur le gras du bras, proche du poignet une marque rouge en forme de bananes en 69, l’on pouvait compter mes incisives et mes canines. Mes yeux s’embuait immédiatement, elle se blottie contre moi et dit.— Pas grave mon bébé, pas grave du tout. Pendant que je me calme dans ces bras j’entendais mon père soupirer, il me massait les reins et les hanches.Je tentais de bougé mes cuisses et poussa un couinement de surprise, j’avais quelque chose dans les fesses, papa me dit.— Attend mon amour, tu as le gode planter dans ton anus. Tu veux descendre ?— Oui mais attend, je veux voir.Me redressant sur les coudes, je vis mon corps d’un blanc laiteux couvert d’huile mon zizi avait presque entièrement disparue, car je ne bandais pas, le gode également recouvert d’huile était en moi, enfoncer sur deux tiers de sa longueur.— Papa, tu et aussi gros et long ?— Un peu plus gros et plus long mon amour ! tu veux que je l’enlève ?— Oui papa, je te veux en moi, j’attends depuis tellement longtemps.— Pas encore mon amour, tu dois te reposer un peu avant. Tu m’as fait peur en tombant dans les pommes comme cela, si Maya n’était pas avec nous et ne m’avait pas tout raconté j’aurais appelé les urgences.— Je te promets papa que je ne tomberais pas dans les pommes.Maya rigola et sera ma tête entre ce seins, elle fit un signe de tête à papa, il attrapa le gode d’une main et l’enfonça d’un coup sec en moi, je crue a nouveau défaillir et criait comme une pucelle qu’on déchire. — Il est encore trop tôt. Annonça papa, il enleva le gode sans douceur pour ne pas risquer de me faire jouir, je respirais à nouveau normalement, il l’enduisit de gel anal et l’introduit à nouveau en moi et dit.— Tu et bien ouvert mon amour mais tu vas le garder en toi. je ne veux pas te déchiré et je veux pouvoir jouir en même temps que toi et de te regarder dans les yeux a ce moment.J’acquiesçai silencieusement, il continua ; Tu dois apprendre à te contrôler, tu jouie en quelque seconde seulement.— Je peux pas, je suis éjaculateur précoce du zizi et des fesses.— Alors je ne te ferais jamais l’amour. Il me porta comme un bébé. M’embrassa les lèvres et continua ; Je ne veux pas profiter d’une personne inerte, tu comprends ?— Oui papa, je, je ferais mon possible.Jusqu’à tard dans la nuit, ils se relayèrent à tour de rôle pour me dilater l’anus. Pour le repas, j’étais allonger sur la table, la main gauche de Maya a l’intérieur de mes fesses, couché sur le dos, ma tête reposer sur un gros coussin moelleux. Papa me donnait à manger, Maya supplia, je ne voyais que son front recouvert de sueur.— Je ne tiens plus, son odeur, son corps, je dois jouir.Maya se caressa les seins d’une main, j’interviens qu’en elle bougea sa main en moi.— Maya, ne bouge pas, tu vas me faire jouir.Papa m’embrassa, contourna la table et se plaçais derrière Maya pour l’enlacer et la relevé et dit.— Laisse-moi faire Maya. Je ne suis qu’un homme mais je peux te donner du plaisir. Ne bouge surtout pas ta main. Maya acquiesça, elle me semblais enfievré, fragile je me tournais un peu pour voir leurs manèges. Papa allongea Maya sur la table, de cette façon je pouvais l’embrasser, elle me dit.— Tu me rends folle Lisa, pardon, j’ai besoin.— Je comprends, laisse faire papa.— Je ne peux plus rien faire, je dois jouir.Papa caressait les cuisses de Maya, il me montra sa main avec un petit sourire, elle était couverte de mouille. Je rigolais en le regardant. Maya apeuré demanda.— Quoi, quoi ?— Rien, embrasse-moi. Je lui roulais ma langue dans sa bouche. Papa se plaçais à genoux derrière elle pour la lécher. Parfois sa main se crispa en moi, je pouvais compter ces doigts. Je du lâcher sa bouche car elle respirait difficilement. Je regardais la tête de papa s’affairé entre ces jambes, le bruit qu’il émettait avec sa bouche était obscène et excitant. Je me lamentai.— J’aimerais être une vraie femme pour connaitre ton bonheur.Papa retira sa bouche, son menton était recouvert de cyprine, il me dit.