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Lisa et moi

Chapitre 2

Hétéro
Un après-midi à Paris
Comme je l’avais prévu, je vais passer une quinzaine de jours à paris dans un appartement du cinquième que me prêtent des amis partis en Thaïlande pour trois semaines. Après avoir vu le concierge pour les clés, je m’installe et, vers quatorze heures, je téléphone à Ladda.—Bonjours Ladda chérie, je suis arrivé, quand peut-on se voir ?—Je suis libre cet après-midi, rendez-vous quand tu veux à côté à la pyramide du Louvre, j’habite à côté.—Ok, mais j’ai une demande particulière à te faire.—Oui chéri.—Je voudrais que tu mettes une mini-jupe plissée avec un corsage dont tu ne boutonnerais que les deux boutons du bas. Evidemment sans rien dessous, ni string, ni soutif.—Mais il ne fait que douze degrés dehors et il y a un peu de vent.—Oui, et c’est tout l’intérêt de la chose, tu auras un peu froid, ta peau va s’iriser, tes seins vont bander, ta jupe se soulèvera de temps en temps dévoilant l’espace d’une seconde tes fesses et ton sexe, et ton corsage s’ouvrira pour montrer ta magnifique poitrine aux tétons érigés. Tu es d’accord ?—Tu veux que tout le monde voie mes fesses, mon sexe et mes seins ?—Je ne suis pas possessif, et puis tu es si belle qu’il faut en faire profiter tout le monde. —Ok, je ferais tout ce que tu veux, je t’aime.—Bon, rendez-vous à quinze heures à l’entrée de la pyramide.
Je vais me préparer, prendre une douche et choisir des vêtements de circonstance et une cape en plus. A l’heure dite, je me rends à la pyramide du Louvre, mais je me cache pour voir arriver Ladda. Au bout de quelques minutes, je la vois venant du carrousel. Elle a l’air frigorifiée, j’ai un peu pitié d’elle. Elle porte une mini-jupe plissée en tissu écossais, et un corsage blanc ouvert jusqu’à la taille. La légère brise soulève de temps en temps sa jupe, mais on ne distingue pas beaucoup ses seins. Elle me cherche du regard, mais je suis caché derrière un panneau et elle ne peut pas me voir. D’un seul coup, une saute de vent lui soulève la jupe jusqu’à la taille dévoilant à tout le monde ses fesses et son sexe nus. En voulant la rabattre, un de ses seins sort du corsage. Fataliste, elle laisse le vent faire et se retrouve pratiquement nue au milieu des touristes qui n’en croient pas leurs yeux. Je bande comme un âne, mon sexe gonfle mon pantalon et je suis obligé de le repositionner si je ne veux pas que ça se voit trop. Je sens qu’elle commence à paniquer et sort de ma cachette. En me voyant elle se précipite vers moi, se jette à mon cou et m’embrasse passionnément. Je lui rends son baiser devant la foule qui nous regarde mi amusée, mi réprobatrice. Je la recouvre de la cape que j’ai amenée.—Allons chez moi.—Je te suis ma chérie, mais j’espère que ce n’est pas loin, j’ai envie de te sodomiser là, sur place.—Non, ce n’est pas loin.
Nous avançons rapidement, j’ai envie d’elle, et elle est gelée. Arrivés à son immeuble, nous nous engouffrons dans l’ascenseur. Elle habite au huitième, mais arrivés entre le troisième et le quatrième, j’appuis sur le bouton d’arrêt, elle me regarde étonnée, mais comprend très vite ce qui va se passer, elle me sourit et se retourne. Je lui fais descendre la jupe par terre, lui enlève son corsage. Elle est nue dans l’ascenseur. Mes mains parcourent son magnifique corps, il est froid, et sa peau et légèrement irisée. C’est une sensation nouvelle qui me fait bander encore plus. Je sors mon sexe raidi à me faire mal, m’accroupi derrière elle pour lui lécher la rondelle.—Tu peux y aller, je m’y attendais et je me suis bien préparée.
Je me redresse, lui écarte un peu les jambes, présente mon sexe sur sa vulve, donne un coup de rein pour me lubrifier, le pose sur son cul en lui écartant les fesses et la transperce d’un seul coup.—AAAAHHHH

Elle pousse un petit cri de douleur, mais je n’en ai cure, je la pistonne à toute vitesse et je sens son cul se détendre de plus en plus. Je lui malaxe les seins, en pinçant très fort ses mamelons. Ladda gémit de plus en plus fort, je suis obligé de mettre une main sur sa bouche pour l’empêcher d’alerter tout l’immeuble, l’autre s’occupant alternativement de ses seins. Je continu de la pistonner, mon sexe sort de son anus pour le perforer aussitôt, Ladda tremble de tout son être, je sens des spasmes de plaisir parcourir son corps, elle se raidie, se plaque le plus possible contre moi et explose dans un orgasme ravageur. Elle tremble, secoue sa tête de droite à gauche, et pousse un râle de plaisir que j’étouffe avec ma main. Petit à petit, elle revient à elle et se retourne pour se jeter sur mes lèvres. Après un long baiser, elle me regarde.—Tu sais exactement ce que j’aimerais qu’on me fasse au moment où je le désire. —J’espère.—Et maintenant ?—Je vais te défoncer la chatte.—Je t’aime.
Je la plaque contre la paroi de l’ascenseur et m’enfonce immédiatement dans son sexe.—Oui, vas-y, baise-moi, j’ai envie de ton sexe dans mon sexe, défonce-moi la chatte.
Je m’active comme un fou, allant le plus vite possible, et je la sens s’abandonner au plaisir.—Oui, oui, je vais encore jouir, baise-moi, oui, oui, je jouis sur ta queue, oui, oui, AAAAAHHHHH.
Elle se crispe, me serre de toutes ses forces contre elle.—Avec moi mon amour.
Je ne résiste pas plus longtemps et me vide en elle.—Oui, je te sens, vide-toi en moi, vide-toi.
Nous reprenons nos esprits petit à petit. Je me réajuste et je redémarre l’ascenseur, elle me regarde paniquée, elle est toujours nue. L’ascenseur arrive à son étage et s’ouvre instantanément. Le palier est vide, elle se précipite vers sa porte qu’elle ouvre rapidement pour s’engouffrer à l’abri des regards. J’ai quand même eu l’impression qu’un judas nous espionnait.
Une fois à l’intérieur, Ladda se jette sur mes vêtements pour les faire valser au milieu du couloir.—Il n’est pas là jusqu’à vingt heures, nous pouvons être tranquille quatre heures, après il faudra que tu partes.—Ok.
Elle se plaque contre moi, m’embrasse et m’entraine vers une autre pièce.
Mais ceci est une autre histoire.
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