Il y a des jours qui marquent une vie. Et celui que je vais vous conter en est un, ou plutôt une soirée. Je m’appelle Victoria, à dix-neuf ans je vis toujours chez ma mère. Nous sommes toutes les deux très proches, comme maman va partir le lendemain, ratant alors mon anniversaire, cela m’attriste mais ce fut lors d’une fin de journée. Je dois aussi vous avouer qu’il n’y a pas de tabou entre nous deux. Nous parlons aisaiment d’érotisme ou même de sexe parfois de façon crue. Bien que cela puisse paraître étrange, maman et moi n’en avons que faire des on-dit sur nous. Et petit à petit, les barrières se sont baissées.Nous allons même à nous balader dénudées. Maman et moi nous sommes assises à la table de la cuisine.
-Alors ma Chérie, je n’ai pas oublié toutes,nos…Discussions personnelles. Et ton souhait va se réaliser. -Lequel maman? -D’être initiée par une femme de mon âge. Tiens j’ai des cadeaux pour toi.
Ah oui, j’avais oublié que je lui avais avoué cela : quand ? Je ne sais plus, probablement lors d’une soirée un peu trop arrosée, mais passons. A voir son regard, maman semble aussi désireuse que moi.
-Tiens ma Puce, tu n’as qu’à choisir celui qui te plaît le plus. Me dit maman en sortant deux paquets.
En les ouvrant, je découvre deux tenues érotiques. Je lève le regard et mes yeux tombent sur le sourire maternel.
-Elle ne va pas tarder, j’espère que tu vas bien t’amuser. Me dit-elle en s’en allant.
Quelques dizaines de minutes plus tard, après que maman m’ait amenée, me voilà avec Lisa, l’amie de maman. Nous faisons alors connaissance, d’abord comme deux amies qui se découvrent puis avec des questions de plus en plus personnelles. En regardant Lisa, je me dis qu’elle est attirante, sa robe d’été laisse peu de tissu couvrir sa poitrine. Mais Lisa la quitte bientôt pour une toute autre tenue, après avoir pris ma main elle m’emmène dans une pièce de la maison à l’écart.
J’arrive alors,avec la tenue en résille, pailleté que Lisa m’a demandée de mettre pour ce soir. Je m’attends à avoir du stress ou de la peur, toutefois, rien de cela. Elle lâche le fouet à multiples lanières qu’elle a dans sa main. Lisa s’approche et commence à passer sa main sur moi. Quelle sensation électrisante, la douceur de la tenue rend la chose encore plus sensuelle. Ses mains passent sur mes cuisses remontant sans gêne jusqu’à mes seins. Que c’est bon, délicieux même. Toujours en me caressant,Lisa me souffle à l’oreille:
-Tu es prête à te donner? -Complètement. Dis-je dans un souffle. -Alors tourne-toi.
Je lui obéis, ses mains se posent sur mes fesses. Dos à elle, je ne vois le bâillon qui entrave ma bouche qu’au dernier moment. Je mord alors le plastique, pendant que je me penche en avant bras dans le dos.
Des menottes en cuir entravent alors mes poignets. Le bâillon me fait saliver, mais j’en oublie la gêne, car Lisa se penche pour embrasser ma nuque. Me mordiller l’oreille, tout en soutenant ma tête avec sa main sous mon menton. Puis de nouveau sur ma poitrine, me voila à sa merci, ce que j’adore. Mais je sens qu’elle veut prendre son temps avec moi. Ses doigts continuent à caresser mon dos, mes seins et mes fesses. Je lui offre tout, sa main passe derrière moi et m’oblige alors à me pencher sur le lit qui est devant nous. Je suis à sa merci, mes fesses touchant ses cuisses, mon visage plongé dans les draps de velours rouge. Un coup sec, puis un deuxième arrive sur mes fesses. Et encore, jusqu’à ce que je ne les compte plus, une chaleur se répand en elles. Mes dents mordent le bâillon, la salive coule le long de mes joues. Lisa s’écarte de moi pour changer d’objet, je ne le connais pas avant de sentir un vibromasseur glisser entre mes cuisses. Je sens l’objet vibrer doucement sur mon intimité. Je gémis, mord sur le bâillon qui m’emprisonne. Inconsciemment je tire sur les menottes comme si je voulais m’en aller. C’est la main de Lisa sur ma fesse et le vibromasseur qui me disent de rester. Puis tout s’arrête,d’un coup. La cravache mord à nouveau ma peau. Puis ce sont les ongles de Lisa qui remplacent le cuir. Bien qu’elle ne fasse qu’un passage, je sens ma peau s’enflammer. Les coups continuent de pleuvoir sur ma peau. Jusqu’à un moment, tout s’arrête.
Il ne faut qu’un court instant pour que la langue de Lisa passe sur mes fesses. La chaleur douce de sa langue contraste avec celle de la morsure de la cravache. Je sens alors mes liens se délier, allant même jusqu’au bâillon. Quelle douce liberté, ma Maitresse de l’instant, m’allonge alors sur le lit, et avant de me prendre l’un de mes pieds me dit :
-Sent toi libre.
Ma main se pose alors sur mon sexe, Lisa me carresse entre les cuisses avant d’écarter ces dernieres pour venir me lécher la toison. Je mets a nue ma poitrine, pour pouvoir la caresser, mais c’est une main de ma Maîtresse qui remplace la mienne. Sa bouche dévore mon entre-jambes, léchant, aspirant mon clitoris. Le désir et l’excitation montant je me mets à faire de petits mouvements de bassin. C’est magique, je ne peux pas retenir mes gémissements, je me sens partir. Mais Lisa me fait revenir à la réalité en se levant et se mettant à ma place.J’écarte sa culotte en dentelle rouge et pose ma bouche sur son intimité. Copiant mes mouvements à ceux qu’elle m’a fait il y a quelques instants. Je salive dessus avant de recommencer à la lécher, la main de Lisa se pose derrière ma tête et m’oblige alors à garder ma langue au plus profond de son intimité.
Je continue à l’honorer malgré que son miel intime s’est mêlé à ma salive. Puis je me redresse et vient l’embrasser, ses lèvres sont terriblement chaudes et sensuelles. Puis après un énième baiser Lisa me dit dans un souffle:
-Viens chercher ta récompense.
J’obéis, et en quelques secondes ma toison se retrouve sur sa bouche. Lisa honore mon intimité et continue ainsi jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche.
Nous nous câlinons encore quelques minutes avant de nous endormir dans les bras l’une de l’autre.
Fin
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