— Soit patiente, tu seras bientôt une vraie femme.Maya m’attrapa et me coucha à nouveau près de sa tête en disant. — Je t’en supplie, reste à côté de moi, je veux sentir ton odeur, caresser ta peau. Regarde mon visage quand je jouie, c’est grâce à toi que je suis dans cette état.Maya m’embrassait de partout, je sentais mon zizi redevenir tous dur. Papa recommençais a la lécher. Quand elle atteignit l’orgasme, elle serra le poing en moi, aucune idée de ce qu’elle avait attrapé mais je criais de douleur, mon sperme jaillie et atterrie sur le visage de Maya qui criait sa jouissance la tête reposer contre mon ventre.— Lisa. Ohh, Lisa, tu me rends folle.— Maya, relâche les doigts, tu me fais mal.Papa retira lui-même la main de Maya de mon fondement. Il la porta de ces grand bras musclés et me dit.— Je reviens immédiatement mon amour, je vais t’honorer comme il se doit.— Mais moi je veux qu’elle soit avec moi papa.Maya se suspendait au cou de papa, elle tremblait encore de l’orgasme. Papa répondit.— Je ne le conçois pas autrement. Ne bouge pas, je viens te chercher, surtout détend toi, je ne veux pas que ton anus se referme.— Oui papa, j’attendrais sagement, tu lui fais rien hein ? elle n’aime pas la pénétration.— Non mon amour, ce soir et ton soir. De toute façon je ne ferais rien que vous ne voulez pas. Repose-toi.Je voyais la forme de la grosse bite de mon père balancer à droite et à gauche à chacun de ces pas sous son peignoir. Il déposa Maya dans sa chambre et revenue immédiatement, nue comme un ver. Sa bite avait pris des proportions affolante sou des abdos bien dessiner, je ressenti mon anus s’ouvrir encore plus, du jus et du gel coulais de mon trou ouvert. Je lui dis.— Tu et beau mon papa.— Et toi tu et très belle ma fille chérie, il se pencha sur la table pour m’embrasser, il m’avait traité de fille, j’adorais mon papa plus que de raison, je ressentais sa bite effleuré ma cuisse, il me porta contre son torse, sa bite se logea naturellement entre mes fesses et remontait loin derrière mon dos, je me demandais comment se mandrin ferra pour entrer en moi sans m’écarteler, je lui dis.— Papa, j’ai un peu peur.— C’est normal ma fille, moi aussi. Tu vas souffrir. Promet moi que si tu soufre trop, tu me le dit et j’arrêterais.— Je te le promets papa.Maya m’attendais couché de côté sur le lit de papa, tout le lit était couvert de serviette de bain, je me demandais pourquoi. L’abricot de Maya suintait comme jamais. J’avais vue des centaines de vidéo sur internet et je me demandais si Maya n’était pas une femme fontaine. Papa m’assis au bord du lit. Maya m’enlaçait immédiatement. Papa glissais des coussins derrière elle et l’embrassais, elle lui dit.— Maintenant je regrette de ne jamais avoir participé à vos ébats.Il lui sourit, impatiente je masturbais papa qui se mit à rigoler et dit.— Repose toi contre Maya et détend toi, je vais te donner ce que tu demandes.Maya m’enlaça et me prévenait pour rire.— Tu ne me mort pas cette fois ?— Mais non… enfin n’approche pas trop tes bras quand même. Ont riaient, cela nous détendait. Papa m’écartait les cuisses en grand écart, il m’embrassait en plongeant quatre de ces gros doigts en moi sans les bougé et me dit.— Maintenant ma fille, je vais te prendre ta virginité anal, tu et prête ?— Oui papa, j’ai l’impression que j’ai attendu toute ma vie. Papa plaçais son gland contre ma rosette, mon zizi avait disparue, mes noisettes ressemblaient a deux grains de raisin encore bien vert.Il fit pénétré son gland doucement arrêta quand il remarqua une résistance.— Vite papa. J’en peu plus— Non ma chérie, je sais que tu vas avoir mal, attend un peu.Il badigeonna son sexe de gel sur toute sa longueur et réessaya. Je ressentais et voyais son gros gland violacer repartir à la conquête de mon anus, il força un peu mai ça n’entrait pas et prévenait Maya.— Tien la fortement, elle va hurler mais je veux que toi tu tiennes le coup.Maya se cola entièrement a moi, emprisonnant mes bras dans les siens. Papa poussa d’un coup, son gland me pénétra, je ressentais mon anneaux se distendre et se refermé juste derrière lui comme avec la main de Maya, sauf qu’il était bien plus gros et moi ci petite. Je poussais un long hurlement de douleur jusqu’à ce que tout l’oxygène de mes poumons quitte mon corps. Quand je repris mon souffle, Maya supplia.— Arête Pascal, tu es trop gros, elle n’est pas prête.Papa attendait en me maintenant par les reins. Quant enfin je repris une respiration presque normale, papa me demanda gentiment.— Ma chérie, que veux-tu que je fasse ?Moi je croyais que le gland de papa m’avait transpercé le dos, peu à peu je ressentais les battements rapide du cœur de papa à travers son gland dans mon anus et, cela me rassurait, mon papa était ému sous une voix impassible, la douleur s’estompait, je me disais que le plus difficile était passé.Maya pleurais de douleur à ma place, sa tête me dominait et ces larmes coulais sur mes joues, elle n’avait cessé de me maintenir, elle me protégeait du mieux qu’elle pouvait.Papa attendait patiemment le moindre signe de ma part en me caressant le ventre d’une main comme pour m’apaiser. Je fini par parlé au bout de ce qui me semblait des heures de véritable atenssion d’amour.— Papa, je t’aime, fait de moi une femme, prend moi mon papa a moi.A nouveau la verge impressionnante reprit mouvement, papa me comprimait tellement les hanches que j’étais certaine que demain j’aurais des bleus. Lentement je ressentais le moindre mm de papa à l’intérieur de moi. Je l’écoutais attentivement pendant la pénétration, je le regardais droit dans les yeux comme il me demandait, me concentrait sur les moindre parole d’amour qu’il prononçait et tentait d’oublié un peu la douleur, parfois il haussa la voix quand je fermais les yeux trop longtemps. A un moment je ressentais quelque chose bougé dans mes entrailles. Mon ventre émis un gémissement comme si j’avais faim. Je fermais les yeux pour une seconde de peur attendant unedouleur plus forte, papa avais du me crevé les boyaux, mon ventre s’inondait, curieuse et ne ressentait pas plus de douleur je regardais mon zizi m’arroser d’une douche dorée. Papa pris une serviette pour couvrir mon zizi et me dit.— Ce n’est rien mon amour, rien du tout, il y a tellement de pression dans ta vessie qu’elle se vide toute seule. Maya rigola et pleurait en même temps, comme je ne me débâtais pas elle me lâchait une main et m’essuya un peu et tenta une plaisanterie :— Les jeux uro, c’était obligatoire aujourd’hui ?Aucun rire. Je restais concentré sur les yeux de papa, il vérifiait fréquemment que le flot se tarie, enleva la serviette et reprit sa progression. Maya prit une autre serviette et essuya mon front couvert de sueur. Papa me prévenait.— Voilà ma fille chérie, je suis en toi, il m’en reste un peu mais je bloque et je ne veux pas te faire souffrir d’avantage. Tu vas bien ?Je ressentais toute la bite de papa en moi, j’aurais voulu sentir ces grosse boules cogné contre mes fesses comme dans les films, je devais me montré réaliste, j’étais trop petite et c’était déjà un exploit d’en avoir autant en moi et que je ne jouissais pas encore. A l’extérieur j’entendais une chouette hululé. Combien de temps grand dieu avait duré cette pénétration ? Je dis oui avec la tête mais papa ne l’entendait pas ainsi.— Parle nous mon amour, je ne tiendrais plus très longtemps.— B,B,Bou…Bouge un peu papa, je veux… jouie en moi, aime… peu plus moi.Je ne pouvais continuer, papa enleva un peu de pression sur mes intestins et m’enfonça à nouveau, j’avais cette curieuse impression que c’était des kilomètre de queue qui me quittait et revenait. Je ressentais un peu de liquide coulait entre mes cuisses, à nouveau papa essuyait le peu d’urine qui était en
Diffuse en direct !
Regarder son live